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(31/01/2006 18:09:20)
SAP annonce un service de GRC à la demande
SAP revient sur ses dires et devrait annoncer jeudi un nouveau service de Gestion de la relation Client hébergé (CRM on demand). Jusque-là, l'éditeur allemand refusait de développer ce type de service arguant d'autres priorités. La concurrence aidant, SAP a donc fait marche arrière et se lance dans la gestion de la relation clients hébergée. Peu de détails ont filtré, SAP explique simplement que son produit sera différent de ceux de ses concurrents ! Les utilisateurs pourraient ainsi profiter pleinement de l'application. De même, les clients devraient avoir la possibilité de migrer du service hébergé à une application internalisée de GRC, sans interruption de service. SAP prévoit de s'étendre plus largement sur la question lors d'une conférence de presse américaine, jeudi prochain. (...)
(27/02/2006 12:31:00)Décisionnel : Euriware acquiert Eurinfo
Euriware vient d'annoncer la reprise à 100% du capital de la société Eurinfo afin de renforcer ses offres de conseil et de mise en ?uvre de solutions d'informatique décisionnelle. Fondée en 1994 et basé au sud d'Aix en Provence, Eurinfo intervient essentiellement sur le domaine de la business intelligence et de la gestion de performance en concevant et intégrant des tableaux de bord de pilotage de l'entreprise pour les dirigeants. La société est un partenaire Gold de Business Objects et compte parmi ses autres partenaires technologiques des acteurs comme Sunopsis, Oracle, Microsoft, IFS et De Gamma. (...)
(31/01/2006 18:10:47)Sun lance des nouvelles stations de travail Sparc et Opteron
Sun Microsystems a dévoilé lundi 30 janvier une nouvelle famille de stations de travail Ultra, les Ultra 20, Ultra 40 et Ultra 45. Ces trois machines, préconfigurées sous Solaris 10 x86, arrivent en standard avec les outils de développement du constructeur et deux d'entre elles intègrent en standard ses outils de calcul en grille. Elles supportent aussi Windows XP et les distributions Linux de Red Hat et Novell. L'Ultra 20, dont le modèle de base intègre une puce bi-coeur Opteron 144, 512Mo de mémoire et 80Go de disque dur est proposée à partir de 895 $. L'Ultra40 une station bi-processeur dont le modèle de base est équipé d'une puce Opteron 246, d'1 Go de Ram et de 80 Go de disque est proposé à partir de 2295 $ tandis que l'ultra 45 coûte 3695 $ avec une puce UltraSparc IIIi, 1 Go de Ram et 80 Go de disque dur. Ces deux derniers modèles embarquent une du logiciel Sun N1 Grid Engine, en complément de la suite complète des outils Sun Studio et Sava Studio. Adapté d'une article en anglais de China Martens, notre correspondant d'IDG News Service à Boston (...)
(31/01/2006 18:10:05)IBM sort une version gratuite de DB2 express
IBM vient d'annoncer une version gratuite de son SGBD-R DB2. IBM DB2 Universal Database Express-C, c'est son nom, est disponible pour Linux and Windows et peut fonctionenr sur tout serveur avec au maximum deux processeurs bi-coeur et 4 Go de mémoire. Contrairement aux éditions gratuites des SGBD concurrents chez Oracle ou Microsoft, DB2 Universal Database Express-C n'impose pas non plus de limites en terme de nombre d'utilisateurs simultanés. Le nouveau logiciel peut être mis en production ou embarqué dans des applications tierces et il est téléchargeable sur le site d'IBM à l'adresse http://www.ibm.com/db2/express/. Jusqu'alors la moins chère des bases de données de Big Blue était DB2 Express, un produit lancé en 2003 et vendu près de 5000 $ par CPU. Bien sûr, IBM a fait l'économie de quelques fonctions dans DB2 Express-C. le logiciel n'intègre ainsi ni les outils DB2 Warehouse Manager, ni les outils de réplication avec Informix ni DB2 Connect. (...)
(24/02/2006 16:52:32)Microsoft fusionne ses groupes Exchange et Real-Time Communications
Microsoft a décidé de fusionner ses groupes de développement Exchange Server et Real-Time Collaboration Server pour former un nouveau groupe baptisé Unified Communications Group. L'objectif du géant est d'aligner le développement de sa plate-forme e-mail avec les travaux effectués autour de nouvelles technologies de communication comme la messagerie instantanée, la web conférence, ou la téléphonie sur IP. Le nouveau groupe sera mené par Anoop Gupta, l'actuel vice-président de la division Real-Time Communications. Selon Microsoft, cette réorganisation ne devait pas avoir d'effet sur les plans produits immédiats d'Exchange et RTC. Une nouvelle mouture du serveur de messagerie, Exchange 12, est attendue pour la fin 2006 ou le début 2007 tandis qu'un composant clé du groupe RTC, Speech Server 2007, est attendu pour la fin 2006. Il est à noter que cette réorganisation intervient alors que Lotus poursuit ses efforts d'intégration de ses offres de messagerie électronique et de communications instantanée. L'éditeur a déjà étroitement intégré la notion de présence dans Notes et sa plate-forme Workplace combine allégrement messagerie, collaboration et communications instantanée. Avec son prochain client Hannover, présenté en janvier lors de Lotusphere, Lotus devrait définitivement faire converger au sein d'un même client l'ensemble de ses outils de communication. L'éditeur n'a pas à ce jour précisé ce qui adviendrait côté serveur, mais il y a fort à parier qu'à ce niveau aussi, la convergence devrait s'accélérer autour du protocole SIP. Bref comme autrefois pour la messagerie et les communications instantanées, l'affrontement entre les deux éditeurs devrait se poursuivre sur le marché des communications unifiées... (...)
(31/01/2006 18:12:51)Checkpoint finit fort un solide exercice 2005
Le spécialiste des solutions de sécurité Checkpoint a bouclé son exercice 2005 sur un bon dernier trimestre, confirmant une solide année. Pour le quatrième trimestre, clos le 31 décembre, le chiffre d'affaires atteint 156,1 M$, en progression de 9,2 % par rapport à la même époque de l'année précédente. Les bénéfices s'élèvent à 89,2 M$ et gagnent 17 % sur un an. Checkpoint a profité sur la période d'un fort dynamisme des ventes de licences ainsi que d'une forte demande en services. Eyal Desheh, le directeur financier, a tenu à souligner la vitalité de la solution Web Security et des boîtiers VPN. Pour Gil Shwed, le PDG du groupe, "c'est un bon trimestre pour terminer l'année". Et ce, précise le dirigeant, malgré des ventes quelque peu décevantes au cours de la seconde moitié de l'exercice. L'exercice 2005 aura permis à Checkpoint d'afficher des taux de croissance à deux chiffres : le chiffre d'affaires, à 319,7 M$, progresse de 12 % par rapport à 2004. Mieux, les bénéfices bondissent de 29 % sur un an et atteignent 319,7 M$. Cette dernière performance ne devrait cependant pas être rééditée en 2006 : le groupe indique ainsi qu'il table sur une progression des bénéfices de 14 %. Pour assurer sa croissance, il entend se focaliser davantage sur les PME : un premier pas dans cette direction a déjà été effectué à travers le partenariat noué avec D-Link. Enfin, Checkpoint devra parvenir à conclure l'acquisition de Sourcefire. Une opération annoncée au mois d'octobre pour 225 M$ mais dont le processus de validation s'avère plus long que prévu. Le groupe pense parvenir à régler cette affaire au cours du deuxième trimestre. Mais d'ici là, la mise en place de la feuille de route devrait s'en trouver affectée. (...)
(31/01/2006 18:08:43)Verisign / Icann : vers la détente
Icann, le régulateur de l'Internet vient de publier une version modifiée des accords définissant ses relations avec Verisign, gestionnaire des registrars .com et .net, passés en octobre 2005. Le présent accord, qui porte sur 6 ans, vise avant tout à limiter les hausses excessives et incontrôlées des prix des suffixes .com demandé au registrar par Verisign. Soit sous le précédent accord 6$ par .com, plus une hausse de 7% par an non-justifiée. Désormais, sur une période de six ans -durée du contrat-, la hausse de 7% imposée par Verisign devra être impérativement conditionnée par soit une alerte sécurité, soit un mandat avec l'Icann. Sur les quatre années restantes, la société pourra pratiquer ses 7% de traditionnelle hausse. Egalement dans ce nouvel accord, Verisign ne pourra plus répercuté les frais de de l'Icann sur les registrar. Il devra en revanche verser un forfait de 6 M$ par an à l'organisme. Enfin, dernier point l'Icann indique rejeter le SiteFinder de Verign, service mis en place en 2003 et source de litige entre les deux parties. Pour l'heure, ces propositions restent toujours sujettes à validation des comités directeurs de Verisign et de l'Icann. Après une autre période de consultation publique. A terme, cela pourrait adoucir les relations entre les deux sociétés. (...)
(30/01/2006 17:31:59)SAP lance un nouveau service de support
SAP propose désormais un forfait de service après vente à mi-chemin entre le support technique standard et l'offre d'accompagnement Max Attention. Ce nouveau contrat se nomme SAP Premium Support. Par ce contrat, SAP prend une part plus active dans la mise en place de ses outils et accompagne les entreprises afin de limiter les risques. SAP garantit ainsi un « service level agreement » afin de répondre rapidement aux entreprises sans surcharge de coût. Disponible pour toutes les entreprises, le prix du nouveau service se monte à 22 % du montant de la licence annuelle. A titre de comparaison, le support de base, est facturé 17 % du prix de la licence. (...)
(24/02/2006 16:57:07)IBM met la main sur le logiciel Argus Semiconductor d'Infinicon
IBM vient de faire l'acquisition de la propriété intellectuelle du logiciel dédié aux semi-conducteurs d'Infinicon, Argus. Ce logiciel permet un contrôle avancé du processus de lithographie dans le cadre de la production de semi-conducteurs. Ce nouvel outil complètera l'offre d'E&TS - Engineering & Technologies Services - ainsi que l'expertise technologique en microélectronique d'IBM afin de proposer aux entreprises des solutions complètes, de bout en bout. Une partie du personnel d'Inficon rejoindra les troupes d'IBM, notamment certains développeurs ainsi que le service après-vente. Le montant de cet achat n'a pas été communiqué. (...)
(24/02/2006 16:58:01)Le rapprochement Thales/Alcatel revient sur le devant de la scène
Alcatel envisagerait - une fois de plus - d'accroître sa participation dans Thales. L'équipementier réseau et télécoms, qui détient actuellement 9,5 % du capital du groupe de défense, aurait prévu, selon la lettre Aéronautique Business, de présenter un projet de rapprochement ce 31 janvier lors d'un conseil d'administration de Thales. Le groupe conduit par Serge Tchuruk ambitionnerait d'apporter ses activités satellites en échange d'une augmentation de sa participation. Alcatel détient actuellement 9,5 % de Thales et pourrait, si l'opération se conclut, faire monter ses parts à 25 %, voire 30 %. La participation de l'Etat s'en trouverait alors amoindrie : de 31,3 %, elle pourrait passer à 25 %. Si l'opération semble prometteuse pour Alcatel - les activités de défenses sont moins soumises aux aléas conjoncturels que les télécoms - le rapprochement des deux groupes n'en demeure pas moins un éternel serpent de mer. On se souvient notamment d'une rumeur avortée, lancée il y a quelques mois par le Sunday Times, portant sur une somme de 7 MdE que Serge Tchuruk était prêt à dépenser pour racheter Thales. (...)
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