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(18/12/2006 17:05:32)
Sun et Fujitsu se préparent à dévoiler leur gamme Unix commune, APL
Avec 6 à 9 mois de retard sur leurs plans initiaux, Sun Microsystems et Fujitsu Siemens devraient officiellement lancer leur gamme commune de serveurs Unix Advanced Product Line (APL) au cours du premier trimestre 2007. Le projet de gamme commune APL a été annoncé en juin 2004 par les deux constructeurs. L'objectif pour Sun, était d'offrir une solution intermédiaire entre ses systèmes actuels et la future gamme à base de puces "Rock" attendue pour 2008. La gamme APL doit remplacer les actuels Sun Fire et Fujitsu PrimePower. Son retard pourrait toutefois poser problème car il devrait réduire la fenêtre d'intérêt de la gamme APL à environ 18 mois, avant l'arrivée des systèmes "Rock" de Sun. Comme l'explique ainsi Nathan Brookwood d'Insight64, l'intérêt de la gamme APL va déclinant pour les clients de Sun "car la fenêtre entre le lancement des systèmes APL et celui des systèmes Rock semble se réduire. Concrètement, les systèmes de la gamme APL seront construits autour de la dernière mouture des puces Sparc de Fujitsu, nom de code "Olympus-C". Cette déclinaison du processeur Sparc du constructeur japonais embarquera 2 coeurs cadencés à 2,4 GHz et sera capable de traiter quatre threads en parallèle (2 threads par coeur). Gravée en 90nm, elle devrait embarquer entre 4 et 8 Mo de cache et consommer environ 120 W. La puce s'appuiera sur un nouveau chipset et sur un nouveau bus système (nom de code "Jupiter") et elle devrait offrir un peu plus de deux fois les performances des actuels Sparc V de Fujitsu et Sun Fire UltraSparc IV+ de Sun. Dans la pratique, la puce devrait faire son chemin dans des systèmes capables d'accueillir jusqu'à 64 puces, alors que l'actuelle gamme PrimePower peut recevoir jusqu'à 128 puces. Des machines avec 8, 16, 32 et 64 voies devraient logiquement apparaître au catalogue des deux sociétés. A moyen terme, Sun promet que sa future puce Rock devrait encore quadrupler la performance de ses systèmes Unix haut de gamme, une promesse qui, si elle est tenue, devrait rassurer les clients de la marque, mais qui pourrait créer des effets d'attente et handicaper les ventes des systèmes APL. (...)
(18/12/2006 13:28:05)SGI installe 1,2 Po de stockage au CEA et 480 To chez Total
La filiale française de SGI vient de rendre publique la signature de deux gros contrats dans le domaine du stockage. Le pétrolier Total met en place un système d'une capacité de 480 téraoctets et le CEA (Commissariat à l'énergie atomique), un système d'une capacité de 600 téraoctets pour le Centre de calcul recherche et technologie (CCRT), qui sera doublé au début de l'année 2007 pour atteindre donc 1,2 pétaoctet. La solution de stockage Infinite Storage de SGI, qui repose sur le logiciel de gestion de fichiers CXFS et sur DMF (Data migration facility), un logiciel de gestion hiérarchisée du stockage, a donc réussi à convaincre le CEA qui a pourtant choisi Bull comme fournisseur de supercalculateurs. D'autre part, Dave Parry, vice-président senior de SGI et directeur général pour la partie produit, a profité de son passage à Paris pour donner des précisions sur l'évolution des serveurs de SGI. Les modèles Altix XE, serveurs à base de Xeon d'Intel et reposant sur une architecture classique, ne sont pas uniquement une gamme tactique destinée à compléter l'offre de SGI pour ses propres clients et pour venir concurrencer IBM ou HP dans le domaine des serveurs de gestion. En 2008, SGI devrait lancer une évolution de son architecture à mémoire partagée Numaflex, qui pourra supporter des Xeon (ou leurs successeurs), en plus des actuels Itanium 2, afin de baisser le prix du ticket d'entrée sur la gamme Altix Numaflex. SGI travaille d'ailleurs avec Intel sur le futur CSI (Common System Interface), qui reprend le principe d'un système à mémoire partagée (comme l'Hypertransport utilisé par AMD). Le futur Numaflex permettra d'autre part de créer un serveur à l'aide de briques à base de Xeon et d'autres à base d'Itanium. En attendant, SGI lancera au début de l'année 2007 un modèle de cluster s'appuyant sur le système de connexion à haut débit Numalink et des serveurs Altix XE à base de quatre processeurs Xeon Quad d'Intel. La qualité des interconnexions devrait assurer une meilleure performance globale que les clusters reposant sur les interconnexions actuelles du marché. (...)
(18/12/2006 12:31:59)France Télécom poursuit ses objectifs de suppressions de postes
France Télécom prévoit une réduction nette de ses effectifs en France de 9 000 personnes d'ici 2008, avec 12 000 suppressions de postes partiellement compensées par 3 000 recrutements, hors acquisitions éventuelles. Pour atteindre ces objectifs, l'opérateur historique compte sur environ 5 300 départs volontaires ou en retraite, mais aussi sur 6 700 départs dans le cadre d'accompagnement de projets personnels, de transferts vers la fonction publique ou encore de passage à temps partiel. A la fin septembre 2006, France Télécom employait 115 999 dans l'hexagone. L'opérateur a déjà procédé à 4 500 suppressions de postes en 2005 et à 7 400 de plus en 2006. Le coût de ces suppressions est évalué à 130 M€ pour 2006 et à 55 M€ pour 2007. France Télécom, qui employait 203 008 personnes à travers le monde fin 2005, s'est engagé à réduire ses effectifs de 17 000 personnes entre 2006 et 2008. A la fin septembre 2006, les effectifs de l'opérateur s'élevaient à 198 942 personnes à travers le monde. Les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, FO et Sud n'ont pas manqué de réagir à ce plan de suppression de postes, appelant à la grève le jeudi 14 décembre dernier. Cet appel aurait été suivi par 17 % des personnels selon la direction de France Télécom, et de 30 à 35 % selon les syndicats. Dans un communiqué, Christian Pigeon, représentant syndicat Sud PTT, relève notamment que « la rémunération des actionnaires de FT en 2006 pour l'exercice 2005 permettait l'emploi de 54 000 personnes. » (...)
(18/12/2006 10:19:19)FTTH : France Télécom réagit face à Free
Entrainé par Free dans la course effrénée au très haut débit, France Télécom réagit et annonce la phase II de son plan FTTH (Fiber To The Home). « Après une première phase pilote en 2006, le groupe passe à la vitesse supérieure en élargissant la gamme très haut débit Orange ainsi que la couverture géographique de son réseau du futur. Cette nouvelle étape prépare un déploiement de masse que nous continuons de prévoir pour 2009 et au delà, lorsque l'ensemble des contenus et des services justifieront de telles capacités pour le plus grand nombre », déclare Didier Lombard, PDG du groupe. 2006, phase pilote Après avoir déployé en 2006 plus 100 000 km de fibres en GPON (Gigabit Passive Optical Network), obtenu 650 accords de syndics d'immeubles, conquis 500 clients, l'opérateur vise dorénavant 200 000 clients pour la fin 2008. Il estime son potentiel cible à 1 million de clients. 2007, début de l'offre commerciale Dès mars 2007, les utilisateurs disposeront d'un débit de 100 Mbps symétrique (Free a annoncé du 50 Mbps), d'une offre de TVHD et de téléphonie illimitée. Il faudra toutefois que l'opérateur baisse ses tarifs (70 euros/mois) afin de concurrencer de manière un peu plus sérieuse Free (29,90 euros/mois). Au début disponible en région parisienne, l'offre s'étendra progressivement à d'autres agglomérations dont Lille, Lyon, Marseille, Poitiers et Toulouse. 270 millions contre 1 milliard L'opérateur compte investir 270 millions d'euros d'ici la fin 2008 (Free a déclaré vouloir investir 1 milliard d'euros sur 6 ans). Il faudra attendre 2009 pour voir se répandre progressivement le FTTH sur tout le territoire. Certains points réglementaires restent encore cependant à clarifier. (...)
(18/12/2006 09:41:48)HP se sépare de son conseiller juridique
Les conséquences de l'affaire d'espionnage orchestrée par HP n'en finissent plus de retomber sur le groupe. Quelques jours après les éclaircissements demandés au PDG, Mark Hurd, sur la vente de plus d'un million de dollars d'action juste avant que le scandale n'éclatât, le conseil d'administration de HP vient de décider qu'il se passerait désormais des services de son principal conseiller juridique, Larry Sonsini. Celui-ci jouit pourtant d'une excellente réputation dans le cénacle de la Silicon Valley. La société juridique qu'il a fondée - Wilson Sonsini Goodrich & Rosati - compte parmi ses clients des noms prestigieux comme Google, Sun ou Apple. Récemment, Larry Sonsini avait supervisé la transaction autour du rachat de Mercury par HP. Malgré ces faits d'arme, le constructeur entend ne plus faire appel à lui en tant que conseiller. Il lui est en effet reproché d'avoir prodigué des recommandations de mauvais aloi sur les conséquences qu'auraient les barbouzeries dirigées contre des membres du conseil d'administration et des journalistes. Larry Sonsini aurait notamment indiqué à HP que les pratiques de "pretexting" - consistant à user d'une raison fallacieuse pour se procurer une information - employées par les enquêteurs recrutés par le groupe restaient "dans les limites de la loi". La suite lui prouva que non. Cinq protagonistes ont en effet été poursuivis pour avoir mis en place ces viles pratiques, dont la présidente du conseil d'administration, Patricia Dunn. (...)
(15/12/2006 17:39:43)Quatrième année consécutive de croissance à deux chiffres pour Adobe
Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 2,57 Md$ (+31%) Bénéfice net : 504,4 M$ (-16,3%) Adobe Systems a publié des résultats financiers meilleurs que prévu pour son dernier trimestre fiscal. Au cours des trois derniers mois de l'année, Adobe a réalisé un CA de 682,2 M$ et un bénéfice net de 181,9 M$, deux chiffres respectivement en hausse de 33% et 16%. Ces bons résultats sont le fruit des bonnes ventes des produits de design, et de mise en page de la firme, mais aussi de l'intégration réussie de Macromedia et du succès d'Adobe Acrobat 8, explique l'éditeur. Pour l'ensemble de l'année 2006, Adobe a conclu sur un record historique de chiffre d'affaires, avec des ventes de 2,57 Md$ en hausse de 31% par rapport aux 1,96 Md$ de 2005. C'est donc la quatrième année consécutive qu'Adobe enregistre une croissance à deux chiffres de son chiffre d'affaires. Le bénéfice net a, quant à lui, régressé de 16,3 % passant de 602,8 M$ à 504,4 M$, essentiellement à cause de charges de restructuration (19,7 M$) et de frais d'amortissement (69,9 M$). (...)
(15/12/2006 17:17:11)L'UFC-Que Choisir repart en guerre contre les ventes liées PC/logiciel
L'UFC-Que Choisir vient d'assigner Hewlett-Packard, Auchan Bagnolet et Darty Les Halles devant les tribunaux de grande instance de Nanterre, Bobigny et Paris, respectivement, pour vente liée illicite. Dans un communiqué, l'association relève qu'il est "impossible pour le consommateur d'acheter un ordinateur nu et de choisir ensuite librement les logiciels qu'il souhaite installer sur son matériel". Elle demande en outre aux constructeurs et distributeurs de "permettre aux consommateurs qui le souhaitent de pouvoir acheter un ordinateur nu sans aucun logiciel d'exploitation et/ou d'application préinstallé [et de] faire le choix des logiciels qu'ils souhaitent installer en les achetant séparément ou en activant ou non les logiciels préinstallés via la remise ou non par le vendeur de leur clé d'activation". "Jusqu'à la Cour de cassation s'il le faut" Avec ces procédures, l'UFC-Que Choisir entend obtenir l'établissement d'une jurisprudence favorable aux consommateurs et sans ambiguïté, comme l'explique Gaëlle Patetta, directrice juridique de l'association : "Pour l'instant, il n'y a pas de jurisprudence sur ce sujet. Il y a uniquement des décisions de tribunaux qui ont soit donné raison au consommateur, soit lui ont donné tort. Si nous perdons en première instance, nous irons en appel et jusqu'à la Cour de cassation s'il le faut". Au cas où les procédures n'iraient pas jusqu'à la Cour de cassation, l'association a choisi d'attaquer devant des tribunaux de grande instance car, pour l'heure, les jugements sur le sujet n'ont été rendus que par "des juges de proximité ou des tribunaux d'instance : la décision d'un TGI aura plus de poids". Et Gaëlle Patetta de relever qu'à son sens, il y a assurément ventée liée illicite avec d'un côté, un bien, l'ordinateur, et, de l'autre, une prestation de service, les licences logicielles : celles-ci sont en effet assimilées "à une prestation de service par un arrêt de la cour de cassation datant de 2005". Le déclenchement de ces trois procédures survient après une première table ronde organisée par la Direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF), avec les organisations de consommateurs et des représentants du Logiciel Libre fin novembre dernier, et une seconde avec les principaux constructeurs informatiques présents en France, le 13 décembre dernier. L'UFC-Que Choisir assure qu'il ne s'agit là que d'un hasard du calendrier. Aucune information n'a filtré quant à la teneur des échanges entre la DGCCRF et les constructeurs informatiques. (...)
(15/12/2006 14:55:52)HP : Mark Hurd aurait vendu des actions avant que le scandale n'éclate
Mark Hurd rattrapé par le scandale qui a touché HP ? Alors que le PDG du groupe avait été miraculeusement épargné par les barbouzeries ayant conduit à l'inculpation de Patricia Dunn, la présidente du conseil d'administration, le voilà pressé par deux députés américains d'expliquer pourquoi il a procédé à la vente d'actions juste avant que le scandale n'éclate. Le 25 août, d'après les deux représentants démocrates, Mark Hurd aurait vendu pour 1,37 M$ de titres HP. Le même jour, il était averti, par le parquet, de l'implication d'un des détectives engagés par le groupe et la possible mise en cause du groupe. Cette transaction "ne semble pas avoir été préprogrammée, notent les députés. Expliquez-nous en la raison". Plus grave, un actionnaire de HP a engagé une procédure judiciaire à l'encontre du groupe. Il entend savoir pourquoi Mark Hurd s'est délesté de plus d'un million de dollars d'actions mais également pourquoi sept autres dirigeants ont agi de la sorte entre le 21 août et le 6 septembre, écoulant ainsi plus de 40 M$ de titres. Pour l'heure, le constructeur n'a pas réagi à ces accusations. Si HP a éteint récemment les poursuites civiles liées à l'espionnage orchestré contre des membres du conseil d'administration et des journalistes, il ne fait guère de doute que le volet pénal de l'affaire est loin d'être clos. (...)
(14/12/2006 18:07:56)ST Micro se réorganise et pourrait céder l'activité mémoires flash
STMicroelectronics a annoncé une vaste réorganisation de ses activités autour de trois divisions clés chargées respectivement des applications spécifiques (ST est l'un des leaders mondiaux du domaine des ASICs), de la mémoire Flash et des applications industrielles et multisegments (IMS). La société a parallèlement laissé entendre qu'elle pourrait se désengager du marché de la mémoire Flash, alors qu'elle vient à peine d'annoncer la disponibilité de ses produits NAND Flash en 70 nm. La division Flash devrait pour l'instant être cantonnée dans un groupe autonome mené par Mario Licciardello. Selon la firme, la réorganisaion devrait être opérationnelle dès le 1er janvier. La refonte de l'organisation de ST fait une victime de poids, puisqu'elle s'accompagne du départ de Philippe Geyres, jusqu'alors en charge des activités "Home, Personal et Communications" (un tiers des activités de la société). Il est à noter qu'un autre Français, Claude Dardanne, est, quant à lui, promu à la tête de l'activité microcontrôleurs, mémoires et cartes à puce, au sein de la division IMS. (...)
(14/12/2006 10:30:37)HP table sur une croissance régulière jusqu'en 2008
HP devrait connaître une croissance régulière de son chiffre d'affaires jusqu'en 2008. Quelques heures seulement après avoir annoncé son prochain départ du groupe, le directeur financier Bob Wayman a ainsi dévoilé ses projections pour l'exercice fiscal 2008. A cet horizon, les revenus de HP devraient s'inscrire dans une fourchette de 100,9 à 102,8 Md$. Soit une croissance annuelle de 4 à 6%. Le rythme de progression du groupe ne devrait ainsi pas changer par rapport à celui observé cette année : entre 2005 et 2006, le CA a également crû de 6% par rapport à 2005. Si la croissance devrait s'établir, en 2008, entre 4 et 6% dans les divisions PC, imprimantes, stockage d'entreprise, serveurs et services, elle devrait être supérieure dans les activités logiciels et services financiers. Deux domaines dans lesquels HP espère réaliser des progressions respectives de 10 à 15% et 6 à 8%. Dans le même temps, le constructeur entend voir sa marge opérationnelle passer de 6% en 2006, à 9 ou 9,5% en 2008. Pour y parvenir, le PDG, Mark Hurd, explique que le groupe doit poursuivre les réductions de coûts entreprises l'an passé avec la suppression de 10% des postes. Réduire les coûts s'annonce comme une mission d'autant plus délicate à poursuivre que HP s'apprête à absorber les entreprises acquises en 2006 dont Mercury, acheté pour 4,5 Md$. Soucieux de rassurer les analystes, le PDG a toutefois indiqué qu'il n'y aurait pas d'autre acquisition de cette envergure à l'avenir, coupant court aux rumeurs faisant de Symantec la prochaine cible du groupe. (...)
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