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(19/01/2006 17:37:16)

L'Europe, première région consommatrice de PC en 2005

L'Europe, principal marché PC du monde si l'on en croit la dernière étude annuelle de Gartner sur les livraisons d'ordinateurs personnels. Pour la première fois, le vieux continent a dépassé les Etats-Unis avec quelque 72,6 millions de PC livrés en 2005, soit exactement le tiers du marché mondial. Un chiffre lié à une forte croissance, à deux chiffres (17,1 %), là où le marché américain semble marquer le pas avec une progression de 7,5 % (et 67,1 millions d'unités livrées). Reste que l'Asie - hors marché japonais, valorisé à part par les statisticiens de Gartner - demeure le principal moteur de la croissance mondiale avec 42,7 millions de PC livrés en 2005, soit 26 % de plus que l'année précédente. Côté fournisseurs, la croissance mondiale continue de profiter à Dell (36,7 millions de PC livrés, soit 16,8 % du marché) mais la progression du texan tend à se tasser et il ne prend plus que peu de parts de marché à ses concurrents directs. Derrière, HP se maintient à 14,5% de part de marché avec 31,8 millions de PC livrés (+15,1%). Outre Lenovo - désormais 3e constructeur mondial avec près de 7% du marché (+16,4%) - c'est surtout Acer qui perce. Le taïwanais occupe désormais la 4e place - devant Fujitsu Siemens - avec 4,6% du marché mais surtout une croissance de 58,1% de ses livraisons, notamment liée à sa gamme de portables. (...)

(19/01/2006 17:41:50)

Yahoo a bien profité de la croissance de l'activité Internet en 2005

Des bénéfices trimestriels qui ont quasiment doublé sur un an à 683,2 M$, sur un CA en hausse de 39 % à 1,5 Md$ pour Yahoo au 4e trimestre 2005 et pourtant les analystes financiers s'attendaient à 6 à 7 points de croissance supplémentaires. Il semble difficile pour l'un des plus anciens acteurs du secteur de se développer sans souffrir de la comparaison avec Google, en bourse depuis moins de deux ans et vedette des annonces de résultats. Reste qu'après avoir souffert de la désillusion Internet au début des années 2000, Yahoo s'est bien redressé pour réaliser, sur 2005, son meilleur exercice avec 5,257 Md$ (+47%) de CA pour un bénéfice net qui fait plus que doubler à 1,896 Md$ (+126%). (...)

(18/01/2006 17:52:28)

Tableau de l'Arcep : six fois plus de lignes totalement dégroupées en 2005

Près de 600 000. C'est le nombre de lignes en dégroupage total au 31 décembre 2005. Ce sont autant d'abonnés qui ne souscrivent plus les services de France Télécom. Tel est le principal enseignement du tableau de bord du dégroupage en France, présenté par l'Arcep. Le nombre total de lignes dégroupées s'élève à 2,82 millions, soit 76,5 % de plus que les chiffres présenté par l'Autorité pour l'année 2004. L'Arcep souligne particulièrement la forte croissance du dégroupage total, ainsi que le rôle grandissant des autorités locales. Sur les 2,82 millions de lignes dégroupées, 592 000 le sont totalement. Un total qui a été multiplié par six en l'espace d'un an. Dans le même temps, le nombre de lignes partiellement dégroupées ne progressait que de 48 %. Les taux de croissance constatés au quatrième trimestre 2005 illustrent le dynamisme du dégroupage total : ce dernier affichait une croissance de 64 %, contre seulement 3,5 % pour le dégroupage partiel. Si le nombre de lignes dégroupées progresse rapidement, la couverture de la population adopte une croissance qui n'est que marginale : en un an, la proportion des abonnés pouvant s'affranchir de l'opérateur historique n'a gagné que deux points, à 54 %. A la fin 2005, 1107 sites de dégroupage ont été livrés* par France Télécom aux opérateurs alternatifs, dont 168 au cours de l'année. L'Arcep a souligné l'importance du rôle joué par les collectivités locales pour atteindre ce chiffre. Selon l'autorité de régulation, "plus des trois quart [des 168 sites livrés en 2005] l'ont été grâce à l'intervention des collectivités". Quatre projets de réseaux à l'initiative des pouvoirs publics locaux ont particulièrement contribué à la livraison de sites l'an dernier, en Alsace, dans le Loiret, l'Oise et les Pyrénées Atlantique. * Selon l'Arcep, "la livraison d'une site signifie la réception par un opérateur d'un emplacement mis à disposition par France Télécom dans un répartiteur". (...)

(18/01/2006 17:52:05)

Via met à jour sa gamme de processeurs x86 à basse consommation

Via vient de présenter deux nouveaux processeurs x86 à basse consommation, les Eden ULV à 1 Ghz et Eden à 1,5 GHz. Le premier se contente d'une consommation électrique de 3,5 Watts, contre 7,5 Watts pour le second. Avec de telles consommations, les deux nouveaux venus de la gamme Eden peuvent s'offrir le luxe d'un refroidissement passif et permettent donc la réalisation de PC totalement silencieux . Ces nouveaux processeurs s'appuient sur le bus V4-Bus, lancé l'an dernier par Via dans le but de remplacer les bus systèmes d'Intel qu'il exploitait jusqu'alors sous licence. Tout naturellement, Via destine ses nouveaux processeurs aux clients légers, aux PC silencieux et à l'embarqué. Le fondeur précise que ses nouveaux processeurs sont dores et déjà disponibles, mais ne communique pas de tarif indicatif. (...)

(18/01/2006 17:51:13)

Modeste progression du chiffre d'affaires de LogicaCMG

LogicaCMG vient d'indiquer que son chiffre d'affaires a enregistré une progression organique de 5 % sur l'année calendaire 2005, par rapport à l'année précédente. Sans fournir de chiffres détaillés, qu'elle réserve pour l'annonce de ses résultats préliminaires le 1er mars prochain, la SSII fait état de confortables liquidités au second semestre. Dans le domaine des services, LogicaCMG souligne ses bonnes performances au Royaume-Uni et aux Pays-Bas, mais aussi en France. Dans l'hexagone, la SSII semble particulièrement satisfaite de son rapprochement avec Unilog et de ses premières retombées. LogicaCMG reconnaît néanmoins des difficultés sur le marché allemand, tout en précisant que son chiffre d'affaires local est resté stable au second semestre par rapport au premier. LogicaCMG a fait l'acquisition de 32,3 % d'Unilog fin octobre dernier. Le rachat s'est achevé le 13 janvier. LogicaCMG détient désormais 96,6 % du capital d'Unilog. (...)

(27/02/2006 17:31:58)

Intel : stocks insuffisants, résultats en berne

Les résultats présentés par Intel pour son quatrième trimestre 2005 ont engendré des sueurs froides dans le cénacle boursier. En n'atteignant ni ses propres objectifs, ni les prévisions des analystes, le groupe a vu le cours de son titre s'effondrer en quelques heures. Le chiffre d'affaires réalisé au quatrième trimestre s'élève à 10,2 Md$, soit 6 % de plus qu'à la même période de l'année précédente. Un peu plus tôt dans l'année, Intel prévoyait des revenus compris entre 10,4 et 10,6 Md$, quand les analystes escomptaient 10,56 Md$. Le bénéfice net atteint 2,5 Md$, en progression de 16 % sur un an, soit un gain par action de 40 cents. Là encore, le groupe ne parvient pas à s'aligner sur les prévisions des analystes, ces derniers visant 43 cents par action. Sur l'ensemble de l'année 2005 le chiffre d'affaires croît de 13,5 %, à 38,8 Md$. Le bénéfice net bondit de 15 % pour atteindre 8,7 Md$. Le prévisions du groupe pour le premier trimestre 2006 n'ont guère réjouit les observateurs. Intel table ainsi sur un CA compris entre 9,1 et 9,7 Md$. Pour l'ensemble de l'exercice, le fabricant espère une croissance des revenus de 6 à 9 %. La direction a attribué ces résultats à des livraisons plus faibles que prévues de processeurs pour PC de bureau. Un problème lié à un stock insuffisant pour satisfaire l'ensemble de la demande. Par conséquent, les livraisons ont été inférieures à ce que le groupe avait prévu au début de l'année. Selon le président, Paul Otellini, les niveaux de stocks devraient recouvrer un état normal au cours du premier trimestre 2006. Intel se concentrera ensuite sur le maintien de stocks importants pendant le reste de l'année. (...)

(27/02/2006 17:31:20)

IBM termine l'année 2005 sur des ventes en baisse mais un bénéfice en hausse

IBM a bouclé son exercice fiscal 2005 sur un bénéfice en croissance mais des ventes en recul. Le chiffre d'affaires atteint ainsi 91,1 Md$, soit 5 % de moins qu'en 2004, alors que le résultat net perd 6,6 %, à 8 Md$. Au quatrième trimestre, Big Blue a enregistré un revenu de 24,4 Md$, en recul de 12 % par rapport à la même période de l'année précédente. Dans le même temps, le résultat net gagnait 13 % et atteignait 3,2 Md$. En ne tenant pas compte de la division PC, dont les ventes sont prises en compte pour les premiers mois de 2005, cédée au chinois Lenovo, le CA d'IBM s'alignerait à 88,3 Md$, soit une hausse de 3 % sur un an. Toutes les zones géographiques ont reflété le faible dynamisme des ventes au cours de l'année, allié à un taux de change défavorable. Si la région Amériques fait bonne figure avec un revenu de 38,8 Md$, en régression de 3 % (+4 % après ajustement des taux de change et en excluant la division PC), la zone Asie-Pacifique recule de 12 %, à 18,6 %, résultat d'une restructuration dont les effets positifs sur les résultats du groupe devraient se faire sentir au premier trimestre 2006. Quatre marchés émergents s'illustrent particulièrement par des taux de croissance intéressants : l'Inde gagne ainsi 55 % sur l'année, le Brésil et la Chine progressent respectivement de 7 % et 8 %, et la Russie affiche une croissance de 29 %. En excluant la division PC, les chiffres d'affaires de tous les secteurs d'activité d'IBM enregistrent des revenus croissants sur l'ensemble de l'année. La division Global Services enregistre un CA en hausse de 2 %, à 47,4 Md$. L'activité Hardware, avec 24,3 Md$, pâtit particulièrement de la cession des PC à Lenovo et recule de 22 %. En excluant l'activité PC, cette division afficherait une hausse de 5 %. Les logiciels génèrent 15,8 Md$ et croissent de 4 %. L'activité finance, Global Financing, avec 2,4 Md$, décroît de 8 %. En dépit de ventes plutôt calmes, Big Blue est donc parvenu à dégager d'intéressants profits et, au grand bonheur des actionnaires, à porter le bénéfice par titre à 2,01 $, soit plus que ne le prévoyaient les analystes. C'est en mettant l'accent sur les activités hautement rentables et en mettant de côté les secteurs à faible marge qu'IBM est parvenu à un tel résultat. "Comme nous disions un peu plus tôt dans l'année, explique ainsi Mark Loughridge, le directeur financier du groupe, nos bénéfices découlent davantage d'une maîtrise des coûts et des dépenses que de nos revenus". (...)

(27/02/2006 17:29:50)

IDC et Oracle prévoient une légère hausse du marché des ERP pour PME en 2006

La cinquième édition du baromètre de l'ERP réalisée par IDC avec Oracle auprès de 300 entreprises de 100 à 2000 salariés prévoit une légère hausse des installations de progiciels dans les PME en 2006 après une année 2005 en deçà des attentes. Pour leur baromètre précédent, IDC et oracle avaient estimé en début d'année 2005 que 9% des PME du segment s'équiperait d'un ERP. Au final environ 7% ont effectivement franchi le pas. Selon IDC, ces PME n'ont pas pour autant renonce a s'équiper en solutions ERP. Leurs décisions d'achat devraient se concrétiser début 2006. IDC et Oracle pronostiquent donc que 8% des PME devrait investir dans un progiciel intégré au cours de l'année 2006. L'une des informations intéressantes du baromètre est qu'il montre le caractère prédateur des ERP sur les autres formes de logiciel. Selon IDC et Oracle, L'ERP « cannibalise » le Système d'Information des PME équipées ne laissant que peu de marges de man?uvre aux solutions Best of Breed. Pour une PME, l'acquisition d'un ERP présente donc le risque de se livrer pied et poings liés à un fournisseur. Côté plus positif, l'ERP permet à des entreprises de faire avancer leur SI. Par exemple, seules 50% des entreprises ayant choisi une approche "best of Breed" sont équipées d'outils de gestion de la production tandis que celles qui disposent d'un ERP sont équipées à 73%. Reste qu'IDC ne précise pas si les PME "best of Breed, ne sont pas passées à l'ERP, justement parce qu'elle n'ont pas besoin de gestion de production (cas des sociétés de service ou de distribution par exemple)... L'ERP pousse à un suréquipement logiciel Une autre information intéressante du baromètre est qu'il fait le point sur le niveau d'équipement des PME en logiciels. On apprend ainsi que les modules fondamentaux de gestion - gestion comptable et financière, gestion commerciale, gestion de la production et gestion de la paye et des ressources humaines - sont massivement adoptés, que la PME soit adepte de l'ERP ou non. Selon IDC, le nombre moyen de modules de gestion mis en oeuvre est de 3,4 pour les PME équipées d'ERP, contre 3,2 modules pour celles adeptes des solutions Best of Breed. Les PME équipées d'ERP semblent en revanche plus matures pour ce qui concernent le CRM ou la business Intelligence. Le passage à une offre intégrée ERP semble également accélérer l'adoption de solutions de gestion de la relation clients (CRM) et de Business Intelligence, ce qui paraît logique dans la mesure ou les éditeurs d'ERP ont souvent étendu leurs offres à ce secteur et poussent leurs clients à élargir leur nombre de modules . Le nombre moyen de modules utilisés passe ainsi à 4,3 lorsque la PME dispose d'un ERP contre 3,6 modules lorsqu'elle privilégie les solutions Best of Breed. Il est à noter que si l'ERP joue un rôle structurant dans le Système d'Information, il contribue aussi à la réduction du nombre de fournisseurs de logiciels de l'entreprise. Un bénéfice, assorti d'un accroissement du risque de dépendance. Il est ainsi révélateur que les PME disposant de 4 modules de gestion ont aussi dans plus de deux tiers des cas 4 fournisseurs différents. Pour terminer, signalons que selon IDC et Oracle, 46% des PME équipées d'un ERP et 44% des autres PME prévoient des évolutions majeures en 2006. Pour la plupart il s'agira d'une évolution du périmètre fonctionnel des applications ou d'un élargissement de la base installée d'utilisateurs. 30% des PME prévoient ainsi de déployer leur ERP sur une base plus large d'utilisateurs, contre 25% des PME adeptes des solutions Best of Breed. (...)

(18/01/2006 18:07:20)

Offres promotionnelles sur la gestion en mode hébergé

Editeur de logiciels de gestion en mode hébergé, Idylis proposera deux packs sur mesure durant le salon des entrepreneurs, du 1er au 3 février 2006 au palais des Congrès de Paris. Le pack Idylis Libéral, destiné aux professions libérales, regroupe Comptabilité libérale, une solution pour gérer comptes et liasses fiscales, ainsi que Gestion libérale, un logiciel incluant des outils de facturation, de gestion de la relation client et des tableaux de bord. L'ensemble est proposé au tarif de 100 € pour un an, uniquement sur la durée du salon. Un second pack, Idylis 3x3, s'adresse aux petites entreprises : il comprend une solution de comptabilité, un outil de gestion commerciale et un troisième logiciel au choix. Pour trois utilisateurs, le tarif spécial salon est de 180 € pour un abonnement d'un an. (...)

(18/01/2006 18:06:33)

Les outils numériques s'exposent au salon des entrepreneurs

Du 1er au 3 février 2006, le salon des entrepreneurs accueille petites et moyennes entreprises au Palais des Congrès, porte Maillot à Paris. Comme l'année précédente, un espace entier, l'Econumérique Expo, est consacré aux technologies de l'information. Près d'une trentaine de conférences et d'ateliers techniques sont proposés aux visiteurs. Parmi les thèmes abordés, le commerce en ligne, la mobilité ou encore les téléservices administratifs proposés aux entreprises. L'exposition accueille par ailleurs 35 exposants, éditeurs, sociétés de services ou fournisseurs de matériel informatique. (...)

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