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(27/09/2011 16:26:30)

Logica et Orchestra Networks facilitent le MDM dans le cloud

Le constat est clair. Les projets de gestion des données de référence (MDM, master data management) mettent longtemps à démarrer, souvent près de deux ans, et ils coûtent cher. « Le coût moyen d'un projet de MDM en France est supérieur à un million d'euros, en partant de 500 K€ pour les plus petits jusqu'à 3 M€ pour les plus gros », a indiqué ce matin Franck Régnier-Pécastaing (en photo, à gauche), associé chez Logica Business Consulting. La source du problème est souvent organisationnelle. La DSI liste l'expression des besoins des différents départements de l'entreprise et joue l'arbitre. Elle cherche un outil qu'elle pourrait généraliser pour tous les projets, à spectre large et évolutif. Or, plutôt que de voir grand dès le départ pour démarrer avec un petit projet, comme cela se fait souvent, l'entité conseil de la SSII propose de commencer petit puis d'acquérir la capacité de grandir. « Il faut arrêter de vendre du sur-mesure à nos clients », une option qui revient trop cher.

Pour mettre en pratique cette résolution, Logica Business Consulting a élaboré une offre clé en main de MDM en s'appuyant sur la solution cloud développée par le spécialiste français de la question, l'éditeur Orchestra Networks. « L'approche cloud permet de démarrer rapidement sur des projets très réduits », promet Franck Régnier-Pécastaing. Il tempère néanmoins. L'offre baptisée « Quickstart pour smartdatagovernance.com » n'est pas une révolution qui va pouvoir englober tous les cas de figures : le budget, la volatilité des données, leur dispersion géographique ou opérationnelle, la fréquence à laquelle elles sont modifiées ou, encore, les réglementations à appliquer, sont autant de dimensions à prendre en considération pour déterminer si un projet est éligible au MDM dans le cloud. Pour répondre à ses clients, Logica envisage de toute façon plusieurs scénarios, parmi lesquels des scénarios hybrides combinant des solutions dans le cloud et des données gérées sur site (solutions dites on-premise).

Opérationnelle depuis juin dernier

L'offre Quickstart pour Smartdatagovernance.com prend appui sur un acteur reconnu de la gestion des données de référence qui opère depuis plus de dix ans. Le Français Orchestra Networks compte plus de soixante grands clients dans le monde, un certain nombre d'entre eux ayant déployé des MDM de grande envergure. Son offre en ligne Smartdatagovernance est opérationnelle depuis juin dernier. « Sans doute l'un des premiers MDM dans le cloud disponible », risque son PDG et co-fondateur Christophe Barriolade (en photo, à droite), « avec des coûts qui n'ont rien à voir avec ce qu'on a connu jusqu'à présent ». Il rappelle que les données de référence (master data) regroupent l'ensemble des informations de base qui vont définir les objets métiers de l'entreprise et qui seront utilisées pour produire les reportings avec des données justes. Elles sont partagées par toutes les équipes et répliquées entre les différentes applications au sein d'une entreprise. « On se rend compte qu'il s'agit de projets très collaboratifs », note-t-il aussi, d'où l'intérêt du déploiement web. Il est nécessaire de définir des politiques de sécurité très fines, de gérer des versions, de collaborer sur des workflows et de s'intégrer le plus simplement possible avec le système d'information.

« Smartdatagovernance n'est pas un sous-MDM », avertit le PDG. « L'idée est très proche de ce que propose un Salesforce.com avec son CRM », compare-t-il en expliquant : « Dès que le compte est ouvert, la solution est disponible en ligne. Les données de référence sont gérées sur la plateforme et tous les métiers peuvent y accéder via une interface web. Des API permettent de s'interconnecter de la façon la plus standard avec ce cloud. » Il s'agit d'une vraie plateforme multitenant, assure Christophe Barriolade. « Notre architecture fournit une isolation très forte des données de nos clients, mais ceux-ci bénéficient des services partagés afin de profiter de la mutualisation de l'infrastructure ». Certains projets vont nécessiter de combiner l'option cloud et la solution sur site. Une partie des données sera gérée dans le cloud et une autre partie, par exemple les données sur les salariés, en interne.

A partir de 4 000 euros par mois

Le modèle économique proposé par l'éditeur comporte trente jours d'essai gratuits qui permettent de démarrer directement. L'utilisation du logiciel est ensuite facturée sous forme d'abonnement. L'édition standard démarre à 4 000 euros par mois. « Nous avons introduit un index, le smartdata index avec lequel nous calculons l'usage que le client fait du MDM. Certains, par exemple, réalisent beaucoup d'enregistrements avec un modèle simple. L'offre permet d'envisager des modèles conséquents en termes de volume. »

Deux clients d'Orchestra Networks ont déjà engagé un projet. Le premier, Onduline, est une PME de 1 300 personnes gérant 40 filiales et 8 usines dans le monde. Ce fabricant de toitures a déjà témoigné de son expérience au récent MDM Summit (11-13 septembre à New York). Sa DSI est réduite et dispersée. Elle a mené son projet en quatre mois et dispose maintenant d'une gouvernance centralisée de toutes les données relatives à ses produits.

L'autre client est un grand fabricant de PC mondial appartenant au Top 10 du secteur. Il a lancé un projet de MDM pour toutes les fonctions transverses de l'entreprise, certaines des données devant être gérées sur site. Le chantier devait démarrer vite et emporter l'adhésion en très peu de temps. Mené de façon très collaborative, en deux mois, il a bénéficié d'une forte implication des métiers, ceux-ci ayant directement réalisé le prototypage, relate Christophe Barriolade. « Il faut montrer aux métiers ce que le MDM peut leur apporter tous les jours », a insisté le PDG d'Orchestra Networks, en rappelant que les équipes métiers avaient besoin de reprendre le contrôle sur ces données qui leur appartiennent.

Illustration : Franck Régnier-Pécastaing, associé chez Logica Business Consulting (à gauche), Christophe Barriolade, PDG d'Orchestra Networks (à droite)

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(27/09/2011 15:37:31)

Une app Facebook sur iPad pour contrer Google+

La prochaine conférence d'Apple, prévue le 4 octobre, pourrait créer l'évènement non seulement en présentant l'iPhone 5, mais également en officialisant un partenariat surprenant avec Facebook. Sa première réalisation serait une application entièrement dédiée à l'iPad, selon Mashable. L'arrivée de cette app est très attendue, puisque pour le moment les utilisateurs de la tablette d'Apple doivent se contenter de la même version que pour l'iPhone, inadaptée au format et aux capacités de leur machine. Apple qui avait intégré à iOS certaines fonctions de Facebook Connect sans l'accord de l'éditeur s'était ensuite vu refuser l'accès à certaines API. La fin de la brouille serait donc actée et les développements pour iOS accélérés.

En plus de cette application, Facebook devrait révéler une version de son application pour iPhone, plus rapide et repensée au niveau du design. D'autres rumeurs évoquent ni plus ni moins qu'une intégration de Facebook dans iOS, le système d'exploitation qui équipe l'iPhone, l'iPod touch et l'iPad. Apple et Facebook feraient ainsi cause commune pour combattre Google. Reste à savoir si Mark Zuckerberg rejoindra sur scène Tim Cook, le tout nouveau PDG d'Apple, pour cette keynote.

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(27/09/2011 09:48:10)

Alain Roumilhac prend la direction de Proservia

Alain Roumilhac devient PDG de Proservia en remplacement du fondateur Thierry Congard qui a vendu la majorité des parts à Manpower. Alain Roumilhac est directeur général Europe du sud des marques Experis et Manpower Group Solutions. Il a rejoint le groupe Manpower au mois de juin dernier.

Auparavant, Alain Roumilhac a eu une longue expérience des SSII. Il fut  directeur et fondateur du cabinet Clemadel Conseil, directeur général d'Osiatis et auparavant vice-président intégration de services chez IBM global services. Il a début chez IBM en tant qu'ingénieur.

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(27/09/2011 09:39:18)

Resom veut regrouper des partenaires pour adapter les produits aux besoins des clients

Le groupement Resom n'est pas dans une logique d'achat, c'est le rôle des grossistes, ou de marketing, c'est celui des constructeurs. Il veut se spécialiser sur un point précis : la conception des produits. Plus précisément, il veut que les intégrateurs pèsent auprès des constructeurs pour bien adapter leurs produits aux clients, notamment pour les constructeurs étrangers vis-à-vis du marché français. 

« Ce nouveau réseau veut concevoir avec les constructeurs des produits en fonction des besoins clients » explique Silvano Trotta P-dg de l'intégrateur Atelio, beaucoup de SSII et de SSTR sont intéressées partout en France ». Le but est de réunir des partenaires partageant la même philosophie et  présentant le même niveau technique, donc plus homogène que les groupements classiques, dédiés d'abord à l'achat. Le groupement compte également sous missionner aux appels d'offres nationaux.

Modification des produits avec le constructeur

Atelio, à l'initiative de ce projet, a déjà éprouvé ce mode de fonctionnement. Sans contourner les grossistes, Atelio entretient des relations directes avec certains constructeurs. Avec Funkwerk par exemple, dont l'usine n'est qu'à deux heures de route de l'intégrateur alsacien. Atelio a obtenu des modifications sur le poste Dect D4 Office, en particulier son auto programmation. Le client n'a plus à facturer un technicien pour l'intégrer. Atelio compte en vendre 15 000 d'ici la fin de l'année partout en France, Il a l'exclusivité en France de cette version qu'il a contribué à définir.

Même opération avec Novalink pour des boîtiers sous IP  qui sont multifonctions (alarmes, appels mobiles). Novalink est un constructeur allemand. Outre-rhin une multitude de  constructeurs se sont développés, très innovants, présents sur les grands salons allemands (10 fois plus grands que les salons français spécialisés), ils cherchent à se distribuer en France.

Crédit photo : D.R. (...)

(27/09/2011 09:08:48)

Trimestriels : Ventes de licences en hausse pour Oracle, Red Hat et Tibco

Les bons résultats trimestriels de trois fournisseurs de logiciels, Oracle, Red Hat et Tibco, sont passés un peu sous silence la semaine dernière, l'actualité ayant été en partie monopolisée par le remplacement de Léo Apotheker par Meg Whitman à la tête du groupe Hewlett-Packard. Le chiffre d'affaires et les bénéfices affichés par ces éditeurs montrent que la demande pour les logiciels d'entreprise est restée forte, soulignent nos confrères d'IDG News Service, même si les inquiétudes macro-économiques maintiennent à un niveau assez bas l'action de certains éditeurs par comparaison avec le début d'année (cf comparaison ci-dessous, source Google Finance).

Cotations comparées sur Google Finance d'Oracle, Tibco, Red Hat et Adobe

Oracle a réalisé un bénéfice net de 1,8 milliard de dollars sur son premier trimestre fiscal (clos le 31 août 2011), en hausse de 28,6% comparé à la même période il y a un an. Entre début juin et fin août, la société de Larry Ellison a engrangé un chiffre d'affaires de 8,37 milliards de dollars, contre 7,5 Md$ un an plus tôt, soit une progression de 12% (5% à taux de change constant). Sur ce total, les ventes de logiciels ont augmenté de 17%, à 5,5 Md$, dont 1,5 Md$ sur de nouvelles licences, le reste provenant du support et des mises à jour. Les revenus des services ont atteint 1,18 Md$ (+10%), tandis que le matériel montre des résultats en léger recul à 1,67 Md$ (-1%). Si les ventes affichent des progressions à deux chiffres sur les serveurs Exadata, Exalogic et Sparc M-Series, elles ont baissé sur les serveurs d'entrée de gamme, a reconnu Mark Hurd, président d'Oracle. « En mettant de côté les matériels à faible marge et en nous concentrant sur les serveurs haut de gamme, nous avons augmenté les marges brutes de nos matériels de 48% à 54% », a-t-il précisé. « La stratégie consistant à faire progresser la partie profitable de l'activité s'avère payante ».

+29% sur les ventes de licences chez Tibco


D'autres éditeurs de logiciels ont également annoncé des résultats meilleurs qu'attendus. C'est le cas de Tibco, par exemple, spécialisé dans les solutions d'intégration, qui affiche un bénéfice net de 23,5 M$ sur son troisième trimestre fiscal (clos le 28 août), contre 17,4 M$ un an plus tôt, soit une hausse de 35%. Son chiffre d'affaires a progressé de 24,1% à 229 millions de dollars par rapport à son troisième trimestre 2010. Il est surtout supérieur de 9 M$ aux prévisions des analystes. La société a enregistré une hausse de 29% sur ses ventes de nouvelles licences. Elle a généré un bénéfice de 0,23 cent par action, dépassant de 0,02 cent les prévisions de Thomson Reuters.

« Les marchés vont monter, ils vont baisser, mais certains changements sont irrésistibles », a déclaré Vivek Ranadivé, le PDG de Tibco, lors de l'annonce des résultats, en faisant référence au recours croissant des entreprises aux plateformes logicielles permettant des traitements en temps réel. « Si vous vendez des produits dont les gens ont besoin, vous êtes en forme ».

Le bénéfice net de Red Hat grimpe de 69%


Parmi les éditeurs ayant réalisé de bonnes performances figure aussi Red Hat, spécialisé sur les systèmes d'exploitation Linux et les logiciels d'infrastructure en Open Source. Sur son deuxième trimestre fiscal (au 31 août), il affiche une progression de 28% sur son chiffre d'affaires, à 281,3 millions de dollars. Son bénéfice net a bondi de 69% à 40 millions de dollars.

Adobe, enfin, montre des ventes en légère progression, à 1,01 milliard de dollars (+2,3%) sur son troisième trimestre. En revanche, ses bénéfices baissent. Ils s'élèvent à 195 M$ sur la période, contre 230 M$ un an plus tôt, au 3e trimestre 2010.

A la clôture du Nasdaq, vendredi dernier, l'action d'Oracle valait 28,90 dollars, en hausse de 0,56 $. Celle de Tibco avait gagné 1,40 $, à 23,37 dollars et celle de Red Hat était coté 42,32 dollars, en hausse de 0,83 $. Celle d'Adobe avait gagné 0,57 $, à 24,88 dollars. A l'inverse, celle de HP avait perdu 0,48 $, à 22,32 dollars, son plus bas niveau en six ans.

Lundi 26 septembre, Oracle affichait une capitalisation boursière de 150,29 milliards de dollars. Celle d'Adobe s'élevait à 12,38 milliards de dollars, celle de Red Hat à 8,39 Md$ et celle de Tibco Software à 3,71 Md$.

Illustration : Cotations comparées sur Google Finance pour le lundi 26 septembre 2011.

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(27/09/2011 09:08:42)

Le marché IT continue à progresser en 2011 et 2012, selon Forrester

Le cabinet d'études Forrester a indiqué la semaine dernière que les dépenses technologiques mondiales progresseraient de 11,5% (7,5% à taux de change constant) sur l'année 2011 pour atteindre 2 042 milliards de dollars, malgré la fragilité actuelle de l'économie. Selon lui, toutes les catégories de produits (logiciels, matériel et services associés) montrent une progression à deux chiffres, logiciels en tête avec +11,9%. La faiblesse économique qui est apparue en juillet et août ne ralentira pas la croissance technologique d'ici le quatrième trimestre, estime Andrew Bartels dans un billet de blog accompagnant le rapport du cabinet d'études, même si le risque d'une nouvelle récession a effectivement augmenté.

En 2012, en revanche, la croissance des dépenses IT va marquer le pas dans toutes les catégories, Forrester prévoyant une progression globale de 5,5%, les entreprises et les administrations se montrant prudentes dans leurs achats IT, tant aux Etats-Unis qu'en Europe.

Illustration : Andrew Bartels, analyste chez Forrester. (...)

(26/09/2011 17:05:48)

Francisco Partners prend le contrôle de l'éditeur eFront

eFront, éditeur de solutions logicielles destinées aux métiers de la finance, créé par Olivier Dellenbach (fondateur également en 1987 de NAT system) vient d'annoncer un changement d'actionnaires. EFR Holding SAS, véhicule contrôlé par des fonds affiliés à Francisco Partners, a procédé à l'acquisition de la majorité du capital. Au prix de 18 euros par action (soit une prime de 62% par rapport au cours de clôture du 22 septembre dernier), le fonds américain détient 74,19% du capital de l'éditeur.

Olivier Dellenbach reste au conseil d'administration et a expliqué cette évolution capitalistique. « Le soutien financier de Francisco Partners donne à eFront les moyens d'accélérer encore son développement international et la création de nouveaux produits dédiés à nos marchés ».

Illustration: Olivier Dellenbach, PDG d'eFront

Crédit Photo: D.R

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(26/09/2011 16:41:55)

Canon et Oracle veulent relier numérisation et bases de données

Canon et Oracle ont signé un partenariat pour une plus grande intégration de certaines activités. Ainsi, la filiale IT Solutions de Canon va vendre une plateforme qui interconnectera facilement les copieurs imageRunner Advance avec les bases de données Oracle, ainsi qu'avec WebLogic (serveur d'application) et d'autres produits. Cette plateforme sera commercialisée en janvier 2012 au Japon et dans le courant du premier semestre aux Etats-Unis et en Europe.

Les entreprises japonaises comme Canon sont traditionnellement fortes dans le développement d'équipements technologiques, mais elles accusent un retard dans le domaine du logiciel. Or le rapport entre la numérisation de documents et les bases de données devient un élément crucial pour le marché de la photocopieuse d'entreprise et les fournisseurs de solutions d'impression en général.

Canon va proposer au sein du partenariat des solutions comprenant la reconnaissance optique de caractères (OCR) pour l'enregistrement de documents et des fonctionnalités avancées capables de combiner et de diviser des fichiers PDF. A l'avenir, la firme japonaise va travailler avec Oracle sur le développement du middleware pour son service de stockage en ligne. Enfin les deux sociétés vont collaborer sur le langage Java. Canon a longtemps utilisé Java pour sa plateforme de gestion des applications tierces au sein de ses copieurs multifonctions.

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