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(25/06/2007 18:07:29)
Vista est plus sûr que XP, selon Microsoft
Quand Jeff Jones, membre de la direction stratégique de la sécurité chez Microsoft, prend la parole, c'est pour expliquer que Vista est plus sûr que son prédécesseur XP. Et l'homme de se lancer dans une comparaison entre la sécurité de XP et celle Vista d'où il ressort que ce dernier arrive... vainqueur. Au cours des six premiers mois d'existence de Vista, Microsoft s'enorgueillit de n'avoir eu à déplorer qu'une seule faille "high severity". XP en totalisait déjà 23. Peu de données en revanche sur les failles non-comblées dans les deux OS. Jeff Jones indique toutefois que dans Vista, la plupart n'étaient pas critiques et une unique, alors classée « high severity » aurait été laissée en l'état. XP en totalisait deux du même niveau. Plus généralement, sur un total de 27 failles découvertes dans Vista, Microsoft en a comblé 12 alors que ses équipes avaient dû produire 36 rustines pour endiguer la déferlante de 39 failles découvertes à l'époque dans XP. Bien sûr, les contradicteurs de Jeff Jones ont beau jeu de souligner que s'abaisser à comparer Vista avec le désastre sécuritaire qu'était XP avant sa SP1 ne mérite que mépris hautain. L'affirmation de Jeff Jones selon laquelle Vista est plus sûr que les OS dans la mouvance Unix, comprenez Linux et MacOS, suscite, bien sûr, une vigoureuse levée de boucliers. (...)
(25/06/2007 17:29:17)Pour Google, la censure est un frein à l'expansion économique
Google a débuté une stratégie de lobbying après des autorités américaines du commerce pour lutter contre la censure sur Internet, rapporte l'Associated Press. Le moteur de recherche, souvent pris pour cible pour son non-respect des données personnelles des internautes, estime que les restrictions mondiales sur Internet doivent être traitées au même titre que les barrages au commerce telles que les taxes douanières, par exemple. « Il est juste de dire que la censure est le barrage n°1 auquel nous avons affaire », confie Andrew McLaughlin, directeur des affaires publiques chez Google, à l'Associated Press. Et, dès lors, constitue pour Google un frein réel à son modèle, qui repose sur la publicité en ligne diffusée sur les services de la marque. Notons que YouTube, service de vidéo en ligne propriété de Google, est la cible de filtrage de nombreux pays, comme la Turquie, la Thaïlande, la Chine et récemment le Maroc. Une censure qui intervient alors que YouTube investit de plus de plus de marchés à l'échelle locale - comme en France la semaine dernière. Cette bride que constituent la censure et les filtres de contenu « diminue la valeur de leur produit », explique un membre d'une association pour la défense des droits de l'Homme. Il faut également préciser que Google avait dû censurer les résultats du moteur de recherche pour pénétrer le marché chinois, et se plier aux desiderata du gouvernement de Pékin. En juin dernier, Privacy International publiait un rapport qui classait Google « hostile à la vie privée ». Le mois dernier, le conseil d'administration du groupe faisait pression sur les actionnaires pour rejeter une proposition qui devait bannir toute censure du moteur de recherche. Un « flirt » avec la censure et les respects des données privées qui a, par ailleurs, attiré l'attention de la Commission européenne et « du groupe de l'article 29 ». (...)
(25/06/2007 17:26:34)Intel développe une puce de diagnostic médical
Lors de son dernier Research@Intel Day, le 20 juin dernier, le fondeur a présenté la dernière création de son laboratoire de R&D israélien : la BioElectronic Chip (ou puce bio-électronique). Celle-ci consiste en un transistor à effet de champs (FET - ou Field Effect Transistor) modifié pour intégrer des molécules biologiques et ainsi réagir à la présence de marqueurs biologiques. Concrètement, il s'agit de lier un transistor à une protéine réagissant à la présence d'un virus, d'une bactérie ou toute autre substance. Dès que la puce est en contact avec la substance en question, le courant passe dans le transistor. Plutôt que de développer un processeur pour chaque substance à tester, la puce BioElectronic servirait de support mi-électronique, mi-biologique intégré à un lecteur. Dessus, il serait possible d'ajouter temporairement des embouts contenant une protéine réagissant selon le produit ou la maladie à détecter. Une fois le test effectué, il suffirait de jeter l'embout et d'en insérer un autre dans le lecteur. Encore à l'état de prototype, la BioElectronic Chip sera commercialisée en priorité vers les médecins, dispensaires et hopitaux, ainsi que dans des laboratoires d'analyses médicales. Aucune date n'a été communiquée pour le lancement de ce produit, ni aucun prix. (...)
(25/06/2007 13:03:21)Yahoo fusionne ses divisions Publicité en ligne
La restructuration se poursuit chez Yahoo. Une semaine après avoir remplacé Terry Semel par Jerry Yang à la tête du groupe, Yahoo vient d'annoncer son intention de fusionner ses deux divisions liées à la publicité en ligne aux Etats-Unis. Une décision qui devrait permettre au portail de remonter son retard dans le secteur de la publicité contextualisée, trusté par un Google omniprésent. Yahoo disposait d'une division consacrée à la vente de publicité de type bandeau et une deuxième liée aux annonces contextualisées, proche du moteur de recherche. Dans un communiqué, Sue Decker, président du portail, explique que « cette décision est une des étapes importantes pour revigorer nos divisions publicité [...] ». Il faut préciser qu'à l'origine des troubles qui animent Yahoo depuis plus d'un an, la lenteur des dirigeants du groupe à prendre des décision avait été pointée du doigts par les actionnaires et des responsables internes, notamment dans le « manisfeste du beurre de cacahuètes ». David Karnstedt prendra la tête des ventes pour l'Amérique du Nord où il remplacera Wenda Millard. (...)
(22/06/2007 16:49:34)ASG finalise le rachat de Mobius, spécialisé dans l'archivage
L'éditeur américain Allen Systems Group (ASG), spécialisé dans les solutions de gestion des applications (des métadonnées, des performances et des identités), vient de finaliser le rachat de son compatriote Mobius Management Systems, fournisseur de solutions de gestion de contenus pour l'entreprise (ECM) et d'archivage de documents. Le montant de la transaction s'est élevé à quelque 211 millions de dollars (157 millions d'euros). Les solutions de Mobius viendront compléter l'offre de gestion de contenus d'ASG. (...)
(22/06/2007 16:48:48)Les éditeurs français restent des nains, révèle l'étude PAC/Afdel
Dans le monde du logiciel, il y a les entreprises américaines, qui se taillent une immense part du lion, et les autres, qui se disputent des miettes. Selon l'édition 2007 de l'indice de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) et calculé par PAC (Pierre Audouin Consultants), les éditeurs français ont totalisé l'an dernier un chiffre d'affaires de 3,9 Md€, en hausse de 12%. Sachant que les deux premiers, Dassault Systèmes et Business Objects, dont le CA augmente de 19%, génèrent à eux seuls 47% du CA total. En 2005, ce n'était que 45%. Si l'écart se creuse avec les Américains au niveau mondial, on retrouve aussi cette prime au plus gros au niveau du marché hexagonal. Sur ce marché, selon Jean-François Perret, président de PAC, les éditeurs américains représentent 64% du CA des 150 premiers éditeurs. Ceux d'origine française totalisent 23%. Ils sont quasi exclusivement présents sur le créneau des applicatifs, qui représente 55% du marché national. Sachant que les logiciels systèmes et outils sont entre les mains des éditeurs américains. Microsoft, IBM Software, Oracle, SAP, Sage, HP et Symantec trustent les sept premières places du marché français. PAC constate d'ailleurs qu'il ne reste plus que 6 fournisseurs français dans les 20 premiers. Alors que les grandes sociétés américaines comme Oracle, IBM ou HP conduisent une politique agressive de croissance externe, les éditeurs français sont parvenus à maintenir leurs positions en 2006. Cela n'avait pas été le cas en 2005, quand Adonix avait été racheté par le Britannique Sage. L'Afdel distingue Sinequa pour sa croissance 2006 a permis au Top 100 des éditeurs français d'augmenter leur taille moyenne. Spécialiste des moteurs de recherche en entreprise, Sinequa, centième au classement, a atteint 4 M€ de CA grâce à une croissance de 82%. En 2005, il fallait remonter jusqu'à la quatre-vingt-cinquième place pour trouver un CA de 4 M€. A cette occasion, Sinequa s'est vu décerner "le 1er prix 'Croissance AFDEL' qui récompense la plus forte croissance d'un éditeur logiciel français, toutes catégories confondues". Sinequa n'est pourtant pas tout jeune, puisque la société a été fondée en 1984 sous le nom de Cora. (...)
(22/06/2007 15:27:21)L'OSI se révolte contre l'usurpation du terme Open Source
Révolte à l'OSI (Open Source Initiative), l'organisme garant de la validité des licences et de la marque Open Source. Sur son blog, son président Michael Tiemann, en colère, a décidé de réagir face à l'usurpation du terme Open Source, de plus en plus galvaudé par nombre d'éditeurs qui, selon lui, n'hésitent pas à promouvoir leurs logiciels comme étant ouvert, alors qu'ils sont en fait propriétaires et fermés. « Jusqu'à l'année dernière, indique-t-il, il nous était facile de faire la police autour du terme Open Source.» Michael Tiemann raconte alors comment une simple alerte auprès d'un éditeur faisait basculer ce dernier vers l'adoption d'une licence Open Source valide et reconnue par l'OSI. Leur rappelant qu'en utilisant faussement ces termes, c'était également leurs clients qu'ils trompaient. Cet argument paraissait alors suffisant, « du moins jusqu'à l'année dernière ». Tiemman a alors constaté en 2006 un changement avec l'arrivée de deux types d'attaques : « Une première d'éditeurs qui s'octroyaient le droit de proposer une définition du terme, comme l'OSI le pratique, et la deuxième d'éditeurs qui affirmaient que leur licence était bien conforme à la définition de l'Open Source Definition (OSD - définie par l'OSI, ndlr), mais que l'OSI s'était bornée à ne pas la reconnaître. » Le temps est venu de porter l'affaire au grand jour [...], déclare-t-il. Enfin, il invite les éditeurs à se ressaisir, « parce que nous valons mieux que ça ». Et d'adresser un message à la communauté Open Source : « L'Open Source a grandit. Il est temps de se défendre. Et ainsi, les vendeurs qui ignorent actuellement nos normes admettront soudainement qu'ils doivent choisir : étiqueter correctement et honnêtement leur logiciel, ou l'encadrer d'une licence approuvée par l'OSI qui correspond à leur doctrine Open Source. » Rappelons par ailleurs que l'OSI avait été pointée du doigt par la sphère du Libre pour son processus de certification de licences justement jugé trop laxiste. L'organisme avait dû durcir ses procédures et opérer un nouveau classement des licences afin d'en réduire la longue liste. (...)
(22/06/2007 12:52:12)Le Français Pertinence racheté par Intercim pour devenir sa tête de pont européenne
Encore un protégé du programme Idees racheté. Intercim, éditeur américain de solutions de gestion des processus de fabrication, a mis la main sur Pertinence, éditeur français d'outils analytiques pour les industriels. Pertinence, qui a bâti son offre sur .Net, fait partie de la cinquantaine d'éditeurs inscrits à Idees, le programme lancé par Microsoft France pour aider l'industrie logicielle en France. Comme l'écrit avec une certaine fierté dans son blog Julien Codorniou, qui travaille au sein de Microsoft France sur le programme Idees, il s'agit d'un « succès mérité » pour le management de Pertinence, qui prend d'ailleurs la direction des affaires européennes d'Intercim. Toutefois, Julien Codorniou souligne aussi qu'il s'agit du 3e achat en 3 mois après AS Infor et Polyspace. « J'espère quand même que ça ne va pas arriver trop souvent car la mission d'Idees est de faire éclore de gros ISV [éditeurs de logiciels, NDLR] indépendants, en France. » Polyspace, éditeur d'outils de test pour logiciels embarqués, a en effet été racheté fin avril par The Mathworks. On notera toutefois que de son côté, AS Infor, éditeur de la solution winShop.net, une suite logicielle conçue pour la gestion et l'animation d'une chaîne de magasins, a été repris début avril par un autre éditeur français, l'éditeur lyonnais de progiciels pour PME Cegid. (...)
(22/06/2007 09:21:17)Orange Business Services interconnecte les SAN pour la continuité d'activité
Orange Business Services s'intéresse aux plans de reprise ou de continuité d'activité des entreprises (respectivement PRA et PCA). La division services professionnels d'Orange a collaboré avec Atrica, qui fournit les équipements - sa ligne Carrier Ethernet -, pour lancer i-SAN, une solution d'interconnexion de SAN (Storage Area Network). L'offre vise les entreprises de toutes tailles, désireuses de répliquer leurs données dans des sites distants, pour parer à tout incident ou désastre. Orange positionne i-SAN comme une alternative économique aux offres actuelles basées sur le multiplexage en longueurs d'ondes DWDM. Elle propose une connexion à travers une ou plusieurs interfaces Fibre Channel FC100 et FC200. i-SAN a été validée par le Metro Ethernet Forum et les principaux fournisseurs de baies de stockage tels que EMC, IBM et HP. Selon Danny Coté, directeur de l'unité d'affaires solutions réseaux chez Orange Business Services, « les îlots de stockage SAN sont de plus en plus déployés par les entreprises pour interconnecter des dispositifs de stockage et des serveurs d'applications ». Cette tendance justifie, selon lui, le développement de cette solution. (...)
(21/06/2007 16:50:19)Microsoft réserve la virtualisation de Vista pour les versions les plus chères
Malgré des mois de pression, Microsoft a changé d'avis au dernier moment. La veille de la fin de l'embargo qui empêchait les journalistes d'annoncer que toutes les versions de Vista pouvaient être utilisées dans un environnement virtuel, Microsoft est revenu sur sa décision. Du coup, tout le web américain parle de ce revirement qui ramène Microsoft à son point de départ : seule la licence des versions Business et Ultimate de Vista, autrement dit les versions les plus chères, autorise leur utilisation dans un environnement virtualisé. C'est un tollé général. Tout le monde s'interroge sur les raisons qui ont poussé Microsoft à revenir sur une annonce que tous les utilisateurs attendaient. Et les commentateurs de profiter de cette bourde de communication pour repointer du doigt l'explication fallacieuse de Microsoft pour interdire l'utilisation des Vista versions Home en environnement virtuel : la sécurité. C'est en invoquant ce mot magique que Microsoft avait justifié le fait que seules les versions les plus chères de Vista étaient autorisées à être installées en environnement virtuel. En réalité, le débat a dû faire rage dans les locaux de Microsoft entre les tenants d'un assouplissement de la politique de licence en cas d'utilisation virtuelle et les partisans d'une ligne dure dont l'attitude peut se résumer ainsi : un Vista utilisé, un Vista payé. Ce sont donc ces derniers qui ont gagné encore une fois. Il est vrai qu'ils défendent la plus grosse vache à lait du groupe. Dans les comptes de Microsoft, la marge brute de l'OS client est largement la plus importante de toutes. (...)
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