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Carrière

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(13/05/2009 12:06:14)
Sue Oliva prend la tête de Sun France
En plein rachat par Oracle, Sun Microsystems restructure sa direction en Europe. Sue Oliva est nommée présidente France et vice-présidente Europe du Sud du groupe. Employée chez Sun depuis 1987, elle remplace Jean-Philippe Chiarella, qui occupait ces fonctions depuis septembre 2007. Sue Oliva aura pour mission de réorganiser les filiales France, Espagne, Italie et Portugal du constructeur. Cette nomination pourrait cependant représenter les prémices d'une restructuration de plus grande envergure. Les analystes de Wall Street estiment en effet que le rachat de Sun par Oracle pourrait se solder par la suppression de 10 000 postes dans le monde, le géant Californien souhaitant rationnaliser les coûts de base. Pas question pour autant de se défaire des activités matérielles de Sun. Interrogé par Reuters, le PDG Larry Ellison a balayé les inquiétudes de certains analystes en affirmant qu'Oracle ne s'intéressait pas seulement au système d'exploitation Solaris, mais également aux serveurs et aux microprocesseurs Sparc de Sun, qui ne seraient donc pas menacés. [mise à jour] Contacté par LeMondeInformatique.fr, Bruno Hourdel, directeur marketing chez Sun France a tenu a préciser que « cette nomination n'a rien à voir avec le rachat par Oracle. Elle était prévue depuis longtemps et s'inscrit dans la réorganisation présentée en novembre dernier par Jonathan Schwartz ». Selon lui, Sue Oliva a été choisie pour ses compétences multinationales (d'origine anglaise, elle vit en France depuis deux ans). Jean-Philippe Chiarella s'était lui-aussi vu proposer le poste mais il « ne répondait pas à ses aspirations personnelles ». L'ancien patron de Sun France quitte donc définitivement la société. En France on ignore encore dans quelle mesure les coupes toucheront la masse salariale, mais Sun promet davantage de précisions pour juin. (...)
(12/05/2009 17:27:07)Logica mise sur le sport pour draguer les jeunes talents
Entre 3 000 et 4 000 étudiants sont attendus samedi 16 mai au Stade Charléty (Paris 13e) pour la première édition du Challenge du monde des grandes écoles, un événement coorganisé par Logica. Ce type de manifestation sportive n'est pas une première pour la SSII. Le Challenge prend en réalité le relais du tournoi de football initié par Unilog il y a neuf ans. Témoin du climat économique difficile, le groupe Anglo-néerlandais mutualise ses ressources avec quatre grandes entreprises françaises (Axa, GDF Suez, Lagardère et la Société Générale) en organisant un événement « certes conjoint, mais unique en France », affirme Fabrice Losson, directeur recrutement et responsabilités d'entreprise chez Logica. Quelque 36 bus en provenance de Marseille, Lille, Lyon ou encore Nancy ont été affrétés pour l'occasion. Une remise de prix (d'un montant de plus de 20 000 €) récompensera les meilleures écoles parmi les 64 participantes (300 ont postulé pour participer à cette journée). Logica espère pérenniser cet événement dans les années à venir, voire lui donner une dimension européenne. Logica victime de la pénurie de profils spécialisés Compétitions sportives, rencontres métiers et tables rondes rythmeront la journée. Les débats s'articuleront autour de quatre grands thèmes comme l'intégration des minorités dans le monde du travail. Cette discussion sera co-animée par Alain Séguy, directeur « mission emploi handicap » chez Logica, un pôle créé il y a deux ans. Les autres tables rondes évoqueront la responsabilité sociale de l'entreprise, la problématique du premier emploi et la conciliation entre performance individuelle et succès collectif dans l'univers du sport et du business. Les cinq partenaires de l'événement disposeront chacun d'un stand où ils pourront accueillir les étudiants et leur faire passer des « speed-entretiens ». D'après Logica, de nombreux anciens des écoles se sont inscrits pour participer à cette journée, ce qui permettra à la SSII de mettre à jour sa base de données RH. Comme d'autres sociétés de services informatiques, Logica se plaint de la difficulté de recruter certains profils ainsi que de la baisse du turn-over, un phénomène sur lequel la SSII tablait pour renouveler régulièrement ses effectifs. « En temps de crise, les salariés sont figés dans un attentisme craintif et n'osent plus changer d'employeur. Certaines expertises, déjà rarissimes sur le marché, sont quasiment impossibles à dénicher », déplore Fabrice Losson. Logica n'est pourtant pas totalement étranger à cette cristallisation. En 2008, le groupe est parvenu bon an mal an à maintenir ses résultats dans le vert en freinant ses recrutements en France et en gonflant ses équipes de support offshore au Maroc. Elle a également supprimé 1 300 emplois en Europe au cours de l'année. (...)
(11/05/2009 17:54:33)Les salariés d'Altis manifestent devant le siège d'IBM
Quelque 300 salariés d'Altis Semiconductor ont manifesté la semaine dernière leur inquiétude et leur mécontentement devant le siège social d'IBM, au pied de la Tour Descartes à La Défense. Créé en 1964 par Big Blue, Altis est à vendre depuis près de trois ans. Aux salariés qui se sont déplacés, IBM s'est contenté de confirmer qu'une restructuration attendait Altis Semiconductor après sa vente, et ce quel que soit son repreneur. En août 2007, il était question d'un rachat par le Suisse AES, filiale d'un groupe russe. Ensuite silence radio pendant plusieurs mois avant d'apprendre que la direction actuelle d'Altis souhaite reprendre la société avec le soutien d'investisseurs français. Au final, les 1364 salariés d'Altis ne savent toujours pas comment, par qui, quand et à quelles conditions se fera le rachat. « Ce n'est pas la vente d'Altis qui inquiète le plus les employés mais le flou complet qui règne autour et qui traduit le profond mépris d'IBM à notre encontre », s'indigne Didier Lecas, délégué syndical CFTC chez Altis. Daniel Chaffraix, PDG de la filiale française de Big Blue, a promis qu'il se déplacerait dans les huit jours au sein même des locaux d'Altis, à Corbeil-Essonnes. Il devrait - enfin - apporter des précisions sur le projet de vente. (...)
(07/05/2009 18:56:16)Les salariés de Fujitsu France se mobilisent contre le plan social
Pour la troisième fois depuis début avril, les salariés de Fujitsu Technology Solutions France se sont réunis mercredi 6 mai en assemblée générale alors que les élus du comité d'entreprise se rencontraient de leur côté. Au coeur des débats, la suppression de deux tiers des postes en France (sur 170 salariés), annoncée le 1er avril. Les employés de FTS se sont mobilisés pour créer le Collectif de salariés FTS, insatisfaits de l'action de leurs représentants. Ils ont également mandaté un avocat spécialisé pour éplucher le plan social présenté par la direction. Hier, l'huissier mandaté par le collectif salarial a également déposé une assignation en justice auprès de la direction de Fujitsu France. Selon les représentants syndicaux (CFTC, CGT) et le collectif, le plan proposé par Fujitsu ne respecte pas la législation française (conditions de départ jugées insuffisantes) et comporte plusieurs incohérences avec la stratégie même du groupe. « Le plan en cours concerne la branche FTS de Fujitsu (anciennement Fujitsu Siemens Computer), mais étant donné les doublons qui existent entre ce pôle et celui de Fujitsu Services, il paraît évident que les deux seront touchés. Cette restructuration videra donc Fujitsu de compétences clés », indique un délégué syndical. Fujitsu prévoit par ailleurs la réorientation complète de sa stratégie commerciale. La France devrait se concentrer uniquement sur les PC moyen et haut de gammes, un secteur peu générateur d'image, de services et de marge. D'autres pays touchés par la réorganisation du groupe ont également manifesté leur inquiétude (Italie, Belgique, Allemagne, Hollande). Selon les syndicats, il n'est pas impossible que les salariés se regroupent pour mettre en place des actions au niveau européen. (...)
(06/05/2009 17:05:27)Microsoft supprime encore 3000 postes et pourrait aller au-delà
Dans un mail adressé à l'ensemble des salariés, Steve Ballmer a confirmé hier que Microsoft poursuivait le plan de suppressions de postes présenté en janvier dernier et pourrait même aller plus loin. L'éditeur avait annoncé qu'il allait tailler dans les effectifs à hauteur de 5%, soit environ 5 000 postes. La deuxième charrette devrait toucher 3000 personnes dans le monde, qui s'ajoutent aux 1 400 déjà remerciées en début d'année. Steve Ballmer a indiqué qu'il allait surveiller de près l'impact de la récession économique sur le groupe et que de nouvelles décisions pourraient être prises, sans toutefois préciser quel délai de réflexion il se donnait. Initialement, ce plan de restructuration devait s'étaler sur 18 mois, mais il est fort probable que Microsoft atteigne ses objectifs avant, sans doute pressé par les mauvais résultats du troisième trimestre 2009. Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft a vu son chiffre d'affaires baisser (-5,6%), et ce malgré les mesures de réduction des coûts mises en place en octobre 2008. Peu touchée par cette deuxième vague, la filiale française de Microsoft ne s'émeut pas de cette annonce. Seuls deux postes (à envergure internationale) sont concernés sur les 1 300 que compte l'éditeur dans l'Hexagone. « Les personnes touchées seront reclassées, comme en janvier », indique Pascal Vaché, délégué syndical CFTC et représentant du personnel chez Microsoft France. Selon lui, la France dispose par ailleurs d'un statut particulier auprès de Microsoft, car cette filiale reste rentable avec une croissance du chiffre d'affaires de l'ordre de 10%. (...)
(05/05/2009 12:46:20)Des compétences nouvelles pour des SI durables
Les deuxièmes assises du développement de SI durables, qui se sont tenues le 30 avril, ont mis l'accent sur le besoin d'une révolution culturelle à la fois dans les entreprises et dans la formation des jeunes informaticiens. L'événement, organisé par la communauté S-IT-A (Sustainable IT Architecture), et dont LeMondeInformatique.fr était partenaire presse, a reçu le matin deux intervenants rares, Andrew Watson, vice-président et directeur technique de l'OMG (Object Management Group, consortium définissant des standards mondiaux de développement, tels qu'UML), et Bruno Lanvin, directeur exécutif du eLab de l'Insead (la branche recherche en économie numérique de l'école de management). Chacun dans son domaine, les deux hommes ont appelé à voir plus loin que la situation actuelle, afin de bâtir des systèmes d'information et des économies numériques pérennes. « Les dirigeants informatiques se comportent comme si ce qu'ils livrent aujourd'hui était la dernière chose qui sera jamais livrée », a expliqué Andrew Watson, dénonçant une tendance à « mettre tout son capital intellectuel dans le code », qui soit n'est pas durable, soit restera pendant des années, handicapant les évolutions futures. « Même les plateformes SOA changent régulièrement ». Il faut donc capturer et modéliser le savoir dans des outils de type BPM (gestion des processus métier) et des outils de génération de code à partir des modèles (MDA/MDD, architecture et développement guidés par les modèles), et organiser la modularité et l'orchestration avec des outils orientés SOA (Architectures orientées services). Attention à ne pas accentuer le manque en « e-skills » en voulant trop réduire les coûts, prévient l'Insead Mais bâtir des systèmes d'information prévus pour durer, cela passe aussi par la formation et le recrutement de gens capables de concevoir ces SI et de les faire évoluer. Cela peut paraître une évidence, mais comme l'a rappelé Bruno Lanvin, en période de crise, le réflexe typique est de réduire les coûts. Du coup, « on oublie la compétitivité et le fait de s'attacher des talents pour l'avenir ». Or, c'est pendant la crise, dit-il, qu'il faut s'assurer de la sortie de crise, au risque d'être complètement dépassé quand ce moment arrivera. Bruno Lanvin a appuyé son exposé sur deux études récentes de l'eLab corrélant les compétences en matière de nouvelles technologies (« e-skills ») en Europe et la compétitivité économique du Vieux Continent. Si la France apparaît relativement bien placée en matière de formation scientifique, on note une certaine désaffection des jeunes générations pour les métiers de l'ingénierie, surtout chez les jeunes femmes. Constatant que le manque de talents existait déjà avant la crise, Bruno Lanvin a appelé les entreprises présentes à « ne pas laisser s'échapper les talents », et les gouvernements européens à mettre des mécanismes en place pour encourager l'éducation scientifique. Vers une inadéquation entre les compétences, les politiques RH et les besoins des entreprises en matière de développement de SI durables [[page]] La première table ronde de ces Assises a bien mis en évidence l'inadéquation entre les compétences, les politiques de ressources humaines et les besoins des entreprises en matière de développement de systèmes d'information durables. Comme l'a dit Pierre-Frédéric Rouberties, ancien DSI aujourd'hui consultant indépendant et directeur adjoint du Ceisar (Centre d'excellence en architecture d'entreprise de l'Ecole centrale de Paris), « il faut des gens dotés d'une vision globale et architecturale, ce sont des compétences rares ». Seuls les informaticiens ayant passé du temps sur le terrain sont à même de pouvoir appréhender à leur juste mesure les enjeux et les systèmes. Encore faut-il être capable de leur offrir des perspectives d'évolution de carrière sans perdre leurs compétences. Jean-Pierre Latour, responsable des équipes transversales à la Smals (qui met en place le SI santé et social du gouvernement belge), a ainsi insisté sur la nécessité de mettre en place « des possibilités de carrière horizontale, avec des augmentations de salaires ». Ne pas oublier les méthodes de conception et l'architecture dans la formation des ingénieurs informaticiens Mais le plus gros effort à faire est auprès des jeunes générations, ont souligné les participants à la table ronde. Certes, a relativisé Philippe Tassin, consultant indépendant après avoir occupé de nombreux postes de direction informatique dans de grands groupes français, il faut savoir accueillir les jeunes, leurs idées et leurs nouvelles compétences pour éviter que les DSI ne soient par trop has been. Néanmoins, il faut aussi que ces jeunes aient une formation allant au-delà de la technologie, qu'ils aient des notions d'architecture de SI et de modélisation, notamment. Sylvie Servigne, enseignante-chercheuse à l'Insa de Lyon, a ainsi expliqué que l'Institut national des sciences appliquées s'efforce, au-delà de la formation d'informaticiens généralistes, de dispenser des enseignements en méthodes de conception et en urbanisation et architecture. Mais elle le reconnaît elle-même, ces jeunes ne peuvent avoir, à la sortie de l'école, les compétences et la maturité nécessaires pour encadrer des projets de grande envergure. D'où l'intérêt, comme le soulignait Bruno Lanvin, de mettre l'accent sur ces formations pour préparer l'avenir. (...)
(29/04/2009 16:14:13)Les recrutements dans l'IT en baisse de 7% en 2009 selon le Pôle Emploi
Selon des estimations réalisées par le Pôle Emploi à la fin de l'année 2008 (mais présentées seulement maintenant), le secteur informatique devrait continuer à recruter en 2009. Le Pôle emploi - qui réunit désormais l'ANPE et les Assedic - table sur un peu plus de 36 700 recrutements, soit « seulement » 7% de moins que l'an dernier, alors que d'autres secteurs sont frappés beaucoup plus violemment par la crise. Ces embauches concerneront essentiellement les cadres et les ingénieurs. Du côté de la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère de l'Emploi), impossible d'en savoir davantage puisque les deux derniers rapports ne mentionnent plus le nombre de demandeurs d'emploi par métier. On sait uniquement que la France compte désormais plus de 2 248 200 demandeurs d'emplois (+1,1%). Les derniers chiffres précis concernent le mois de janvier. Le chômage des informaticiens avait alors enregistré une hausse de 5% (21 821 personnes). La situation pourrait s'être aggravée depuis, vu les vagues de licenciements et les gels d'embauches auxquels on assiste depuis le début de l'année. Dernier coup dur pour les SSII, les négociations sur le chômage partiel entre le Syntec informatique et les syndicats ont échoué le 22 avril dernier, alors que le secteur en attendait beaucoup, notamment pour trouver une alternative à des licenciements massifs. (...)
(27/04/2009 18:41:25)Syntec : les négociations sur le chômage partiel échouent
La réunion qui se déroulait le 22 avril entre les fédérations patronales du Syntec informatique (syndicat des sociétés d'ingénierie et de services informatiques) et les organisations syndicales CFDT et CGT au sujet de l'extension du droit à la mise au chômage partiel a tourné court. Les syndicats se sont essentiellement battus pour la filière automobile, un secteur qui compte 4 000 prestataires de services actuellement au chômage partiel. Le Syntec quant à lui souhaitait une extension de ce droit à l'ensemble des branches, dont l'informatique. Après trois interruptions de séance, les organisations syndicales ont tout bonnement quitté la table des négociations. « Pour masquer ses divisions, le patronat a préféré demander une ouverture à tout va du dispositif sur l'ensemble de la branche et avait une logique de mise en oeuvre extensive du chômage partiel (cadres au forfait heure ou jour en dehors d'une fermeture totale de l'établissement) », ont indiqué la CFDT et la CGT dans un communiqué commun. Selon eux, le Syntec « revenait très en arrière » et avançait « des propositions insuffisantes sur l'indemnisation des salariés ». Le chômage partiel doit rester une mesure collective, selon le Munci De son côté, Syntec informatique dénonce le manque d'ouverture des organisations syndicales qui ont refusé d'étendre le champ des accords à tous les domaines de la branche touchés par la crise économique actuelle, soit 700 000 salariés. « Le champ d'application de l'accord de branche ne saurait se limiter à la seule filière automobile comme le demandent les organisations syndicales des salariés. Nos entreprises ne sont pas attachées à telle ou telle filière, mais travaillent dans le secteur des services, ont déclaré la fédération Syntec et le CICF (Chambre de l'ingénierie et du conseil de France) dans un courrier adressé aux organisations syndicales. Si nous souhaitons anticiper les effets de la crise, il est nécessaire de ne pas cantonner le périmètre à une seule filière mais de l'élargir à tous les secteurs. » Un avis que la CFDT et la CGT ne partagent pas, craignant un accord revu à la baisse. En plus d'exiger l'extension du droit à la mise au chômage partiel à l'informatique, le Syntec souhaite revoir les conditions d'autorisation de ce dispositif. Normalement applicable uniquement en cas de fermeture de l'établissement, d'un site ou d'un pôle, le Syntec souhaiterait l'étendre aux cadres payés au forfait heures ou jours. Le Munci est partagé quant aux revendications des syndicats. « Que ce soit en termes de maintien intégral de la rémunération ou de droit à la formation, les syndicats ont peut-être placé la barre un peu trop haut, d'où l'échec des négociations », estime Régis Granarolo, président du Munci. Néanmoins, dit-il, « le chômage partiel doit rester une mesure générale, applicable en cas de crise grave et pas seulement parce qu'une SSII voit son activité baisser suite à la perte d'un gros client. Les sociétés informatiques doivent continuer à recourir en priorité à l'inter-contrat. » Prudent, le Munci prévient également que si cette mesure de chômage partiel finissait par s'appliquer à des cas individuels, elle ne devrait pas être autorisée avant d'avoir franchi le cap des 4 à 6 mois d'inter-contrat. Dans le courrier adressé aux organisations syndicales, le Syntec les invite à « reprendre le dialogue social », sans indiquer de date précise. (...)
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