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(01/06/2007 17:49:32)

Un éditeur de logiciels sur deux devrait recruter cette année

Avec CXP et IDC, le Syntec Informatique vient de présenter sa deuxième édition de la « cartographie de l'édition française du logiciel. » Les résultats montrent une dynamique du secteur qui devrait s'accroître cette année. Ainsi, l'enquête réalisée en 2006, montrait que 24% des entreprises prévoyaient une croissance de leur CA de plus de 20%. La nouvelle cartographie indique que 30% des éditeurs ont effectivement réalisé une croissance de plus de 20% en 2006. Cette croissance devrait se confirmer puisque la proportion des éditeurs interrogés anticipant une croissance de plus de 5% de leur CA est passée de 62% en 2006, à 69% en 2007. De même, ils étaient 24% à prévoir 20% de croissance en 2006, proportion qui atteint 35% pour les prévisions 2007. Cette embellie devrait être répercutée sur la R&D et les emplois pour former un cercle vertueux. Le Syntec Informatique souligne que trois éditeurs sur quatre investissent plus de 10% de leur CA en R&D (plus de 20% pour 43% des éditeurs interrogés). Enfin, 62% des éditeurs prévoient de recruter cette année (12% de plus qu'en 2006). Selon l'enquête du Syntec Informatique, une entreprise sur deux recrutera entre 1 et 5 collaborateurs supplémentaires en 2007, représentant une augmentation significative des emplois du secteur puisque 86% de ces éditeurs comptent moins de 50 personnes. Première inquiétude : les profils les plus recherchés par les éditeurs partent en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis Selon le Syntec Informatique, « les difficultés de recrutement sont une préoccupation majeure des dirigeants interrogés, qui se heurtent à de multiples tensions sur le marché de l'emploi en France dans les domaines IT. Concernant les profils techniques, les responsables évoquent la rareté des développeurs ayant à la fois la connaissance de Java ou DotNet et un minimum d'expérience, malgré un excellent dispositif de formation initiale. Ils déclarent également être pénalisés par l'expatriation croissante des compétences pointues qu'ils recherchent, la Grande Bretagne et les Etats-Unis étant les principaux pôles d'attraction. » Les raisons de ce désamour des talents sont nombreuses : meilleur salaire, meilleures perspectives de carrière, évolution plus rapide, responsabilités plus importantes, meilleures conditions de travail ou prestige de l'entreprise en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis. « Le facteur culturel est lourdement mis en avant : pour les diplômés des grandes écoles, une carrière d'ingénieur commercial en SSII ou chez un éditeur, pourtant riche et prestigieuse dans la pratique, souffre d'une mauvaise image. Ce qui n'est pas le cas dans d'autres pays francophones comme le Maghreb ou le Canada », insiste le Syntec Informatique. Cet aveu des conditions de travail qui sont sans doute plus favorables à l'extérieur de la France, devrait être analysé par toutes les entreprises qui souhaitent embaucher, afin de renforcer leur attractivité en vue de faire revenir les profils recherchés. Cette pénurie sectorielle pourrait également favoriser la formation d'informaticiens au chômage ou, pour ceux en poste, les promotions internes, notamment par le biais des formations continues. Deuxième inquiétude : le CA réalisé à l'étranger ne décolle pas Autre ombre au tableau : de sérieux manques à l'étranger qui pourraient ralentir le développement de l'activité à moyen et long terme. En effet, dans un secteur aussi concurrentiel que l'édition logicielle, l'activité à l'international qui croît moins rapidement que l'activité globale (notamment pour les petits acteurs) s'avère handicapante car elle génère un risque de rachat par des acteurs mieux implantés. En outre, malgré de bons investissements en R&D, la pro-activité sur le secteur est une condition sine qua non pour éviter l'obsolescence qui mène inévitablement à la disparition. Une présence à l'international est indispensable pour les retours « terrains » des évolutions continuelles du marché. L'importance de l'investissement nécessaire en temps et en ressources est cité comme principal frein à l'expansion internationale. Les éditeurs préconisent donc des mécanismes de mutualisation de ressources entre eux ou de s'adosser à des entreprises disposant déjà d'infrastructures à l'international, en vue d'attaquer les marchés étrangers. Il leur reste à aller au bout de leur raisonnement en discutant des modalités pour mener au plus vite ce dessein et en jouant la carte collaborative pour ne pas se retrouver esseulés. (...)

(31/05/2007 18:03:13)

Après Dubaï, IBM inaugure un second centre mondial d'expertise SOA sur la Côte d'Azur

« Dans les deux ans à venir, 50% des projets de transformation des systèmes d'information qu'assisteront les équipes d'IBM Global Business Services au niveau mondial vont reposer sur une approche SOA», avance Philippe Hedde, directeur général de cette entité GBS pour IBM France, reprenant en cela les propos de l'état-major de la société. C'est dire l'importance que prend, à ses yeux, le choix de la compagnie de fixer en France l'un des deux centres d'expertise servant de tête de pont pour les opérations sur ce terrain. Et pas seulement pour l'Europe. A La Gaude, dans l'arrière-pays niçois, la vitrine et les « démos » sont prêtes. De même que les équipes d'architectes, habituées (depuis la transformation d'une partie du centre de R&D en « e-business Solution Center » qui date de 2000) à recevoir les équipes projets d'entreprises du monde entier (80% d'Europe, 10% Amérique du Nord, 10% Asie) pour des prototypages de projets mêlant problématiques d'infrastructures et d'applicatifs. De l'avis des troupes françaises, pour l'heure, la reprise des investissements pour la refonte des systèmes d'information ou le lancement de projets ex-nihilo SOA en est encore à ses frémissements : moins de 10% des projets accompagnés et des revenus d'IBM GBS de ce côté-ci de l'Atlantique. Sachant que, selon une étude auprès des dirigeants de 250 entreprises (IBM Global CEO Survey, 2006), pour 56% des directions informatiques, le manque de compétences est l'inhibiteur numéro 1 dans l'adoption d'une démarche SOA, le fonctionnement de ce centre d'expertise mondial mise sur la complicité implicite entre entreprises clientes, pionnières de la démarche SOA, et les experts des diverses entités d'IBM (IBM GBS, pour le conseil et les études, IBM GTS pour les aspects techniques, infrastructures, outsourcing, maintenance, IBM Software pour l'expertise autour des technologies revampées SOA) mais aussi, le cas échéant, avec les fournisseurs et intégrateurs partenaires. Et l'exemplarité de certains projets d'ores et déjà bouclés (dans le domaine bancaire) ou en préparation (dans le secteur santé) permet d'exploiter une certaine verticalisation des démos et de l'offre de services (par secteur d'activité, par métier, donc par brique de services, de web services, pour certains avec « appliances » à l'appui). Pour l'heure, la demande se situe surtout en termes de mise au point de feuille de route avec les équipes projets. Par quoi commencer, dès lors que l'on s'intéresse à l'apport de l'orienté services? Avec un petit semestre de recul, Jean-Michel Corrieu, responsable du centre SOA de la Gaude depuis janvier 2007, constate que cette demande est plus avancée dans les secteurs de l'assurance (en quête d'agilité pour la mise sur le marché de nouveaux produits), dans le domaine de l'énergie (systèmes d'information dans les coulisses des réseaux de transport intelligents), chez certains grands industriels (automobile, aéronautique avec l'extension du PLM, gestion du cycle de vie du produit), mais aussi face à des problématiques plus génériques (contrôle de l'usurpation d'identité, par exemple). Pour Olivier Chaffard Luçon, directeur de l'entité IBM Software France, le mouvement est bel et bien lancé, avec une croissance (au niveau mondial) de 42% assurée autour des produits revus et « taggés SOA », soit trois fois plus forte que la progression des revenus logiciels de la société. « Pour le volet services et infrastructures, ce qui relève d'IBM GTS ou des intégrateurs, la percée de l'approche SOA est plus difficile à mesurer, sachant qu'un projet SOA s'appuyant sur un existant n'implique pas forcément rupture », explique Olivier Bérard, architecte senior de IBM GTS. Quoi qu'il en soit, pour le centre de La Gaude, l'accompagnement proposé aux équipes des entreprises clientes se concrétise en trois étapes : une journée de « briefing » (débroussaillage de la question) avec des experts ; un atelier de préparation de la feuille de route (un ou deux jours), un atelier de prototypage (Business Pilot) de 3 à 4 jours. Les trois étapes rapprochant, à divers degrés mais systématiquement, les aspects fonctionnels (et les représentants des métiers concernés) et les aspects techniques (évaluation de la prise de risque). (...)

(31/05/2007 17:43:54)

Motorola et IBM coupent une nouvelle fois dans leurs effectifs

Motorola a annoncé mercredi la suppression de 4 000 emplois supplémentaires, portant le total des réductions de postes en 2007 à 11% de ses effectifs (66 000 salariés fin 2006). Déjà, 3 500 suppressions d'emplois avait été programmées pour le premier semestre. Ces mauvaises nouvelles résultent d'une dégradation de la compétitivité de Motorola face à son concurrent Nokia. Les économies liées à ce nouveau plan de restructuration, conjuguées à d'autres mesures de rationalisation, devraient permettre au groupe d'économiser 600 millions de dollars par an à partir de 2008. IBM a également annoncé 1 570 réductions de postes aux Etats-Unis, dans son unité de services, soit 3 700 suppressions réalisées depuis le début de l'année. Le géant américain, qui pourrait réduire sa voilure de 12 000 postes dans le monde, sur l'ensemble de l'année, aurait parallèlement recruté 19 000 collaborateurs. Une politique liée au transfert accéléré du personnel du groupe dans les pays dits à bas coût. (...)

(31/05/2007 15:48:25)

Bull ouvre un centre de formation à Massy

Après avoir récemment créé un espace de formation à Paris, situé à quelques minutes de la place d'Italie, Bull ouvre un nouveau centre d'expertise à Massy, au sud de Paris. Inauguré aujourd'hui en présence de Didier Lamouche, PDG du fournisseur pour la France, de Patrick Semlob, directeur de Bull Formation, et de Vincent Delahaye, maire de Massy, l'Open Campus, rassemble, sur une surface de 3 000 m2, 400 stations de travail, 35 plateformes de travaux pratiques et une salle de conférence. Avec plus de 450 stages inter-entreprises, les formations dispensées à l'Open Campus couvrent huit grands domaines de compétences techniques : le développement sur Internet (Eclipse, Java, Perl...), l'Open Source et Linux (Perl, Tomcat, JonAS, Jboss...), les technologies Microsoft (Visual Studio 2005, Exchange Server, SharePoint Portal Server...), les systèmes d'exploitation AIX, la business intelligence et les bases de données (Oraccle, SQL, Datastage, Jasper,etc.), la sécurité/réseaux/stockage, le management du système d'information, et les environnements Bull (serveurs Novascale, GCOS). Dispensées par une centaine de consultants et d'experts, ces formations sont certifiées ISO 9001. Elles sont évaluées à tous les échelons du processus : en amont, lors du déroulement du cursus, et à son issue, grâce à une valorisation des résultats et une mesure d'impact. (...)

(31/05/2007 09:40:34)

Le programme de support aux projets TIC de l'Europe recrute des experts indépendants

A Bruxelles, la Commission a besoin de renfort pour l'évaluation des propositions et la revue de projets TIC relevant des programmes financés par l'Europe. L'objectif de l'opération de recrutement ouverte à partir du 23 mai, pour sélection finalisée à l'automne 2007, vise à constituer une base de données d'experts indépendants capables d'assister les équipes de la Commission dans cette activité d'évaluation. Le cadre de cette coopération est le programme ICT PSP (Policy Support Programme dans le domaine des technologies TIC) qui fait partie du programme-cadre de soutien à l'innovation et à la compétitivité des entreprises (CIP Framework Programme). Pour la Commission, ce programme ICT PSP passe par une série d'appel à projets, incluant des projets pilotes, mais aussi par l'activité de réseaux thématiques et d'autres actions lancées sur la base d'un agenda annuel. Les premiers projets financés devraient être lancés dès le premier trimestre 2008. Le détail des critères de sélection et des compétences recherchées chez ses experts (minimum cinq ans d'expérience) ainsi que le mode de rémunération de cette activité (à distance et avec déplacements), sont présentés en ligne sur le portail thématique « Information Society » de la Commission. (...)

(30/05/2007 18:17:14)

France Télécom veut faciliter la mobilité de ses collaborateurs

Act, c'est le programme de gestion des ressources humaines mis sur pied par France Télécom, dans le cadre du programme de transformation Next. Dans la pratique, il s'agit de passer à une « logique d'adaptation permanente dans un environnement instable » et donc de faciliter toutes formes de mobilité des salariés, géographiques et fonctionnelles. Pour l'opérateur historique, qui considère qu'"un salarié = un projet professionnel», chacun doit être le premier acteur de son évolution professionnelle. En clair, cela signifie que chaque salarié doit être en mesure d'identifier un autre métier dans le groupe, de passer dans la fonction publique, de trouver un emploi dans une autre entreprise, ou de devenir son propre patron par la voie de l'essaimage. Les métiers où le groupe a besoin de renouveler ses compétences ? Les hommes réseaux et informatique, mais aussi les postes liés au contenu multimédia. Des espaces de développement offrant des services de proximité Pour accompagner les collaborateurs de France Télécom, de la phase de réflexion jusqu'à la concrétisation de leurs projets, des Espaces de développement, lieux de conseil et de services spécialisés, ont été créés dans le cadre du programme Act. Situés sur tous les points du territoire en France, ces espaces offrent des services de proximité, pour réaliser des bilans professionnels, construire un réseau relationnel, réfléchir à la viabilité d'un projet, ou définir un business plan. Pour pousser les salariés à «prendre en main leur avenir professionnel» en créant ou en reprenant une entreprise, Act dresse également une liste des types d'essaimage réussis. Et propose aux collaborateurs ayant trois ans d'ancienneté minimum, une aide à l'essaimage, une formation/accompagnement avec des experts du domaine (tels que les CCI), un aménagement du temps de travail, et un suivi du projet pendant une période de deux ans. Avec la possibilité d'une réintégration chez France Télécom, en cas d'échec ou d'abandon, mesure qui s'applique au projet personnel accompagné (PPA), autre dispositif figurant au menu d'Act. Pour autant, ces mesures sont loin de susciter l'enthousiasme des organisations syndicales. Selon la fédération Sud, « tout cela pourrait prêter à sourire s'il n'y avait réellement des postes supprimés, des services sans cesse restructurés et derrière tout cela, des femmes et des hommes en souffrance, dont le quotidien se résume à des pressions pour partir vers un hypothétique ailleurs. » (...)

(30/05/2007 17:06:48)

Les trois quarts des DRH prêts à embaucher des plus de 50 ans

Une étude de la Cegos vient d'être publiée et montre que la discrimination des seniors à l'emploi pourrait, dès cette année, être reléguée au rayon des mauvais souvenirs. Ce qui changerait radicalement le paysage actuel de l'emploi informatique où l'on devient « senior » dès l'âge de 40 ans (dans les faits, les 37-40 ans sont déjà sur la brèche) avec un taux d'employabilité inversement proportionnel au nombre de printemps. De plus, le paradoxe engendré par des situations de pénurie dans certains métiers, alors que dans le même temps des informaticiens dans la mauvaise classe d'âge restent au chômage, serait enfin levé. Conscient de ce malaise, le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens) avait d'ailleurs écrit aux candidats à la présidentielle. Il leur demandait une réponse sans équivoque sur la discrimination à l'encontre des seniors, pour lesquels il réclamait l'instauration de quotas à l'embauche. Bonne nouvelle : une réponse a été donnée, non par la majorité présidentielle, mais par les entreprises, qui semblent prêtes à modifier leur comportement. « Les seniors reviennent dans la course », annonce la Cegos qui, pour la cinquième année consécutive, a mené une « enquête sur le choc démographique » et la politique RH des entreprises. Réalisée auprès de 168 directeurs de ressources humaines d'entreprises de plus de 200 salariés, cette étude porte sur la politique de leur entreprise face à cette question du départ des « papy boomers ». Vers une nouvelle politique de recrutement ? Oui... mais à condition de ne pas payer trop cher ! Résultat significatif : un changement net de politique vis-à-vis du recrutement des plus de 50 ans. Si au cours des deux dernières années, un important pourcentage de DRH se déclarait ouvert à l'embauche des plus de 50 ans, cette intention se confirme très nettement en 2007, 72% des DRH interrogés déclarant qu'ils vont embaucher des plus de 50 ans. La Cegos nuance toutefois : « cette tendance est générale aux secteurs d'activité, à l'exception de l'industrie de grande consommation (48%) et de la banque-assurance (58%). Les grandes entreprises rejoignent les plus petites qui s'étaient jusqu'alors montrées les plus ouvertes. » Cette enquête a également permis d'analyser l'image renvoyée par les seniors. Au chapitre des éléments favorables à leur embauche, la compétence, l'expérience, la conscience professionnelle, la disponibilité, sont plébiscités à plus de 80%. Sans grosse surprise, le frein majeur est le niveau de rémunération, pour 59% des DRH interrogés. Cette tendance est générale, quelle que soit la taille des entreprises ou leur secteur. Sur le rapport productivité/salaires, la capacité d'adaptation ou le niveau de productivité rencontrent plus d'opinions favorables que défavorables. « Les quadras, la catégorie la plus critique dans les entreprises » Si les intentions sont suivies de faits, le plein emploi dans l'informatique pourrait donc être pour demain. Toutefois, un sondage sur la qualité de vie au travail (Anact/TNS/Sofres) intitulé « les salariés face aux nouvelles exigences du travail contemporain » montre que l'emploi qui fait défaut à certains n'est pas forcément une sinécure pour les autres. Ainsi, l'étude indique : « les quadras sont aujourd'hui la catégorie la plus critique dans les entreprises, « coincée » entre des jeunes fortement valorisés par l'entreprise et des quinquas déjà résignés. » L'une des explications avancées à cette démotivation, est que la progression sur la prise de responsabilité est dégressive avec l'âge (selon l'étude Anact/TNS/Sofres, plus d'un quinquagénaire sur dix a même perdu en responsabilité) alors que l'on sait que la transmission des savoirs et l'expérience sont deux qualités qui peuvent augmenter la rentabilité des entreprises. Autant d'arguments pour que les instances dirigeantes des sociétés de services, prennent en compte les CV des plus de 40 ans en vue d'une mixité inter-générationnelle pour endiguer un turn-over néfaste au développement de l'entreprise. (...)

(30/05/2007 17:06:32)

DUT informatique : 71,9% de diplômés en trois ans d'études

La filière D.U.T (Diplôme universitaire de technologie) est une bonne piste pour ceux qui veulent commencer des études supérieures sans pour autant s'enliser dans des cycles sans fin. Une note du ministère de l'Education nationale indique qu'après trois années d'études, 76,1 % de cette cohorte d'étudiants a obtenu son diplôme (tous domaines d'études confondus). La réussite en deux ans diffère selon le secteur professionnel. Elle est plus élevée dans le secteur tertiaire (68,9 %) que dans le secondaire (62,3 %), quelle que soit la filière du baccalauréat obtenu. Avec 8 005 étudiants en 2005-2006 (dont 1 056 nouveaux bacheliers 2005 inscrits en première année de DUT), les effectifs dans la spécialité « informatique » arrivent au troisième rang du secteur tertiaire, précédé par les DUT gestion des entreprises et des administrations (19 772 étudiants dont 8 007 nouveaux inscrits) et techniques de commercialisation (18 965 étudiants dont 7 728 jeunes bacheliers). Le DUT « service et réseaux de communications » arrive en cinquième position, avec 3 005 étudiants dont 1 056 récents bacheliers dans la section (source : MEN - DEPP- SISE 2005-2006). Dans le secteur secondaire, le DUT « génie électrique et informatique industrielle » se place en tête des effectifs à la rentrée 2005-2006 avec 8 978 étudiants (dont 3 752 nouveaux bacheliers 2005 inscrits en première année de DUT en 2005-2006), tandis que le DUT « réseaux et télécoms » (appelé « génie des télécommunications et réseaux » avant 2005-2006) n'est qu'en septième position avec 3 162 étudiants dont 1 295 premières années (source : MEN -DEPP -SISE 2005-2006). Le « taux de réussite en IUT en deux ou trois ans des étudiants qui ne sont pas réorientés par spécialité » varie selon les sections : 78,6% d'étudiants ont obtenu leur D.U.T « service et réseaux de communications » en trois ans (72% de réussite en deux ans), 75% en trois ans en « génie des télécommunications et réseaux » (63,1% de réussite en deux ans), 71,9% d'étudiants ont obtenu leur D.U.T « informatique » en trois ans (59,1% de réussite en deux ans) et 67,5% en « génie électrique et informatique industrielle » en trois ans (52,7% de réussite en deux ans, source : MEN - DEPP- SISE). (...)

(30/05/2007 15:18:32)

Jusqu'à 6000 € de subvention pour la formation des salariés des petites SSII

Rares sont parmi les bénéficiaires des programmes de formation et de certification financés par la branche professionnelle de l'ingénierie, du conseil et des services informatique, les salariés des très petites SSII et cabinets de moins de dix salariés. Et pourtant, leurs employeurs, qui constituent 80% de la troupe des chefs d'entreprise de ce secteur, cotisent, pour la plupart d'entre eux, au même pot commun que les grandes et moyennes SSII. Sur ce constat de difficulté d'accès des salariés des TPE à la formation, le Fafiec, Opca (organisme paritaire collecteur des fonds de formation) de la branche Syntec, a lancé pour l'année 2007 une démarche globale d'accompagnement des TPE. « En 2006, l'accent a été mis sur la simplification des démarches administratives », explique Roland Sirieix, responsable de la communication du Fafiec. « Cette année, les partenaires sociaux ont orienté l'action vers un plan pluriannuel spécial TPE, en débloquant un financement dédié à l'accompagnement de l'effort de formation de ces petites structures, passant par une activité de conseil de proximité et de facilitation des démarches ». La subvention peut aller jusqu'à 6000 € (sur trois ans et selon le projet de l'entreprise) pour couvrir les dépenses en organisation de la formation, en plus de la prise en charge habituelle des stages. L'opération TPE lancée à titre expérimental pour l'année 2007 est dotée d'une enveloppe permettant de couvrir 450 dossiers de TPE (selon une simulation effectuée par l'équipe du Fafiec). Un seul critère de départ : que l'entreprise n'ait pas bénéficié d'un financement de l'Opca au cours des deux dernières années. «Un bilan d'étape sera fait à fin 2007, pour voir si ce genre d'accompagnement correspond bien aux besoins des TPE et comment faire évoluer le dispositif », ajoute Roland Sirieix. Mais déjà, après un premier mailing lancé début mai, le Fafiec a recensé en une semaine plus de 200 retours et demandes d'information. La démarche, pour les chefs d'entreprise concernés, passe par un contact avec l'un des quarante conseillers du Fafiec répartis dans l'hexagone, en quatre antennes régionales (Ile-de-France, Ouest, Sud-Ouest et Sud-Est). L'idée étant de mettre dès que possible la puce à l'oreille de ces dirigeants de petites équipes, souvent fort occupés, concernant la possibilité de recourir pour l'organisation et pour le financement de la formation de leur personnel aux actions collectives de la branche (formations clés en main, répondant aux besoins d'évolution de compétences décelés par les partenaires sociaux) et/ou selon des thématiques prioritaires, parmi lesquelles figurent, pour les informaticiens les certifications Cisco, .net, ou SAP. Pilote de formation Plus original, car spécifiquement destiné à couvrir le manque d'information et de disponibilité des cadres de TPE, dans la région Pays-de-Loire, une action de formation de trois jours est organisée à leur intention sur le thème du pilotage de la formation . « Et ce, abordé sous un angle opérationnel, très terre à terre, correspondant à des questions du genre : j'ai un recrutement ou une formation à organiser pour mes salariés. Comment dois-je m'y prendre ? Comment financer ? », commente Roland Sirieix. Un axe plutôt pragmatique auquel les intéressés semblent plutôt sensibles si l'on en croit l'afflux de candidatures à Nantes pour les quatre sessions déjà organisées depuis avril sur ce thème. « Preuve, s'il en est besoin, que l'information ne suffit pas, et que le Fafiec est bien dans son rôle d'organisme paritaire, et de conseil de proximité, avec ces actions d'accompagnement et de mise en situation adaptées à la situation des entreprises », plaide le responsable de la communication du Fafiec. (...)

(29/05/2007 15:42:07)

Expectra crée une agence d'emploi virtuelle sur Second Life

Le recrutement semble avoir trouvé un terrain privilégié dans le domaine de la 3D. A l'instar d'Accenture, qui s'apprête à lancer une opération de recrutement sur Second Life, c'est au tour d'Expectra (Groupe Vedior France), de créer sa première agence d'emploi virtuelle. Depuis le début du mois de mai, le réseau de recrutement spécialisé dans la sélection et le placement en CDI et intérim de profils pointus, est présent sur Second Life, à travers une première agence (Limitless central) et trois points de présence (Paris-Ile-de-France, Paris-Deauville et Toulouse). Pour tester ce nouveau territoire, cinq recruteurs spécialisés dans la chasse virtuelle - et eux-mêmes sélectionnés par Expectra sur Second Life - devront débusquer des candidats potentiels qui naviguent sur Second Life. Ils assureront également une permanence en agence afin d'accueillir les candidats qui se présentent spontanément, et réceptionner leur CV. Les candidatures collectées seront ensuite transmises aux différentes agences d'Expectra, qui étudieront les dossiers. En moins de trois semaines, Expectra a déjà enregistré plus de 400 visiteurs francophones. Un vingtaine de CV ont déjà pu être validés et les premiers profils sélectionnés sur Second Life viennent d'intégrer les viviers du cabinet de recrutement. D'autres développements sont à l'étude, notamment lorsque les entreprises présentes sur Second Life auront elles-mêmes besoin de recruter des profils hautes compétences, pour l'animation, la gestion et la vie de leurs espaces dans cet espace virtuel. (...)

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