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Carrière

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(17/02/2009 17:17:58)
IBM échange licenciements contre expatriations low cost
IBM n'a pas encore levé le voile sur son projet de restructuration. Pourtant, la direction de Big Blue aux Etats-Unis et au Canada réfléchit actuellement à une alternative aux suppressions de postes qui ont déjà eu lieu : ainsi, les salariés américains et canadiens dont le poste a été supprimé ont appris qu'il pourraient sauver leur emploi s'ils acceptent d'aller travailler dans les divisions d'IBM au Brésil, en Inde, en Chine ou dans une douzaine d'autres pays à bas coûts. Cette solution a été proposée aux salariés qui ont perdu leur emploi, dans le cadre d'un programme baptisé Project Match. Ce plan prévoit le versement d'une aide financière qui devrait compenser les frais liés au déménagement et à l'obtention de visas pour faciliter la transition de certains salariés vers l'international. Mais si ces derniers optent pour l'expatriation, ils abandonneront leur salaire actuel au profit de la rémunération locale en vigueur. « Les collaborateurs qui accepteront d'être transférés devront être prêts à travailler selon les termes et les conditions du marché local », a précisé la direction du constructeur. Doug Shelton, l'un des porte-parole d'IBM, a certes reconnu que ce programme ne pouvait pas convenir à tout le monde, mais qu'il pouvait s'agir d'une solution de rechange pour les collaborateurs dont les emplois ont été supprimés. En France, la publication, il y a quelques mois, d'une offre d'emploi ANPE pour un poste d'informaticien à pourvoir à Pondichery, en Inde, assortie d'un contrat de droit local, avait suscité la polémique. (...)
(16/02/2009 16:17:22)Un centre de formation par l'apprentissage pour les métiers de l'informatique
L'école d'ingénieurs Esiea(*) et Euridis, établissement formant aux métiers de la vente dans les hautes technologies, annoncent la création d'un centre de formation par l'apprentissage (CFA) spécialisé dans les métiers de l'informatique. Articulé autour de deux pôles de formations complémentaires (à l'Esiea Paris et chez Euridis), le CFA ITE (Informatique, systèmes d'information, télécommunications, électronique et automatique) sera opérationnel à compter de la rentrée 2009. Cette formule permettra aux apprentis de la région Ile-de-France d'accéder au cursus d'ingénieur délivré par l'Esiea Paris sur trois ans. Les étudiants pourront également être titulaires d'un diplôme de chargé d'affaires en suivant un cycle commercial sur deux ans assuré par Euridis. Le CFA ITE ambitionne d'accueillir plus de 500 nouveaux apprentis par an d'ici à 2012, en proposant des cursus assortis d'un recrutement avant même l'obtention du diplôme. Par leur contribution aux coûts pédagogiques (au travers du versement d'une partie de la taxe d'apprentissage), les entreprises sont désormais en mesure d'ouvrir des cursus de formation à un plus grand nombre d'étudiants. Syntec Informatique a récemment fait un point sur le versement en forte évolution de la taxe d'apprentissage dans le secteur informatique : en 2008, 4 566 dossiers ont ainsi pu être traités, contre 2 923 en 2007 et 548 en 2004. Le montant de la collecte aurait même dépassé les 54 M€ en 2008, contre 45 M€ il y a un an, selon la fédération. (*) Esiea, Ecole supérieure d'informatique électronique automatique. (...)
(10/02/2009 15:19:01)Index Freelance.com : la demande en spécialistes d'Unix reprend
Le top 10 des compétences les plus recherchées sur des missions ponctuelles subit de nouveaux changements, d'après l'index du site Freelance.com qui propose aux entreprises les services d'informaticiens en freelance. La demande en spécialistes d'Unix (ingénieurs, développeurs, consultants et administrateurs) a progressé de cinq points par rapport au mois dernier et se retrouve désormais en tête de classement.
En revanche, la demande en compétences Oracle recule de cinq points. Elle se situe au même niveau que la demande en experts J2EE et Microsoft .net. Après quelques semaines d'absence, les développeurs J2EE sont donc revenus au top 10 des compétences les plus recherchées sur des missions ponctuelles, de même que les administrateurs et les développeurs PHP.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 298 offres de projets informatiques disponibles au 09 02 2009 (pondération par rapport à l'importance de la demande).
(...)
Le PDG d'IBM France réagit contre la mobilisation commune avec HP-EDS
La direction d'IBM France n'a pas apprécié les reportages télévisés diffusés suite à la manifestation nationale du jeudi 29 janvier. Dans un message adressé le 30 janvier à ses managers et que la rédaction de Lemondeinformatique.fr s'est procuré, le PDG de la filiale française Daniel Chaffraix s'est indigné des propos tenus par certains collaborateurs d'IBM lors de cette mobilisation. Mais surtout, il leur reproche d'avoir battu le pavé aux côtés de leurs concurrents d'HP-EDS : « Dans un reportage télévisé jeudi 29 au soir, deux représentants de la section CFDT IBM, s'abritant derrière leur mandat, ont manifesté aux côté de nos concurrents, sous une banderole commune HP-EDS, indique la note émanant de la direction d'IBM France. Ils ont cru bon de tourner en dérision notre détermination commerciale à contrer HP-EDS, le travail passionné de milliers de collaborateurs IBM, en déformant de manière caricaturale les propos de la direction IBM. » Une stratégie basée sur le dénigrement, dénonce Daniel Chaffraix Le PDG dénonce la stratégie d'HP-EDS qui, selon lui, « vise explicitement à attaquer IBM, à dénigrer spécifiquement les plateformes technologiques pour conquérir ses clients, et gagner des parts de marché à ses dépends, aux frais du business d'IBM dont dépendent l'emploi et les salaires. » Pour lui, faire cause commune avec HP-EDS est tout simplement « intolérable ». Réponse de Jean-Michel Daire, représentant CFDT chez IBM France et participant au défilé : « Nous étions en grève le 29 janvier et la CFDT IBM a défilé avec les collaborateurs d'HP sous une banderole commune, puisque nous appartenons au même syndicat. Nous ne souhaitons pas dégainer un programme d'attaque contre HP-EDS, nous ne mangeons pas de ce pain-là, la concurrence est une chose, la guerre en est une autre. Nous comptons répondre à la direction sur ce sujet et sur d'autres questions sensibles, telles les conditions de travail chez IBM France, en diffusant un tract à l'ensemble des salariés d'IBM, demain mardi 10 février. » D'après le syndicaliste, la mobilisation des salariés d'IBM France n'aurait pas été du goût des dirigeants de la maison mère aux Etats-Unis, d'où le coup de colère de Daniel Chaffraix. Peu de temps après le groupe faisait de nouveau la une, sur les ondes et dans la presse, à propos des baisses de salaires de ses commerciaux, conduisant la DRH à convoquer les syndicats dans la foulée, pour leur demander des explications. (...)
(06/02/2009 13:41:08)Nec arrête les PC d'entreprise en Europe et supprime 387 postes en France
Mauvaise nouvelle pour l'industrie de la micro-informatique professionnelle en France. Nec Computers se retire du marché des PC d'entreprise en Europe. Le fabricant vient en effet d'annoncer qu'il allait cesser de produire des ordinateurs de bureau (desktop et PC portables) dans la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique). Un projet de réorganisation a été dévoilé aux salariés hier, jeudi 5 février, lors d'un Comité central d'entreprise européen. Faisant face à une forte pression sur ses prix et à une concurrence accrue, le Japonais a accumulé des pertes opérationnelles au cours des dernières années. « Dans ce contexte, Nec Computers souhaite concentrer ses efforts sur ses activités serveurs et services d'infrastructures et offrir à ses clients des solutions innovantes à forte valeur ajoutée, justifie le groupe dans un communiqué, en précisant que le service de garantie serait maintenu. Pour les salariés français de Nec, le coup est dur : à Angers, 334 postes seront supprimés (sur environ 400 postes), 53 emplois disparaîtront à Puteaux, ainsi qu'une trentaine d'autres postes en Europe, au Moyen Orient et en Afrique d'ici mi 2010. Le site d'Angers - qui abritait également l'usine d'assemblage de Packard Bell (groupe Acer), menacée par une fermeture - devrait bientôt disparaître. Le dernier site de production de PC en France ne devrait plus employer qu'une trentaine de salariés Nec sur son activité serveurs. Disparition du bassin d'emploi angevin « Cette décision va entraîner la disparition du bassin d'emplois d'Angers qui concentrait l'essentiel des activités de Nec, déplore un salarié de Nec France qui s'attend bientôt à perdre son emploi. Les salariés angevins concernés par ces suppressions n'auront aucune chance de retrouver un poste de même nature dans une région où l'activité d'assemblage micro a totalement disparu. En outre, on ne voit pas comment Nec pourra résister, en se réorientant sur le marché des serveurs et des services d'infrastructures, face à des géants comme HP, IBM ou encore Dell ». Le fabricant s'est toutefois voulu rassurant, en indiquant qu'il mettrait en place des mesures d'accompagnement afin de réduire l'impact social dans les pays concernés par des coupes. Il y a moins d'une semaine, dans le cadre d'un des plus lourds plans de réductions d'effectifs déployés ces derniers jours sur le secteur, Nec annonçait la suppression de 20 000 postes dans le monde, la fermeture d'usines et le retrait de certains secteurs d'activité. Son compatriote Toshiba avait également annoncé 4 500 suppressions de postes. (...)
(05/02/2009 17:51:07)Thémap cartographie les savoirs des étudiants
Et si au moment de recruter les diplômés d'une école, on était capable de naviguer de façon graphique parmi toutes leurs compétences? Thémap, outil d'analyse des données développé par Triviumsoft pour le monde de l'enseignement et de la recherche, pourrait donner cette possibilité. « C'est l'individu qui doit être responsable du sens qu'il donne à l'information, a déclaré d'emblée Michel Authier, enseignant-chercheur et directeur scientifique de Triviumsoft, à l'occasion de la présentation de Thémap. Avec cet outil, nous lui donnons la possibilité de pouvoir interpréter les données de différentes façons. » D'un simple clic, le logiciel développé par Triviumsoft analyse et cartographie une multitude de textes sans aucun travail préalable. Les données Word, Excel, PDF, PowerPoint, HTML sont triées et les thèmes identifiés. Au final, la représentation visuelle de ces textes libres s'effectue sous forme cartographique. La technologie mise au point par Eaagle (marque de Triviumsoft) identifie les occurrences de mots, les lie entre eux, et donne une représentation graphique pertinente et immédiatement exploitable. Les thèmes sont ainsi facilement identifiables quelle que soit leur fréquence : même les signaux faibles sont pris en compte. La carte obtenue peut être explorée à volonté, en naviguant entre la synthèse ou le détail. L'utilisation de filtres ou de tris croisés pertinents permet, en outre, d'affiner l'analyse. Thémap est d'ores et déjà utilisé dans des établissements scolaires pilotes, comme l'école d'ingénieurs Louis de Broglie à Rennes, du primaire au doctorat. Les enseignants et les élèves ont ainsi pu visualiser les savoirs, les comparer aux demandes des entreprises, mettre en lien les offres de stage ou d'emploi avec les compétences et enrichir les formations. La solution a également été utilisée pour faire découvrir aux plus jeunes les oeuvres entières de La Fontaine de manière ludique et interactive, par la cartographie, la carte présentant une synthèse de tous les noms d'animaux, dans un format plus agréable à lire que le texte original. (...)
(04/02/2009 16:56:44)IBM baisse les revenus fixes de ses commerciaux en France
Les équipes commerciales d'IBM auront beau travailler plus, elles gagneront... moins. Fin décembre, la direction de Big Blue a pris la décision de réduire la part des revenus fixes de ses commerciaux et de relever leur salaire variable. « Jusqu'à l'an dernier, les rapports de rémunération fixe/variable se montaient à 60/40 pour les commerciaux et les technico-commerciaux d'IBM, or, ils sont passés à 55/45, s'indigne Gérard Chameau, délégué CFDT et élu du comité d'entreprise. En clair, la partie fixe du salaire pourra baisser de 6% à 15% (si l'on se réfère au salaire maximum théorique de référence, NDLR), alors que la part variable liée à la réalisation des objectifs augmente, ce qui n'est pas idéal en temps de crise. » Cette mesure concerne l'ensemble des filiales du fournisseur, y compris la division française qui emploie environ 2 000 commerciaux et technico-commerciaux (sur un effectif mondial de 10 000 forces de vente). Elle a été annoncée lors d'un CCE (Comité central d'établissement) le 10 décembre, et une nouvelle grille des salaires est donc entrée en vigueur au 1er janvier. Objectifs revus tous les six mois IBM a également décidé de revoir la fréquence de ses « quotta letters » - les contrats fixant les objectifs de ses commerciaux - à six mois, contre un an auparavant, ce qui pourrait entraîner des diminutions sur la part variable : « Si les objectifs des commerciaux sont relevés tous les semestres, leur réalisation sera de plus en plus difficile, voire impossible à atteindre ! », s'insurge le syndicalise. Même si la direction se dit flexible sur les modalités de cet aménagement, on ne voit pas comment les commerciaux pourront y échapper. C'est pourquoi, suite à cette mesure, une pétition intersyndicale (récoltant plus de 500 signatures à ce jour) a été adressée à la direction d'IBM France. Rappelons que mai et juin 2008 avaient été marqués par la mobilisation résolue de nombre de salariés IBM sur la question des salaires. Au début de l'année 2008, le fournisseur indiquait avoir réduit de 15% la rémunération de 7 600 techniciens de support aux Etats-Unis, soit 6% de ses effectifs Outre-Atlantique Reste que tous les salariés d'IBM, dans le monde comme en France, sont toujours dans l'attente d'une annonce de la direction sur d'éventuelles suppressions de postes : « Aucune déclaration officielle n'a été effectuée à ce jour sur des réductions d'effectifs dans notre zone géographique », assure le représentant syndical Gérard Chameau. (...)
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