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Carrière

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(17/02/2006 00:00:00)

Gestion de carrières : une école pour s'approprier les outils et les communautés du libre

Le monde de l'open source a désormais son école : l'EOF (école ouverte francophone), une association qui a lancé sa première session de formation au mois de janvier. Cette formation se déroule entièrement à distance, selon le même mode de fonctionnement que les communautés du logiciel libre. Elle s'adresse essentiellement à des informaticiens qui peuvent la suivre en formation continue. « Notre cursus est par exemple particulièrement adapté, pour un responsable informatique habitué à des environnements propriétaires qui doit conduire des projets de migration open source. Il lui apportera tous les fondamentaux pour maîtriser cette mission, même si il s'appuie sur un prestataire pour sa réalisation », explique Alix Mascret, président de l'EOF. Comme l'indique ce dernier, l'école a pour vocation de donner à ses étudiants les connaissances pour participer à un projet open source. Elle vise aussi à enseigner et promouvoir l'utilisation de ressources éclatées entre différents environnements distants. « Cette capacité à travailler en réseau est un facteur de compétitivité », justifie Alix Mascret. « En intégrant les ressources de communautés virtuelles, un informaticien seul dans une PME, fait bénéficier à son entreprise de l'aide de beaucoup d'autres informaticiens ». L'EOF propose un périple pédagogique de 300 heures -à mener au rythme d'une quinzaine d'heures par semaine- dans le monde du libre, avec un enseignement répartis en modules (usages, de l'Internet, systèmes, réseaux et sécurité, intégration et développement d'applications, etc). Les étudiants se voient proposer un tutorat quotidien par l'équipe pédagogique (14 professionnels de SSII ou de l'enseignement) qui n'est constituée que de bénévoles, sur cette session. Ils travaillent seuls ou par projets et communiquent via tous les outils fournis par l'Internet : IRC, messageries instantanées, forum, etc. La « promo » 2006 est constituée de onze élèves, ayant différents profils. Il y a notamment des informaticiens salariés dans des SSII, un enseignant, un étudiant en licence informatique et deux créateurs d'entreprises, soucieux d'appréhender le travail à distance avec les communautés libres. Tous ont dû s'acquitter d'un coût pédagogique allant de 1500 (financement privé) à 3000 euros (financement par un organisme collecteur de branche professionnelle). Suite à cette première session, l'objectif de l'EOF est d'en ouvrir une deuxième d'ici au mois de juillet, avec quinze à vingt personnes maximum. L'école travaille aussi à la mise en place d'un « conseil scientifique » avec des représentants du monde du logiciel libre en vue de faire reconnaître sa formation et réfléchit à l'éventualité d'en faire un diplôme universitaire. Son président est aussi attaché à tirer très vite des bilans avec ses premiers étudiants afin d'apporter des adaptations jugées intéressantes à son cursus. Passionné d'open source, Alix Mascret, informaticien et enseignant, porte ce projet depuis 2003. Son idée s'est concrétisée notamment grâce aux subventions -98 000 euros- décrochées en 2004 suite à un concours organisé par la Région Limousin et l'Europe pour aider des actions innovantes. Ces fonds lui ont permis d'accélérer le développement des fondements de l'EOF : la plate-forme de formation à distance Amarante, mise au point en partenariat avec l'ENST (Ecole nationale supérieure des télécom) et ses contenus pédagogiques, élaborés notamment avec Oasif, un outil de scénarisation et de modélisation de sessions de formation. (...)

(16/02/2006 00:00:00)

Grandes Ecoles : les ressources pédagogiques de onze prestigieux établissements en ligne

Les techniciens et les ingénieurs peuvent désormais revoir quelques uns de leurs fondamentaux, voire s'initier à des domaines de compétences complémentaires à leur spécialité sur le site web de ParisTech . Ce consortium réunissant onze des plus grandes écoles d'ingénieurs françaises, a rendu accessible en ligne depuis le mois de janvier, environ un millier de documents (polycopiés, recueils d'exercices, simulateurs, animations, vidéos, etc) utilisés par les enseignants de ses établissements pour dispenser leurs cours. Parmi ces documents, les ressources pédagogiques proposées dans l'unité d'enseignement « science et technologie de l'information et de la communication » s'articulent par exemple autour de vingt-neuf thématiques, allant de la cryptologie aux langages de programmation en passant par la communication numérique ou le développement de systèmes numériques intégrés. Leur accès est gratuit, conformément aux objectifs que poursuit ParisTech, qui ne sont pas de vendre un service de téléenseignement, ni des supports exhaustifs, mais de promouvoir les enseignements dispensés dans les écoles françaises afin d'attirer des étudiants et des stagiaires de la formation continue, notamment des étrangers. A côté des supports de cours, le groupement d'écoles met aussi à disposition en ligne un catalogue décrivant près de 2000 unités d'enseignements de ses établissements et le programme des 94 formations proposées, diplômes d'ingénieurs, MBA, mastères spécialisés, etc. Ces documents peuvent intéresser les managers ou les responsables des ressources humaines notamment pour y repérer des viviers de compétences et de stagiaires potentiels. (...)

(16/02/2006 00:00:00)

Recrutement : les compétences et les écoles préférées des employeurs

Sept entreprises sur dix désignent l'architecte en système d'information comme le profil dont elles ont le plus besoin. C'est ce que révèle une enquête réalisée par TNS Sofres pour l'Epita et Le Monde Informatique. L'institut d'études a interrogé 282 personnes (une moitié ayant des profils RH, l'autre étant des DSI ou des responsables informatiques) dans des établissements employant des informaticiens (deux tiers de SSII et d'éditeurs et un tiers d'entreprises d'autres secteurs) sur les compétences techniques qu'elles cherchent le plus. Ce sondage montre que plus de la moitié des interrogés souhaite en priorité des personnes ayant un savoir-faire en sécurité (56%), dans les environnements Java et .Net (55%) et en administration de systèmes (52%). Leurs besoins semblent moins prononcés dans des domaines de compétences plus « classiques », comme les progiciels (41%), la production informatique (35%), la modélisation (30%) et les grands systèmes (21%), qui sont moins fréquemment cités. A côté des connaissances purement techniques, les entreprises plébiscitent particulièrement la capacité à conduire des projets chez leurs collaborateurs. Cette qualité est en effet considérée comme la « compétence méthodologique » la plus cruciale pour 80% des sondés. Ces derniers sont également 30% à attendre des profils ayant des connaissances sur les normes ISO 9001. Près d'un quart des interrogés disent enfin chercher des gens compétents sur la méthode de management des systèmes d'information Itil (24%) et celle dédiée à l'optimisation des développements CMMI (22%). Signe que ces outils récents commencent à envahir les projets informatiques et à devenir stratégiques. L'enquête de TNS Sofres fait parallèlement le point sur les écoles d'ingénieurs vues comme les meilleures pourvoyeurs de compétences en informatique par les entreprises. Parmi elles, Supelec et l'Insa Lyon arrivent en tête, derrière les prestigieuses Ecole des Mines, Polytechnique et Centrale Paris. Globalement, l'enquête met en évidence le plébiscite croissant des grandes écoles généralistes par rapport aux spécialistes en informatique. Deux d'entre elles, l'Ensimag et l'Epita se frayent une place dans le Top dix, à la huitième et à la neuvième place, derrière l'UTC et Centrale Lyon et devant l'INSA Toulouse. Ces deux établissements arrivaient dans les cinq premiers du classement en 2005. (...)

(24/02/2006 16:32:03)

IBM sur le point de fermer sa filiale de transport aérien

IBM s'apprête à fermer définitivement sa filiale de transport aérien, Euroflight, en service depuis les années 60. Basée au Bourget, elle emploie vingt personnes dont sept pilotes et a pour mission de transporter les cadres dirigeants de Big Blue. Une activité qui ne correspond plus aux besoins, a estimé le groupe qui dresse le constat d'avions "voyageant à 25 % remplis" et d'un coût de revient en augmentation. Pour la CFDT en revanche, "les arguments économiques avancés ne démontrent pas la nécessité de supprimer l'activité Euroflight", une filiale "particulièrement performante". Cette cessation d'activité s'inscrit dans le cadre de la chasse aux coûts et de la vaste restructuration initié en 2005 et devant aboutir à la suppression d'environ 13 000 postes. (...)

(15/02/2006 00:00:00)

Recrutement : 300 postes autour des technologies Microsoft

Le 2 mars, Microsoft organise un forum emploi pour ses partenaires. Il se déroulera entre 14 h et 21 h à Paris La Défense. Les informaticiens pourront s'offrir plusieurs tête-à-tête avec les représentants d'une vingtaine de sociétés de vente et de distribution informatique ayant quelque 300 postes à pourvoir, selon les chiffres annoncés par Microsoft. Le géant américain attend entre 800 et 900 candidats sur cette manifestation. Il demande aux informaticiens qui souhaitent participer au forum de s'inscrire préalablement sur son site web MS Emploi et de créer un compte. Il peut ainsi effectuer une présélection des postulants et garantir des candidats ciblés aux recruteurs. Pour aider ces derniers à faire mouche rapidement le 2 mars, il leur ouvrira aussi sa base de données d'inscrits, une semaine avant la manifestation, afin que ceux-ci repèrent les candidats qu'ils souhaitent rencontrer et les en informent par courrier électronique. Ce forum s'inscrit dans l'initiative « Cap Emploi » de Microsoft qui englobe aussi le service MS Emploi. Elle vise à aider ses partenaires à pourvoir des emplois créés par le développement de leur activité autour de la vente et de la mise en ?uvre de ses logiciels. Elle favorise par la même occasion le retour à l'emploi et la mise à jour des compétences des informaticiens. (...)

(15/02/2006 00:00:00)

Grandes Ecoles : la protection de données personnelles comme débouché professionnel?

L'ISEP (Institut supérieur d'électronique de Paris) crée un mastère spécialisé en « Management & protection des données à caractère personnel » pour la rentrée 2006. Ce cursus s'adresse à des publics divers : des ingénieurs en fin de cycle scolaire, des étudiants issus d'écoles de commerce ou de formations juridiques et des stagiaires de la formation continue, ingénieurs, juristes et managers. Il prévoit 420 heures de formation via 4 modules, fondamentaux techniques (105 heures), fondamentaux juridiques (84 heures), contexte métier (126 heures) et spécificités sectorielles (63 heures), 4 projets à mener et un stage. Son objectif est de « former ceux qui garantiront que l'informatique d'une organisation se développera sans danger pour les droits des usagers, des clients et des salariés » Cette initiative s'inscrit dans la droite ligne des travaux de l'AFCDP (association des correspondants à la protection des données personnelles) dont l'ISEP fait partie, qui plaide pour la désignation d'un correspondant informatique et libertés dans les organisations, entre autre pour limiter le risque juridique et avoir une relation régulière avec la Cnil (Commission nationale de l'informatique et des libertés). Avec la multiplication des bases de données dans les entreprises et leur interopérabilité, la question des risques posés par l'utilisation de données relatives aux salariés et aux clients est effectivement de plus en plus critique. Il est indispensable d'informer et de développer la sensibilité des managers et des informaticiens sur ces sujets, notamment par des formations sur des domaines complémentaires à leurs métiers initiaux, par exemple du droit pour les informaticiens ou les commerciaux, etc. Il est même probable qu'un référent qui fasse autorité sur la question soit systématiquement désigné dans beaucoup d'organisations pour donner son autorisation ou sa recommandation en matière d'utilisation de données personnelles. Pour autant, on peut se demander si cette problématique, aussi sensible qu'elle soit, peut conduire les entreprises, à créer une vague de postes sur cette fonction et constituer un débouché professionnel à part entière? Les organisations pourraient aussi faire entrer le domaine de compétences « données personnelles » dans le giron d'un ou plusieurs de leur service, les directions des systèmes d'information, juridiques, commerciales ou de ressources humaines. Cela dépendra de l'organisation interne des entreprises. (...)

(14/02/2006 00:00:00)

Recrutement : le rejet des enchères inversées en ligne approuvé par l?Assemblée Nationale

L'amendement contre le recrutement par enchères inversées en ligne déposé 30 janvier par la députée UMP de l'Essonne Nathalie Kosciusko-Morizet, a été intégré aux textes du projet de loi sur l'égalité des chances qui seront examinés au Sénat le 23 février prochain. Il a bénéficié du recours du premier ministre à l'article 49-3 qui permet de faire adopter un texte sans vote et qui a conduit à l'adoption du projet en première lecture à l'Assemblée. Cet amendement avait préalablement été adopté par la Commission des Affaires culturelles, familiales et sociales de l'Assemblée Nationale, ce laissait augurer d'un vote favorable. Il prévoit que « les employeurs ne puissent se prévaloir des stipulations d'un contrat de travail conclu à l'issue d'enchères inversées portant sur le montant du salaire ». (...)

(14/02/2006 00:00:00)

Premier emploi : Proservia propose des jeunes diplômés sur-mesure à ses clients

Les entreprises se montrent frileuses vis à vis des informaticiens débutants alors qu'elles se plaignent de ne pas trouver de compétences ? Attachée à la recherche du mouton à cinq pattes, elles ne font pas assez confiance à la personnalité et la motivation d'un jeune? La SSII nantaise Proservia met en place une prestation destinée à déjouer cette tendance en adaptant gratuitement le profil des jeunes diplômés aux besoins de ses clients. Cette offre est baptisée « contrat première chance ». Elle est mise en oeuvre dans le cadre de prestations de services proposées en assistance technique, pour des jeunes à la recherche d'une première expérience professionnelle. Concrètement, lorsqu'une entreprise fait appel à Proservia pour un besoin de compétences, la SSII lui demande de participer à la sélection du candidat. A l'issue de cette démarche, le candidat -embauché en CDI par Proservia- est formé par la SSII selon un cursus (d'une quinzaine de jours en moyenne) défini avec le client en fonction de ses besoins. Cette formation est gratuite pour le client. Elle est suivie d'une période de formation pratique au sein de son équipe, qui lui est également non facturée. Elle fait office de période d'essai pour le jeune technicien. A l'issue de cette phase d'intégration, le client bénéficie d'un tarif préférentiel, pendant les trois premiers mois de la prestation, l'informaticien continuant à se former. Le coût de la prestation évolue ensuite en fonction du niveau d'expertise et de responsabilités que prend le collaborateur chez le client. . L'informaticien touche de son côté un salaire inférieur aux 1400 à 1500 euros brut que Proservia propose aux débutants de niveau bac + 2, pendant trois mois. Il retrouve ensuite un salaire plus élevé et voit sa rémunération évoluer en fonction de sa mission et du plan de progression défini avec la SSII, dans le cadre d'un PCP (plan de carrière prédéfini, il s'agit d'un cursus de formations réparties sur trois ans, NDLR). Cette initiative permet à Proservia de se différencier de ses concurrents. Certains peuvent y voir une embauche au rabais, mais cette situation est temporaire. Elle offre de plus une position stable aux informaticiens concernés et incite enfin les sociétés à s'ouvrir à des profils jeunes et moins normés. Vingt-cinq informaticiens de niveau bac + 2 ou sortis d'une formation professionnelle de type Afpa en ont pour l'heure profité. Proservia a placé dix-huit personnes à la Macif de cette façon. Ce client avait notamment besoin de compétences sur Mainframe, qu'il avait du mal à trouver. La SSII lui a proposé des jeunes informaticiens qu'ils ont recruté ensemble et qu'elle a formé au mainframe. Forte de cette expérience, elle s'apprête maintenant à lancer cette offre, d'abord mise en ?uvre dans la région Ouest auprès de ses clients parisiens. (...)

(13/02/2006 00:00:00)

Recrutement : SII organise douze rencontres Apec au mois de mars

Du 6 au 17 mars prochain, la SSII SII invitent les ingénieurs à rencontrer ses équipes de recrutement dans douze agences Apec en France. Ils vont être contactés par un courrier qui leur exposera le principe de la rencontre et leur proposera de s'inscrire via un numéro vert. Ils seront alors en contact avec un interlocuteur Apec qui leur fixera un rendez-vous à l'issue d'une série de questions de présélection. Les candidats seront reçus pendant une sessions d'environ deux heures au cours desquelles ils auront une présentation de la société puis un entretien individuel avec l'un des membres de Sii. Cette rencontre sera assez rapide, puisque la SSII attend environ 15 à 20 personnes par session. Elle permettra toutefois d'avoir d'un contact humain avec cet employeur potentiel. . Cette initiative s'inscrit pour SII dans une vaste campagne de recrutement dont l'objectif est d'embaucher 700 personnes en 2006, essentiellement des ingénieurs de niveau Bac+5. (...)

(13/02/2006 00:00:00)

Recrutement : 20 postes à Orléans chez Steria

Le groupe Steria (CA :1,1 milliard d'euros, 9000 collaborateurs) ouvre une agence dans la région Centre, qui sera basée à Orléans. Elle prévoit de recruter une vingtaine d'informaticiens de Bac+2 à Bac+5 en CDI d'ici à la fin 2006 pour soutenir son développement et aurait déjà noué des contacts avec l'école Polytechnique de l'Université d'Orléans, dans cette optique. Cette agence, dirigée par Sébastien Benoit-Latour, constitue la quatorzième implantation française de Steria. Au début de l'année, la SSII a ouvert une antenne à Grenoble. Elle a aussi monté un grand centre de Tierce Maintenance Applicative (TMA) à Nantes au mois de septembre dernier. (...)

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