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(27/06/2007 11:29:59)
Oracle lance une solution décisionnelle packagée pour les PME
Après Business Objets, c'est au tour d'Oracle de lancer une solution décisionnelle packagée, qui se veut adaptée aux besoins et aux contraintes des PME. L'offre, intégrée, est d'ores et déjà disponible sur le marché français. Elle est distribuée, sous le nom d'Oracle Business Intelligence Standard Edition One (Oracle BI SE One), par l'intermédiaire du réseau de partenaires d'Oracle (revendeurs et distributeurs à valeur ajoutée, intégrateurs). « C'est un package global qui est livré sur un seul CD, précise Patricia Moscatelli, responsable du développement commercial Business Intelligence d'Oracle France. L'autre point important, c'est que cette solution pour PME repose sur les mêmes outils décisionnels que notre offre classique Oracle BI Enterprise Edition. » Se trouvent ainsi rassemblés dans Oracle BI SE One, d'une part, la base de données Oracle Standard Edition One, l'outil d'ETL (extraction, transformation et chargement des données dans l'entrepôt) Oracle Warehouse Builder, et le serveur décisionnel BI Server, moteur d'agrégation et de calcul, utilisé pour définir les modèles métiers et créer les indicateurs (taux de rotation des stocks, délai moyen de règlement, chiffre d'affaires moyen...). D'autre part, pour la restitution de données, l'offre PME fournit trois logiciels : Interactive Dashboard permettra de bâtir des tableaux de bord, Answers, l'outil de requête ad hoc, servira à rechercher les vues métiers destinées à construire les rapports, et BI Publisher, l'outil de reporting de masse sera utilisé pour diffuser les rapports sous différents formats par le canal choisi (impression, e-mail, fax, Web...). L'offre PME peut être déployée à partir de cinq utilisateurs et jusqu'à cinquante postes. Elle revient à 779 € par utilisateur. « Le fait d'utiliser la même technologie que notre offre décisionnelle pour grandes entreprises permet à l'entreprise d'étendre le nombre de postes au delà de cinquante sans modification, rappelle Patricia Moscatelli. Cela donne aussi la possibilité d'ajouter d'autres composants, notamment le module d'alerte Deliver, si l'entreprise veut, par exemple, surveiller certains seuils. » (...)
(27/06/2007 09:40:14)Annuels Oracle : croissance à deux chiffres pour toutes les activités
Résultats exercice fiscal 2007 Chiffre d'affaires : 18 Md$ (+25%) Bénéfice net : 4,6 Md$ (+26%) Oracle conclut un exercice fiscal 2007 solide en reportant un chiffre d'affaires en hausse de 25% sur un an et un bénéfice supérieur de 26% à ce qu'il était en 2006. Le groupe a pu compter sur une solide activité dans les services, qui génèrent 3,8 Md$, soit 33% de plus que l'an passé. Les revenus issus des logiciels, des bases de données et du middleware rapportent 16% de plus qu'en 2006 et contribuent à la hausse de 14% enregistrée par la division logiciels. La directrice financière du groupe, Safra Catz, indique que toutes les activités d'Oracle ont progressé plus rapidement que le marché. En outre, la société a ravi des parts de marché à ses concurrents - SAP, IBM, BEA - tout en voyant ses marges augmenter. Oracle espère creuser encore davantage l'écart le séparant de ses rivaux avec la sortie, le 11 juillet, d'Oracle 11g. Le groupe a réalisé, au cours des dernières années, un nombre impressionnant d'acquisitions, signant un chèque global de plus de 20 Md$ depuis 2005 pour étendre son périmètre. Cette stratégie fondée sur la croissance externe devrait perdurer, ont expliqué les dirigeants lors d'une conférence de presse, afin qu'Oracle enrichisse son catalogue d'applications. (...)
(27/06/2007 09:35:32)ITAG aide les PME IT à investir le marché américain
« L'erreur que font souvent les dirigeants français lorsqu'ils cherchent à se développer à l'international, c'est de vendre à la française », constate Daniel Baloche, fondateur d'ITAG, une société de services qui accompagne depuis 2003 l'installation d'entreprises high-tech sur le marché américain. Aux Etats-Unis, la concurrence est très forte. Une bonne technologie ne suffit pas, il faut aussi une solide démarche de marketing. » ITAG est basé dans le New-Hampshire, sur la côte Est des Etats-Unis. C'est une expertise acquise sur le terrain que son équipe de douze collaborateurs propose aux PME françaises, principalement des éditeurs de logiciels, projetant une implantation outre-Atlantique. Parmi ses clients figurent néanmoins des sociétés de toute taille : Evidian, Maporama, Ipanema, PerformanSe, Serden technologies, Neotys, Aspects, MHD... Les services d'accompagnement d'ITAG sont formalisés sous forme de kits. Pour un montant forfaitaire, tarifé entre 15 000 et 25 000 euros, le « Kit Entrée sur le marché » permettra au candidat à l'international d'évaluer ses chances de réussite. Pour aller plus loin, le « Kit Opérations » repose sur un contrat de douze mois renouvelable, période pendant laquelle le client acquitte un forfait mensuel de 3 500 à 5 000 euros, selon la nature des produits et la taille de l'entreprise. Ce contrat prévoit également qu'ITAG soit commissionné sur les ventes réalisées. « L'objectif de ce kit est de générer du revenu », explique Daniel Baloche, en indiquant que les premières ventes se font généralement au bout de six à neuf mois. Il fait remarquer que le « Kit Opérations » revient moins cher à l'entreprise que le recrutement d'une personne à temps plein. L'étude de marché est couplée à une phase de prospection L'une des premières étapes du kit « Entrée sur le marché » consiste à repositionner l'offre pour l'adapter au contexte américain et à concevoir une nouvelle approche marketing. Il faut trouver les facteurs différentiateurs par rapport à la concurrence. L'étude de marché est couplée à une phase de prospection. La cible de clients est identifiée, une campagne par e-mailing est lancée, suivie par l'intervention d'un télémarketeur, chargé d'amener les prospects sur le Web pour une présentation de la solution, effectuée cette fois par un commercial. Une méthode très courante aux Etats-Unis, même si elle peut surprendre les entreprises françaises. « Au-dessous de 50 000 dollars, l'évaluation technique du produit se fait à distance », éclaire Daniel Baloche. A partir de 100 000 dollars, les cycles de vente sont plus longs et on peut être amené à se déplacer. Le fondateur d'ITAG remarque que le business plan à l'international des sociétés françaises est souvent le prolongement de ce qu'elles font en France. « Or, ici, les challenges sont différents. Attaquer un marché international demande un regard intérieur ». (...)
(26/06/2007 17:28:54)Sword délaisse l'Inde pour se concentrer sur la France
La SSII lyonnaise Sword a décidé de réduire les effectifs et les activités de sa filiale indienne, créée il y a à peine quatre ans. Les raisons de ce retour en arrière sont simples : « un directeur technique nous coûte 300 euros par jour en France, contre 216 euros en Inde. Cet écart est insuffisant pour justifier la délocalisation de nos salariés, d'autant plus que les coûts de management entraînés par l'éloignement de nos équipes est rédhibitoire », explique Jacques Mottard, PDG de Sword. La SSII prévoie l'embauche de 150 ingénieurs au sein de son siège lyonnais, ainsi que la création d'un centre de recherche et de développement en Grande-Bretagne. La filiale indienne restera, pour sa part, dédiée à des tâches répétitives et à faible valeur ajoutée, comme le contrôle à distance pour les compagnies d'assurance. Les effectifs seront progressivement réduits dans les mois à venir. Ce revirement d'orientation est à l'opposé de la stratégie adoptée par la plupart des autres grandes SSII, comme Atos Origin ou Cap Gemini, qui délocalisent volontiers vers les pays à moindre coût. Cap Gemini a, par exemple, récemment doublé ses effectifs en Inde (13.000 salariés à ce jour), grâce au rachat de diverses SSII de taille moyenne. Sword, spécialisée dans la GED (gestion électronique des documents) a réalisé un chiffre d'affaires de 142 millions d'euros en 2006, et prévoie 190 millions pour cette année. (...)
(26/06/2007 16:05:29)Sun se relance dans la course au supercalculateur
Lors de l'ISC (International Supercomputer Conference) qui se déroule actuellement à Dresde en Allemagne, Sun a annoncé son nouveau supercalculateur : le système Constellation. Contrairement aux autres systèmes - tel le Blue Gene d'IBM -, celui-ci se base sur des composants entièrement standard. « Nous avons essayé de prendre tous les éléments que les clients utilisaient pour avoir un cluster haute-performance, et de les assembler dans un produit que vous pouvez acheter en l'état », explique Michael McNerneau, directeur des ventes serveurs lames chez Sun. Le résultat est une grappe de 48 serveurs lames sous Linux ou OpenSolaris, ayant une puissance de calcul maximale de 1,7 petaflops. Le seul élément propriétaire de l'ensemble est le switch - baptisé Magnum - doté de 3456 ports d'entrées/sorties avec une bande passante de 110 téraoctets par seconde. Pour son stockage, Constellation s'appuiera sur deux serveurs Sun Fire X450 dotés de processeurs AMD Opteron Barcelona et 16 G0 de mémoire, le tout pour un espace de stockage de 48 T0. Côté logiciels, Sun fournit OpenSolaris mais également un ensemble de logiciels de gestion de la charge de travail, comprenant Sun Studio 12 et Sun HPC Cluster. Le premier modèle de Constellation en production devrait être installé d'ici le 15 octobre prochain au TACC (Texas Advance Computing Center) de l'université du Texas. A condition qu'AMD puisse livrer ses processeurs Barcelona à temps. Il ferait alors une entrée directe dans le peloton de tête des 500 supercalculateurs les plus puissants. En effet, ce premier modèle disposera d'une puissance de calcul de 420 teraflops, loin devant le Blue Gene / L en production au Lawrence Livermore Lab et ses 280 teraflops. En attendant la prochaine génération de Blue Gene annoncée par IBM. (...)
(26/06/2007 12:33:18)GFI pourrait se rapprocher de Bull pour éviter Fujitsu Services
GFI Informatique ne semble pas décidé à se laisser racheter par Fujitsu Services, qui a lancé une OPA hostile le mois dernier. Selon nos confrères du Figaro, la SSII française serait en discussion avec son compatriote Bull en vue d'un rapprochement. Le quotidien, citant des sources bancaires, indique qu'une telle éventualité « est sur la table ». L'information, si elle n'a pour l'heure fait l'objet d'aucun commentaire par les intéressés, semble doublement crédible. D'un côté, GFI a, à plusieurs reprises, indiqué que l'offre formulée par le Japonais n'était pas acceptable en l'état. La semaine dernière, le conseil d'administration a rejeté à l'unanimité la proposition de rachat formulée par Fujitsu, qui valorisait l'action GFI à 8,5 €. Dans la foulée, Fujitsu Services rappelait qu'il n'avait nulle intention de relever son offre. De l'autre, Bull et GFI ont déjà, par le passé, montré des signes réciproques d'intérêt. Il y a un mois, le constructeur cédait ainsi sa filiale portugaise à la SSII. Par ailleurs, Bull ne cache pas sa volonté de procéder à une acquisition d'envergure dans le secteur des services afin de réaliser, à terme, la moitié de son chiffre d'affaires dans cette activité, contre un peu moins d'un tiers aujourd'hui. L'assemblée générale des actionnaires de GFI, qui se tiendra le 29 juin, devrait permettre aux détenteurs de titres de soulever la question du rapprochement avec Bull. (...)
(26/06/2007 12:29:38)HP développe un plug-in pour la gestion de l'énergie
HP a ajouté des outils de gestion de consommation électrique à sa gamme HP Insight Control, une suite d'outils d'administration pour serveurs Proliant et Blade Sytems. Baptisé HP Insight Power Manager, ce plug-in permet de gérer à distance la consommation électrique d'un serveur ou d'un groupe de serveurs en agissant principalement sur trois paramètres : l'alimentation électrique, la performance par CPU et la ventilation des serveurs. Selon Jeff Carla, directeur des logiciels serveurs chez HP, cet outil permet d'accroître de 70 % la densité d'une salle de serveurs, pour une consommation électrique inchangée. Il y a juste un petit hic, le HP Insight Power Manager ne fonctionne qu'avec des serveurs x86 basés sur le processeur Woodcrest d'Intel. Ce plug-in à HP Insight Control est disponible à partir de 99 $. (...)
(26/06/2007 11:12:24)L'Icann veut garantir la qualité de services aux internautes
Lors de sa 29e conférence internationale (International Public Meeting), l'Icann (Internet corporation for Assigned Names and Numbers), le régulateur d'Internet, a décidé de sonder l'opinion sur les procédures de certifications attribuées aux registrars (organismes locaux chargés de gérer et de commercialiser les noms de domaines - DNS). Une décision qui intervient alors que l'Icann a annulé l'accrédition de RegisterFly pour mauvaise qualité de service, après plusieurs milliers de plaintes de consommateurs. L'Américain RegisterFly n'avait pas débloqué des dizaines de milliers de DNS, alors commandés par les internautes, et surtout, ne s'était pas acquitter de la redevance auprès de l'Icann. L'organisme envisage alors de modifier les termes des accords baptisés Registrar Accreditation Agreement (RAA) qui le lie aux registrars et certainement de mettre l'accent sur les conditions minimales de services à fournir. Cette problématique sera discutée lors d'un atelier "Protection of Registrants". Seront abordés également lors de la conférence, le développement des IDN (International domain names), qui suscitent notamment la convoitise de pays asiatiques et l'introduction de nouveaux suffixes génériques qui viendraient compléter les.com, .net et .org. (...)
(26/06/2007 09:05:12)Google pousse les juges à surveiller Microsoft
La tension monte d'un cran dans le litige qui oppose Microsoft à Google. Hier lundi 25 juin, le moteur de recherche a déposé un rapport auprès des autorités américaines, dans lequel il met en doute l'application des dernières décisions de Microsoft. Et d'un coup de poing sur la table, réclame au juge en charge du procès anti-trust depuis 2002, Colleen Kollar-Kotelly, d'étendre son champ d'investigation et d'imposer davantage de restrictions à l'éditeur de Redmond. La semaine dernière, Microsoft avait décidé de modifier les fonctionnalités de recherche de Vista après une plainte déposée par Google. Les modifications portaient sur la possibilité pour l'utilisateur de choisir le moteur de recherche interne au PC. Google, à l'époque, s'était déclaré satisfait de cette décision, mais avait également poussé les autorités à aller plus loin dans leur démarche. Aujourd'hui, Google estime que Microsoft, en dépit de ces changements, viole toujours la loi, pointant de nouveau du doigt le moteur de recherche interne de Vista. Dans son rapport de sept pages, le groupe de Mountain View explique que Vista fait toujours appel au moteur intégré à l'OS Instant Search, quand une recherche est réalisée à partir de Windows Explorer (explorateur de fichier). La procédure, mise en place par Microsoft la semaine dernière, serait très incomplète car elle ne permettrait pas aux utilisateurs de désactiver dans sa totalité Instant Search. (...)
(25/06/2007 18:09:10)L'Etat cèdera jusqu'à 7% de ses titres France Télécom
Bercy annonce que «l'Etat a engagé la cession de 5% du capital de France Télécom». Ce chiffre pourrait, en fonction de la demande exprimée, monter à 7% du capital. Entre 130 et 180 millions de titres de l'opérateur historique qui seront cédés contre un montant compris entre et 2,6 et 3,7 milliards d'euros. Dans un communiqué, le ministère de l'Economie indique que le produit engrangé servira à combler une partie de la dette de l'Etat et des administrations publiques. A l'issue de cette opération, l'Etat détiendra directement et indirectement entre 25,5% et 27,4% du capital de France Télécom, dont il veut rester actionnaire majoritaire. Jusqu'à présent, le flottant représentait 2/3 du capital du groupe, l'Etat en possédait 1/3 et les salariés se partageaient 3,5%. D'ailleurs, «une offre spécifique sera ultérieurement proposée par l'Etat aux salariés et anciens salariés de l'entreprise». Plombée par cette annonce, la Bourse de Paris reculait de 1,03% en début de séance de ce lundi. A 12h00, l'action France Télécom perdait quant à elle 2,38 points, à 20,47€. Selon certains courtiers, ce chiffre coïncide avec la fourchette de prix proposée par l'Etat dans cette opération de placement accéléré. (...)
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