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(21/02/2007 17:42:14)

Java, J2EE, .Net et... Cobol ont la cote

De nombreuses entreprises continuent sur la lancée de 2006 et annoncent des recrutements pour honorer leurs carnets de commande. Parmi elles, Akio, éditeur de solutions « gestion de relations clients sur Internet », recherche 30 candidats et RWD Technologies, spécialiste SAP, annonce « 20 recrutements immédiats ». De leur côté, Cegid, éditeur de progiciels de gestion, et Softeam (technologies objets et nouvelles architectures logicielles) veulent recruter 100 nouveaux collaborateurs chacun. Enfin, Ajilon IT Consulting ouvre 350 postes disponibles. Si les profils les plus recherchés sont ceux d'IED (ingénieurs études et développement) avec, comme en 2006, le recrutement d'experts en Java, J2EE ou .Net (à tel point que Microsoft a intensifié ses formations), il est intéressant de constater qu'Ajilon recherche également des spécialistes en Cobol/MVS. Après des années de disette, dépassés par les solutions éditeur et Open Source, le temps du retour en grâce des Cobolistes serait-il venu ? « Le recrutement est significatif et il est surtout destiné au secteur banque-finance », indique-t-on chez Ajilon qui précise également que de nombreux Cobolistes étant en poste, les experts se font rares et qu'ils sont désormais recherchés ! (...)

(21/02/2007 12:50:30)

Trimestriels HP : trois bons mois pour confirmer l'avance sur Dell

Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 25,1 M$ (+11%) Résultat net : 1,55 Md$ (+26%) HP entame son exercice 2007 par « trimestre solide », selon les mots de son PDG, Mark Hurd. Le constructeur a publié des revenus en hausse de 11% sur un an, à 25,1 Md$. Une croissance qui profite des bonnes performances de la division Personnal Systems Group, spécialisée dans les PC, qui progresse de 17% pour atteindre un chiffre d'affaires de 8,7 Md$. La bonne tenue des ventes permet à HP de confirmer sa place de premier vendeur d'ordinateurs au monde, et même d'accroître son avance sur Dell. Selon IDC, les ventes du constructeur de Palo Alto ont progressé de 24% au cours du trimestre, alors que celles du groupe Texan ont reculé de 9%. HP s'arroge ainsi 17,5% des parts de marché mondiales, soit 3,5 points de plus que son poursuivant. La branche imprimantes croît, quant à elle, de 7%, à 7 Md$. Déception en revanche du côté des produits stockage et serveurs pour entreprises : la division ne progresse que de 5%, à 4,5 Md$. Sur le seul créneau du stockage, la croissance des revenus atteint seulement 3%, affectée par de faibles ventes dans le stockage sur bande et le haut de gamme. Sur les trois derniers mois, le bénéfice de HP atteint 1,55 Md$, soit 26% de plus qu'au cours de la même période de l'année précédente. (...)

(21/02/2007 12:07:48)

Démission de Françoise Gri à la tête d'IBM France

Daniel Chaffraix remplacera Françoise Gri au poste de président directeur général d'IBM France. Dans un communiqué officiel plutôt succinct, Big Blue explique que Françoise Gri "a décidé de quitter IBM pour prendre d'autres responsabilités." La nomination de Daniel Chaffraix, directeur de la division Services d'IBM pour l'Europe du sud depuis janvier 2005, sera effective dès le 1er mars. Françoise Gri occupait le poste de PDG depuis 2001. Elle avait notamment mené les négociations lors de la restructuration du groupe en 2005. IBM France n'a pas souhaité commenter l'information. (...)

(21/02/2007 12:06:28)

Forrester Research prédit une mutation majeure dans le secteur des services informatiques

La société d'études Forrester Research annonce une redistribution des rôles entre fournisseurs de technologie, sociétés de services et clients finaux au cours des cinq prochaines années. C'est la conclusion d'une enquête menée récemment auprès de 200 directeurs informatiques dans le monde. Cette enquête fait notamment apparaître une évolution des comportements des directeurs informatiques qui sont de plus en plus nombreux à être prêts à externaliser l'assemblage des différentes composantes de leur système d'information. Ainsi « 53% des CIO interrogés considèrent l'externalisation des processus comme fondamentale dans la stratégie de leur entreprise ». Et ce alors qu'elle était plutôt considérée autrefois comme une solution de secours pour les entreprises en difficulté. Et parmi ceux qui n'externalisent pas, un quart estiment que cette pratique va prendre de l'importance dans leur business au cours des deux années à venir. Une évolution qui s'explique par la complexité croissante des technologies et leur rythme d'évolution trop rapide. Selon le Forrester, « les DSI devront de plus en plus ajouter un intermédiaire de confiance qui interviendra dans les transactions, gérera les fournisseurs et informera l'architecture résultante ». Ce processus d'externalisation n'est pas sans conséquence sur leurs fournisseurs. Les grands offreurs comme IBM, HP, SAP, Microsoft ou Oracle devront s'adapter en acceptant que ce soient des prestataires de services qui assemblent et gèrent les différents composants technologiques qu'ils mettent à la disposition de leurs clients. « Cette tendance n'est pas nouvelle mais elle s'accélère », confirme Richard Peyrot, analyste spécialisé dans le sourcing IT et les services chez Forrester Research Europe. Dans ce contexte, Forrester prévoit une multiplication des alliances de circonstances entre fournisseurs et sociétés de services. Forrester parle à ce propos de l'avènement d'un « écosystème informatique ». (...)

(20/02/2007 17:37:07)

Google étend son empire à la publicité dans les jeux vidéo

Google continue de décliner les opportunités de revenus issus de la publicité en se payant le Canadien Adscape Media pour 23 M$. Après s'être imposé comme un géant de la réclame sur Internet, après avoir racheté dMarc Broadcasting et lancé sa plateforme de publicité radio, après avoir décliné Adwords pour la presse écrite, c'est désormais le champ des jeux vidéo que compte investir le cyclopéen moteur avec Adscape. La société, fondée il y a tout juste un an mais reposant sur une technologie brevetée en 2002, s'est spécialisée dans la production de contenu publicitaire dynamique conçu pour être intégré dans les jeux vidéo. Si elle n'affiche pas encore de clients parmi les éditeurs vidéoludiques, elle permet à Google de mettre la main sur sa technologie et de cibler le très juteux marché de l'informatique divertissante. Microsoft a effectué une démarche comparable en mai 2006, en rachetant Massive Inc. Une opération qui a permis au géant de Redmond de nouer des partenariats avec des grands noms du jeu vidéo, comme Electronic Arts, pour utiliser leurs titres comme autant de supports publicitaires. (...)

(20/02/2007 17:36:25)

Opérateurs satellites : naissance d'un géant américain

XM et Sirius, deux opérateurs satellites américains, viennent d'annoncer leur intention de fusionner. Ils donneront ainsi naissance à un géant pesant 13 Md$ de revenus selon leurs propres estimations. Les deux futurs partenaires ne précisent cependant pas que ni l'un ni l'autre n'ont jamais publié le moindre bénéfice, leurs pertes cumulées atteignant 1,5 Md$ l'année dernière. Le principal défi des protagonistes sera de convaincre les autorités antitrust du bien-fondé de leur rapprochement : ils sont en effet les seuls titulaires d'une licence les autorisant à offrir des services radio par satellite aux Etats-Unis. Leur fusion pourrait alors être considérée comme une entrave à la concurrence. Le président de la Federal Communications Commission a, à ce propos, estimé que la barre serait haute pour parvenir à justifier d'un réel intérêt général. (...)

(19/02/2007 12:35:28)

Dell débauche chez Motorola pour renouveler ses élites

Dell poursuit sa campagne de renouvellement des dirigeants en débauchant Ron Garriques de Motorola pour en faire le patron de sa branche grand public. Et ce, deux jours après avoir annoncé le recrutement de Michael Cannon à la tête des activités opérationnelles. Depuis que Michael Dell a repris la tête, le 31 janvier, du groupe qu'il a créé, les changements majeurs s'enchaînent. L'objectif : faire face aux nombreux soubresauts qui frappent l'entreprise, à commencer par la perte de sa première place mondiale au classement des vendeurs d'ordinateurs au profit de HP, mais aussi le rappel de millions de batteries de portables, l'enquête menée par la SEC (le gendarme de la Bourse américaine) sur les pratiques comptables douteuses ou les soupçons de marge arrière payées par Intel. Motorola a confirmé la démission immédiate de Ron Garriques, dont l'intérim sera assuré par les vice-présidents Ray Roman et Terry Vega. La nouvelle recrue de Dell dirigera une nouvelle entité chargée de superviser l'ensemble des produits grand public des portables aux périphériques, en passant par les logiciels. L'accent que compte mettre Dell sur le marché grand public vise en particulier les marchés émergents, là où, selon Michael Dell, se trouve la majorité des futurs consommateurs d'IT. « Nous demandons à Ron de créer une organisation grand public mondiale qui mettra en place les nouveaux standards en termes d'innovation [et] apportera de la flexibilité dans la façon dont nous construisons et distribuons nos produits et nos services », explique le fondateur du groupe (...)

(16/02/2007 16:42:42)

Annuels Capgemini : la rentabilité dopée par l'ensemble des activités

Résultats exercice 2006 : Chiffre d'affaires : 7,7 Md€ (+12,1%) Résultat net : 293 M€ (+107,8%) L'exercice 2006 de Capgemini restera un grand cru. Non seulement le spécialiste français du service IT a publié un chiffre d'affaires et un résultat net qui dépassent les prévisions des analystes, mais il se paye aussi le luxe de voir sa rentabilité opérationnelle doubler en l'espace d'un an. A 7,7 Md€, les revenus du groupe progressent de 12,1% en organique par rapport à l'exercice 2005. Capgemini reste sur une dynamique intéressante avec une croissance qui a accéléré au cours de l'année, passant de 10,6% pour le premier semestre à 13,7% sur les six derniers mois. Le groupe aura réussi à dépasser les attentes des analystes en termes de rentabilité opérationnelle. La marge atteint ainsi 447 M€ et bondit de 98,6% en un an. Elle s'aligne à 5,8% du chiffre d'affaires, soit 2,6 points de plus qu'il y a un an. Toutes les activités de Capgemini ont contribué à l'amélioration de la marge opérationnelle, à commencer par le conseil. A la faveur d'un « meilleur équilibre des effectifs », selon le groupe, cette branche gagne cinq points. L'intégration de systèmes progresse de deux points, et profite d'une bonne maîtrise des coûts et d'un meilleur taux d'utilisation des ressources. Du côté de l'infogérance - dont la marge gagne trois points - Capgemini se réjouit d'avoir dépassé les objectifs qu'il s'était fixés fin 2005. Enfin, la branche consacrée aux services de proximité (Sogeti) progresse de 0,7 point grâce à l'augmentation du prix moyen des prestations. Conséquence de l'augmentation de la marge : le résultat net s'envole de 107,8%, à 293 M€. Heureux actionnaires, ils devraient pouvoir compter sur un dividende de 0,70 € par titre, soit 40% de plus que l'an passé. Du point de vue géographique, l'Europe tire les revenus du groupe vers le haut en affichant une croissance de son chiffre d'affaires de 14%. L'Amérique du Nord, après des périodes de vaches maigres, relève la tête et voit le revenu de ses activités progresser de 3,8%. Autre fait marquant, les pays émergents ont le vent en poupe, notamment l'Inde, la Pologne et la Chine : dans ces trois pays, les effectifs ont augmenté de 92% au cours de l'année écoulée. Et, en rachetant récemment l'Indien Kanbay, Capgemini fait du Sous-Continent le deuxième pays du groupe en termes d'emplois (près de 20% des salariés se trouvent en Inde). La finalisation de l'acquisition de Kanbay consitutera l'un des objectifs de l'exercice 2007. Le groupe de Paul Hermelin mettra également l'accent sur les activités de conseil et la poursuite de l'amélioration de la rentabilité de l'infogérance. Il vise une croissance organique du chiffre d'affaires de 8% et une marge opérationnelle qui continue de progresser en atteignant 7%. (...)

(16/02/2007 12:47:48)

Henning Kagermann reste à la tête de SAP jusqu'en 2009

Au sortir d'un exercice 2006 pas franchement brillant, l'éditeur allemand SAP pourra se consoler avec la prolongation du contrat de son PDG, Henning Kagermann, jusqu'en mai 2009. Les statuts de SAP prévoient qu'au-delà de 60 ans, les contrats des membres du conseil d'administration soient renégociés par le conseil de surveillance. Soixante ans, c'est justement l'âge que l'homme fort du groupe a atteint en juillet 2006. A l'approche de cette échéance, des rumeurs ont commencé à circuler, qui faisaient de Léo Apotheker ou de Shai Agassi, les éventuels successeurs d'Henning Kagermann. Ils devront finalement attendre 2009 avant de voir la place se libérer. Entré chez SAP en 1982, Henning Kagermann a coprésidé le groupe de 1988 à 2003 avec Hasso Plattner avant d'en prendre, seul, les rênes. Dans un court communiqué, le géant allemand des PGI couvre de louanges son PDG, par la plume d'Hasso Plattner : « Le conseil de surveillance a exprimé sa confiance en Henning Kagermann et souligne ses extraordinaires réalisations dans la conduite d'une stratégie gagnante de croissance organique ». (...)

(16/02/2007 11:16:07)

Le Pacte PME revu par ses initiateurs, version campagne électorale

« Ce n'est pas avec une politique égalitariste de soutien aux PME que peuvent émerger des champions nationaux ». En présentant le nouveau livre blanc du Comité Richelieu, d'emblée, Emmanuel Leprince, son délégué général, met en exergue l'apport mais aussi les limites du Pacte PME, et autre plan « gazelles » visant à soutenir la croissance des petites structures. Le premier retour d'expérience du Pacte, avec treize organisations professionnelles signataires (dont le Cigref et la fédération Syntec), onze pôles de compétitivité, une trentaine de grands comptes et près d'un millier de PME, indique déjà un fort intérêt pour un tel dispositif d'intensification des contacts entre grands donneurs d'ordre et PME. Mais « il faut aller plus loin », martèle ce représentant du Comité initiateur de ce Pacte avec Oseo-Anvar. Aller plus directement vers un « Small Business Act » à l'échelle européenne. Car suivre l'indicateur achat (part des PME dans les achats des grands comptes) comme le veut le Pacte à la française, n'amène pas forcément à reconnaître le rôle-clé de la R&D de ces structures. « Il suffirait qu'une centaine d'entreprises accède au rang de leaders mondiaux, jugés au poids de leur investissement en R&D, en cinq ans, pour que la France rattrape son retard », résume Emmanuel Leprince. Ce raisonnement part du constat d'un tissu économique, porteur de R&D, beaucoup plus clairsemé en Europe (0,72 entreprise par million d'habitants, parmi le Top 1000 des acteurs R&D établi par le ministère de l'industrie britannique), qu'aux Etats-Unis (le taux est de 1,44) ou au Japon (1,62). Mobilisation positive Un objectif à cinq ans ! C'est la durée d'un mandat présidentiel et, donc, la borne d'étape suggérée pour une politique qui viserait à faire grimper dans le classement mondial une poignée de champions nationaux. Une politique qui miserait sur une « mobilisation positive » de tout l'écosystème autour des meilleures PME innovantes. Car mobilisation ne signifie pas discrimination positive (un point particulièrement sensible pour l'accès des PME aux marchés publics) qui serait contraire au principe de l'OMC. L'Europe des 27 prend d'ailleurs la voie d'un traitement privilégié pour les PME, les ministres des Affaires étrangères de l'Union ayant adopté ce lundi 12 février un texte dit « de compromis » à cet égard, entre les pays favorables et les pays opposés à ce type de dispositif (selon Le Monde, 14/02/07). Sur cette même ligne, les sept étapes préconisées par le Livre Blanc du Comité Richelieu visent autant l'élargissement du Pacte PME à d'autres acteurs (banques, investisseurs, laboratoires publics) que la part prise (ou à prendre) par les pouvoirs publics dans cette mobilisation positive. Tout en insistant sur la nécessité d'une sélection plus stricte des PME concernées, pour mieux cibler et éviter l'écueil du saupoudrage. Le label d'entreprises gazelles, sur la base de deux années successives de croissance, est déjà un signe de volonté de croissance de la part de l'entreprise. Mais ce critère reste fort limité pour cerner un potentiel de « champion national » fondé sur l'investissement en R&D. La dynamique des pôles de compétitivité, associant des PME à des projets, parfois en chefs de file, peut être un des mécanismes de repérage de ces graines de champions. Avec Oseo, comme acteur central, « naturel puisque déjà organisme porteur du Pacte PME », suggère le livre blanc. (...)

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