Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 7531 à 7540.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(26/02/2007 17:12:23)

LogicaCMG revend sa division Télécoms

LogicaCMG va vendre sa division Télécoms à un consortium emmené par l'Irlandais Atlantic Bridges Ventures et Lary Quinn, l'ancien CEO de Logica Mobiles, pour un montant de 265 M£ (environ 392 M€) payé en cash. La nouvelle entité, qui poursuivra sa collaboration avec la SSII, prendra le nom d'Acision. LogicaCMG, qui souhaite se recentrer sur son activité de services informatiques, va consacrer 130 M£ à des rachats d'actions. Le solde servira à réduire la dette ainsi qu'au rachat d'intérêts minoritaires. La division Télécoms réalise près de 60% de son chiffre d'affaires grâce à la vente de services de messagerie et de facturation aux opérateurs mobiles. « Cette vente est une étape logique », a commenté Chris McDermott, CEO de LogicaCMG Telecoms, qui va rejoindre la nouvelle entreprise. Cette cession inquiète cependant les analystes, qui font remarquer que Logica n'a pas su trouver d'acquéreur parmi ses partenaires industriels du marché des télécoms. « Au moment où s'opère la consolidation de l'industrie, dictée par des économies d'échelle, Acision, avec 1 700 personnes opérant dans 22 pays, devra reconsidérer sa stratégie de développement de produits et devra, elle aussi, réaliser des économies d'échelle », affirme Jean-Charles Doineau, responsable du bureau français du cabinet d'analyses Ovum. Ce dernier fait également remarquer qu'Acision est peu présente sur le continent américain ainsi qu'en Asie et dans le Pacifique, des régions qui représentent dorénavant le coeur du marché du SMS. (...)

(26/02/2007 17:07:38)

Microsoft pourrait perdre l'usage de la marque Office Live

Microsoft va devoir se battre pour conserver la marque Office Live après qu'une société californienne, Office Live LLC, a déposé un recours contre l'éditeur de Redmond. L'objet du litige porte sur l'usage que fait ce dernier de la dénomination Office Live pour son pack de services en ligne à destination des PME. Dans un communiqué, le porte-parole de Microsoft doute que la plainte d'Office Live LLC soit légitime et indique que le géant du logiciel défendra vigoureusement son droit à conserver le nom incriminé pour son service. « Clairement, si quelqu'un cherche à profiter du nom d'une autre société, dans cette affaire c'est le plaignant ». Selon les documents déposés auprès de la cour, Office Live LLC réclame des indemnités et l'arrêt, par Microsoft, de l'utilisation de la marque Office Live. Une marque que le requérant a déposé en 2002 pour proposer des services de campagnes marketing en ligne et de bureau virtuel. Le plaignant gère également les sites lawofficelive.com, autoofficelive.com ou autre doctorsofficelive.com. Office Live avait déposé une première plainte contre Microsoft en décembre 2006 mais la procédure avait été interrompue pour que les deux parties puissent négocier une issue amiable. Devant l'échec d'une telle conciliation, le requérant est donc passé à l'étape suivante en poursuivant le groupe de Steve Ballmer. (...)

(26/02/2007 17:06:54)

Le rachat d'UGS par Siemens approuvé par les autorités américaines

Le rachat de l'éditeur texan UGS par Siemens vient d'être approuvé par l'autorité de régulation antitrust américaine. L'Allemand va donc pouvoir, contre un gros chèque de 3,5 Md$, intégrer les activités de gestion du cycle de vie d'UGS au sein de sa division Automation & Drive, laquelle est spécialisée dans les technologies d'automatisme industriel. Aux 70 530 salariés qu'elle compte dans le monde, elle pourra désormais ajouter les 7 300 collaborateurs d'UGS. UGS - 1,2 Md$ de chiffre d'affaires en 2005 - était jusqu'à présent détenu par les fonds d'investissement Capital Brain, Lake Partners et Warburg Pincus. Ils avaient déboursé 2,05 Md$ en 2004 pour acquérir le groupe à l'Américain EDS. (...)

(23/02/2007 18:20:22)

Sun se repositionne sur le marché des serveurs 2006, selon Gartner

Le marché des serveurs se porte toujours aussi bien. Avec 8,2 millions d'unités vendues en 2006 au niveau mondial, il enregistre même, selon Gartner Dataquest, une croissance de 8,9 % par rapport à 2005. Avec respectivement 32,1 % et 27% de part de marché en valeur, IBM et HP restent les leaders incontestés de ce secteur. Pourtant un autre constructeur fait une remontée spectaculaire : Sun Microsystems. Alors qu'il sortait d'une année 2005 mauvaise pour lui, le constructeur affiche une progression de 15,4 % de ses revenus en 2006. Avec un chiffre d'affaires de 5,7 Md$, il affiche désormais une part de marché de 10,8 %. Selon Adrian O'Connel, analyste principal de Gartner, cette croissance s'explique car « Sun a commencé à améliorer ses performances. Il a également introduit de nouveaux produits x86 pour le marché d'entrée de gamme, agrandissant ainsi ses clients potentiels. D'autre part, les clients traditionnels de la société dans les télécommunications et la finance ont également été plus acheteurs de serveurs». Deux atouts qui se sont particulièrement fait sentir sur le marché européen où, bien qu'encore derrière IBM et HP, Sun s'impose comme le troisième vendeur en chiffre d'affaires et s'offre la plus belle croissance avec 15,9 % (soit un chiffre d'affaire en 2006 de 1,9 Md$) et 11,6 % de part de marché. Sun s'offre même le luxe d'être le principal vendeur européen de serveurs haut de gamme à base de processeurs RISC/Itanium avec 1,749 Md$ de chiffre d'affaires et une hausse de 12,9 % de ses ventes par rapport à l'an dernier. Attention tout de même à ne pas se réjouir trop vite, car selon le vice-président de Gartner, Jeffrey Hewitt, les ventes de serveurs Unix RISC/Itanium restent faible et l'autre secteur où Sun a fait de gros investissements, les serveurs x86, va voir son rythme de croissance s'affaiblir : « Le quatrième trimestre de 2006 a vu la plus lente progression des serveurs x86 depuis des années», affirme Jeffrey Hewitt. «Ce ralentissement s'explique en grande partie par un allongement des cycles de ventes dû à l'introduction anticipée des processeurs x86 quadricoeurs et, plus faiblement, à la virtualisation de ces serveurs.» (...)

(23/02/2007 16:30:26)

Mandriva ouvre un filiale en Afrique

Après avoir investi le marché brésilien en se payant Conectiva en 2005, l'éditeur Linux Français Mandriva a décidé d'étendre ses ramifications vers l'Afrique. L'éditeur annonce la création d'une filiale au Nigeria, baptisée Mandriva West Africa (localisée à Lagos), qui rayonnera sur toute l'Afrique de l'ouest. Dans un communiqué, Mandriva explique s'être fixé pour objectif de notamment "travailler avec les constructeurs locaux pour proposer des machines pré-installées avec Mandriva Linux" et" travailler avec les ISV". Il prévoit également de développer des offres commerciales adaptées en s'appuyant sur des partenaires et mettre en place des centres de formations certifiés. A cela s'ajoute, une mission plus humanitaire qui, selon Mandriva, consiste à "travailler avec les institutions scolaires afin de combattre le retard technologique". Rappelons que les pays en voie de développement constituent un marché prometteur pour les éditeurs Linux, notamment grâce au faible prix de commercialisation de leur OS. Une stratégie de croissance appliquée également par Red Hat sur les marchés brésiliens et argentins. Notons également que le Nigeria est un des premiers pays à avoir adhéré au programme OLPC (One Laptop Per Child), qui vise à fournir un ordinateur portable aux enfants les plus défavorisés. La machine, qui repose sur un OS Fedora, est commercialisée aux gouvernements, pour l'heure, au prix 150$. (...)

(23/02/2007 15:36:42)

La SOA aide BEA à prospérer

Résultats annuels Chiffre d'affaires : 1,4 Md$ Progression : +17% Pour son exercice fiscal 2006, l'éditeur BEA vient de publier un chiffre d'affaires en hausse de 17% par rapport à l'année dernière, à 1,4 Md$. La société, aux prises avec une enquête interne sur des pratiques liées aux stock-options, n'a toutefois pas révélé le montant des bénéfices (ou des pertes) dégagés sur la période. Cette croissance s'explique par un fort investissement de la société dans les infrastructures SOA (Services oriented architecture). « Nos produits BPM (Business process management) sont vite devenus les principaux responsables, non seulement de notre croissance, mais aussi de nos revenus. Aqualogic et les services de BEA associés au SOA nous ont attirés de nouveaux clients», affirme Alfred Chuang, PDG de BEA Systems. Ainsi, Aqualogic a représenté un quart des revenus générés par les ventes de logiciel au quatrième trimestre, et a généré au total plus de 110 M$ de chiffre d'affaires en 2006. Pour Alfred Chuang, le succès d'Aqualogic s'explique par sa capacité à co-exister dans les systèmes d'informations de ses clients avec des produits concurrents. Pourtant, il considère que les marchés d'avenir pour la SOA se situent dans des zones émergentes comme la Chine, l'Inde, la Corée et l'Amérique Latine. « Parce qu'ils n'ont pas autant de systèmes installés, les clients sur ces marchés peuvent se lancer rapidement dans ce type de projet. » (...)

(23/02/2007 11:54:13)

Microsoft condamné à verser 1,5 Md$ à Alcatel-Lucent

Microsoft vient d'être déclaré coupable, ce 22 février, d'avoir violé des brevets relatifs à l'encodage et au décodage du format MP3, et appartenant à Alcatel-Lucent. C'est la décision que vient de prendre un tribunal californien, qui a condamné l'éditeur de Redmond à verser 1,5 Md$ au plaignant. Jamais un procès pour violation de propriété intellectuelle n'avait jusqu'alors débouché sur d'aussi fortes sommes. Un record qui inquiète déjà d'autres sociétés utilisatrices de la technologie incriminée et qui pourraient elles aussi se retrouver sous le coup de poursuites. Microsoft s'offusque de sa condamnation et envisage d'ores et déjà d'interjeter appel de la décision. « Le verdict est sans aucun fondement légal ou factuel, clame l'éditeur dans un communiqué. Comme des centaines d'autres grandes et petites entreprises, nous estimons que nous avons obtenu la licence de la technologie MP3 de façon régulière auprès de Fraunhofer (l'institut allemand Fraunhofer avait participé au développement des technologies au centre des débats, ndlr). Le montant de l'indemnité semble particulièrement outrageant lorsqu'on considère que nous n'avons payé que 16 M$ à Fraunhofer pour la licence de cette technologie », estime Microsoft. Logiquement, du côté Alcatel-Lucent l'ambiance est différente. L'équipementier se réjouit d'avoir produit « de puissants arguments » pour appuyer ses droits et approuve l'issue donnée au litige. Une procédure initiée en 2003 C'est en 2003 que Lucent (qui fusionnera plus tard avec Alcatel) dépose une plainte contre les constructeur Dell et Gateway pour le non respect de 15 technologies brevetées utilisées par le système d'exploitation Windows XP, installé sur les machines vendues par les sociétés mises en cause. Puisque Windows est au coeur du problème, Microsoft se décide à entrer dans l'arène et dépose une requête visant à dissuader le plaignant de poursuivre ses clients. La conséquence ne se fait pas attendre : Lucent poursuit Microsoft. Puisque le nombre de brevets prétendument violés est élevé, le juge entreprend de scinder l'affaire en six dossiers distincts. La décision rendue ce 22 février ne concerne que la technologie liée au format MP3, les cinq autres cas devant être examinés dans le courant de l'année. Microsoft est impliqué dans quatre d'entre eux, dont le premier pourrait être examiné en mars ou en avril. Il concerne le non-respect d'un brevet relatif à des technologies de reconnaissance vocale. Aux côtés du géant de Redmond, Dell et Gateway prendront place au rang des défendeurs. Trois des quatre autres cas mettent également en cause Microsoft, notamment pour des technologies utilisées sur la console Xbox 360. Dell et Gateway ne sont pas en reste, puisqu'ils auront, eux aussi, à comparaître dans trois dossiers portant sur des brevets inhérents à l'interface utilisateur ou à des technologies vidéo. (...)

(23/02/2007 11:30:46)

Christian Hiller, ex-Sun France, prend la tête d'EMC France

La rumeur est confirmée. Christian Hiller rejoindra bien la tête d'EMC France dès le mois de mars prochain. L'ex-PDG de Sun France, qui avait annoncé son départ du groupe le 12 février, remplacera Frédéric Dussart au poste de PDG. Il sera rattaché à Rainer Erlat, vice-président EMEA du groupe. Frédéric Dussart, quant à lui, part occuper les fonctions de "Régional Country Manager" de la région EMEA (Europe du sud, Middle East et Afrique) d'EMC. Il conservera toutefois ses fonctions de PDG de la filiale française jusqu'à la nomination par le conseil d'administration de son remplaçant. (...)

(22/02/2007 10:54:04)

MySQL AB vise le marché des télécoms

Après avoir constaté un grand intérêt des équipementiers (Alcatel-Lucent, Cisco, Ericsson, Motorola...) pour son offre MySQL Cluster, le développeur Open Source MySQL AB annonce aujourd'hui une version du produit dédiée au marché des télécommunications et la création d'une unité distincte. Pour le secteur il s'agit de profiter des avantages d'une base de données relationnelle tout en réalisant de substantielles économies grâce à l'Open Source. Bâti sur une technologie développée à l'origine par Ericsson, MySQL Cluster Carrier Grade Edition est un système de base de données shared-nothing, en cluster et en temps réel. Il a été spécialement conçu pour être utilisé dans les environnements SDP (Services Delivery Platforms), HLR (Home Location Register) et HSS (Home Shopping Service). MySQL Cluster Carrier Grade Edition a été testé par Alcatel-Lucent. « Nous avons ainsi réussi notre migration vers une plateforme ATCA Linux », estime Hervé Salliou, directeur de la division base de données d'abonnés d'Alcatel-Lucent. (...)

(21/02/2007 17:42:53)

SSII, régie, forfait : Evaluant brise les tabous

Il est de bon ton pour les SSII de parler un double langage qui complexifie la compréhension, les rapports entre le salarié envoyé en régie, son employeur qui est la SSII, et le client qui l'accueille pour une prestation qu'il rétribue à la SSII. « Nous sommes une SSII pure player, spécialisée dans les technologies Microsoft et revendiquons le terme de SSII. C'est un concept valorisant, qui veut dire que nous fournissons des compétences que le client n'a pas. Mais nous ne sommes pas éditeur », annonce d'emblée Nicolas Chabrier, président d'Evaluant, entreprise créée il y a 6 ans. « L'informatique étant devenue complexe (Architecture N-tiers, webservices, collaboratif, ...), il doit sembler incongru aux personnes du marketing d'en parler simplement. Faire de la régie, c'est dévalorisant alors que faire des missions de conseil longue durée en architecture logiciel, sonne mieux ! », poursuit-il, déplorant que dans ce système l'hypocrisie soit de mise. Mais qui est aujourd'hui dupe des subtilités de langage ? Tout le milieu sait que certaines SSII embauchent à tour de bras des informaticiens hésitants sur certaines technologies et les envoient sans formation auprès du client. Résultat : des prestations médiocres voire mauvaises, des clients mécontents, un turn-over énorme et des expériences en régie et en SSII qui effraient les jeunes entrant dans le métier. Les forums regorgent d'expériences douloureuses et des listes noires régulièrement mises à jour dénotent un réel traumatisme pour certains informaticiens. Quant aux recruteurs et directeurs de communication, ils tentent de contourner la réalité en niant le côté « body shopping » inhérent à certaines SSII. Mieux : ils l'habillent d'un concept de langage aux néologismes pseudo-techniques plus agréables, et d'une double légitimité de « formation » et d'« expérience » auxquelles les candidats ne font l'effort de croire... que s'ils n'ont pas d'autre choix ailleurs. « Régie ne veut pas dire travail temporaire » « Le client n'est plus dupe de ces subtilités et ne voit pas pourquoi il serait honteux de faire de la régie. Encore faut-il s'entendre sur le terme ! Régie ne veut pas dire travail temporaire. Une SSII n'est pas une agence d'intérim », répond Nicolas Chabrier qui annonce un très faible taux de turn-over dans son entreprise « car la technologie est au coeur de notre système et que nous proposons aux personnes d'évoluer en permanence ». Selon lui, travailler en régie n'est pas perçu comme une punition si et seulement si les personnes sont formées en amont, c'est-à-dire dans les locaux de l'entreprise, avant de commencer une mission. Autre axiome : que la SSII reste attentive aux avancées professionnelles du salarié et que la régie soit une étape dans une carrière, le salarié demeurant celui d'Evaluant. « Certes, nous n'avons que 25 collaborateurs », souligne Nicolas Chabrier qui a pris soin de ne pas succomber aux sirènes d'une expansion incontrôlée de sa structure, même s'il ouvre une douzaine de nouveaux postes cette année. « L'aspect financier est un critère pour faire venir les bons candidats, mais le plan de carrière et surtout l'aspect technologique en sont d'autres que les entreprises ne doivent pas négliger en période de recrutement. Le côté « développement durable » d'une entreprise avec des collaborateurs qui font leur carrière en son sein, tantôt en régie, tantôt au forfait, tantôt en R&D, n'est pas un mythe, mais ne peut se concevoir qu'avec une éthique et des valeurs qu'il faut prendre en compte. A Evaluant, nous essayons de garantir un niveau identique, homogène, à nos collaborateurs », conclut-il. Dans un marché de l'emploi de plus en plus tendu comme c'est le cas actuellement, où les talents sont traqués, le président d'Evaluant pose les bases de ce qui différencie les entreprises dans leur approche des candidats. Mais quid des structures plus importantes pour parvenir au même résultat et faire rimer éthique, régie et SSII ? (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >