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(20/06/2007 11:05:20)

Antitrust : Microsoft modifiera les fonctions de recherche de Vista

Dans la guerre que se livrent les géants Microsoft et Google, le moteur de recherche vient de remporter une bataille. Après avoir adressé un livre blanc au ministère américain de la Justice en avril, dans lequel il soulignait les pratiques anticoncurrentielles de l'éditeur relatives aux fonctions de recherche de Vista, le moteur de recherche obtient gain de cause : Microsoft modifiera son système d'exploitation pour satisfaire aux normes antitrust américaines. Google reprochait à Microsoft de contrevenir à un règlement de 2002 portant sur les pratiques anticoncurrentielles. En l'espèce, c'est la fonction Instant Search de Vista qui suscitait le courroux du moteur de recherche : en s'attachant à l'indexation et à la recherche de documents sur le poste de travail, les fonctionnalités de l'OS piétinaient les plates-bandes des éditeurs tiers. D'autant plus qu'elles rendaient délicates l'installation et l'utilisation des applications concurrentes, comme Google Desktop. Vista proposera de choisir son service de recherche Les modifications apportées à Vista permettront aux utilisateurs de choisir - via le menu démarrer ou l'explorateur de fichiers - un service de recherche par défaut. L'Instant Search de Vista ne disparaîtra donc pas, ni ne sera désactivé, mais laissera simplement plus de latitude aux applications tierces. Microsoft fournira également de la documentation aux développeurs et aux OEM afin qu'ils puissent élaborer des outils profitant des possibilités offertes par les modifications. L'initiative devrait notamment contenter Dell, qui fournit ses PC avec Google Desktop. Il faudra cependant attendre la sortie du premier Service Pack, prévu pour la fin de l'année, pour voir les changements annoncés se concrétiser. La décision de Microsoft de modifier son système d'exploitation peut paraître surprenante. La semaine dernière, l'éditeur semblait encore bénéficier de l'appui de la justice américaine : les procureurs des Etats américains avaient ainsi reçu une note du DoJ (Department of Justice) leur demandant de rejeter la plainte de Google. Le géant de Redmond affirmait, en outre, que son système d'indexation n'interférait pas avec les applications tierces et qu'il pouvait - certes avec quelque difficultés - être désactivé. Ce n'est cependant pas la première fois que Microsoft modifie un système d'exploitation pour satisfaire à normes anticoncurrentielles. En 2005, l'éditeur était contraint de lancer Windows Vista Edition N en réponse à sa condamnation par l'Union européenne. En l'espèce, il s'agissait d'alléger l'OS de Media Player afin d'accroître les chances des applications concurrentes de toucher le public. (...)

(20/06/2007 10:05:20)

HP Forum: HP veut réduire ses coûts pour mieux innover

Si HP est en route pour signer un exercice 2007 dont les revenus flirteront avec la barre des 100 Md$, Mark Hurd, le patron du groupe, estime qu'il existe un réservoir de croissance important dans un marché IT qu'il évalue à 1 100 Md$. Pour ce faire, le champion des ventes de PC devra passer par la case réduction des coûts. Ce message, Mark Hurd l'a adressé à son auditoire lors de la conférence qu'il a tenue lundi à l'occasion du HP Technology Forum de Las Vegas. Devant un parterre de clients, partenaires et autres salariés de HP, le PDG a expliqué que la réduction des coûts constitue le préalable nécessaire à davantage d'investissements pour innover. Souvent largement concernés par les efforts budgétaires, les employés du groupe - allégés de quelque 15 000 éléments en 2005 - ont fait l'objet de toutes les attentions du patron. Mark Hurd est, ainsi, persuadé que les forces vives de son groupe sont parées à relever le défi. Et de lancer la séquence émotion, assurant qu'il ne connaît « aucun autre PDG qui soit plus fier de son entreprise [qu'il ne l'est] de HP. » La part du budget consacrée aux investissements du groupe est restée relativement étale au cours des dernières années alors que, dans le même temps, d'autres charges opérationnelles se sont alourdies. Une situation qui doit changer, selon Mark Hurd, qui entend multiplier par quatre les investissements par rapport à leur niveau actuel et reléguer la part de la maintenance et des dépenses opérationnelles à seulement 30% du budget consacré à l'IT. Le reste étant entièrement consacré aux investissements. Réduire le nombre de serveurs tout en augmentant la puissance de calcul HP vient de lancer un gigantesque chantier visant à rationaliser la gestion de son SI en passant le nombre de ses datacenters de 85 à 6. Une initiative estimée à 100 M$ dont la réalisation s'achèvera fin 2008 et qui devrait permettre au groupe d'alléger d'1 Md$ ses dépenses en IT au cours des prochaines années. « Il ne s'agit pas simplement de changer des choses de place », explique Randy Molt, le CIO de HP : le nombre de serveurs sera allégé de 30% alors que la puissance totale de calcul bondira de 80% ; les capacités de stockage seront augmentées pour un moindre coût ; la bande passante du réseau interne va être triplée tout en coûtant moins cher. Autant de changements qui, s'ils profiteront en premier lieu au constructeur, serviront de vitrine pour ses clients. Alors qu'en 2005 la réduction des coûts reposait essentiellement sur des suppressions de postes, Mark Hurd assure que HP doit désormais davantage recruter. Il serait vain, selon lui, de proposer des produits innovants si ces derniers ne sont pas efficacement distribués. De fait, le groupe a besoin de renforcer ses équipes commerciales : les 1000 commerciaux embauchés sur les douze derniers mois ne suffisent pas et seront rejoints par d'autres nouveaux venus. (...)

(19/06/2007 15:48:44)

Marché des SGBD 2006 : forte progression de Linux

Oracle numéro un du marché des bases de données en 2006, IBM qui progresse moins que la moyenne du secteur, Microsoft qui suit une courbe ascendante spectaculaire, l'étude Gartner sur les parts de marché des éditeurs de SGBD n'apporte pas grand-chose de neuf à qui a déjà consulté l'étude IDC sur le sujet, publiée en avril dernier. Toutefois, Gartner souligne la percée de Linux comme système d'exploitation de choix pour les bases de données : les revenus liés au système Open Source ont bondi de 67% par rapport à 2005. Avec 15,5%, Linux reste toutefois en 3e position des systèmes préférés, derrière Windows (34,5%) et Unix (34,8%). Ce succès de Linux est lié en partie au succès d'Oracle, acteur dominant des plateformes Unix et Linux, indique l'étude. De leur côté, explique Gartner, Microsoft et IBM dominent leurs propres plateformes, respectivement Windows et z/OS. Gartner revoit ses méthodes de calcul à cause de l'Open Source Le succès de Linux est aussi lié à la montée en puissance des bases Open Source. Mais cela, Gartner est bien en peine de le mesurer. L'institut a pris soin, cette fois, de baser son calcul de parts de marché sur les revenus globaux (hors services professionnels et hardware) et non plus sur les seuls revenus issus de nouvelles licences, « à cause de l'émergence et de la popularité croissante des logiciels Open Source et de modèles de consommation tels que les offres hébergées ou par souscription ». Toutefois, seule une étude qualitative peut aller plus loin, et l'on se souvient que la dernière enquête IOUG (International Oracle User Group) sur le sujet avait révélé une adhésion croissante des clients d'Oracle aux SGBD Open Source. Un tiers des membres de l'IOUG ayant répondu à l'enquête disait ainsi avoir adopté MySQL. Côté système d'exploitation, Red Hat et Suse comptaient pour plus de la moitié des déploiements. Les parts du marché des SGBD relationnels en 2006 selon Gartner (colonnes de gauche) et IDC (colonnes de droite)

CA (Md$)PDM CA (Md$)PDM
Oracle7,1747,1% 7,3144,4%
IBM3,2021,1% 3,4921,2%
Microsoft2,6517,4% 3,0518,6%
Sybase0,493,2% 0,523,2%
Teradata0,493,2% 0,462,8%
Autres1,217,9% 1,629,9%
Total15,21100,0% 16,45100,0%
(...)

(19/06/2007 13:02:40)

Jerry Yang remplace Terry Semel à la tête de Yahoo

Après avoir passé six ans à la tête de Yahoo, Terry Semel, également co-fondateur du portail, a annoncé hier sa démission du poste de président et CEO. C'est Jerry Yang, co-fondateur, qui assurera désormais la fonction de CEO et Susan Decker, actuelle vice-présidente exécutive, celle de président. Semel était dans le collimateur des actionnaires depuis plusieurs mois. Ces derniers lui reprochaient notamment d'avoir mal négocié le virage de la pub en ligne. Une arrivée trop tardive sur un segment trusté par son archi-rival Google qui, omniprésent, engloutit à vitesse grand V les parts de marché. Notons également les piètres bénéfices de la société en 2006, qui dégringolaient de 61% à 751 M$. Yahoo comptait par ailleurs sur Panama, nouvelle version de sa plateforme de publicité en ligne, pour redresser la barre. Mais les analystes mentionnaient déjà un lancement trop tardif. En novembre dernier, une note interne au portail baptisée "le manifeste du beurre de cacahuète" mettait en avant le manque de réactivité et la stratégie déficiente de Yahoo, invoquant au passage les faiblesses et les échecs de Terry Semel et des équipes dirigeantes. Terry Semel devient désormais président non-executif et jouera également un rôle de conseiller auprès de l'équipe dirigeante. (...)

(18/06/2007 18:33:10)

Bouygues Télécom et Completel envisageraient une joint-venture

Voilà plusieurs mois qu'ils discutent, Bouygues Telecom et Completel ont décidé d'officialiser leur partenariat dans un communiqué laconique : les deux acteurs coopèrent sur le marché du fixe-mobile. Selon nos sources, il s'agirait toutefois de bien plus qu'une simple coopération, les deux opérateurs étudieraient en effet la possibilité de placer leurs forces en commun dans une joint-venture. Or, qui dit co-entreprise, dit moyens financiers communs, développements techniques coordonnés et commercialisation conjointe. (...)

(18/06/2007 17:44:04)

180 emplois menacés chez Nortel en France

Décidément, la filière télécoms française subit de violentes secousses. Après le vaste plan de restructuration chez Alcatel-Lucent (1 468 postes menacés), voici Nortel qui s'apprête à licencier. Selon le quotidien Les Echos, l'équipementier Canadien prévoit de supprimer 180 postes en France, soit 16% de ses effectifs. La restructuration touche particulièrement la division Nortel Networks SA focalisée sur les activités GSM. Cette dernière compte 987 salariés. Le plan s'inscrit dans un projet mondial de réduction d'effectifs au sein du groupe. Après le rachat des activités 3G à Nokia, les salariés de Nortel s'inquiètent de l'avenir de la filiale française (Châteaufort dans les Yvelines et Valbonne dans les Alpes Maritimes), avec ces centres de R&D sur une technologie GSM en fin de vie. (...)

(18/06/2007 11:35:55)

Altran regroupe ses services informatiques et son pôle télécoms

Altran, société de conseil en innovation et en hautes technologies, annonce le rapprochement de ses services informatiques (Altran CIS) et de son pôle télécoms TEM (Télécoms, électronique et média). Selon la CFDT, cette décision résulterait d'une volonté de rationalisation émanant de la maison mère : « L'an dernier, Altran avait décidé de fusionner en une seule entité les 26 sociétés de son activité Technologies & Innovation, en France. Aujourd'hui, il semble que ces mesures s'appliquent au niveau des activités de conseil R&D en télécoms et de services informatiques du groupe, lequel souhaite regrouper son offre autour d'une seule et unique marque. » Toujours selon la CFDT, la réduction et la maîtrise des coûts figurent également au rang des motivations de l'entreprise : « Le regroupement des deux entités n'aura sans doute aucun impact sur les métiers de l'ingénierie et du conseil. En revanche, cela peut concerner d'autres fonctions, comme le support, ou les ressources humaines, à l'heure où la tendance est à l'externalisation des ressources qui ne se situent pas au coeur du métier de l'entreprise. » (...)

(15/06/2007 18:28:26)

Le prix IE-Club distingue les PME Kxen et Sparus Software

L'éditeur de solutions de datamining Kxen a reçu hier soir le prix Réussite des « Leaders de la ITech-Economie », un événement organisé par l'IE-Club, association qui réunit autour de PME jugées innovantes les autres acteurs de l'écosystème de l'innovation. Dans la même catégorie « Outils et logiciels », le prix Espoir a été accordé à Sparus Software, qui édite une suite de gestion centralisée de terminaux mobiles communicants. C'est Microsoft qui a accueilli, dans ses locaux de la rue de l'Université à Paris, la 5e édition de ce prix qui soutient les PME disposant des meilleurs atouts pour réussir à l'international. Interrogée sur le cru 2007, Florence Ribes, partner d'Iris-Finance, banque d'affaires pour PME, et présidente pour la deuxième année du jury, a indiqué que la qualité des dossiers était très bonne. « Nous avons eu beaucoup de mal à effectuer notre seconde sélection et il y avait d'excellents dossiers parmi ceux que nous n'avons pas pu retenir. Ce qui est également remarquable, c'est qu'une bonne moitié des trente sociétés sélectionnées se sont déjà bien développées à l'international, ce qui n'était pas le cas lors des précédentes éditions du prix. On peut même dire que pour certaines d'entre elles, le marché français n'est pas significatif comparé à leur implantation internationale. » Un bon équilibre entre acteurs du logiciel, des télécommunications et de l'Internet Florence Ribes note par ailleurs dans l'édition 2007 du prix un bon équilibre entre les sociétés investies dans les activités de développement de logiciels, dans les telécommunications et sur le secteur Internet. Avec un regret toutefois. « Nous aurions aimé qu'il ait une meilleure représentation de sociétés engagées dans des projets de développement durable qui correspondent vraiment à une préoccupation du moment. C'est en partie la raison de notre coup de coeur à Recupyl, impliqué dans la récupération et le retraitement de piles. Un acteur de surcroît très international. Nous espérons orienter davantage notre sélection dans cette direction l'an prochain. » Quatre autres distinctions ont été décernées hier soir. Dans la catégorie « Services », le prix Réussite a été accordé à Arkadin, une société spécialisée dans les services de téléconférence (audio et Web), et Ubiquick qui s'est vu remettre le prix Espoir. Cette société organise l'accès à l'information sectorielle publiée sur Internet à destination des PME. Enfin, dans la catégorie « Equipement », les prix Réussite et Espoir ont été respectivement remis à Xiring et Quescom. Le premier est un éditeur de solutions de sécurité pour les transactions à distance, tandis que le second conçoit des solutions innovantes de convergence téléphonique Fixe-Mobile pour les entreprises et les fournisseurs de services. Un tremplin pour le prix European ICT Sur les quatre-vingts dossiers sélectionnés à la suite de l'appel à candidatures de l'IE-Club, trente sociétés ont fait l'objet d'une seconde sélection avant le choix final des lauréats. Trois critères de sélection ont été retenus par le jury du prix, composé d'entrepreneurs, d'investisseurs et de dirigeants de grandes entreprises (comme Microsoft ou Adobe). D'une part, le caractère innovant du service ou du produit proposé, d'autre part, le potentiel du marché sur le plan européen et international et, enfin, les réalisations effectuées par les sociétés (prix Réussite) ou leurs capacités de réalisation (prix Espoir) de l'entreprise à l'international. Florence Ribes rappelle que le prix de l'IE-Club se veut le pendant français du concours European ICT Prize qui distingue chaque année les entreprises européennes les plus innovantes. Les trente dossiers français retenus par le jury français constituent d'ailleurs une préselection pour ce prix européen organisé par Euro-Case, le Conseil européen des Académies des technologies et la Commission européenne. Si le prix de l'IE-Club était au départ ouvert à des entreprises européennes, dans les faits, ce sont essentiellement des entreprises françaises qui concourent. L'IE-Club regroupe des entreprises comme PriceMinister, Microsoft, Ernst & Young, le Groupe La Poste, Cartesis, EDF-DPAN, Inria-Transfert, Siparex Ventures ou encore la CCI de Paris. L'association s'est donnée pour mission d'observer les synergies qui se créent entre les PME innovantes et les autres grands acteurs de leur écosystème. Des rendez-vous réguliers lui permettent d'informer les actions les plus créatrices de valeur qui ont pu être identifiées. (...)

(15/06/2007 18:15:29)

ASS2L + grandes SSII = Fnill

Voilà plusieurs mois qu'Alexandre Zapolsky, PDG de Linagora et fondateur de l'ASS2L, Association des sociétés de service en logiciels libres, voulait transformer sa structure pour accueillir des acteurs plus importants. C'est désormais chose faite : le médiatique patron de Linagora a profité de la deuxième édition de la manifestation 'Paris, Capitale du Libre' pour se rebaptiser. Il faut donc désormais parler de la Fnill, Fédération nationale des industries du logiciel libre. La raison de ce changement de nom est simple, explique Alexandre Zapolsky : « Nous accueillons dans nos rangs six grosses SSII (Sopra, Unilog, Unisys, Osiatis, Steria et Cap Gemini), il nous est donc apparu nécessaire de rassembler nos membres (de petite, moyenne ou grande taille) au sein d'une véritable fédération, où chacun trouve son compte. » Mais pourquoi des SSII de cette taille souhaitent-elles faire partie de la fédération ? Jusqu'à présent, l'ASS2L comptait une soixantaine de membres, pour la plupart des petites sociétés, hormis Bull et, très récemment, IBM (c'est d'ailleurs à l'occasion de l'adhésion d'IBM que l'idée de la Fnill avait été évoquée). Pour Marc de Beaurecueil, responsable informatique de CRP et co-fondateur de l'ASS2L, ce phénomène semble logique pour deux raisons : « Le marché de l'Open Source, même s'il reste anecdotique (entre 2 et 3 % du marché selon le Syntec), est en forte croissance (+ 50 % par an, toujours d'après la même étude). Ces grosses SSII possèdent par ailleurs très souvent un département logiciels libres. Elles souhaitent mettre cette activité en lumière, promouvoir leur implication dans le domaine de l'Open Source, et gagner de la visibilité auprès de leur clientèle. » Autre explication, d'Alexandre Zapolsky cette fois : « La plupart des SSII ont développé un pôle OS, mais elle doivent accepter de nouveaux codes jusque-là inconnus : communiquer, partager les informations au sein d'une même communauté. Nous les aidons à franchir ce cap. » La Fnil ne compte pas s'arrêter là. Prochain objectif : conquérir d'autres SSII de grandes tailles, voire nouer des partenariats avec Dell ou HP. Pour le moment, la Fnill garde le même siège social que l'ASS2L, situé à Paris, mais une assemblée générale devrait décider en septembre prochain de l'implantation du siège, ainsi que de son nouveau directeur. Sans surprise, Alexandre Zapolsky sera candidat. (...)

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