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(20/07/2006 16:18:59)

Semestriels Cegid : les revenus reculent mais la marge progresse

:Résultats premier semestre 2006 Chiffre d'affaires : 106,5 M€ (-1,7%) Marge brute : 84,5% Si Cegid, l'éditeur lyonnais d'applications métiers et de PGI, publie un chiffre d'affaires en recul au cours du premier semestre, il ne déçoit cependant pas les analystes et voit même le cours de son titre progresser de 2% à la faveur d'une rentabilité améliorée. Les revenus du groupe présidé par Jean-Michel Aulas sont en baisse de 1,7% sur un an, à 106,5 M€. Ils pâtissent d'un recul des ventes de matériels et des prestations annexes de 4,4 M€, en partie compensé par la bonne tenue de la division progiciels (+4%). "L'évolution de la composition de notre chiffre d'affaires était prévue et décidée. La part du matériel dans notre revenu est passée en quelques années de 45% à moins de 15%. Entre temps, on a assisté à une montée en puissance des progiciels, nettement plus générateurs de marge", explique le directeur général Patrick Bertrand au mondeinformatique.fr. Et d'ajouter que la part du matériel devrait continuer à décroître. De fait, l'affaiblissement de ce secteur d'activité devrait conduire Cegid à voir sa rentabilité progresser sur l'ensemble de l'exercice. Au premier semestre la marge brute a déjà affiché une amélioration par rapport à 2005 : elle s'élève à 84,5% du CA, contre 81,8% en moyenne sur l'exercice précédent. Par ailleurs, l'éditeur a ouvert une ligne de crédit de 200 M€ sur cinq ans auprès de huit banques, "afin de nous donner les moyens de mener une politique de croissance externe", précise Patrick Bertrand. Si le DG reste prudent sur la nature des partenariats qu'il entend nouer, il rappelle que Cegid "veut rester dans le radar du top 5 des éditeurs du middlemarket européen". Et rappelle le positionnement de son groupe : "entre les ERP pour les grandes entreprise et les petites solutions type Best-of-breed il n'y a pas rien. Il y a Cegid". (...)

(20/07/2006 16:12:48)

Apple affiche toujours une santé insolente

Apple a de nouveau dépassé les objectifs des analystes financiers au cours du trimestre écoulé en publiant un CA de 4,37 Md$ et un bénéfice net de 472 M$, dans un trimestre pourtant habituellement faible pour la firme. La firme à la pomme a poursuivi sur sa lancée en dépassant une nouvelle fois la croissance du marché mondial avec une hausse de 16% de ses livraisons de Macintosh (contre 9,7% pour le marché des PC). Apple a livré 1,327 million de Macintosh au cours du trimestre soit à peine moins que le numéro 5 mondial du secteur, Fujitsu Siemens. A ce rythme de croissance, Apple pourrait retrouver sa place parmi les cinq premiers constructeurs d'ordinateurs mondiaux au cours du prochain trimestre. La performance est d'autant plus remarquable qu'Apple est en pleine transition de ses gammes des puces PowerPC de Motorola et IBM vers les puces x86 d'Intel. Point important pour la firme, les ventes d'iPod ont continué à un rythme soutenu pour s'établir à plus de 8,1 millions d'unités soit une croissance de 32% par rapport à l'an passé. La division iPod et l'activité musique de la firme ont représenté 45% des revenus du trimestre et Apple a conservé son avance sur ses concurrents avec près de 75% du marché mondial des baladeurs numériques. La firme estime que ses ventes devrait être solides au cours du trimestre à venir notamment du fait des achats liés à la rentrée scolaire, qui devraient doper les achats de Mac. Le lancement attendu en août des gammes de PC professionnels pourrait aussi améliorer les ventes de machines haut de gamme, sérieusement ralenties du fait de l'attente de la migration vers les puces Intel. (...)

(20/07/2006 14:48:29)

Effet Coupe du monde : la croissance des ventes de PC marque le pas au deuxième trimestre

Les ventes mondiales de PC en volume ont marqué le pas au deuxième trimestre par rapport à la période précédente. Selon le cabinet IDC, les consommateurs européens ont été distraits par la Coupe du monde de football et ont reporté leur décision d'achat. Entre les mois d'avril et de juin, 52,08 millions de machines ont trouvé acquéreur, soit 9,7% de plus qu'au cours du premier trimestre. Entre janvier et mars, la croissance avait atteint 12,9%. "Alors que la croissance mondiale demeure forte, on assiste à des disparités régionales inattendues. Les stocks restants du premier trimestre et l'effet Coupe du monde ont particulièrement amputé la croissance européenne", explique IDC. Ainsi, en Europe, la croissance a plafonné à 7% sur la période, soit moitié moins que ce qui avait été observé au cours des trois premiers mois de l'année et 5 points de moins que les estimations du cabinet. Ce qui équivaut à une déception pour les constructeurs devrait engendrer une baisse des prix et bénéficier aux consommateurs : "on peut s'attendre à une concurrence accrue dans la seconde moitié de l'année" note IDC qui rappelle que les fabricants américains ont d'ores et déjà adouci leurs tarifs pour améliorer le volume de leurs ventes. En outre, la concurrence acharnée que se livrent Intel et AMD devrait également contribuer à tirer les prix vers le bas. Deux constructeurs tirent leur épingle du jeu au cours du trimestre. Le taiwanais Acer continue de profiter de l'engouement pour les portables et de sa politique tarifaire et voit ses ventes progresser de 35,7%. Autre grand gagnant, Apple, a livré 16% de machines supplémentaires au T2 à la faveur d'une forte demande pour ses notebooks et à la bonne santé de son réseau de distribution. Ce succès "reflète une transition réussie vers les systèmes à base d'Intel", explique IDC.

Classement/Constructeur Ventes au T2 2006
(en millions d'unités)
Part de marché Ventes au T2 2005
(en millions d'unités)
Part de marchéEvolution en 2006
1. Dell9.99 19.2%9.00 19.0%10.9%
2. HP8.27 15.9%7.32 15.4%13.0%
3. Lenovo4.017.7%3.56 7.5%12.8%
4. Acer2.805.4%2.06 4.3%35.7%
5. Fujitsu/Siemens1.78 3.4%1.77 3.7%0.2%
Autres constructeurs25.25 48.5%23.77 50.1%6.2%
Total 52.08 100%47.48 100%9.7%
Source: IDC
(...)

(20/07/2006 12:22:16)

Gartner : les entreprises "matures" pourraient réduire leurs dépenses en sécurité

Et si les entreprises dépensaient trop pour leur sécurité informatique ? C'est ce que semble indiquer le Gartner dans une récente étude : selon le cabinet, les organisations matures pourraient, sans courir de risque, abaisser leurs dépenses en sécurité de façon à ce qu'elles atteignent au maximum 3 à 4 % de leur budget IT. Cela pourrait concerner environ 10% des entreprises, un chiffre qui devrait atteindre 20% à l'horizon 2008. A l'inverse, les sociétés ayant sous-estimé leurs besoins en sécurité devraient, toujours selon le Gartner, porter leurs dépenses en sécurité au moins à 8 % de leur budget IT. Le cabinet d'études identifie quatre processus clé permettant de distinguer un SI mature : la gestion des vulnérabilités, la protection contre les intrusions, le contrôle des accès au réseau et la gestion des identités et des accès. Le Gartner détaillera ces informations lors du sommet sur la sécurité IT qui se tiendra à Londres les 18 et 19 septembre prochains. (...)

(20/07/2006 12:21:35)

Résultats : Intel traverse une passe difficile

Intel a confirmé ses difficultés hier en présentant des résultats en forte baisse par rapport à l'an passé. Pour le second trimestre 2006, le numéro un mondial des processeurs a réalisé un chiffre d'affaires de 8 Md$, en recul de 13 % par rapport aux 9,2 Md$ de l'an passé. Le bénéfice net du fondeur a quant à lui reculé de pluus de moitié pour s'établir à 885 M$ contre 2 Md$ pour la même période en 2005. Intel a certes souffert du ralentissement des ventes de PC (IDC estime la croissance au second trimestre à 9,7% contre 12,9% au premier trimestre), mais il a surtout été victime de la progression d'AMD, son principal concurrent. Malgré la croissance des ventes de PC, Intel indique ainsi que ses ventes de processeurs en volume ont reculé. De plus les prix de ventes unitaires ont poursuivi leur recul, ironiquement du fait de l'agressivité d'Intel, qui cherche à se débarrasser de ses stocks pour faire place à ses nouvelles gammes de puces Core2. Au niveau mondial, les ventes d'Intel sur le continent américain ont reculé de 8% en valeur, tandis que les ventes en Asie-Pacifique régressaient de 14% et que les ventes en Europe s'effondraient de 24%. Seul le Japon se distingue avec une hausse de 3% des revenus... Le pire pourrait encore être à venir. Intel prévoit ainsi des ventes comprises entre 8,3 et 8,9 Md$ pour le prochain trimestre soit en dessous des prévisions initiales des analystes. Autre problème, la guerre des prix entamée avec AMD devrait encore éroder un peu plus les marges et avoir un impact négatif sur les résultats financiers. Et c'est encore sans compter avec les éventuelles provisions que devrait passer la firme si les rumeurs de licenciements massifs se confirment (des rumeurs dans l'industrie font état de 10 000 licenciements à venir). Dans ce contexte, la publication ce soir des résultats d'AMD devrait permettre d'en savoir un peu plus sur la situation réelle d'Intel. (...)

(20/07/2006 10:19:21)

La fibre, complément du Wimax ou du xDSL

Daniel Boucher, responsable de zone export chez Acome, revient sur les expérimentations et les perspectives du FTTH (Fiber To The Home). lemondeinformatique.fr : Que va présenter Acome sur le salon O'Débit en septembre ? Daniel Boucher : L'accent sera mis sur nos nouvelles séries de câbles optiques destinés aux réseaux FFTH. Nous parlerons aussi de notre centre d'expertise sur le très haut débit. Quel est l'objectif de ce centre ? C'est un centre de test grandeur nature, déployé à Mortain (50). Acome a construit une plate-forme de 10 500 m2 dédiée aux technologies très haut débit. C'est un réseau FFTH intégrant des équipements actifs desservant jusqu'à 1Gbit à l'usager. Nous y démontrons des services VOD, TVHD, visio HD et vidéosurveillance. Ce centre intègre toutes les infrastructures dont 50 km de conduites et de lignes aériennes, des réseaux d'accès simulant toutes les configurations, rurales et urbaines. Qui vient vous voir ? Essentiellement des collectivités locales qui ne disposent pas de l'expertise technique pour déployer un tel réseau. Elles veulent construire un réseau pérenne et de bonne qualité. Nous avons aussi la visite d'opérateurs (l'historique et les alternatifs) et d'intégrateurs. A quels problèmes sont confrontées les collectivités sur le FFTH ? Elles doivent bien dimensionner le réseau. Il faut définir la bonne taille des fourreaux et le nombre de fibres afin de ne pas avoir à ré-intervenir dans le futur. Nous leur montrons les techniques de micro génie civil, où l'on dispose d'une conduite mère et de micro-conduites qui peuvent être laissées libres. En cas de besoins on peut alors re-souffler des mini câbles sans avoir à intervenir de manière lourde...Autant tout faire de manière convenable la première fois... Pourquoi s'intéresser à la fibre alors que le DSL est bien déployé et que le Wimax s'annonce prometteur ? Nous estimons que ces technologies ne sont pas concurrentes mais complémentaires. Bertrand Delanoë l'a affirmé : la fibre optique et le Wimax seront complémentaires à Paris. La France est-elle en retard ? Face aux pays Scandinaves oui. A part Pau et les expérimentations de France Télécom sur certaines régions pilotes, il y a encore peu de réalisations. Mais on peut s'attendre à des déploiements plus massifs dans les années à venir. Du reste, Didier Lombard, le PDG de France Télécom, a officiellement annoncé l'abandon du vdsl au profit de la fibre... (...)

(20/07/2006 10:13:48)

Nortel et Microsoft s'allient, pas encore pour la vie

L'équipementier Nortel et l'éditeur Microsoft se mettent à parler convergence. Les deux groupes annoncent une alliance stratégique, tant technologique, promotionnelle que commerciale. L'objectif est d'allier le meilleur des deux mondes, télécoms et informatique, dans les communications unifiées. « En joignant leurs forces, Microsoft et Nortel vont accélérer la mise à disposition de télécommunications unifiées, pour un meilleur confort de l'utilisateur, une plus grande fiabilité et un coût total de possession faible. C'est là que nous pouvons faire tout la différence » explique Mike Zafirovski, CEO de Nortel. Steve Bazllmer, CEO de Microsoft renchérit : « Nous investissons ensemble car le secteur des télécommunications se situe à un point d'inflexion ». Jeff Raikes, président de la division Business chez Microsoft, enchaîne : « les télécommunications unifiées constituent la prochaine avancée en termes de productivité des individus, des équipes et des organisations dans un environnement professionnel actuel offrant une connectivité permanente et une mobilité croissante » . Les deux groupes s'entendent au moins pour 4 ans au sein d'une alliance baptisée Innovative Communications Alliance. Ils vont constituer des équipes communes pour la mise au point des produits à destination des opérateurs fixes et mobiles. Ils signeront des accords de licences communs. Nortel devient ainsi « partenaire stratégique » de Microsoft pour l'intégration des systèmes de télécommunications unifiées. L'équipementier proposera des solutions complémentaires à la plate-forme unifiée de Microsoft. La commercialisation, la formation des équipes et la promotion des solutions seront elles aussi coordonnées. Reste à concrétiser ce beau programme... (...)

(19/07/2006 17:13:32)

Trimestriels IBM : faible croissance des revenus mais des bénéfices solides

Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 21,9 Md$ (- 2%) Bénéfice net : 2,02 Md$ (+10,5%) A la faveur de bonnes performances dans son activité logicielle, IBM a publié des résultats faisant ressortir un bénéfice en hausse de 9% au deuxième trimestre. Big Blue a réalisé un chiffre d'affaires de 21,9 Md$ sur la période close le 30 juin. Si ce chiffre est inférieur de 2% par rapport au même trimestre de l'exercice précédent, c'est en partie parce que le référentiel prenait en considération une partie des revenus des PC cédés au chinois Lenovo. A périmètre constant, le chiffre d'affaires progresse d'un pourcent. IBM s'est montré particulièrement efficace dans les logiciels, la microélectronique et les mainframes System z, a expliqué Mark Loughridge, le directeur financier. Il a toutefois précisé que "si certains secteurs d'activité ont été performants, d'autres ne sont pas parvenus à croître". La division logicielle a réalisé un chiffre d'affaires de 4,2 Md$, soit 5% de plus qu'un an auparavant. Elle profite notamment d'une hausse de 4% des ventes dans le middleware (dont WebSphere, Information Management, Tivoli, Lotus et Rational), à 3,2 Md$, qui compense le recul de 6% des systèmes d'exploitation, à 558 M$. Si la branche matérielle - Systems and Technology Group - progresse de 3% sur un an pour atteindre 5 Md$, elle laisse apparaître des succès contrastés. Ainsi, d'un côté, la gamme de serveurs System z bondit de 7 % alors que, de l'autre, les ventes de serveurs xSeries restent stables. Mais c'est surtout les séries p et i qui se montrent décevantes, des problèmes dans la chaîne d'approvisionnement ayant laissé de nombreuses commandes non traitées : leurs revenus reculent respectivement de 10% et 7%. Enfin, la division Global Services perd un pourcent et réalise un chiffre d'affairs de 11,9 %. IBM publiait une baisse comparable de son activité dans les services au trimestre précédent. Malgré une croissance des revenus finalement poussive, Big Blue a néanmoins su faire progresser son bénéfice net de 10,5%, à 2,02 Md$. Le groupe s'est appuyé pour cela sur les économies réalisées au cours des douze derniers mois - notamment celles induises par le plan de restructuration touchant 15 000 postes - et sur son recentrage vers les activités à forte marge, essentiellement les services et le conseil. (...)

(19/07/2006 17:14:48)

Les spécialistes indiens de l'offshore ont le vent en poupe

Résultats premier trimestre Wipro Chiffre d'affaires : 677 M$ (+37%) Bénéfice : 132,8 M$ (+44%) Résultats premier trimestre Tata Consultancy Services Chiffre d'affaires : 900 M$ (+42%) Bénéfice : 187 M$ (+33%) Les spécialistes indiens de l'externalisation affichent une exubérante santé, au moment où les acteurs IT occidentaux connaissent une période délicate, à l'image de BO, Yahoo ou AMD qui ont publié ou annoncé des performances inférieures aux estimations. Tata Consultancy Services, le spécialiste numéro un de l'externalisation dans le Sous-continent, réalise clôt ainsi son premier trimestre sur un chiffre d'affaires en hausse de 42 %, à 900 M$.Il profite de la demande mondiale galopante pour les services offshore - les exportations indiennes de logiciels et services sont attendus en hausse de 27% à 30% en 2006 - et de la dépréciation de la roupie indienne. Son bénéfice s'élève à 187 M$, et croît de 33 % par rapport à la même période de l'année précédente. Plus de la moitié des revenus du groupe (53%) proviennent des exportations à destination de l'Amérique du Nord, contre 27% pour l'Europe. Tata a recruté 4 698 nouveaux salariés au cours du trimestre, portant son total à 71 190 au 30 juin. Même niveau de performances pour Wipro, le troisième principal acteur de l'industrie offshore indienne. Son chiffre d'affaires s'élève à 677 M$, en hausse de 37%, et son bénéfice bondit de 44% pour atteindre 132,8 M$. Si Wipro s'adresse à la fois au marché domestique indien et aux entreprises IT à travers la planète, c'est auprès de ces dernières qu'il réalise la très grande majorité de ses revenus. Sa division Global IT Services & Products - axée sur l'offshore - réalise ainsi un CA de 530 M$ et progresse de 42 % sur un an. Le groupe a embauché 2 693 salariés supplémentaire au cours de la période considérée et compte désormais 56 435 employés. Il y a quelques jours, Infosys - le numéro deux indiens de l'externalisation - avait publié des résultats en ligne avec ceux de Tata et Wipro. (...)

(19/07/2006 12:37:51)

Trimestriels Yahoo : le moteur déçoit avec un chiffre d'affaires inférieur aux attentes

Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 1,58 Md$ (+26%) Bénéfice net : 164,3 M$ (-78.2%) Yahoo n'est pas parvenu à atteindre le consensus des analystes avec son chiffre d'affaires du deuxième trimestre, et a dû publier un bénéfice en fort recul. Le moteur de recherche a également indiqué qu'il comptait retarder la sortie de sa future plateforme de publicité en ligne. Le chiffre d'affaires atteint 1,58 Md$, soit 26 % de plus qu'à la même période de l'exercice précédent. Hors coût d'acquisition du trafic, les revenus progressent de 28%, à 1,12 Md$, mais échouent à atteindre le consensus des analystes qui avaient placé la barre à 1,14 Md$. Le bénéfice net affiche une baisse spectaculaire : il est presque divisé par quatre, à 164,3 M$. Malgré cette chute, il reste en ligne avec les prévisions des observateurs, lesquelles prenaient en compte la cession d'un "investissement non stratégique" de 563 M$ qui gonflait artificiellement les bénéfices du T2 2005. Autre déception pour Yahoo : le lancement de sa très attendue plate-forme de publicité en ligne censée doper les revenus et combler l'écart avec Google. Project Panama est repoussé et n'interviendra pas au troisième trimestre, comme cela avait été annoncé précédemment. Terry Semel, le PDG du groupe, table désormais sur une sortie de l'outil au quatrième trimestre, et n'envisage pas de retombées financières avant le début du prochain exercice fiscal. Selon l'homme fort du moteur de recherche, la technologie est au point mais Yahoo estime que davantage de temps est nécessaire pour que ses partenaires soient en mesure d'adapter leurs systèmes à la future plate-forme. (...)

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