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(26/09/2011 16:03:37)

Capgemini et EMC vont lancer une offre de stockage dans le cloud

Au cours des prochains mois, Capgemini et EMC vont proposer ensemble différents services à la demande dans le cloud, qui seront déclinés au niveau mondial. Le premier d'entre eux sortira courant 2012 et portera sur des solutions de stockage avec services associés. Cette offre, présentée sous le nom de « Storage as a service », comportera plusieurs « paliers de stockage » en fonction des besoins du client, expliquent les partenaires dans un communiqué, en précisant qu'ils ont développé une architecture de stockage commune et reproductible dont les coûts et les niveaux de service sont prévisibles. Elle reposera sur les systèmes haut de gamme VMAX et sur les baies VNX d'EMC (et non sur l'offre cloud Atmos pour le moment). La tarification de ces offres packagées n'est pas encore fixée.

Les entreprises disposeront ainsi de capacités de stockage sans avoir besoin d'anticiper leurs besoins, l'option cloud leur permettant en outre de réduire leurs coûts de possession. Ce faisant, Capgemini entend proposer des « prestations enrichies, différenciées et compétitives », indique Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial. Les deux sociétés rappellent qu'elles avaient déjà réalisé ensemble, en 2002, un service de stockage assorti d'une facturation à l'utilisation.

Plus tard, une offre « Messaging as a service »

Dans le cadre de cet accord de cinq ans entre Capgemini et EMC, d'autres services dans le cloud doivent suivre, dans les douze à dix-huit mois. Déjà baptisé « Messaging as a service », le suivant s'appuiera sur les logiciels de messagerie de Microsoft. Sur ce terrain, une autre SSII française, Atos, a indiqué la semaine dernière qu'elle lançait une offre de cloud privé pour le secteur public autour des services de messagerie Office 365, de Microsoft.
Les services dans le cloud élaborés en commun par Capgemini et EMC seront principalement disponibles en France, en Amérique du Nord, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas et dans les pays nordiques, ainsi qu'en Chine et au Brésil.

Illustration : Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial (crédit : Capgemini) (...)

(26/09/2011 12:33:11)

Atos recrute 600 ingénieurs dans 17 villes françaises

Atos réitère ses journées nationales de recrutement baptisées Talent Days,  ce qui devrait l'aider à intégrer 600 ingénieurs d'ici la fin de l'année. Cette opération se déroulera entre le 4 et le 13 octobre prochains dans 17 grandes villes de l'Hexagone. Les entretiens ont été fixés le 4 octobre à Bezons, (le siège social d'Atos situé dans le Val d'Oise),  ainsi qu'à Cournon d'Auvergne et à Rennes. Ils auront lieu le 6 octobre à Aix-en-Provence, Bordeaux, Lyon, Metz, Tours/Le Mans, et, le 11 octobre, à Grenoble, Orléans, Nantes et Sophia-Antipolis. La date du 13 octobre a elle été arrêtée pour les villes de Lille, Niort, Strasbourg, Toulon, Toulouse, ainsi qu'une nouvelle fois à Bezons.  

Retour sur les candidatures le jour même

Conçues sur le modèle du speed recruiting, ces journées permettront aux candidats, qu'ils soient étudiants, jeunes diplômés ou déjà expérimentés, de passer des brefs entretiens avec des recruteurs et des managers opérationnels d'Atos. Le groupe précise que les postulants auront  un retour sur leur candidature le jour même et pour ceux qui seraient retenus, une proposition d'embauche dans les 3 jours suivants.

La palette des postes à pourvoir est vaste. Il s'agit  d'ingénieurs d'études et développement et d'experts techniques sur Java/J2EE, d'ingénieurs développement sur Microsoft, de consultants (Webmethods, SAP, CRM, AMOA, BI), de chefs de projet (Peoplesoft, SAP HR, SAP BW, SAP Fico), de directeurs de projet et d'architectes techniques. Atos recherche également des administrateurs de bases de données (Oracle), des administrateurs d'outils d'intégration (Webmethods) et de serveurs d'application (Weblogic), des ingénieurs systèmes (Unix-Linux et Windows), et également  des ingénieurs réseau et sécurité

Atos confirme ainsi son plan de recrutement en France de plus de 1 500 personnes en 2011, dont 60% de jeunes diplômés. 900 ingénieurs ont déjà rejoint le groupe.

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(26/09/2011 10:22:26)

La crise impacte le moral des PME et des ETI, selon la Banque Palatine

La crise est durable. C'est le premier enseignement de cette étude. Pour 47% des dirigeants interrogés, la crise durera au moins jusqu'à fin 2012. 43% la voient se finir courant 2012, 7% seulement fin 2011. Ces dirigeants craignent avant tout, dans 48% des cas, la baisse de la consommation. Loin devant le cours des matières premières, qui inquiète 37% des répondants, ou même celle des faillites bancaires ou d'autres entreprises (24% d'inquiets). C'est donc le client particulier qui est au centre des préoccupations.  Et la situation générale  de l'économie qui inquiète.

Curieusement, les dirigeants interrogés sont moins inquiets pour leur entreprise et pour leur secteur que pour l'économie en général. 69% ont confiance dans l'entreprise sur les six mois à venir. Ils étaient 81% au mois de juin dernier, 81% également en avril, 84% en janvier. La chute est donc forte.  Concernant le secteur d'activité, et toujours sur six mois, les dirigeants sont confiants à 57%, contre 73% en juin, 74% en avril, 7% en janvier. Une chute  aussi forte qu'à la question précédente.

L'été a été meurtrier


Les points vraiment négatifs viennent de l'économie mondiale. 27% d'optimistes sur les six mois à venir, contre 51% en juin et 37% en avril, 38% en janvier. L'été a été meurtrier, comme le titre l'étude. Concernant l'économie française, la même tendance se retrouve, en plus violent, 22% de confiants, contre 57% en juin, 44 en avril, 44 également en janvier.

Autre paradoxe, si l'optimisme est en chute libre au passage de l'été, la reprise est réelle. Pour 52% des dirigeants, leur chiffrer d'affaires est supérieur à celui de 2010. 52% des dirigeants ont ce sentiment en septembre. Ils n'étaient que 41% sur le 1er semestre. Signe de cet optimisme, les dirigeants interrogés sont plus nombreux à envisager d'embaucher, 16%, que de réduire leurs effectifs, 7%.

Les priorités arrivent dans le même ordre qu'avant l'été. En tête (82%, avec  51% de très prioritaire et 31% d'assez prioritaire) la stratégie commerciale en baisse de 6 points par rapport à juin, ensuite les process de production (70% comme en juin), l'innovation (68% identique à juin).  Viennent ensuite : l'organisation interne, le positionnement sur les nouveaux marchés, le niveau des investissements, le recrutement de compétences, les nouvelles technologiques, le développement à l'international, les acquisitions.

(*) Ce Baromètre concerne les entreprises de 15 à 500 millions d'euros de CA annuel, il a été réalisé par l'Institut Opinion Way, du 29 août au 9 septembre, auprès de 300 dirigeants d'entreprise.

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(26/09/2011 10:01:33)

Licenciements prévus pour l'éditeur Generix Group

Actuellement composé de 515 collaborateurs, l'effectif de l'éditeur français d'ERP pourrait être amputé de 50 d'entre eux selon le plan de licenciement présenté par la direction au comité d'entreprise cette semaine. Ces départs font partie d'un plan de réorganisation plus large de l'entreprise. Il prévoit également le rapprochement des équipes Edition et Services de l'ERP Generix Collaborative Enterprise, la baisse et l'optimisation des investissements en R&D et la réduction des frais généraux et administratifs. L'ensemble de ces mesures est accompagné par le renforcement des dispositifs de contrôle des dépenses.

Dans le rouge depuis trois ans

Depuis trois ans maintenant, Generix Group souffre d'une situation financière difficile. Lors de son exercice 2008/2009, le résultat net part du groupe se situait à -3,7 M€. L'an dernier, les pertes ont atteint 5,7 M€. De fait, l'éditeur voit dans sa réorganisation « le corolaire indispensable à la poursuite de la stratégie engagée depuis 2007 qui vise à s'adapter à la coexistence d'un modèle de vente sous forme de licence et en mode SaaS ». Les revenus de l'éditeur dans ce dernier domaine progressent à un rythme de 30% mais ne compensent pas la baisse du chiffre d'affaires issu des ventes de licences.

C'est dans ce contexte que l'assemblée générale de Generix Group a voté une augmentation de capital comprise entre 8,1 et 8,3 M€. Pléiade Investissement, l'un de ses actionnaires (29,3% du capital), s'est engagé à souscrire à 100% du montant de l'opération.

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(23/09/2011 17:29:27)

RecapIT : Leo Apotheker prend la porte, L'iPhone 5 se précise, Google+ et Facebook se transforment

HP est la grande star de la semaine ou plus exactement ses dirigeants. En effet, après des rumeurs évoquant la volonté du conseil d'administration de changer de PDG, le constructeur a réagi rapidement en annonçant l'éviction de Leo Apotheker et la prise de fonction de Meg Whitman, ancien PDG d'Ebay. Leo Apotheker aura tenu moins d'un an à la tête de HP et a certainement payé le mauvais accueil de sa stratégie dévoilée au mois d'août dernier. Le directeur exécutif, Raymond Lane, a justifié les raisons du départ de Leo Apotheker.

L'iPhone 5 et/ou 4Gs dévoilés début octobre

A quelques jours du mois d'octobre, Apple est sorti du bois pour inviter la presse le 4 octobre prochain pour présenter l'iPhone 5. Deux questions restent en suspens. La première est de savoir si la firme de Cupertino présentera un ou deux iPhone, le 5 et/ou le 4Gs. La deuxième porte sur les intentions de Samsung de bloquer la vente de l'iPhone 5. Une représaille face aux différents procés intentés par Apple contre les tablettes du fabricant Coréen en Europe notamment.

Cette semaine aussi, l'ARCEP a publié les résultats d'une partie des licences 4G. Free mobile, Orange, SFR et Bouygues Telecom vont donc obtenir des blocs de fréquences.  

Google + s'ouvre et Facebook se développe

En matière de réseaux sociaux, Google a annoncé la fin du système d'invitation à Google +, ainsi que des évolutions pour améliorer son service.  De son côté, Facebook a profité de sa conférence développeurs pour dévoiler la fonction Timeline, ainsi que l'intégration plus importante des contenus multimédias.


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(23/09/2011 17:19:35)

Ray Lane, nouveau président exécutif de HP, justifie l'éviction d'Apotheker

Après son départ de SAP, Leo Apotheker avait été remplacé par deux personnes ( Jim Hagemann Snabe et Bill McDermott, et après son éviction de Hewlett-Packard, il est plus ou moins remplacé par deux personnes : Meg Whitman, qui reprend ses fonctions de CEO et de président, et Raymond Lane qui devient président exécutif (executive chairman).  Ce dernier était président non exécutif jusqu'à présent. Ce n'est pas un inconnu. Ancien directeur général d'Oracle, il était un membre actif du conseil d'administration de HP depuis sa nomination en octobre 2010. À cette époque, il avait fait partie des candidats potentiels au poste de CEO de HP, finalement attribué à Leo Apotheker.  À la différence de ce dernier, Meg Whitman aura donc les coudées beaucoup moins franches.

Lors d'une conférence téléphonique à laquelle ont pu assister nos confrères d'IDG News Service, Ray Lane est revenu sur l'éviction précipitée de Léo Apotheker, qui a occupé le poste de CEO pendant moins d'un an. Cette décision a été prise lors d'«un conseil d'administration très très réfléchi, et décidé après avoir envisagé toutes les solutions. Avant l'embauche de Leo Apotheker en remplacement de l'ancien CEO Mark Hurd, HP avait connu de bons résultats, mais avec une réserve, a déclaré Ray Lane. «Pendant des années, l'entreprise avait réduit les coûts au détriment de l'innovation. Leo avait été chargé d'élaborer la vision d'HP. Nous devons le créditer au vu des importantes avancées réalisées sur ce point. »

Un nouveau leadership était devenu nécessaire

« Dans le même temps, le conseil a commencé à observer des faiblesses dans certaines parties de l'entreprise » qui prenaient du retard, et il est devenu clair qu'un nouveau leadership était devenu nécessaire chez HP, a poursuivi Ray Lane. «Trois ou quatre domaines nous préoccupaient » au regard des performances réalisées par Leo Apotheker. "Premier point, et il est d'importance, une grande entreprise nécessite une équipe de direction sur la même ligne. Nous n'avons pas réussi à voir une équipe de direction travaillant sur la même ligne ou réussissant à travailler ensemble. (...) Le principal obstacle était au niveau de l'exécution des opérations : la capacité de descendre profondément dans l'entreprise pour en comprendre la dynamique », a-t-il ajouté.

Le troisième problème était au niveau de la communication. Les membres du conseil ont été «embarrassés» par la façon dont l'équipe d'Apotheker a géré les annonces du mois d'aout au sujet de la scission de l'activité PC, de l'accord de rachat d'Autonomy pour un montant de 10,3 milliards de dollars et de la décision d'arrêter la fabrication des terminaux webOS, a déclaré le président exécutif. Selon le dirigeant, Meg Whitman a toutes les compétences nécessaires pour remettre HP sur les rails dans ces trois domaines. « Je sais que HP a déçu les investisseurs ces derniers trimestres et nous ne sommes pas satisfaits à ce sujet », a déclaré Meg Whitman lors de cette même conférence téléphonique. La société prendra les mesures nécessaires pour rétablir sa performance financière, a-t-elle ajouté. « Ce n'est pas quelque chose qui peut arriver du jour au lendemain ... mais je sais que nous avons les outils et les personnes pour atteindre nos objectifs. »

Un conseil d'administration chahuté

L'«expulsion soudaine» de Leo Apotheker pourrait cependant entrainer d'autres retombées sur le conseil d'administration de HP, qui a dû faire face aux critiques acerbes de certains milieux au cours de la dernière année. Toni Sacconaghi Jr, analyste chez Bernstein Research Analyst avait écrit une note avant l'annonce du licenciement de Léo Apotheker. « L'éventuelle éviction d'Apotheker du poste de CEO - et le fait que les discussions du conseil aient fuité dans la presse - soulignent la fragilité de ce conseil et entame sa crédibilité », indique la note. « Nos conversations avec les principaux actionnaires indiquent également qu'ils sont mécontents de ce conseil, étant donné qu'il a approuvé toute une série de décisions (l'éviction de Hurd; le recrutement Leo; l'approbation de l'acquisition d'Autonomy, l'annonce prématurée de la sortie de l'activité PC ). Beaucoup d'actionnaires estiment que de mauvaises décisions en contradiction avec leurs intérêts ont été prises ».

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HP devrait également améliorer sa recherche de cadres dirigeants, fait également valoir Toni Sacconaghi. HP a décidé de ne pas rechercher de CEO pour un certain nombre de raisons, a indiqué Ray Lane. «Nous savions que nous avions des options extérieures, suite aux recherches assez récentes effectuées l'année dernière. Nous avons de bons profils. » (...) «Nous avons examiné des candidats intérieurs potentiels qui n 'étaient pas encore prêts », et Ray Lane lui-même a « envisagé un rôle intérimaire » . Mais dès le début, Ray Lane a compris que Meg Whitman était la meilleure candidate, et la seule question était de savoir si elle allait accepter, a-t-il dit. « Si nous pensions qu'il y avait un meilleur choix à l'extérieur, nous aurions de nouveau considéré cette option ». 

Ray Lane a également répondu aux critiques du conseil d'administration de HP. « Ce n'est pas ce conseil qui a viré Mark Hurd, » a-t-il dit. En outre, «ce conseil n'a pas choisi Leo » (..). «Plus de la moitié des membres ont été nommés après l'arrivée de Leo Apotheker. Pour conclure, Ray Lane a répondu avec une certaine ironie au sujet de la spéculation passée insinuant que Leo Apotheker avait poussé des alliés au sein du conseil. « Je me souviens que j'avais été obligé de répondre à cette question. Alors est-ce toujours sa bande de copains ? Vous rappelez-vous de tous ces papiers ? »

Crédit photo : HP

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(23/09/2011 16:07:56)

IBM fédère ses centres de recherches en France au sein de France Labs

Alain Bénichou, PDG d'IBM France a en personne annoncé la création de France Labs. « Dans un contexte international, il était nécessaire de créer un laboratoire reconnu. La France est le 3ème lab IBM hors Etats-Unis » a évoqué le dirigeant. Cette structure va être chapeautée par Frédéric Allard, directeur du site de la Gaude et responsable technique Europe du sud.

Ce dernier a expliqué que France Labs comprendrait 700 experts techniques en développement produits et solutions. Ils seront issus des différents centres de recherches présents dans l'hexagone (Montpellier, La Gaude, etc.). Alain Bénichou a rappelé que « IBM est une société d'ingénieurs et nous avons beaucoup d'experts issus de nos  acquisitions ». Il a précisé que les travaux réalisés par France Labs s'articuleront autour des Global Technology Services (programme d'IBM pour lier recherches et besoin des entreprises).

De la recherche à la concrétisation des projets en entreprise

La structure commune de recherche comprendra donc plusieurs projets, avec des capacités de financement, Alain Bénichou a insisté sur ce dernier point au travers du crédit impôt recherche « nous sommes en position favorable par rapport aux Etats-Unis et le Canada sur le CIR (mécanisme fiscal de crédit d'impôt sur les dépenses de R&D des entreprises). Les projets sur lesquels nous travaillons se font sur une durée de 5 ans » et d'ajouter « je plaide auprès du gouvernement pour sanctuariser le CIR afin d'en assurer la pérennité ». Les liens avec les universités et les instances européennes ne sont pas oubliés à travers de co-financement de thèses et la présence d'experts au sein des cursus de l'enseignement supérieur. IBM a profité du lancement de France Labs pour démontrer au cours de plusieurs ateliers les avancées et l'implication concrète de la recherche.

Ainsi, le CERN (Centre d'étude et de recherche nucléaire) a élaboré un outil de surveillance de ses différentes infrastructures réseaux (énergie, eau, ...) à partir des recherches d'IBM et de son acquisition de 2008, Ilog. La solution s'appelle TIM (Technical Infra Monitoring) viewer et donne une vision globale des infrastructures, mais aussi beaucoup de renseignements sur des détails avec une grande granularité.

Illustration : Frédéric Allard, président de France Labs

Crédit Photo : D.R

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(23/09/2011 14:08:27)

Teradata prépare une appliance exploitant la base de données Aster

Teradata ajoute une option appliance à sa base analytique Aster pour renforcer ses atouts face à des solutions concurrentes telles que l'Exadata d'Oracle, Hana de SAP ou encore les offres Greenplum d'EMC. Le produit qu'il a annoncé hier à la conférence Strata, à New York, reposera sur la même infrastructure qui sous-tend l'ensemble des appliances de datawarehouse de Teradata. Il s'ajoute aux options existantes de la base de données Aster, proposées uniquement sous forme de logiciel, et pouvant être déployées dans le cloud, acquise avec le rachat de la start-up Aster Data Systems en mars dernier.

L'appliance annoncée devrait être disponible au premier trimestre 2012. Son prix n'est pas encore fixé, selon Randy Lea, vice-président du centre d'innovation Aster Data chez Teradata. Aster a surtout mis l'accent sur le support du framework de programmation MapReduce pour le traitement des gros volumes de données, de type « Big data », tels que ceux générés par les connexions web et les remontées d'informations provenant de capteurs. Ses outils SQL-MapReduce permettent aux utilisateurs de faire appel aux fonctions MapReduce à partir des logiciels de Business Intelligence ou de fonctions SQL standard. 

Des modules MapReduce pré-construits

La version 5.0 d'Aster Database, également annoncée hier, apporte un certain nombre d'améliorations à ce framework, parmi lesquelles différents modules MapReduce pré-construits, notamment pour l'interprétation des comportements sur le web, pour l'attribution des tactiques de marketing (marketing attribution) et pour les analyses utilisant la méthode de l'arbre de décision. Les autres avancées portent sur la gestion des charges de travail et les performances SQL. Cette version 5.0 devrait être livrée en même temps que l'appliance au début de l'année prochaine, a indiqué Teradata.

Même si les bases de données d'Aster et de Teradata sont destinées aux mêmes traitements analytiques, elles ont des atouts différents et complémentaires, estime l'analyste Curt Monash, de Monash Research. Aster est meilleur sur deux points, selon lui. En premier, elle permet de faire des analyses complexes sur un mode recherche, à la suite de quoi on peut manipuler ces données et en tirer des conclusions qui viendront alimenter une base plus opérationnelle, qui peut être aussi analytique. L'un des points forts de Teradata, c'est justement d'exploiter les bases de données analytiques opérationnelles. « Dans bien des cas, il s'agit du meilleur choix à faire », considère Curt Monash en ajoutant que Teradata est une bonne solution pour réaliser une grande variété de tâches analytiques et plus spécialement dans le cas où il faut en combiner plusieurs.

Illustration : Parmi les applications de l'offre Aster figure des outils d'optimisation des démarches marketing (crédit : Aster Data).

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(23/09/2011 11:21:01)

IPBX, un marché de nouveau en croissance selon IDC

A l'automne 2008, le marché de l'IPBX était affecté par une baisse en EMEA. L'année 2010 a marqué le retour à la croissance. En 2015, prévoit le cabinet IDC, ce marché atteindra les 5,1 milliards de dollars, avec un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 11,9% entre 2010 et 2015.

Cette croissance forte est due selon le cabinet d'études à trois facteurs. D'abord, la modernisation nécessaire de l'équipement en réseaux des entreprises. Elles auront besoin de remplacer leurs plates-formes vocales en TDM devenues obsolètes. Ensuite, elles auront besoin d'intégrer de solutions de communication unifiée et de collaborations pour accompagner de nouveaux processus métier. Enfin, pour faire face au climat économique les entreprises auront intérêt à investir dans l'équipement en téléphonie IP.

Toutefois, l'étude n'est pas totalement optimiste. Une détérioration trop forte de l'économie dans la région EMEA peut modifier de façon spectaculaire les perspectives des prestataires, de leurs intégrateurs et des clients.  Dans ce cas, celui de la crise, les clients mettront l'accent sur les coûts, c'est l'argument qu'il faut travailler leur conseille IDC.

Crédit photo : Panasonic




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