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(08/06/2007 16:35:02)
Un ancien dirigeant d'Alcatel plaide coupable de corruption
Le département américain de la justice (DOJ) a indiqué hier que Christian Sapsizian, un ancien dirigeant d'Alcatel en poste sur l'Amérique du Sud, avait plaidé coupable d'avoir payé plus de 2,5 millions de dollars en dessous de table pour remporter un contrat de téléphonie avec l'agence de télécommunications de l'état du Costa Rica. Selon le communiqué du DOJ, l'ancien dirigeant, employé par Alcatel et ses filiales pendant plus de vingt ans, a plaidé coupable devant le tribunal de Miami des charges de violation de l'U.S. Foreign Corrupt Practices Act (loi portant sur les pratiques de corruption à l'étranger). Il encourt une peine maximum de dix ans de prison et une amende 580 000 dollars. Le jugement sera rendu le 20 décembre. Le communiqué précise que Christian Sapsizian, a admis avoir versé le dessous de table à un directeur de l'Institut Costaricain d'électricité. Alcatel s'est par la suite vu attribuer un marché de téléphonie mobile de 149 millions de dollars en août 2001. Il est précisé que le FBI continue à enquêter sur cette affaire. Fin 2006, Alcatel a fusionné avec Lucent Technologies pour former Alcatel-Lucent. (...)
(08/06/2007 14:48:17)Galileo financé par les fonds publics
Comme nous l'annoncions le 9 mai, Galileo, le système de positionnement par satellite initié par l'Union européenne et concurrent du GPS américain, bénéficiera d'un financement totalement public. C'est ce que viennent de décider les 27 ministres des Transports, qui approuvent ainsi la proposition de la Commission de se reposer uniquement sur les Etats membres et d'abandonner le consortium formé par huit entreprises, incapables de s'entendre. Le surcoût pour les 27 est estimé à 2,4 Md€, une somme couvrant la mise en oeuvre du projet. Reste que plusieurs positions sont défendues au sein des instances communautaires : la Commission souhaite financer le projet via le budget européen alors que l'Allemagne, le Royaume-Uni et les Pays-Bas préfèrent un système basé sur des contributions directes des Etats à l'agence spatiale européenne. Si le financement des infrastructures échoit à la sphère publique, l'exploitation de Galileo sera néanmoins assurée par les entreprises privées qui auront été retenues lors d'un prochain appel d'offres. (...)
(08/06/2007 12:35:35)Sun compte sur ses logiciels pour vendre ses serveurs
« Comment gagner de l'argent avec l'Open Source ? » Telle est la question soulevée par Jonathan Schwartz, PDG de Sun, en parlant des logiciels - comme OpenSolaris, Java ou OpenOffice - que sa société développe. Pour lui, la réponse se trouve dans la vente des autres produits de la société. En développant des logiciels Open Source largement utilisés - comme OpenOffice (diffusé à 90 millions d'exemplaire selon lui) ou le système de fichier ZFS développé pour Solaris et adopté par Apple -, Sun espère créer un marché pour l'Open Source qui serait rentable, d'abord par la fourniture de support technique, mais également par la vente de matériel. Comme sa nouvelle offre de serveurs lame Sun Blade 6000. (...)
(07/06/2007 13:53:30)HP développe un hyperviseur pour Itanium
Heureusement que HP n'a d'autre choix que de développer un hyperviseur pour l'Itanium qui anime ses serveurs Integrity. Sinon, oublié par VMware et Xen, le super processeur solitaire d'Intel passait aussi à côté de la virtualisation. C'eut été dommage tant sa puissance doit avoir de quoi séduire dans ce type d'utilisation. Héritier de la culture Unix d'HP, l'Integrity Virtual Machine supporte HP-UX, Windows et Linux. Devenu Virtual Server Environment (VSE), cet environnement arrive en version 3. Son concepteur lui prête la capacité à gérer concomitamment HP-UX 11v2 et 3 ainsi que Ws Server 2003 Enterprise ou Datacenter. Le support de Red Hat 4.4 arrive d'ici peu et sera suivi de Suse LES 10. On parle aussi du support d'OpenVMS. VS 3.0 peut simuler 20 serveurs par coeur d'Itanium. HP met à disposition au niveau mondial une plateforme de tests pour les éditeurs d'applicatifs. (...)
(07/06/2007 12:10:07)SQLI rachète IconeWeb pour s'attaquer à l'immobilier et se développer en Espagne
SQLI s'est porté acquéreur d'IconWeb pour un montant non dévoilé. Avec cette acquisition, la SSII souhaite se positionner sur le secteur de l'immobilier d'entreprise ainsi que renforcer sa présence européenne, notamment dans les pays francophones. IconeWeb est en effet spécialisé dans les solutions e-business destinées à l'immobilier, segment sur lequel l'éditeur a réalisé un CA de 2 M€ en 2006. Sa gamme IconeWeb Immobilier permet aux entreprises de créer et d'animer leurs sites Internet ou extranet, mais aussi de disposer de centres d'hébergement de données sécurisés. En rachetant IconeWeb, SQLI rajoute donc une corde à son arc "métier" et confirme sa volonté de développer son activité sur des marchés verticaux. "Notre stratégie d'industrialisation se déclinait essentiellement sur trois axes : la santé, la logistique et les collectivités territoriales", indique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier. "Avec IconeWeb, nous allons nous attaquer à un marché qui est forcément très consommateur de prestations Internet", ajoute-t-il. Ce rachat permet également à la SSII francilienne d'étendre sa présence géographique en France, mais également en Europe. Après le Canada (grâce à l'acquisition d'Alcyonix), le Maroc et le Luxembourg en décembre dernier (avec ClearValue, un spécialiste de référence SAP), SQLI met un pied en Espagne. Au travers de cette opération, SQLI espère en outre développer un CA prévu à 120 M€ sur 2007 avec une marge opérationnelle de 8 %. "Nous visons une croissance annuelle de 30 %, à la fois de manière organique et externe", souligne Nicolas Rebours. SQLI emploie 1 500 salariés en Europe (dont 90 % en France) répartis sur quinze agences. La SSII compte plus de 800 clients à son actif, et s'appuie notamment sur la certification dite "CMMI" (Capability Maturity Model Integrated), qui aide les entreprises à améliorer leurs développements de logiciels avec une méthodologie spécifique. (...)
(07/06/2007 11:37:22)France Télécom investirait entre 3 et 4,5 Md€ dans la fibre
France Télécom compterait investir entre 3 et 4,5 Md€ dans la fibre optique d'ici 2012 (Les Echos). L'opérateur se baserait ainsi sur l'objectif du gouvernement de parvenir à connecter 4 millions de foyers français au très haut-débit d'ici cette échéance. France Télécom miserait sur une part de marché oscillant entre 50% (pdm actuelle sur l'ADSL) et 75%. L'opérateur reste pour le moment prudent sur ses objectifs (investissements minimums de 270 M€ d'ici 2008, objectif entre 150 et 200 000 foyers). Il reste dans l'expectative d'une réglementation clarifiée sur la fibre. L'Arcep oeuvre dans ce sens. Il attend aussi de valider son modèle économique. Les consommateurs seront-ils avides de services très haut-débit (VOD, TV...) ? Telle est la question ! La concurrence, elle aussi, demeure mesurée sur ses investissements. Après avoir annoncé vouloir débourser 1 Md€ d'ici 2012, Free est discrètement revenu à 300 M€, puis encore plus subrepticement à 160 M€. Neuf Cegetel, quant à lui, a annoncé en mars être prêt à investir 300 M€ d'ici 2009. L'euphorie sur la fibre est réelle. Mais les investissements conséquents devraient peu à peu en mesurer l'engouement. (...)
(07/06/2007 11:30:20)Sun annonce ses premières lames Intel
Six mois après l'annonce d'un partenariat entre Intel et Sun, les deux sociétés ont présenté le premier résultat de leur collaboration : le serveur lame Sun Blade X6250. Il peut être équipé d'un ou deux sockets de processeurs Xeon quadricoeurs avec des fréquences allant de 1,6 à 2,6 GHz. Le X6250 rejoint également la gamme de serveurs lames « conventionnelle », - estampillée Sun Blade 6000 - que le constructeur lance pour concurrencer directement celles d'HP, Dell ou IBM et compléter la gamme Sun Blade 8000 destinée au marché haut de gamme. Dans le système Sun Blade 6000, les lames à base de processeurs Intel pourront s'utiliser seules ou accompagnées de lames à base de puces AMD Opteron bi-coeur (les Sun Blade X6220) et/ou de lames dotées d'un processeur UltraSPARC T1 à huit coeurs. Le châssis Sun Blade 6000 est d'une taille standard de 10U mais à la particularité d'être entièrement modulable. Equipée de carte d'extension PCI express standard, chaque lame peut se remplacer « à chaud », et peut fonctionner avec des processeurs hétérogènes et des systèmes d'exploitations hétérogènes (Solaris, Linux et Windows). En effet, l'une des conséquences du partenariat entre Sun et Intel est l'optimisation des processeurs Xeon pour l'Unix de Solaris et pour Java. Intel affirme d'ailleurs qu'en trois mois, les travaux communs ont permis d'améliorer la vitesse d'exécution d'une machine virtuelle Java de 20 % sur les processeurs Xeon. Sans toutefois expliquer clairement quelle configuration avait permis de faire les mesures originelles. La collaboration entre Sun et Intel devrait s'accélérer à l'automne avec des serveurs rack bi- et quadri-socket en préparation. En attendant, le Sun Blade System est disponible à partir de 4500 € pour le châssis seul, 3300 € pour une Sun Blade X6250 (mono-processeur Xeon à 1,86 GHz), 3500 € pour une Sun Blade X6220 (bi- processeurs Opteron dual core à 2 Ghz) et 5300 € pour une Sun Blade T6300 à base d'UltraSPARC T1. (...)
(07/06/2007 10:47:07)Le report du lancement de Barcelona devrait affecter les revenus d'AMD
AMD va repousser le lancement de Barcelona, son quadri-coeur destiné aux serveurs, selon plusieurs cabinets d'analyse. Initialement prévu pour juillet, le CPU devrait finalement être mis sur le marché en octobre. Un retard qui pourrait conduire le fondeur à connaître des difficultés dans la concurrence acharnée qui l'oppose à Intel. Les processeurs pour serveurs sont en effet générateurs de davantage de revenus que leurs homologues pour ordinateurs de bureau ou pour portables. Le report du lancement de Barcelona va donc affecter lourdement les revenus et la rentabilité de 2007. Selon Glen Yeung, analyste au Citigroup, AMD devrait enregistrer une perte de 2,59 $ par action contre 2,48 $, si Barcelona avait été lancé dans les délais annoncés. L'annonce de ce report intervient à un moment peu opportun pour AMD, qui promettait depuis des mois que sa puce serait lancée dans la deuxième moitié de 2007. Barcelona est attendue comme l'une des armes qui pourrait aider le fondeur à compenser une partie des effets de la guerre des prix qui l'oppose à Intel. C'est ce qu'affirmait Hector Ruiz, le PDG du groupe, début mai, en soulignant que le quadri-coeur allait contribuer à alléger le fardeau qui pèse sur les épaules du fabricant. En avril, AMD publiait une perte de 611 M$ pour son premier trimestre, après avoir reporté une perte de 574 M$ en janvier. Il voyait, par ailleurs, Intel accroître son emprise sur le marché des microprocesseurs et en contrôler 80,2%, contre 75,7% au trimestre précédent. La réponse d'AMD à ces allégations de retard se veut claire : « nous restons en piste pour un lancement à l'été 2007 », explique Marian Kelley, porte-parole du groupe. En dépit de cette assurance, plusieurs cabinets d'analyses rejoignent la position du Citigroup qu'ils estiment conforme à ce qu'ils ont entendu en échangeant avec les vendeurs, les distributeurs et les fabricants des cartes mères pour serveurs. (...)
(07/06/2007 11:51:39)Une nouvelle plateforme de liens sponsorisés pour Yahoo
Yahoo France commence la migration de ses clients vers Panama, une nouvelle plateforme de gestion des liens sponsorisés. « L'ancienne avait été réalisée par Overture [racheté en 2003 pour 1,63 Md$, NDLR], il y a presque 10 ans », souligne Bertrand Jonquois, directeur exécutif de Yahoo Search Marketing. Qui explique que cette offre de gestion des liens sponsorisés est « stratégique à plusieurs titres ». De fait, dit-il, « le search marketing représente environ la moitié des investissements publicitaires en ligne », ce qui donne une idée de ce que cela peut représenter dans le chiffre d'affaires du moteur de recherches. Panama a déjà été implantée aux Etats-Unis, est en cours d'installation en Asie et vient donc de démarrer en Europe. Certes, le nombre d'annonceurs en France est relativement restreint par rapport à ce qu'il est dans les pays anglo-saxons, mais l'impact reste important. « En France, explique Bertrand Jonquois, le marché compte, toutes plateformes confondues (donc Yahoo et ses concurrents), environ 15 000 annonceurs, contre 100 000 au Royaume-Uni et plus de 350 000 aux Etats-Unis. Nous sommes donc sur un marché très volumineux en termes d'annonceurs. » Les API pour Panama ont déjà migré Parmi les nouvelles fonctionnalités apportées par Panama, on notera la possibilité de laisser le système tester plusieurs annonces afin de maximiser le retour sur investissement, ou la capacité à déterminer des zones géographiques pour ses annonces. La hiérarchisation des annonces a aussi été revue, puisqu'elle ne dépend plus seulement du prix mais aussi d'un indice de qualité, qui mesure la pertinence de la publicité. C'était demandé par les annonceurs, « et déjà mis en place par notre principal concurrent » [Google, NDLR], reconnaît Bertrand Jonquois. Côté tarification, Yahoo Search Marketing se veut ouvert aux TPE comme aux gros annonceurs : 50 euros suffisent pour s'inscrire sur la plateforme, et les seuils d'enchère sur un mot clé sont de 5 ou 15 centimes d'euro. Des outils sont librement accessibles sur le site (voir la section 'liens sponsorisés') pour vérifier la fréquence de recherche des mots clés et les enchères déjà réalisées. Pour les gros annonceurs et les agences spécialisées, Yahoo propose aussi des API (interfaces de programmation) pour exploiter directement les fonctionnalités de la plateforme au sein d'un logiciel maison. Les remplaçants de ces API pour Panama sont disponibles depuis plusieurs mois, indique Bertrand Jonquois. (...)
(06/06/2007 17:36:27)IBM envisage de racheter Watchfire
IBM prépare le rachat de Watchfire, société spécialisée dans la sécurisation d'applications et dans la conformité des sites Web aux réglementations liées à l'accessibilité, à la sécurité ainsi qu'aux données privées. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilée. Big Blue entend fondre Watchfire dans Rational, division du groupe qui édite notamment des outils de test, de conception et de déploiement de développements. Dans un communiqué, IBM explique que la combinaison des outils Rational avec ceux de Watchfire devrait "permettre aux développeurs de prendre en compte plus en amont la sécurité ainsi que la conformité dans le processus de développement". Watchfire n'est pas un inconnu pour IBM. D'une part, la division Services de Big Blue est un partenaire ainsi qu'un revendeur des solutions Watchfire. D'autre part, Watchfire est un partenaire technologique d'IBM de longue date, ses applications ayant été certifiées sur les outils de Rational (comme Rational Delivery Platform). Watchfire a été classé n°1 du marché de la sécurisation d'applications en 2006 par IDC avec presque 28% de parts de marché. La transaction devrait être finalisée au troisième trimestre 2007. (...)
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