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Carrière
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(10/01/2008 17:58:09)
Le contrat de projet sur 18 mois revient à l'ordre du jour
Le dernier round de négociation sur la « modernisation du marché du travail » a réuni aujourd'hui jeudi 10 janvier les syndicats et organisations patronales. Elles auront jusqu'à demain pour aboutir à un texte car, en cas d'échec des discussions, le gouvernement tranchera seul après une concertation rapide. Les organisations CGT, CFDT, FO, CFTC et CFE-CGC auraient toutes été d'accord pour rejeter le CDI "de projet", baptisé « CDI pour la réalisation d'un objet précis » , rapporte nos confrères de l'AFP. Selon l'agence de presse, certaines organisations craignent que ce nouveau type de CDI signe l'arrêt de mort du contrat à durée indéterminée. Inspiré d'une des propositions du rapport de Virville sur le droit du travail, ce CDI à objet précis souhaité par le patronat, court sur une durée d'au moins 18 mois qui prendra fin une fois achevée la mission pour laquelle le salarié a été embauché. Des indemnités de rupture, au montant à négocier, sont prévues en cas de licenciement avant terme. Le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens) a décidé de prendre les devants, en envoyant une lettre aux partenaires sociaux. L'association professionnelle estime notamment qu'un tel contrat serait « en totale contradiction avec les politiques de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) pour lesquelles la profession IT est fortement demandeuse face aux exigences d'employabilité et de formation ». (...)
(10/01/2008 16:50:47)20 000 postes à pourvoir pour l'édition de rentrée des Jeudis
Signe que le marché de l'emploi est toujours tendu, les annonceurs se sont bousculés à l'occasion de la première édition de rentrée du salon de l'emploi IT LesJeudis. Plus de 70 entreprises de la high-tech se sont en effet rassemblées jeudi 10 janvier, dans l'enceinte du Palais des Congrès de la Porte de Versailles, à Paris. Avec, à la clé, 20 000 offres émanant de SSII, éditeurs de logiciels et entreprises utilisatrices. Ce qui devrait permettre d'attirer un nombre de visiteurs estimé à 4 500, par les organisateurs. « Les prévisions de recrutement 2008 sont une nouvelle fois à la hausse, commente Cédric Barbier, organisateur du salon. Avec, cette année, un nombre d'exposants qui a augmenté de 50% par rapport à 2007. » Les candidats - stagiaires, jeunes diplômés, et expérimentés -, qu'ils soient en poste ou disponibles immédiatement, n'ont eu que l'embarras du choix, tant l'offre était vaste : administrateurs, architectes, chefs de projet, commerciaux, consultants, ingénieurs d'études et développement, ingénieurs systèmes, techniciens... Quant aux intentions d'embauches des grandes SSII, elles paraissent toujours aussi massives : 2 500 postes à pourvoir chez Atos Origin, 2 000 offres chez CapGemini, 1500 chez GFI Informatique, 1 800 offres chez Unilog LogicaCMG et Astek, 1 700 pour Sopra Group. En revanche, on sait bien que dans les faits, les embauches n'atteignent pas ce niveau affiché. En parallèle les candidats ont pu profiter d'un atelier CV et de conseils d'un consultant RH pour valoriser leur parcours ou rédiger leurs lettres de motivation. Grands absents de cette édition de rentrée : les banques utilisatrices telles que BNP Paribas, ou Cetelem, qui avaient pourtant fait leur grand retour lors des précédentes éditions du salon de l'emploi IT. Et IBM, qui préfère attendre le mois de mai pour honorer le salon de sa présence. (...)
(09/01/2008 16:52:59)Nette hausse de l'emploi IT et R&D en décembre, selon Monster et Keljob.com
En décembre 2007, les index publiés par Monster et Keljob.com, deux spécialistes de la gestion de carrière en ligne, ont de nouveau été marqués par une forte hausse de l'activité de recrutement en ligne à destination des informaticiens. Selon l'index de l'emploi publié par Monster, le volume d'offres d'emploi en ligne était en très nette hausse fin 2007 dans le secteur recherche et développement. La filière est devenue le second secteur d'activité, en termes d'offres publiées sur Internet. Dans cette catégorie, l'indice gagne 59 points et atteint 187. L'informatique arrive loin derrière, avec un indice à 120, en léger repli par rapport au mois précédent, mais qui reste néanmoins stable depuis un an. Si l'activité de recrutement en ligne des professions intellectuelles et scientifiques est restée stable depuis les mois de novembre et d'octobre 2007, elle était en très nette hausse en décembre 2007, avec 22 points de mieux qu'en décembre 2006. Le baromètre de l'emploi publié par Keljob.com en décembre 2007 place pour sa part, l'informatique en tête des secteurs qui recrutent. Concentrant 17,7% des offres publiées en ligne, soit 70 373 offres à pourvoir sur le Net, l'informatique et les télécoms occupent toujours la première marche du podium, très loin devant la R&D, qui ne représente que 2,2% des postes à pourvoir. (...)
(09/01/2008 16:07:38)Des licenciements IT supérieurs à la moyenne nationale
En 2006, 9 725 licenciements ont été recensés dans le secteur des services informatiques, soit près de 3% des effectifs de la branche. Pire, en 2005, 10 523 informaticiens ont été remerciés, soit 3,3% des effectifs de la filière informatique. Ces données - qui sont un peu plus élevées dans le secteur IT par rapport à la moyenne nationale - ont été collectées par le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens), auprès des Assedic. S'interrogant sur le contexte actuel de « bonne conjoncture marquée par des difficultés de recrutement », l'association professionnelle relève le nombre important de licenciements pour motifs personnels, souvent abusifs (7095, un chiffre trois fois plus élevé que les licenciements économiques), précisant que, malgré leur importance, ces chiffres ne sont que des minima. Régis Granarolo, président du Munci, insiste sur le fait que ces données « ne sont basées que sur les entrées en indemnisation chômage, et ne prennent donc pas en compte la plupart des départs négociés qui sont souvent des licenciements déguisés, ni un certain nombre de transactions, qui ne donnent pas lieu à l'indemnisation chômage ». Il précise que ces chiffres ne tiennent également pas compte des salariés licenciés qui ont retrouvé un poste avant d'être entrés en indemnisation chômage du fait des périodes de carence (qui s'élèvent généralement à plusieurs mois). Pour le fondateur de l'association, ces chiffres montrent que l'instabilité de l'emploi, voire la précarité, est une réalité dans la filière informatique, même quand la conjoncture est très favorable. (...)
(09/01/2008 10:44:38)La formation des ingénieurs IT appauvrie par Java
Java nuirait-il gravement à la formation des ingénieurs IT ? C'est en tout cas le point de vue de Crosstalk, une publication américaine qui milite pour la défense de l'ingénierie logicielle. Le magazine considère en effet que les programmes de formation informatiques et scientifiques négligent les connaissances de base, surtout en programmation et en méthodes formalisées. Crosstalk déplore la baisse de niveau des enseignements en mathématiques, et estime que l'enseignement de différents langages de programmation a été remplacé par une sorte de « cuisine » basée sur l'utilisation de vastes bibliothèques de codes et de packages spécifiques. Du coup, les compétences en programmation seraient devenues insuffisantes pour répondre aux besoins actuels de l'industrie du logiciel, surtout dans les domaines de la sécurité et des plans de secours. Ces tendances avaient déjà été relevées en 2005 par l'ACM (Association for Computer Machine, association pour l'ingénierie informatique), qui avait noté à cette époque une absence totale des mathématiques dans les UV (unités de valeur) proposées dans le cadre de certains programmes d'études IT, et seulement un cours théorique en programmation. Robert B.K. Dewar, et Edmond Schoenberg, auteurs du billet publié par Crosstalk, professeurs à l'Université de New-York depuis plusieurs décennies et également dirigeants d'Adacore, un éditeur de solutions Open Source, mettent cette baisse du niveau des enseignements sur le compte de Java : ils regrettent que ce langage soit devenu le premier langage de programmation enseigné dans la plupart des institutions scientifiques. « Le fait d'avoir fait de Java le premier des langages dispensés dans les programmes d'apprentissage a eu pour effet de faire baisser le niveau des étudiants ingénieurs, déplorent-ils. En tant que fondateurs d'une entreprise spécialisée dans la programmation Ada pour le développement d'applications critiques, nous rencontrons actuellement des difficultés pour recruter des spécialistes ayant des compétences de programmation de base. Nous ne pouvons que recommander aux établissement de l'enseignement supérieur de délivrer des programmes de formation plus rigoureux, basés sur l'enseignement de méthodes formalisées et de différents langages de programmation. » (...)
(08/01/2008 12:36:17)Tension sur l'emploi des spécialistes des bases de données, selon Freelance.com
Le début d'année 2008 semble se singulariser par une tension accrue sur le marché des bases de données. En effet, cette spécialité concentre près de 40% des demandes de compétences à elle seule. Elle est emmenée par Oracle, qui représente près d'une demande sur cinq, notamment sur des profils DBA (Administrateur de base de données) et analystes programmeurs. SAP reste stable mais n'arrive qu'à la 3e position des demandes, après plusieurs semaines sur les deux plus hautes marches du podium.
Les demandes en spécialistes de .Net ont également augmenté, marquant ainsi le retour des professionnels des environnements Microsoft, alors que le marché était plutôt fluide jusqu'à présent, les compétences Microsoft étant de loin les plus proposées par les freelances.
Freelance.com relève parallèlement une progression notable des tarifs de prestations pour des profils multi-spécialisés, avec une dominante forte axée sur la programmation et les bases de données.
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EDS envisage de créer une commission pour suivre les salariés concernés par des transferts d'activité
Pour accompagner les collaborateurs impactés par la délocalisation d'une centaine de postes au Maroc, la filiale française de la société de services EDS (Electronic Data Systems) souhaite mettre en place une commission paritaire de suivi. Selon le projet d'accord de mise en place, les membres de cette commission se réuniront au moins une fois par mois pour faire le point sur la liste des salariés transférés et suivre leurs affectations, de manière à s'assurer que toutes les alternatives d'affectations sont examinées et envisagées individuellement. Ils veilleront à ce que les paramètres liés au poste de travail (pré-requis définis par l'entreprise) et ceux propres au collaborateur (qualification, compétences, évolution de carrière, lieu d'habitation...) sont en bonne adéquation. Si la commission estime que les affectations proposées par la direction ne sont pas appropriées, elle proposera des solutions alternatives, parmi lesquelles figure l'éventualité d'une formation à un collaborateur. Pour tout problème éventuel d'affectation dans le cadre d'un transfert d'activité, qui n'aurait pas trouvé de solution satisfaisante dans le cadre des circuits habituels, les collaborateurs pourront, en outre, s'adresser librement à la commission. Si le projet a reçu un avis favorable de la CFE-CGC, de la CFTC et de la CGT, la CFDT a décidé, pour sa part, de s'abstenir. SUD a émis un avis défavorable, contestant l'absence d'engagement de reclassement de l'accord, et estimant que le comité d'entreprise se trouve « dessaisi de ses missions qui se voient confiées à une commission composée de représentants non élus par les salariés ». (...)
(07/01/2008 12:43:23)Borland Software supprime 8% de ses effectifs
L'année 2008 s'annonce mal pour les salariés de Borland Software. Le fournisseur de solutions ouvertes de gestion du cycle de vie des applications (Open ALM) a annoncé, vendredi 4 janvier, le déploiement d'un plan de restructuration qui devrait conduire à la suppression de 8% de ses effectifs, soit 90 postes, rapporte l'agence de presse Reuters. Cette réorganisation se soldera parallèlement par la fermeture de six sites de l'éditeur, aux Etats-Unis et également en Europe. Autant de mesures qui devraient permettre à Borland de réduire ses coûts et de réaliser entre 8 à 10 M$ d'économies. (...)
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