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(15/06/2007 17:44:41)

Sept universités et le Cnam basculeront sur SAP au 1er janvier 2008

Au 1er janvier prochain, dans le cadre du projet Sifac (système d'information financier), sept universités et le Cnam vont basculer leur gestion comptable sur un nouveau progiciel de gestion intégré (PGI), signé SAP : le CNAM, Lille 3, Nancy 1 et Nancy 2, Nantes, Paris 6, Paris 7 et Rennes 1. A l'issue d'un appel d'offres, l'Amue (l'agence de mutualisation des universités et des établissements d'enseignement supérieur et de recherche), qui pilote ce projet, a en effet retenu la solution de gestion comptable et financière de SAP pour équiper les universités françaises qui veulent renouveler leur système d'information. Les prestations de services associées sont assurées par l'intégrateur Steria, avec Accenture. Evoquant en toile de fond la perspective de l'autonomie renforcée des universités (un projet de loi se prépare), Jean-Pierre Finance, premier vice-président de la conférence des présidents d'université a souligné, lors d'une conférence de presse à la Sorbonne, « la nécessité impérieuse de disposer dans les meilleurs délais d'un système d'information pour maîtriser les leviers comptables permettant de mener de nouvelles actions et, surtout, de disposer d'outils de pilotage. » D'autres universités vont emboîter le pas aux huit établissements qui ont choisi de se lancer les premiers dans la migration. « Des déploiements industriels se feront à partir de 2009 », a précisé Michel Lussault, président de l'Amue. Trois vagues sont prévues. Un coût consolidé de 19 millions d'euros D'ici à 2012, quatre-vingts établissements vont rejoindre le projet Sifac. « Le coût consolidé sera de 19 millions d'euros », a indiqué Jacques Bernard, directeur de l'Amue en précisant que 11 millions d'euros seront financés par le fond de réserve constitué par l'agence de mutualisation et que les huit autres millions seront à la charge des établissements, se répartissant entre l'achat de la licence et la redevance annuelle. Le directeur de l'Amue estime que, par la suite, d'autres universités devraient également faire le même choix. De son côté, Michel Lussault commente la nécessité d'un nouveau système de gestion en rappelant que les partenariats entre les établissements et toutes sortes d'opérateurs imposent de se connecter aux autres systèmes d'information, ainsi qu'à ceux de l'Etat. Les capacités d'interfaçage de SAP ont pesé dans la décision. « Les établissements connaissent très mal leurs coûts », a par ailleurs rappelé Pierre Dumaz, président de l'association des agents comptables d'université, illustrant l'importance de disposer d'outils de comptabilité analytique. La loi organique oblige notamment à quantifier par rapport à des objectifs. Limiter les coûts de déploiements Enfin, la démarche proposée par Steria a également compté dans le choix effectué par l'Amue. Pour réduire les coûts de déploiement, l'intégrateur a proposé de capitaliser sur des développements déjà réalisés, notamment pour les modules de gestion des marchés publics et de mission des agents. Il a également été décidé un paramétrage commun à l'ensemble des universités avant le déploiement. Ce paramétrage a été réalisé au cours d'ateliers (160 personnes de 17 universités y ont participé deux jours par semaine pendant six mois) et il n'empêchera pas chaque établissement de respecter ses spécificités d'organisation. (...)

(15/06/2007 16:33:31)

Libre vs propriétaire : le Syntec tranche... pour l'interopérabilité

Pour ne pas être pris en défaut de complaisance, le Syntec Informatique (principale chambre syndicale des SSII et des éditeurs de logiciels en France) s'est prononcé dans la bataille qui oppose les tenants de l'Open Source à ceux qui défendent les positions des technologies propriétaires. Sans grosse surprise, il a démontré sa volonté que le monde informatique, appelé à se prononcer en faveur de l'un ou l'autre, se dirige vers l'interopérabilité, vecteur selon lui d'innovations. Mais le Syntec Informatique a également adressé des critiques à peine voilées au service public qui privilégie, depuis quelques années, l'Open Source : « par le poids de l'investissement IT représenté en France par le secteur public, Syntec Informatique souligne l'importance pour le "Client du Secteur Public" d'interpréter la coexistence et le développement des deux modèles qui garantissent aux utilisateurs une création de valeur optimale au sein d'un écosystème logiciels et services plus compétitif. » En clair, face au modèle Open Source qui privilégie surtout le service, le Syntec rappelle qu'il existe des éditeurs en France à faire vivre... Les logiciels et services propriétaires représentent encore 98,6% du marché total Or, selon le Syntec Informatique, « le marché des logiciels et services de l'Open Source représente 450 millions d'euros sur un marché total des L&S de plus de 30 milliards d'euros, soit 1,4%. Ce marché devrait croître de 50% par an. » Ce qui signifie qu'en dépit d'un secteur public visiblement tenté par des solutions libres, les solutions propriétaires restent encore largement majoritaires en France. Pas de quoi s'affoler, donc. Mais la tendance est forte, soulignait récemment le cabinet Markess International. Selon lui, 11% des budgets informatiques du secteur public devraient être orientés vers les technologies Open Source cette année, et 14% en 2009. Dans la mesure où le gouvernement verra probablement s'ajouter quelques secrétaires d'Etat (dont un pour les NTIC ?), le Syntec essaie en ce moment de faire passer quelques messages au monde politique, et notamment celui-ci : ce serait se tirer une balle dans le pied pour un Etat que de privilégier systématiquement l'Open Source. Comme aime le rappeler Patrick Bertrand, DG de Cegid, le secteur du logiciel propriétaire en France fait vivre beaucoup de monde. (...)

(15/06/2007 16:04:54)

Une entreprise sur deux externalise ses applications et processus RH

La tendance à l'externalisation des fonctions d'entreprise, et plus particulièrement celles qui sont fortement répétitives et gourmandes en ressources, s'accélère. D'après une enquête menée par le société d'études Markess International auprès de 400 entreprises privées et publiques, la moitié d'entre elles déclare avoir déjà eu recours en 2006, ou envisage de recourir d'ici 2008, à une forme ou une autre d'externalisation de leurs applications et processus de ressources humaines (RH). Et ce de manière partielle ou totale, en recourant à des solutions RH en mode ASP, en externalisant une fonction RH complète dans le cadre de contrat de type BPO - Business Process Outsourcing - ou en s'orientant vers des services de traitement (infogérance d'application ou l'hébergement d'application RH). La réduction et la maîtrise des coûts restent les principales motivations poussant les entreprises à faire ce choix Parmi les deux autres apports majeurs cités figurent le recentrage sur le coeur de métier ou sur des tâches à valeur ajoutée (pour 42% des entreprises) et l'optimisation du « budget temps » (pour 16% des entreprises). Forte dynamique sur la paie, la formation et l'administration du personnel Tâche complexe, répétitive et à faible valeur ajoutée, le traitement de la paie est le premier domaine que les entreprises externalisent. Ainsi, 62% d'entre elles l'ont confié à un prestataire externe en 2006. Cette tendance va se poursuivre, pour concerner 68% des entreprises en 2008. Le deuxième domaine est celui de la formation et du développement des compétences (36% en 2008, contre 24% en 2006). Les évolutions légales et réglementaires, comme le DIF (droit individuel à la formation), constituant l'un des facteurs explicatifs de cette montée en charge. Enfin, l'administration du personnel, externalisée par 22% des entreprises interrogées en 2006, s'octroie la troisième position. Top 6 des applications et processus RH concernés par l'externalisation entre 2006 et 2008

Domaine applicatifTaux en 2006Taux en 2008
Paie 62%68%
Formation et développement 24%36%
Administration du personnel22%32%
Gestion du temps et des activités24%28%
Recrutement21%26%
Tableau de bord social et indicateurs15%19%
Source: Markess International (...)

(15/06/2007 15:27:35)

Quelques compensations en créations de postes chez Alcatel-Lucent

Les négociations se poursuivent chez Alcatel-Lucent France. Lors de la seconde partie du comité central d'entreprise (CCE) qui s'est déroulé les 12 et 13 juin sur le site de l'équipementier de Vélizy, dans les Yvelines, la direction, qui refuse de revenir sur le plan de suppressions de 1 468 postes en France, s'est néanmoins engagée à créer 135 postes : 80 emplois ont été annoncés sur le site d'Orvault (fortement impacté par le plan de sauvegarde de l'emploi, avec 27 % des effectifs supprimés, soit 218 postes), 15 à Vélizy, 30 à Châteaufort et 10 à Lannion. Fin mai, la direction de l'équipementier télécoms avait déjà porté de 140 à plus de 300, le nombre de créations de postes dans ses activités en forte croissance. Pour les syndicats, ces mesures constituent un « progrès », mais elles restent loin d'être suffisantes. « Ces décisions sont loin d'être équitables, déplore Christian Le Bouhart, secrétaire du CCE. Certains sites ne sont pas logés à la même enseigne. Notamment Lannion et EU, confrontés à un problème de pyramide des âges, qui appelle à un renforcement de leurs activités. Nous demandons à ce que la direction, qui réfléchit actuellement à des solutions, soit en mesure de résoudre le problème. » Réponse le 18 juillet, date du prochain CCE de l'équipementier. (...)

(15/06/2007 12:12:27)

L'Indien Wipro met ses ordinateurs au vert

Le principal fabricant d'ordinateurs indien, Wipro Infotech, succombe à son tour à la mode du « green IT ». Il ne prend d'ailleurs pas le chemin le plus simple pour mettre ses ordinateurs au vert, puisqu'il suivra désormais les normes - draconiennes - de la directive européenne RoHS (Restriction on Hazardous Substance) qui interdit l'usage de certains produits dangereux pour l'environnement. Wipro lance à cette occasion GreenWare, une gamme de trois ordinateurs portable et de quatre PC de bureau, disponible immédiatement sans augmentation significative de ses prix. De plus, les autres produits de cette société seront également garantis sans métaux lourd, PVC ou retardateurs de flamme brominés. Wipro s'est engagé pour une fabrication plus écologique depuis 2005, après que Greenpeace a manifesté devant ses locaux de Bangalore pour dénoncer l'absence de retraitement des déchets électroniques en Inde. Depuis, la société a lancé un programme en septembre 2006 de recyclage des déchets, et devient aujourd'hui le premier fabricant indien à s'engager sur la composition de ses produits. (...)

(14/06/2007 18:11:28)

Baromètre Xiti des moteurs de recherche : Google si loin devant

Toujours plus fort, Google s'arroge, sans surprise la première position du baromètre français des moteurs de recherche, réalisé mensuellement par Xiti. L'étude s'attache à mesurer la part de visites de chaque moteur sur un panel de 91 241 sites Web. Selon Xiti, 89,33% des visites effectuées sur les sites analysés avaient pour origine Google au mois de mai 2007, contre 89% un mois auparavant. Logiquement, les 14 autres moteurs examinés se partagent un faible reliquat : Yahoo et MSN complètent le podium avec respectivement 3,21% et 2,22% de parts de visites. Non seulement ces taux font pâle figure au regard des chiffres relatifs à Google, mais ils sont en recul sur un mois (-7,1% pour Yahoo, -5,6% pour MSN). De la 4e à la 8e place arrivent la cohorte des FAI - également dotés de fonctions de recherche - qui, d'Orange à Alice, enregistrent entre 1,85% et 0,44% de parts de visites. Notons enfin la belle progression réalisée par le moteur de recherche français Exalead - Xiti parle d'envolée - qui bondit de 16,1% sur un mois. L'engouement mérite cependant d'être tempéré : Exalead n'est à l'origine que de 0,07% des visites réalisées sur les sites examinés. (...)

(14/06/2007 17:13:07)

Inquiétudes sur 700 postes au sein d'Atos Origin en France

Depuis l'annonce du plan de restructuration en avril dernier par Claude Aulagnon, PDG d'Atos Origin Systems Integration, la SSII est en pleine mutation. 700 postes d'Ile-de-France sont en cours de redéploiement en province. Ce qui suscite beaucoup d'inquiétude en interne. Pour des salariés, cette évolution ne serait qu'une manière de « maquiller les intentions de la société », à savoir supprimer ces 700 postes. Des salariés d'autant plus inquiets qu'une rumeur d'acquisition par Cap Gemini court depuis quelques semaines. D'après le journal l'Expansion, la SSII concurrente aurait mandaté BNP Paribas, afin de préparer une offre de rachat des activités d'infogérance d'Atos Origin. La société emploie 7200 personnes dans le monde, dont 3800 en France. (...)

(13/06/2007 16:55:16)

Virtualisation : Microsoft donne le change

Microsoft a pris la peine de publier un document explicatif pour préciser le mode de facturation de Ws Server 2003 R2 lorsque ce système d'exploitation est utilisé dans des environnements virtualisés avec VMware ESX Server ou VMotion, SWsoft Virtuozzo ou Microsoft System Center Virtual Machine Manager. Le contenu des quatorze pages de ce document doit pouvoir se résumer de la façon suivante : la licence de la Standard Edition ne permet de faire tourner qu'une seule instance, qu'elle soit réelle ou virtuelle. La licence de l'Enterprise Edition donne droit à une instance "réelle" et jusqu'à quatre instances virtuelles. Quant à la Datacenter Edition, pour chaque processeur sur lequel est accordée une licence, le nombre d'instances réelle et virtuelle est illimité. Cette politique tarifaire ne va pas durer. Elle va devoir s'adapter aux caractéristiques techniques de Windows Server 2008, lequel sera enfin à même d'affronter VMware à tous les niveaux techniques de la virtualisation. Pour l'instant, malgré l'annonce du Service Pack 1 de Virtual Server 2005 R2, qui ajoute gratuitement de nombreuses fonctionnalités, Microsoft en est surtout à tenter de freiner l'adoption des solutions de VMware. Quant à celui-ci, il fait le forcing, y compris en terme de prix, pour accroître autant que possible sa base installée avant l'arrivée de Viridian, la solution complète de virtualisation de Microsoft. (...)

(13/06/2007 16:20:20)

Un géant de l'IT va mourir, prédit Forrester

Les géants de l'IT ont beau enchaîner les publications de résultats affichant des taux de croissance à deux chiffres, ils peuvent trembler. Du moins s'ils ont écouté l'allocution de Ray Wang, analyste chez Forrester, à l'occasion de l'IT Forum d'Édimbourg. Selon lui, les acquisitions auxquelles sont habitués les grands groupes informatiques illustrent une consolidation du secteur loin d'être achevée, qui fera des victimes. « Je pense qu'un des principaux vendeurs chutera au cours des prochaines années parce qu'il ne possède pas une taille suffisante », estime l'éminent scrutateur du marché. C'est en échouant à réaliser les économies d'échelles nécessaires à la croissance et, de fait, à la survie, qu'un des phares du paysage IT va disparaître. Si Ray Wang est visionnaire, il ne va tout de même pas jusqu'à désigner la malheureuse victime : « Je ne nommerai pas [d'entreprise], mais toutes n'ont pas la structure de coûts qui leur permettra de survivre. » Lors d'une autre conférence, Peter O'Neill, également analyste pour Forrester, faisait une prévision similaire en ciblant plus spécifiquement les éditeurs : « Vous voyez des entreprises sur le marché des logiciels avec des marges de 40 ou 50%, qui signifient que quelque chose va se passer - pour répondre à la demande des clients ou en conséquence de facteurs économiques - qui consolidera encore davantage ce marché. » (...)

(13/06/2007 14:05:36)

Philippe Germond, candidat officiel à la succession d'Atos Origin

C'est désormais officiel. En prenant les commandes opérationnelles et la vice-présidence du directoire d'Atos Origin, Philippe Germond est identifié comme successeur de Bernard Bourigeaud, actuel président du directoire du groupe de services informatiques. Une position de dauphin désigné quasiment acquise, depuis le récent départ de Dominique Illien chez Sopra Group, en tant que numéro deux. Bernard Bourigeaud et Philippe Germond travailleront ensemble afin de développer un plan stratégique pour le groupe et de gérer la transition en douceur. Même s'il est encore tôt pour définir un calendrier de passage de relais, le mandat de l'actuel dirigeant courant jusqu'à janvier 2009 Le directoire d'Atos Origin, qui passe de cinq à quatre membres, connaît parallèlement d'autres mouvements : les deux autres membres, qui dépendront hiérarchiquement de Philippe Germond, voient également leurs attributions évoluer. Ainsi, Eric Guilhou, abandonne la direction financière pour devenir directeur général délégué, en charge des fonctions, et Wilbert Kieboom, jusqu'ici responsable du Benelux et du Royaume-Uni, devient directeur général délégué, charge des opérations. Arrivé chez Atos Origin en décembre dernier, Philippe Germond était jusqu'ici membre du directoire en charge des régions Asie-Pacifique, Amérique du Nord et d'Atos Worldline. Il a exercé différentes fonctions de direction, notamment en tant que directeur général d'Alcatel (avant la fusion avec Lucent) et de PDG de Cegetel (groupe Vivendi). Lors de sa dernière publication financière, la SSII a annoncé un chiffre d'affaires trimestriel de 1,435 Md€, soit une croissance organique de 2,5% sur un an. Le groupe reste ambitieux sur ses objectifs en tablant sur une croissance de 8,5%, à taux courant, pour l'ensemble de l'exercice. Un nouveau défi à relever pour Philippe Germond ? (...)

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