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(21/09/2007 17:20:21)
A l'IE-Club, les éditeurs réclament des développeurs
Hier soir, l'IE-Club a tenu sa conférence de rentrée dans les locaux parisiens de Microsoft, rue de l'Université. Le thème de la soirée, « la révolution de l'Internet Software », a visiblement plu. Ce fut la meilleure audience depuis la création de l'IE-Club : 325 participants. L'assistance d'hier mêlait capitaux-risqueurs (environ 15 % de l'audience) et éditeurs de logiciels, tout autant aficionados de l'Internet que fournisseurs plus traditionnels. Rappelons que l'IE-Club a vocation à rapprocher les PME du secteur IT des acteurs susceptibles de les aider dans leur essor. La conférence, il est vrai, surfait sur une actualité plutôt chaude, de nombreux éditeurs ne parlant ces temps derniers que de SaaS (software as a service), de « on-demand » ou de « cloud computing ». « Nous avons observé que les nouveaux modes de consommation du logiciel - à partir d'un navigateur Web, d'un téléphone portable ou de widgets - généraient aussi de nouveaux modes de développement, de financement et de commercialisation », explique Julien Codorniou, responsable chez Microsoft France des partenariats avec les éditeurs innovants et organisateur de la conférence (en partenariat avec TechCrunch et l'Afdel). Un coût de développement divisé par dix en six ans En trois tables rondes, la soirée a donc posé les règles de cette nouvelle industrie, avec les acteurs français du logiciel « canal historique » (selon l'expression de Julien Codorniou) et avec les éditeurs pour qui le Web est la seule plate forme possible. Premier constat, il est beaucoup plus facile de créer une société qui fait de l'Internet qu'un éditeur traditionnel. Le coût de développement d'une application Web a été divisé par plus de dix en cinq ou six ans. Le fondateur de « Dis-moi où » a déboursé 350 euros pour [[page]]développer son « encyclopédie des lieux participative et réutilisable ». La richesse de l'Open Source contribue à cette accessibilité, mais les ténors du logiciel y participent aussi. « Chez Microsoft, nous avons un programme pour les start-up, rappelle Julien Codorniou. Pour 300 euros, elles accèdent à l'ensemble de nos outils pour cinq développeurs. » Deuxième constat, plus préoccupant, il y a une vraie pénurie de développeurs sur le marché, ceux-ci étant systématiquement happés par les SSII. Les jeunes sous-estiment l'intérêt de développer chez un éditeur. Pourtant, des acteurs comme Brainsonic et Yahoo souligne l'attrait du poste. Pour eux, cela revient purement et simplement à « intégrer une écurie de Formule 1 ». Contraint à l'innovation permanente Troisième constat, quand on se lance dans l'Internet Software, on est contraint à l'innovation permanente. A la moindre faiblesse, l'éditeur court le risque de voir le client le lâcher. Sur ce front, les nouvelles sont plutôt bonnes. Les intervenants de l'IE-Club jugent très bon le niveau des développeurs français en Europe. Un des atouts hexagonaux semble être la capacité à fabriquer de « la propriété intellectuelle », par rapport à d'autres pays, comme l'Inde, plus axés sur le développement de services. Enfin, les investisseurs soulignent la qualité des dossiers français. Il y a davantage de bons entrepreneurs, qui ont des idées et font du chiffre d'affaires, avec des acteurs à la pointe dans le commerce électronique. Une bonification que l'on doit sans doute en partie au crédit d'impôt recherche ou encore au soutien de l'Oséo et à son label Entreprise innovante. (...)
(21/09/2007 16:15:52)Les bogues de VMWare soulignent les failles de la virtualisation
Alors que la virtualisation se glisse de plus en plus dans les systèmes d'information, une équipe de chercheurs IBM a mis la main sur une série de failles touchant de près ESX Server. Si VMWare, son éditeur, comblait dans la foulée cette série de douze trous dans une mise à jour livrée hier jeudi 20 septembre, cet épisode mettait en avant les quelques faiblesses d'une technologie très à la mode. Les trois failles, pointées du doigt par IBM et jugées critiques pour les utilisateurs d'ESX Server, frapperait le serveur DHCP (Dynamic Host Configuration Protocol) livré avec l'application. Ce logiciel, qui répartit les adresses IP entre les différentes machines virtuelles, pourrait ainsi servir à prendre la main à distance sur le serveur. Pour Tom Cross, chercheur à l'Internet Security Group d'IBM : « en prenant le contrôle de la machine, l'attaquant peut accéder à n'importe quelle machine virtuelle présente. » Un point gênant car les chercheurs - et les entreprises - utilisent souvent des machines virtuelles pour isoler certaines applications sensibles. Un danger confirmé par Dave Aitel, directeur technique d'Immunity, un éditeur spécialisé dans la sécurité. « Les serveurs font souvent tourner une application vulnérable sur une machine virtuelle et ont des informations confidentielles sur une autre, isolées par VMWare. VMWare ESX est devenu très populaire parmi les environnements hôtes, ce type de bogue peut prendre des proportions effarantes si vous trouvez une faille distante sur une machine virtuelle. » Les machines virtuelles, prochaines bêtes noires des éditeurs Une autre faille, découverte par les équipes de McAfee, permettrait également de prendre le contrôle de machines virtuelles, mais elle serait plus complexe à mettre en place. Toutefois, pour David Marcus, chercheur chez McAfee, l'existence même de ces exploits va pousser les chercheurs en sécurité informatique à s'intéresser de plus près aux machines virtuelles : « si vous pouvez attaquer une machine virtuelle et de là passer sur le système d'exploitation hôte, alors vous avez la mainmise sur toutes les machines virtuelles présentes. » (...)
(21/09/2007 15:37:27)IDF : Intel veut réduire la consommation d'énergie de Linux
A l'occasion de son Developer Forum, Intel a annoncé l'ouverture d'une communauté baptisée Less Watts, dont le but est de promouvoir la réduction d'énergie de Linux et des applications Open Source sur les plateformes Intel. Outre le fait de réunir utilisateurs, développeurs et constructeurs pour améliorer le noyau Linux, Less Watts offre un ensemble d'outils comme PowerTop ou le Linux Battery Life Toolkit (BLTK), qui mesure l'impact qu'ont les changements de code sur la consommation d'énergie. Une dizaine d'applications sont pour l'heure mises à disposition. Hier jeudi 20 septembre, Intel a annoncé son intention de lancer des UMPC sous Linux, à base d'une version modifiée d'Ubuntu. (...)
(21/09/2007 15:28:27)IDF : Avec le prochain Centrino, Intel pourrait démocratiser le Wimax
Alors que les opérateurs semblent bouder la technologie, Intel, à l'occasion de son grand raout réservé au développeurs, l'IDF, a décidé de miser sur le Wimax pour parfaire sa stratégie concernant la mobilité. Et pas uniquement sur les ordinateurs portables. En intégrant en natif, après moult hésitations, la norme à ses plateformes, Intel se montre un allié de poids pour le Wimax. Cela pourrait bien lui donner l'impulsion nécessaire à son décollage. Un peu à l'image du WiFi et des premiers Centrino. Intel a en effet promis d'intégrer à la prochaine génération de Centrino (prévue pour 2008) la norme 802.16, en plus de la 3G. Elle devrait par ailleurs être supportée sur les prochains UMPC (PC ultra-mobiles) Windows et Linux de la marque. Le Wimax est un standard de réseau sans fil qui offre notamment une portée bien plus importante que celle du WiFi. En France, certaines collectivités locales ont adopté la technologie pour alimenter en Internet les zones blanches, comme l'Aveyron ou le Loiret. Reste que, pour l'heure, les offres Wimax sont encore rares, les opérateurs misant pour l'heure sur la 3G, plus lucrative. (...)
(21/09/2007 12:22:56)Pour Gartner, l'Open Source est incontournable
Lors du sommet Gartner sur l'Open Source, Mark Driver, vice-président du cabinet d'analyse, a été très clair : Les sociétés peuvent essayer d'éviter l'Open Source, mais il sera alors plus simple de se passer entièrement d'infrastructures high-tech. « L'Open Source s'intègrera à votre réseau que vous le vouliez ou non. Il est devenu totalement impossible d'éviter le sujet », affirme Mark Driver, soulignant que d'ici 2011, 80 % des logiciels commerciaux contiendront au moins une partie de code Open Source. Il propose également quatre éléments pour juger de l'intérêt d'intégrer un logiciel ouvert dans son organisation. Le premier est l'utilité du logiciel. « L'Open Source, plus que les autres modèles dans l'industrie, a de nombreux promoteurs, à la limite fanatiques [...].» Le deuxième est le ratio risque/amortissement, en s'assurant que le produit est suffisamment stable et dispose d'un support technique. Le troisième est l'autonomie technique de l'entreprise et sa capacité à absorber de nouvelles technologies. Et enfin, le quatrième facteur est l'aspect critique de l'application. Sur ce point, l'Open Source n'est pas forcément une mauvaise solution si l'entreprise est - par rapport aux trois autres facteurs - prête. Selon Gartner, 49,7 % des applications critiques pour les sociétés sont issues de l'Open Source, contre 59 % issues de logiciels commerciaux et 58,5 % développées en interne (ndlr : le total dépasse 100 % car une société a souvent plus d'une application critique). Et Mark Driver de conclure : « Vous devez établir vos critères pour évaluer les logiciels Open Source, ainsi que des procédures pour les adopter et les maintenir. L'Open Source n'est plus un marché de niche ou une mode, c'est devenu un produit courant et qui le restera. » (...)
(21/09/2007 10:01:55)Un procès pour violation de la GPL v2 aux Etats-Unis
La liberté promise par la licence Open Source GPL implique tout de même des devoirs, dont celui de publier son code source. Le fabricant d'appareils électroniques multimédias Monsoon se voit ainsi rappeler à l'ordre par le Software Freedom Law Center (SFLC), organisme fournissant une aide juridique aux développeurs de logiciels libres. Le SFLC lui intente un procès au nom des concepteurs de la BusyBox, une suite d'utilitaires Unix, dont le code, sous licence GPL v2, est utilisé par Monsoon dans ses boîtiers. Selon les termes de cette licence, Monsoon devrait donc à son tour publier son code source. Dan Ravicher, directeur des affaires juridiques du SFLC, explique que ce type d'omission est relativement fréquent, mais qu'en général une négociation suffit pour que l'éditeur concerné se conforme au droit, sans qu'il soit besoin d'aller jusqu'au procès. D'après lui, ce pourrait même être le premier procès du genre aux Etats-Unis. On sait qu'en Allemagne, l'association GPL Violations Project avait poursuivi D-Link devant les tribunaux dans un cas similaire et obtenu gain de cause. (...)
(21/09/2007 09:28:18)Oracle enregistre sa plus forte croissance en nouvelles licences depuis 10 ans
Résultats Q1/08 Chiffre d'affaires : 4,5 Md$ (+ 26%) Bénéfices nets : 840 M$ (+ 25%) La concurrence de l'Open Source dans les bases de données, la multitude d'offres dans le middleware ou les inquiétudes liées aux rachats successifs réalisés par Oracle n'y auront rien fait : les entreprises achètent de plus en plus de licences au géant de Redwood Shores. Au point qu'Oracle a réalisé au premier trimestre 2008 de son exercice fiscal la meilleure croissance depuis 10 ans en ventes de nouvelles licences : + 35%, à 1,1 Md$. Visiblement, la sortie de la version 11 de la base de données a dopé le marché. Oracle indique que le SGBD a été téléchargé 35 000 fois le mois de sa sortie. Au final, les ventes de nouvelles licences de middleware et de bases de données ont crû de 23%, le meilleur taux depuis 7 ans, a expliqué Larry Ellison, le CEO d'Oracle. Qui estime que si ce taux est maintenu, Oracle pourrait ravir la première place dans le middleware à IBM d'ici à la fin de l'année. Larry Ellison met en doute l'efficacité de la stratégie de SAP La croissance de 65% dans le progiciel est également de bon augure pour Oracle, qui a largement investi dans ce domaine (rachats d'Hyperion, Peoplesoft, Siebel, Retek...). Dans un entretien avec des analystes, Charles Philips, président d'Oracle, a pris un malin plaisir à rappeler que SAP enregistre pour sa part un taux de croissance de 18%. Toutefois, il faut garder en tête les ordres de grandeur : tandis qu'Oracle enregistre 376 M$ de revenus sur la période (chiffre pudiquement absent du communiqué de presse), SAP annonce 715 ME, soit 1 Md$. Cela semble toutefois conforter Larry Ellison, qui dit s'interroger sur la stratégie de SAP. Pour lui, essayer de vendre du progiciel aux PME est un pari risqué, dans la mesure où il faut largement investir dans la distribution pour un résultat aléatoire : « Bien que nous pensions que le marché des PME est intéressant de par sa taille, nous n'avons pas trouvé de façon de tirer un profit substantiel de ce marché. » (...)
(20/09/2007 17:42:45)Sword relie Google Appliance et outils de GED
En partenariat avec Google, le Français Sword met la dernière main au connecteur qui permettra de relier Google Search Appliance aux logiciels de gestion documentaire comme ceux d'Open Text, Livelink, Documentum ou encore Filenet. « Notre connecteur permettra à ces logiciels de chercher dans la base de connaissance de l'entreprise en se servant de l'algorithme de recherche fourni par Google Appliance », nous explique Fabrice Lienar, directeur de Sword. D'ici la fin de l'année, Google rendra disponible en téléchargement une version ²light² du connecteur de Sword. Réduite en fonctionnalités, cette version gratuite ne pourra, par exemple, pas permettre de gérer des ressources documentaires de plusieurs bases de données, ni permettre à l'utilisateur de définir des degrés de confidentialité à assigner à ses documents. Sword, de son côté, commercialisera une version payante, et modulable selon le projet, pour environ 14 000 €. (...)
(20/09/2007 17:26:33)Qualité des données : Informatica ajoute un service en ligne pour Salesforce
Informatica vient d'ajouter la gestion de la qualité des données à son offre en ligne destinée aux utilisateurs de Salesforce, l'application hébergée de gestion de la relation client (GRC). Dans la même catégorie, l'éditeur proposait déjà un service de réplication des données permettant aux utilisateurs de copier sur une base interne à l'entreprise, les données gérées en ligne sur Salesforce (à des fins d'analyse, d'archivage ou de communication). Le nouveau service, Informatica Data Quality Assessment, servira cette fois à rechercher dans une base de données, à partir de règles prédéfinies, les informations manquantes, inexactes ou en doublon afin de pouvoir les corriger. L'offre sera accessible à partir du 6 octobre prochain, pour un prix de départ de 1 000 $ par mois. Informatica a, par ailleurs, annoncé un pack d'intégration pour faire le lien entre la plateforme Salesforce et le système d'information d'une entreprise afin, par exemple, de synchroniser des informations entre applications. Cette offre s'appuie sur Informatica PowerCenter 8. Le pack Informatica Integration pour Salesforce est proposé à 2 500 $ par mois. (...)
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