Flux RSS

Carrière

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2022 documents trouvés, affichage des résultats 781 à 790.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(18/12/2008 14:52:18)

Le responsable de Live Search de Microsoft fait ses valises

Brad Goldberg, responsable des activités de recherche en ligne de Microsoft, quitte son poste. Sur son blog, il précise qu'il rejoint la société de capital-risque Peak6. Ce départ intervient quelques jours après l'annonce de la nomination de Qi Lu en tant que directeur de la division Services en ligne de Microsoft. Qi Lu était auparavant vice-président chargé des technologies de recherche et de publicité en ligne chez Yahoo. Brad Goldberg est à l'origine de l'initiative Search Cashback de Microsoft, un système qui permet d'attribuer des promotions aux internautes qui auraient trouvé et acheté un produit via Live Search. Microsoft n'est pas parvenu à trouver un accord avec Yahoo pour tenter de contrer l'hégémonique Google sur le marché de la recherche en ligne (65 % des parts de marché pour Google, contre 9% à peine pour le géant de Redmond). En attendant une alliance qui pourrait finalement aboutir, selon les propos de Steve Ballmer, Microsoft ne lâche pas le morceau pour redynamiser un pôle qui lui apporte peu de revenus et n'hésite pas à débaucher chez Yahoo, qui détient 20% des parts de marché. Avant Qi Lu, c'est en effet Sean Sutcher, vice-président des technologies de recherche de Yahoo depuis 2003, qui est passé chez Microsoft. (...)

(17/12/2008 17:55:15)

France Télécom refuse de payer les RTT de ses salariés

France Télécom refuse de payer à ses salariés leurs jours de RTT (réduction du temps de travail) non pris, comme le permet pourtant la loi du 8 février 2008 sur le pouvoir d'achat. Et comme l'opérateur l'avait fait l'année dernière. Dans un courrier adressé le 24 novembre dernier au syndicat CFE-CGC, la direction des affaires sociales de France Télécom a en effet indiqué « qu'il ne lui semblait pas opportun de monétiser les jours de RTT de ses salariés, d'autant plus que les résultats obtenus par l'entreprise en 2007 avaient permis une augmentation de 25% de la participation et de l'intéressement. » Le responsable des affaires sociales insiste d'ailleurs dans ce courrier sur le caractère tout à fait « exceptionnel » du paiement des RTT l'année précédente. Des RTT impossibles à poser, selon la CFE-CGC Pour la CFE-CGC, cette décision devrait permettre à l'opérateur d'améliorer ses résultats financiers en évitant le report de trop nombreux congés non pris qui seraient provisionnés en charge. «En décidant de ne pas assurer le paiement des jours de RTT, France Télécom veut faire des économies, considère Sébastien Crozier, président de la CFE-CGC pour France Télécom Orange. Entre 20 000 et 25 000 salariés de France Télécom souhaitent monétiser chacun un peu plus d'une dizaine de jours de RTT cette année, ce qui revient à environ 2 500 € par personne. » La décision est d'autant plus regrettable aux yeux des syndicats, que « les congés sont souvent refusés pour des raisons de gestion de service (présence programmée obligatoire, par exemple dans les centres d'appels). » En l'absence de réponse de la direction sur l'ouverture de négociations, la CFE-CGC et l'Unsa ont décidé d'alerter les pouvoirs publics. Dans un courrier adressé début décembre au président de la République, ils sollicitent son intervention pour que sa politique du « travailler plus pour gagner plus » soit appliquée au sein d'une entreprise dont l'Etat reste le premier actionnaire. Ils mentionnent le décret du 3 septembre 2008 qui autorise les entreprises dont l'Etat est actionnaire et dont la durée de travail relève d'un régime spécifique à appliquer la loi en faveur du pouvoir d'achat. Son cabinet a aussitôt répondu que la question relevait de la compétence du secrétariat d'Etat à la Fonction publique, André Santini, et du président de France Télécom, Didier Lombard, et qu'il ne manquera pas de le leur signaler. (...)

(17/12/2008 16:28:50)

Viadeo ouvre un espace entreprise pour les PME

Viadeo, site français de mise en relation entre professionnels, vient d'ouvrir un espace dédié aux PME. Elles disposent ainsi d'une page personnalisable - une sorte de mini-blog dans le site - où elles peuvent décrire leur profil (adresse, métier, équipe dirigeante, forum...). « Jusqu'à présent, nous aidions nos membres à recruter le bon profil ou à trouver un emploi, explique Vanessa Raguin, ingénieur d'affaires chez Viadeo. Aujourd'hui nous allons plus loin dans notre offre de services. Nous leur proposons d'accroître leur visibilité sur notre site, non seulement vis-à-vis de potentiels futurs collaborateurs, mais également de fournisseurs, de partenaires financiers ou encore de clients. » Le nouveau service de Viadeo se décline sous forme de packs, comportant chacun un accès à l'Espace entreprise et un abonnement Premium pendant douze mois. Le premier pack (2000 € pour un an, avec une offre promotionnelle de 1490 € pour tout abonnement souscrit avant la fin de l'année) propose également l'envoi de messages ciblés à 1000 contacts sélectionnés par le moteur de recherche de Viadeo. Pour la deuxième offre (3000 € l'année et une promotion de 1890 € avant le 31 décembre) le nombre de contacts ciblés passe à 2000 et l'entreprise dispose - au choix - d'une place dans la rubrique « Ils recrutent » pendant 15 jours ou d'une annonce de recrutement accompagnée de 100 mails de push. Pour le moment ce service n'est disponible que pour les PME de province. En fonction de l'intérêt qu'il suscitera, Viadeo pourrait l'étendre dans les mois qui viennent à l'Ile-de-France. Le site compte actuellement cinq millions de membres, dont deux millions en France. Son principal concurrent est LinkedIn, qui vient d'ouvrir sa version française. (...)

(17/12/2008 15:07:36)

ITS Group recrute 270 informaticiens et encourage le reclassement des chômeurs

La société de conseil et de services informatiques ITS Group accélère sa politique d'embauche amorcée en 2008 (200 collaborateurs supplémentaires) en annonçant vouloir recruter 270 informaticiens en 2009. Les profils recherchés sont des chefs de projet techniques, des ingénieurs systèmes Unix et Microsoft, des ingénieurs de production confirmés, ainsi que des développeurs sur MySQL, .Net, Java et PHP. Un candidat sur six devrait être un junior (la SSII travaille étroitement avec des écoles comme l'Epitech ou encore l'ETNA - école des technologies numériques appliquées). Le pourcentage restant concernera des profils expérimentés et des séniors. ITS Group renouvelle sa contribution au reclassement de chômeurs La SSII a lancé en avril dernier un programme de reclassement destinées aux personnes en recherche d' emploi. Les candidats ayant répondu présents avaient des parcours très divers (chimistes, mathématiciens, biologistes, physiciens...), ITS Group s'est donc engagé à les former aux métiers de l'informatique. Devant le succès de l'opération (actuellement huit personnes sont en formation, cinq scientifiques et trois diplômés des sciences humaines), la SSII a décidé de réitérer l'expérience en 2009. ITS Group a réalisé un chiffre d'affaires de 50,3 M€ en 2007 (en hausse de 41%) et espère franchir le cap des 100 M€ d'ici à 2011. La société emploie actuellement 630 personnes en France dans cinq agences (Paris, Nantes, Lyon, Lille et Laval). (...)

(17/12/2008 14:47:58)

Le côté sombre d'Amazon révélé par une journaliste infiltrée

Les salariés d'Amazon resteront certainement dubitatifs en lisant les vers de Victor Hugo. Le poète, évoquant « le vrai travail, sain, fécond, généreux, qui fait le peuple libre et qui rend l'homme heureux », était à mille lieues de décrire les conditions dans lesquelles triment les manutentionnaires britanniques du géant de l'e-commerce, à en croire un article paru dimanche dans la presse britannique. Après avoir passé sept jours en tant qu'intérimaire dans l'entrepôt d'Amazon situé à Bedfordshire, une journaliste du Sunday Times livre ainsi un tableau édifiant des conditions de travail imposées aux employés du VPCiste. Composée en grande partie de travailleurs étrangers, la main d'oeuvre est soumise à un rythme effréné. Sept jours de travail par semaine Après cinq jours de travail en semaine, les employés doivent encore effectuer 10,5 heures de travail le week end. Au final, les salariés doivent donc être sur site les sept jours de la semaine. Et chaque journée de labeur n'est ponctuée que de deux pauses de 15 et 20 minutes. La journaliste infiltrée rapporte même que l'autorisation du supérieur hiérarchique est nécessaire pour pouvoir se rendre aux toilettes. L'encadrement ne manque en outre pas de rappeler aux salariés que des caméras les surveillent constamment. De plus, les manutentionnaires sont priés de parler anglais entre eux. L'assiduité chez Amazon n'est évidemment pas optionnelle. Chaque employé dispose d'une sorte de permis à points, crédité de six unités. La moindre journée d'absence, même justifiée par un certificat médical, engendre la perte d'un point. Les retards se traduisent également par un malus. Et quand le total de points devient nul, le salarié est remercié. Parallèlement, Amazon tâche de motiver sa main d'oeuvre par un système de primes sur objectif. Il s'agit d'atteindre des niveaux de productivité décidés par l'encadrement - emballer un certain nombre de colis en un temps donné, par exemple - pour toucher un bonus de 39 €. Selon la journaliste, les objectifs sont purement inatteignables. Elle rapporte ainsi que, sur les 25 manutentionnaires évalués au cours d'une journée, un seul était parvenu à remplir son objectif. Malheureusement pour lui, la prime promise n'est accordée que si l'ensemble des membres d'une équipe remplissent leurs objectifs. Des heures supplémentaires obligatoires Pour gagner plus que les 6,3 £ par heure (environ 7 €) dont les gratifie Amazon pour un travail diurne, les salariés peuvent compter sur les heures supplémentaires. Ici, explique la journaliste du Sunday Times, ces heures en plus ne sont pas facultatives : tous doivent se plier aux besoins de l'entreprise et les chefs d'équipe sont intransigeants, à l'image de celui qui ne « veut pas entendre d'excuse » de la part d'employés placés dans l'incapacité de travailler plus que les huit heures contractuelles. Interrogée par le journal britannique, la direction d'Amazon Europe tâche d'estomper la noirceur de ce tableau à charge. Elle explique que les conditions de travail éprouvantes n'ont pour autre but que de garantir la satisfaction de tous les clients. Elle dément par ailleurs que les primes d'objectif ne soient qu'exceptionnellement accordées : selon les hautes sphères d'Amazon, 85% des objectifs fixés sont atteints et donnent ainsi lieu au versement d'un bonus. En ce qui concerne les courtes pauses, leur durée aurait été raccourcie en collaboration avec les représentants du personnel pour diminuer de 30 minutes le temps de présence total des salariés au cours de la journée. Enfin, la majorité des intérimaires seraient volontaires pour un poste de permanent. C'est le signe, aux yeux de la direction, que les conditions de travail ne sont pas si terribles... (...)

(17/12/2008 09:10:19)

L'éditeur Wallix recrutera une vingtaine d'informaticiens en 2009

Wallix, éditeur de solutions de sécurité en Open Source, compte renforcer ses équipes au cours des deux prochaines années. D'ici 2009, la société prévoit de recruter une vingtaine de collaborateurs. Les postes à pourvoir concernent des profils d'ingénieurs développeurs (pour son activité de R&D), des administrateurs systèmes et réseaux, des chefs de projet et des techniciens de support (pour sa division services), des ingénieurs commerciaux (grands comptes, ventes indirectes et export), ainsi qu'un webmaster pour animer sa communauté du Libre. Des stages de quatre à six mois - avec possibilité d'embauches à leur issue - seront également ouverts aux étudiants de dernière année de niveau Master 2 ou doctorat. (...)

(16/12/2008 14:47:46)

SGI supprime 15% de ses effectifs pour mieux résister à la crise

Silicon Graphics (SGI) subit à son tour les effets de la crise économique. Jeudi dernier, 11 décembre, le constructeur a annoncé qu'il prévoyait de supprimer 225 emplois dans le monde, soit 15% de ses effectifs. SGI a précisé que des coupes seraient effectuées dans différentes fonctions de haut niveau, sans pour autant entrer dans le détail des postes concernés. « L'impact de la crise des crédits et une économie mondiale fragilisée contraignent le groupe, ses clients et également ses concurrents à réduire le niveau des dépenses », a justifié Robert Ewald, PDG de la société, dans un communiqué. Il a ajouté que « les décisions difficiles d'aujourd'hui nous aideront à conserver de l'élan et un modèle économique plus fort et durable ». Pour aller de l'avant, la société entend maintenir l'accent sur la fourniture de solutions qui répondent à l'évolution des besoins de ses clients. Outre l'adaptation de ses prévisions d'investissements à la réalité du marché et la réduction de ses coûts opérationnels, SGI compte également renforcer la couverture de ses services à l'international, en nouant des partenariats, comme il l'a déjà fait au Japon et en Corée. Enfin, le constructeur continuera d'investir dans des technologies clés, notamment dans sa prochaine gamme de serveurs ainsi que ses outils de visualisation. (...)

(15/12/2008 14:40:50)

Infor réduit ses effectifs de 5% au niveau mondial

Après Lawson Software en novembre dernier, c'est au tour de l'éditeur Infor de réduire ses effectifs pour, dit-il, se mettre en phase avec les 'réalités' du contexte économique global. Considéré comme le troisième fournisseur mondial d'ERP -progiciels de gestion intégrés- derrière SAP et Oracle, cet éditeur américain (basé en Géorgie) indique que ces réductions touchent 5% de son effectif mondial (environ 9 000 salariés). La direction française ne sait pas encore dans quelle mesure ces dispositions affecteront la filiale hexagonale. Celle-ci emploie 410 personnes. Infor, qui fait actuellement évoluer son offre vers une architecture orientée services (SOA), a présenté à ses utilisateurs français les dernières mises à jour de ses gammes à l'occasion de sa conférence Inforum, organisé à Paris en novembre. En France, 3 700 entreprises sont sous contrat de maintenance avec l'éditeur, dont la base installée mondiale ne compte pas moins de 70 000 clients. Une entreprise rentable Le communiqué diffusé pour confirmer les réductions d'effectifs mentionne qu'Infor est une entreprise saine et rentable. La société, non cotée, prévoyait en 2008 un chiffre d'affaires global de 2,2 milliards de dollars. Détenu par le fonds d'investissement Golden Gate Capital, Infor s'est constitué par croissance externe au cours des récentes années (avec un coup d'accélérateur en 2006) en récupérant les offres et bases installées d'éditeurs comme SSA, Baan, Mapics, Epiphany, Extensity, Systems Union... Le fournisseur se trouve donc à la tête d'un vaste catalogue qui rassemble non seulement des ERP (très implantés dans le monde AS/400-System i d'IBM), mais également des offres de gestion de la performance financière, du cycle de vie des produits (PLM), de la relation client (CRM) et des ressources humaines (notamment en France, avec Anaël). (...)

(12/12/2008 16:28:17)

Le site de l'Insee bloqué par les statisticiens en colère

Bloqué depuis hier matin, 11 décembre, le site Internet de l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) était toujours inaccessible cet après-midi. Il ne s'agit pas d'une panne informatique mais d'une action de blocage lancée à l'initiative des agents du service de statistique. Ces derniers sont mobilisés contre un projet gouvernemental de délocalisation d'une partie de la production des statistiques sociales, faisant suite à un rapport Cotis-Duport remis au Premier ministre par le Directeur général de l'Insee et le vice-président du Conseil national de l'information statistique. En stoppant l'accès à un portail qui compte quelque 50 000 visiteurs par jour, les statisticiens veulent alerter sur les menaces qui pèsent aujourd'hui sur les missions du service statistique public. Conséquence de cette action : la publication des statistiques de l'emploi salarié du troisième trimestre 2008, a été repoussée au 16 décembre. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >