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(06/12/2011 17:12:39)

SuccessFactors, racheté par SAP, acquiert Jobs2web

Sa propre acquisition par SAP n'empêche pas l'éditeur californien SuccessFactors de poursuivre lui-même ses rachats. Il va débourser 110 millions de dollars pour absorber la société Jobs2web quelques jours après l'annonce de son rachat par le groupe allemand, pour la coquette somme de 3,4 milliards de dollars.

Jobs2web a développé son offre sur un créneau très ciblé : les logiciels de recrutement capables d'attirer les meilleurs candidats en empruntant le canal des réseaux sociaux (Facebook, Google+, LinkedIn, Twitter...). Ces outils de type marketing sont bien entendu proposés sur un mode « on-demand » comme l'ensemble de l'offre développée par SuccessFactors qu'ils viendront ainsi compléter. Parmi les clients de Jobs2web figurent le groupe pharmaceutique Merck, le producteur de boissons Pepsico et l'industriel 3M.

C'est la progression « incroyablement rapide » de Job2web et ses solides fonctionnalités analytiques qui nous ont attiré, a mentionné dans un communiqué Lars Dalgaard, PDG de SuccessFactors. Des remarques similaires avaient été formulées par SAP au sujet de SuccessFactors. Le groupe allemand a d'ailleurs demandé à Lars Dalgaard de conduire sa stratégie cloud au niveau mondial.

Proposée de façon indépendante ou intégrée

Jobs2web va devenir une division de SuccessFactors. Ses logiciels continueront à être proposés de façon indépendante et ils seront également étroitement intégrés avec la suite logicielle de SuccessFactors, promet son acquéreur. Le rachat devrait être effectif courant décembre.

Précédemment, la société de Lars Dalgaard avait notamment racheté Cubetree et ses solutions de collaboration, ainsi que Plateau, spécialisé dans la gestion de la formation. Cette croissance externe a contribué à faire de SuccessFactors l'un des éditeurs SaaS les plus représentatifs dans son domaine, dans le sillage d'une locomotive du secteur comme Salesforce.com.

SAP, qui cherche à développer sa stratégie on-demand depuis plusieurs années, considère que le rachat de SuccessFactors pourrait lui faire l'effet d'une décharge d'adrénaline, selon les propres mots de son co-PDG Bill McDermott à nos confrères d'IDG News Service.

Certains observateurs du marché s'attendent à ce que l'acquisition réalisée par SAP déclenche le rachat de certains concurrents de SuccessFactors parmi lesquels Taleo, Kenexa et Saba Software.

(...)

(06/12/2011 15:18:45)

Cloud computing : attention aux coûts cachés !

Si de plus en plus de DSI s'interrogent sur l'opportunité d'aller vers le cloud, certains d'entre eux les avertissent de coûts induits liés à cette migration. Stockage des données, intégration applicative, test des logiciels, sont autant de sujet qui peut faire grimper la facture.

Le stockage des données


La migration des données vers un cloud public et leur conservation pendant une longue durée peuvent coûter plusieurs dizaines de milliers de dollars par an. Beaucoup d'entreprises ne se rendent pas compte des dépenses engagées. « Une heure de transfert peut coûter des milliers de dollars », explique Hernan Alvarez, DSI de WhitePages, société basée à Seattle qui fournit des informations de contact en ligne pour plus de 200 millions de personnes et 15 millions d'entreprises.

Le principal coût dans le transfert des données réside dans la partie bande passante. Les fournisseurs de cloud peuvent imposer des frais sur le download et l'upload. De plus, il y a un coût de fonctionnement interne si les données et les systèmes sont hébergés hors site. « Les gens pensent qu'il n'existe pas de coût de fonctionnement [avec le cloud], mais comme vous, ils doivent gérer des charges de travail, la complexité des instances dans le cloud et un grand nombre de serveurs », explique Hernan Alvarez. Un autre coût important est la longue durée de stockage des données dans le cloud. « Quand on considère les taux de croissance du volume des données au cours des trois prochaines années, le coût du cycle de vie des données peut être apparaître très élevé », précise le DSI et d'ajouter « vous continuez à payer chaque mois pour conserver les données dans le cloud ».

La société WhitePages a envisagé d'utiliser le cloud pour la sauvegarde des données, mais après avoir évalué 8 fournisseurs, elle a calculé que cette solution serait trois à quatre fois plus coûteuse par rapport à un stockage en interne. Ainsi, la société a opté pour gérer à long terme le stockage de données sur site, dans son cloud privé. Hernan Alvarez précise que malgré les coûts induits, l'utilisation du cloud public en dehors du stockage peut se révéler bénéfique pour éliminer le déploiement et la maintenance des applications en interne. WhitePages y a eu recours et utilise aujourd'hui 11 applications basées sur le cloud comme Salesforce.com, SuccessFactors, ADP, WebEx, Yammer et d'autres fournisseurs.

L'intégration des apps provenant de plusieurs fournisseurs

Pacific Coast Building Products (groupement d'entreprises américaines dans les produits de construction) a commencé à utiliser des services clouds en évaluant plusieurs fournisseurs. Mais son DSI, Mike O'Dell a limité l'usage de ces services. A cela deux raisons, la difficulté d'intégration des logiciels issus d'une diversité des fournisseurs clouds, et les dépenses supplémentaires engagées par Pacific Coast s'il prend en charge cette intégration dans son propre SI.

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Par exemple, l'entreprise utilise Microsoft Exchange pour la messagerie et Cisco Unity Unified Messaging pour la messagerie vocale. Elle souhaitait utiliser ces deux applications comme des services cloud. « L'intégration entre Exchange et Unity dans le cloud, au moins la dernière fois que nous avons regardé, n'existait pas, constate Mike O'Dell. Cela implique que, sans cette intégration, les salariés perdraient certaines fonctionnalités comme la suppression automatique des messages vocaux sur leur téléphone, quand ils reçoivent ce message par courriel. Le DSI explique que les problèmes d'intégration se retrouvent aussi sur des applications plus complexes comme les ERP. Par exemple, « pour nous, mettre [SAP] dans le cloud signifie que nous aurions dû renoncer à certaines caractéristiques ou dépenser beaucoup d'argent sur l'intégration ».

Le test logiciel

La nécessité de tester les logiciels avant de migrer vers le cloud peut également entraîner des coûts imprévus. « Nous avons été obligés d'investir dans le test et le débogage d'une application tierce qui n'avait pas été validée dans un environnement cloud », explique  Bill Thirsk, DSI du Marist College à Poughkeepsie dans l'Etat de New York. L'université a migré à grande échelle un ERP sur un cloud privé. Ce dernier utilisait des serveurs que l'éditeur n'avait pas encore validés. L'établissement universitaire utilise un cloud privé pour fournir des services en ligne tels que l'inscription, la facturation des étudiants et le paiement des professeurs et des organismes de recherche.

Bill Thirsk relate que  « 99% » des activités du collège ont été migrées sur l'ERP et cela s'est très bien déroulé. Sur l'ensemble nous avons économisé des centaines de milliers de dollars en utilisant une configuration cloud ». Mais il ajoute qu'« obtenir un système stable au sein du cloud qui  comprend déjà 900 serveurs virtualisés a été un véritable défi ». Les coûts supplémentaires ont concerné « le véritable labyrinthe de quels systèmes d'exploitation et quelles bases de données devaient travailler » déclare le DSI. « Il était juste question de changer un peu de code, mais il a fallu un certain temps et beaucoup d'efforts pour comprendre exactement quelles lignes il fallait modifier ».

Les pilotes clouds gratuits sont souvent coûteux

Soyez conscient que les programmes pilotes gratuits pour les services de cloud computing peuvent rapidement se transformer en dépenses. « De nombreux fournisseurs proposent ce type d'offres, avec des approches différentes, mais au final elles se transforment automatiquement en offre payante », explique Frank Ridder, un analyste du Gartner et de compléter « ces offres d'essai gratuit sont souvent d'une durée très courte ». Il convient donc, selon l'analyste, avant d'entreprendre un pilote de négocier tous les termes du contrat, ainsi que les remises si le programme pilote est un succès.

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Les coûts d'installation sont un autre élément à regarder. « Les clients sont souvent attirés par le prix peu élevé du service et ils ne voient pas les coûts de transition et d'intégration parfois élevés », dit Franck Ridder. Pour un service comme l'email, prévient-il, ces coûts peuvent facilement monter à 10 $ à 30 $ par poste.

Des coûts cachés peuvent également surgir si les applications ne sont pas paramétrées pour profiter pleinement des fonctionnalités du cloud. Le DSI du Marist College  confirme : « nous étions sûr que le paramétrage de notre ERP était assez sophistiqué pour profiter de toutes les ressources de  processeurs, de mémoire, de cache, de capacités de stockage et des connexions réseau offerts par le cloud ». Mais ce n'était pas le cas et la révision du code logiciel a nécessité un « montant considérable » en temps homme pour les développeurs. Au terme de ces travaux, le dirigeant explique : « nous avons vu une augmentation de 30% de la performance, mais ce n'était pas gratuit ».

Loyer et énergie

Les responsables informatiques qui migrent leurs systèmes vers le cloud pourraient rencontrer une autre dépense imprévue si tout à coup ils se trouvaient à payer certains éléments qui ne sont pas de leur responsabilité. « Il y a, bien sûr, de nombreux coûts associés à l'hébergement d'un système en interne, mais pas tous, comme l'énergie et des loyers, qui étaient payés hors de mon budget informatique », explique Jonathan Alboum, DSI du ministère américain de l'Agriculture. « Avec le cloud, ces charges d'infrastructures de base sont inclues dans le coût global, donc je paye  pour certaines choses qui, auparavant, ne rentraient pas dans mon budget ».

Depuis l'été 2010, le ministère utilise un service du cloud Amazon.com pour héberger une application qui fournit l'équivalent de coupons alimentaires, et baptisée Supplemental Nutrition Assistance Programqui (SNAP). L'outil, appelé le SNAP Retailer Locator présente une carte en ligne qui aide les gens à trouver les commerces qui acceptent les cartes de débit SNAP. Le ministère a décidé de mettre cette application dans le cloud, car cette offre a pu être lancée rapidement et elle est très évolutive.

Avec le cloud, Jonathan Alboum doit payer de nouveaux frais mensuels et prendre une autre approche budgétaire. « Globalement, le cloud est très flexible et les résultats sont à des coûts globalement inférieurs pour le gouvernement. Mais cela demande de revoir son schéma de pensée en matière budgétaire » annonce le DSI. Il considère cette vision « comme un problème de trésorerie ».

(...)

(05/12/2011 14:33:20)

Etude SaaS Forrester : les décideurs IT face aux nouvelles tendances

Selon Forrester Research, alors que le SaaS (Software as a Service) gagne en maturité et en popularité, les acheteurs informatiques des entreprises se retrouvent aujourd'hui aux prises avec de nouvelles considérations au moment du choix. Ainsi, Liz Herbert, analyste chez Forrester et auteur du rapport, a répertorié cinq domaines clefs du SaaS dans lesquels elle a constaté des changements : la spécialisation de l'industrie, l'analyse intégrée, l'orchestration des services, les réseaux sociaux et la mobilité.

« Pour l'industrie, certaines solutions intègrent plus que les bonnes pratiques et les modèles de code, soit sous forme de packs d'applications préconfigurées ou prêtes à l'emploi, soit sous forme de cloud orchestré ou de boutique de vente en ligne pour un secteur spécifique, » écrit l'analyste. « Mais le problème pour les acheteurs, c'est que cela se traduit par des coûts plus élevés, parfois très conséquents, » a-t-elle ajouté. « Par exemple, certaines solutions micro-verticales basées sur NetSuite coûtent quatre fois plus chères que NetSuite lui-même. »

Les outils spécialisés toujours indispensables

Les analytiques sont devenus un élément intégrant des offres SaaS et sont adaptés « au contexte dans lequel travaillent les utilisateurs, » écrit encore Liz Herbert. « De nombreuses entreprises souhaitent disposer en priorité de données d'évaluation spécifiques à leur activité afin de pouvoir comparer leurs performances avec leurs concurrents, un type d'analyses que certains fournisseurs de SaaS commencent à proposer. » Cependant, en général, les applications SaaS s'emploient plutôt à fournir des rapports que des comptes rendus spécifiques, « si bien que les clients doivent encore se tourner vers des outils spécialisés, » ajoute-t-elle.

« En même temps, les clients qui souhaitent faire tourner une série d'applications SaaS disposent de plus de choix sur la manière de les gérer, » avance Liz Herbert. « Face à la prolifération d'applications SaaS et de solutions plus légères, émanant souvent aussi de vendeurs moins fiables, certaines entreprises aimeraient pouvoir disposer d'une solution plus simple, émanant d'un fournisseur unique et responsable, pour leurs contrats, la facturation, le provisioning, le support, l'intégration, les mises à jour, et les tests, » écrit-elle. A l'heure actuelle, seuls des fournisseurs comme Hewlett-Packard offrent de tels services. Encore que ceux-ci sont, en général, des « arrangements ponctuels, qui répondent à une demande particulière. » Cependant, selon l'analyste, « les acheteurs peuvent s'attendre à ce que ce modèle se développe. »

Penser aux déploiements mobiles à venir

« La tendance à l'orchestration augmente avec le développement de boutiques d'applications en ligne, qui permettent aux clients d'acheter facilement des add-ons pour leurs applications SaaS, » écrit Liz Herbert. « Mais les deux filières d'approvisionnement comportent des risques, notamment un verrouillage de la part du vendeur, » explique-t-elle. « Les acheteurs de SaaS doivent également veiller à ce que leurs fournisseurs aient des capacités et une forte stratégie orientée vers les médias sociaux, » ajoute encore l'analyste. « Les entreprises de premier plan effectuent leurs recrutements via Facebook et Second Life et s'adressent à leurs clients via Twitter et Facebook, » écrit-elle. « Les responsables du sourcing doivent veiller à trouver des solutions qui permettent d'intégrer les informations sociales aux sources d'information traditionnelles, y compris des analyses permettant une vue d'ensemble des salariés, des clients et des produits. »

« Enfin, les acheteurs devraient prendre le temps de s'intéresser à la façon dont les fournisseurs de SaaS  réalisent déjà ou envisagent d'effectuer leurs déploiements mobiles, » selon Liz Herbert. « Cette nouvelle tendance concerne la plupart des solutions SaaS. Des fonctionnalités sympathiques et innovantes risquent de ne pas avoir beaucoup de valeur, si le personnel utilise des terminaux plus anciens, » écrit-elle. Mais au cours des 10 prochaines années, la baisse des prix, les progrès en matière d'autonomie des batteries et la couverture haut-débit, ainsi que d'autres facteurs « vont mettre la mobilité au premier plan. »

(...)

(05/12/2011 11:14:41)

SAP rachète SuccessFactors pour propager ses offres cloud

SAP America a annoncé au début du week-end qu'il déboursait 3,4 milliards de dollars en numéraire pour s'offrir SuccessFactors, éditeur d'outils de gestion du capital humain en mode Software as a service (SaaS). Les dirigeants de SAP ont indiqué que ce rachat allait sensiblement accélérer l'avancée du groupe allemand dans le domaine des applications de gestion exploitées dans le cloud. La transaction, encore soumise à des approbations réglementaires, devrait être effective au premier trimestre 2012. Elle valorise l'action de Successfactors à 40 dollars, soit un bonus de 52% par rapport à son cours du 2 décembre 2011.

On pressentait depuis une quinzaine de jours que l'éditeur allemand était sur le point de réaliser une nouvelle croissance externe. L'un de ses co-PDG, Jim Hagemann Snabe avait lui-même évoqué cette probabilité lors de la conférence annuelle organisée par la banque Morgan Stanley.

Lars Dalgaard va conduire l'activité cloud de SAP

Lars Dalgaard, fondateur et PDG de SuccessFactors, va rejoindre SAP pour diriger son activité cloud, tout en gardant la direction de sa société d'environ 1 450 employés, basée à San Mateo, en Californie. Cette dernière restera indépendante, a indiqué son acquéreur. SAP « partage notre vision du cloud et de l'importance que représente cette opportunité », a déclaré Lars Dalgaard lors de l'annonce du rapprochement. « Nous avons eu un parcours incroyable au cours des dix dernières années », a-t-il ajouté en soulignant que, malgré tout, le développement du cloud ne faisait que commencer. Son nouveau champ d'action : les 176 000 clients de SAP auxquels il va proposer l'interface conviviale de ses logiciels disponibles sur terminaux mobiles et via le web.

Lars Dalgaard a créé Successfactors en 2001 pour développer des solutions permettant d'aligner les collaborateurs d'une entreprise sur les objectifs stratégiques définis par ses équipes de direction. Une démarche dont il avait pu constater la validité dans ses précédentes fonctions comme dirigeant de filiales chez Unilever et Novartis. Par la suite, l'offre s'est complétée, par développement ou acquisitions, des différentes briques nécessaires à la gestion des RH : recrutement, suivi des rémunérations et des successions, fonctions en self-service, gestion des talents, analyse et planification des ressources, suivi des actions de formation, collaboration.

Une combinaison de choc, selon Bill McDermott

SAP considère que l'offre de SuccessFactors est particulièrement complémentaire avec ses solutions de gestion du capital humain (HCM), de même qu'avec ses applications en ligne, Business ByDesign et les offres complémentaires pour grandes entreprises (Line of business*). Le cloud est au coeur du développement futur de SAP, a rappelé le co-PDG Bill McDermott dans un communiqué en estimant que l'association des équipes de SuccessFactors et de la technologie de SAP allait constituer une combinaison de choc.

La société californienne annonce 15 millions d'abonnés à ses logiciels en ligne pour plus de 3 500 clients répartis dans 168 pays. Au troisième trimestre 2011, SuccessFactors a réalisé une progression de 77% sur son chiffre d'affaires, à 91 millions de dollars (fin septembre). Sur les neuf premiers mois de l'année, l'augmentation est de 59%, à 232 millions de dollars. L'ambition affichée de SAP est de faire croître considérablement le nombre d'utilisateurs de ses logiciels. Dans cette perspective, le groupe allemand souligne le potentiel que représentent les 500 millions de collaborateurs totalisés par ses clients et ses 15 000 déploiements HCM (Human Capital Management).

L'un des derniers rachats de SAP remonte à septembre lorsqu'il a acquis Crossgate, éditeur et opérateur d'une plateforme d'échange de données interentreprises. Sa précédente transaction de grande ampleur (5,8 milliards de dollars) remonte à mai 2010 avec l'acquisition de Sybase. Sa première opération de croissance externe de grande envergure (6,8 milliards de dollars) avait porté en octobre 2007 sur l'éditeur français Business Objects.

(*) SAP prépare pour l'an prochain des solutions de recrutement (Career OnDemand) et de gestion des frais de déplacement (Travel OnDemand).

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(02/12/2011 16:35:52)

Face au Patriot Act, l'Europe pousse à un cloud de stockage européen

L'Union européenne, préoccupée par l'intrusion des lois américaines, a créé un nouveau marché pour des services européens de cloud computing. Un récente enquête a indiqué que 70% des Européens se préoccupaient de la protection de leurs données en ligne et de la sécurisation de ces dernières dans les entreprises. A présent, deux entreprises suédoises, Severalnines et City Network ont commencé à promouvoir leurs services nouvellement fusionnés comme «un refuge » contre le Patriot Act. En vertu de cette loi, les données des utilisateurs européens des services cloud américains peuvent secrètement être saisies par des agences fédérales.  

« Nous pensons qu'un service qui est détenu, qui est exploité localement dans l'UE et qui est entièrement compatible avec la législation européenne de protection des données, sera très attrayant pour les entreprises européennes », a déclaré Johan Christenson, PDG de City Network. Il a ajouté que les  entreprises américaines qui réalisent des opérations sur le sol européen bénéficieront d'une plus faible latence avec une solution hébergée localement . Cette ouverture du marché est également exploitée par d'autres entreprises tels que DNS Europe, Colt et MESH. Ce dernier encourage fortement sa localisation en Allemagne et la séparation des données en stricte conformité avec les lois allemandes de protection des données.

Echec du Safe Harbor Agreement

Les législateurs européens sont également préoccupés par la protection accordée aux données personnelles dans le cloud. « Il est crucial, pour les entreprises et les utilisateurs européens, que les données dans le cloud soient stockées dans un pays sûr », a pour sa part estimé Philippe Juvin, un membre du Parlement européen.

L'Europe et les Etats-Unis ont tenté de surmonter la méfiance des utilisateurs avec le Safe Harbor Agreement, mais il a largement été considéré comme ayant échoué. Selon l'accord, les organisations américaines auto-certifient leur adhésion aux principes de la sécurité des données, mais il existe très peu d'applications et certaines lois américaines, en particulier le Patriot Act, peuvent remplacer ses principes. Des juristes, tels que Theo Bosboom de Dirkzager Lawyers, considèrent que le Safe Harbor Agreement est dépassé. « J'ai bien peur qu'il n'ait plus grande valeur, puisqu'il semble que les entreprises américaines qui proposent de stocker les données dans un cloud européen seront tout de même obligées d'autoriser le gouvernement américain à y accéder sur la base du Patriot Act », explique-t-il.

Des mesures sur le cloud dans la nouvelle directive européenne

Sophia In't Veld, du MEP,  n'est également pas une adepte de cet accord.  Pour elle, le Safe Harbor Agreement était une bonne idée, mais il  n'a pas fonctionné. Quand il a été mis en place, les temps étaient différents et il est presque devenu redondant avec le progrès technologique. « Nous sommes conscients des problèmes des zones de juridiction entre l'UE et les Etats-Unis », a-t-elle exposé. « Or, un système comme le Safe Harbor Agreement n'est pas un concept suffisamment solide pour pouvoir résoudre ces problèmes ».

L'UE est actuellement en pourparlers avec les Etats-Unis sur les transferts de données sensibles à travers l'Atlantique et une nouvelle directive européenne sur la protection des données sera publiée début 2012. La  commissaire européenne en charge de la justice Viviane Reding a promis d'y inclure des mesures pour couvrir les données dans cloud  mais il semble que les services cloud européens puissent y voir une opportunité marketing.  

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(02/12/2011 15:24:30)

Oracle optimise WebLogic 12c pour le cloud

Comme on l'attendait, Oracle a fait évoluer son serveur d'application WebLogic (ex-BEA) de façon à faciliter les déploiements dans le cloud, ainsi que l'a souligné Mike Lehmann, directeur senior produit, lors de l'annonce de la version 12c hier soir, par webconférence. « De nombreux clients exploitent des datacenters traditionnels mais sont intéressés par une migration vers le cloud. WebLogic 12c a été conçu pour cela ». Le suffixe « c » derrière le numéro de version vient souligner cette destination. WebLogic est le deuxième produit du catalogue à l'arborer après Enterprise Manager 12c annoncé sur OpenWorld 2011. Cette solution est au coeur de l'appliance Exalogic qu'Oracle préconise aux entreprises souhaitant déployer leurs applications dans un environnement de cloud privé.

Cette mise à jour majeure du serveur d'application, qui apporte selon Oracle plus de 200 fonctionnalités supplémentaires, sera disponible dans les prochaines semaines (la précédente remontait à la 11g en 2009). Elle constitue le fondement de l'offre Fusion Middleware dans le cloud, avec les briques Coherence (technologie de cache distribué) et Tuxedo (moniteur transactionnel). Un autre composant de l'offre middleware, Traffic Director (OTD) ajoute des mécanismes de routage de trafic, à haute performance et haute disponibilité. Le trafic entrant est routé à travers les différentes instances WebLogic dupliquées. OTD apporte des fonctions pour gérer de façon dynamique le cache, la répartition de charge et le support des serveurs proxy pour les applications basées sur http.

C'est la première version de WebLogic compatible avec Java EE 6 et avec les API et bibliothèques de ses composants technologiques, Java Servlets, JAX-RS 1.1 (Java API for restful XML Web services), JSF (Java Server Faces) 2.1,  les Enterprise JavaBeans 3.1, etc. Cette conformité avec Java EE 6 donne aussi accès à CDI (Context and Dependency Injection), une fonctionnalité requise par les développeurs pour injecter facilement des composants dans les applications. 

Assembler des applications multiniveaux en containers

Pour amener WebLogic vers le cloud, une grande partie du travail a résidé dans l'intégration du logiciel avec d'autres solutions d'Oracle. Le serveur d'applications a été modifié pour fonctionner avec Virtual Assembly Builder. Ce dernier permet, dans des environnements virtualisés avec Oracle VM, d'assembler dans un même container des applications multiniveaux (multitiers). Typiquement, les composants d'une application Java d'entreprise, incluant un serveur web, le logiciel de gestion du trafic, le serveur d'application et une couche de gestion des messages, sont souvent répartis entre plusieurs serveurs. Virtual Assembly Builder les réunit dans une bulle virtuelle qui peut alors être déplacée de serveur en serveur et gérée comme une identité unique.

« Lorsqu'elles préparent leur environnement pour le cloud, les entreprises se retrouvent face à une prolifération de machines virtuelles. Virtual Assembly Builder sert à en réduire le nombre, tandis que Traffic Director permet aux entreprises d'ajuster le trafic réseau au sein de leur infrastructure », explique Mike Lehmann.

Intégré avec Apache Maven

La version 12c du serveur d'application a également été revue pour fonctionner plus efficacement avec RAC (Real Application Clusters), la solution d'Oracle permettant à une base de données de fonctionner au sein d'un cluster de serveurs. WebLogic peut sélectionner le serveur qui lui paraît le mieux approprié à un moment donné, ce qui peut conduire à tripler ses performances, indique Mike Lehmann. Les autres serveurs d'applications vont interroger la base de données pour intervenir sur de nouveaux événements, tandis qu'avec WebLogic, Oracle met en place un système de messages qui peut alerter le serveur d'applications immédiatement quand une nouvelle information a été intégrée dans la base.

A la demande des utilisateurs, l'éditeur de Redwood a par ailleurs intégré son serveur d'applications avec Apache Maven, qui aide les développeurs à gérer les dépendances au sein de leurs applications, ainsi que les bibliothèques et les classes nécessaires à leur fonctionnement. « Cela facilite l'intégration de WebLogic dans leur environnement de build standard ».

WebLogic 12c est disponible. Son prix ne change pas, a précisé Oracle. Il est fixé à 45 000 dollars par processeur (auxquels s'ajoutent 9 900 dollars pour le support annuel). (...)

(01/12/2011 16:31:44)

Oracle fait coexister Fusion Applications avec l'existant

Quelques semaines après l'ouverture de son cloud public annoncé sur OpenWorld 2011, Oracle a dépêché à Paris son vice-président Chris Leone, responsable de la stratégie sur les applications pour le groupe. Sa mission : présenter l'offre Fusion Applications aux clients français. Annoncée en disponibilité générale sur OpenWorld 2011, cette offre modulaire résulte de six années de réécriture et rassemble une centaine de modules qui peuvent être installés sur site, en cloud privé ou s'utiliser dans un cloud public. Les modules de gestion de la relation client (Fusion CRM) et de gestion des ressources humaines (Fusion HCM) sont disponibles sur le cloud public d'Oracle.

Ce matin, Chris Leone a rappelé la complémentarité de Fusion Applications avec les solutions d'Oracle que les entreprises ont déjà installées, notamment ses ERP (E-Business Suite, JD Edwards et PeopleSoft), mais aussi le CRM Siebel. Sur ce point, Chris Leone a été très clair. Fusion Applications ne vient pas déloger l'existant. « Nous continuons à investir dans toutes nos suites applicatives et à les faire évoluer. Continuez à les mettre à jour. Regardez ensuite dans notre offre middleware s'il n'y aurait pas une ou plusieurs briques qui pourraient vous intéresser et envisagez des opportunités de coexistence avec Fusion Applications. »

Lui-même a présenté plusieurs scénarios de coexistence, en insistant sur Fusion CRM et sur les modules de gestion des talents utilisés en mode SaaS (software as a service). Il a également évoqué l'intégration de Fusion Applications avec les solutions de gestion non Oracle, notamment via un module intermédiaire (Accounting hub). Sans oublier la dimension mobile et l'utilisation des logiciels sur tablettes.

Chris Leone a rappelé que les outils entourant Fusion Applications permettaient de configurer différents rôles d'utilisateurs dans l'entreprise. Il a également souligné la mise à disposition de modèles de processus métiers et d'une série d'outils pour personnaliser les applications à différents niveaux (données, processus, reporting, pages). 

Réseau social et BI au sein des processus métiers

A l'heure de Facebook et Chatter, Oracle n'a pas oublié d'insérer la dimension « réseau social » dans Fusion Applications. « Nous savions dès le début qu'il nous faudrait le faire », a affirmé ce matin Chris Leone. « Je peux créer des groupes et des équipes de personnes qui interagissent, avec des flux d'activité mis à jour en temps réel. Ce que nous avons voulu faire, c'est intégrer les fonctionnalités de réseau social dans les processus métiers ». De la même façon, Oracle a intégré la Business Intelligence au sein de Fusion Application, sous différentes formes : tableaux de bord, BI mobile, support à la décision, optimisation en temps réel. Dans ce domaine, Chris Leone a expliqué comment Oracle avait répliqué, dans l'offre gestion des talents, certaines fonctions BI qui avaient montré leur efficacité dans le CRM. En l'occurrence, afin de repérer les collaborateurs qui risquaient de quitter l'entreprise, l'éditeur applique aux données RH des modèles utilisés pour lutter contre l'attrition des clients. 

Le vice-président d'Oracle explique que de nombreux entreprises s'intéressent à des déploiements hybrides combinant des applications existantes installées sur site et en cloud privé, tandis que d'autres seront exploitées en cloud public. Il cite plusieurs clients (Principal Financial Group, Green Mountain Coffee, Alcoa), déjà présentés sur OpenWorld 2011, représentatifs des multiples possibilités de déploiement. Au passage, Chris Leone souligne que l'outil de réseau social d'Oracle est proposé en mode SaaS, comme un produit indépendant, et qu'il peut aussi être installé par les entreprises à l'intérieur de leur pare-feu.

Illustration : Chris Leone, VP d'Oracle, responsable de la stratégie pour les applications, sur OpenWorld 2011 (Photo Courtesy of Hartmann Studios)

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(01/12/2011 10:56:59)

HP/Cisco : 2 visions de l'informatique s'affrontent

Désormais ouvertement adversaires sur le marché des infrastructures des centres de calcul, l'équipementier de réseau Cisco et le géant des serveurs et du stockage HP sont au moins d'accord sur une chose : tout a commencé avec le lent décollage de la virtualisation. « A l'enthousiasme des premières années succède aujourd'hui la volonté d'industrialiser la virtualisation », commente Bruno Dutriaux, chargé du développement partenaires pour la division Datacenter et virtualisation chez Cisco. C'est aussi au nom de l'industrialisation de la virtualisation qu'HP a déterré la hache de guerre : « la crise de 2008 a poussé le marché vers le cloud et donc vers l'industrialisation de l'infrastructure, commence Philippe Rullaud, directeur de la division serveurs x86 pour la France chez HP. Un même constat, mais dont les deux constructeurs tirent des leçons bien différentes.

Les briques pour simplifier l'infrastructure

« C'est une affaire de point d'observation », risque Guy Lefebvre, directeur de la division Stockage chez Adstore, avant de remarquer qu'HP dispose dans son portefeuille des trois grandes briques technologiques de la future informatique en nuage, le réseau, le stockage et les serveurs, alors que Cisco, lui, doit compter sur des partenaires. Chez HP, l'argumentation développée pourrait se résumer à un seul mot, la convergence. Les infrastructures informatiques seraient appelées à devenir des boîtes noires, des briques préconfigurées au fonctionnement le plus standard possible, la complexité étant gérée au plus près des applications, dans les couches logicielles virtualisées. « Pour réaliser cela, il faut simplifier, il faut pouvoir faire évoluer à la même vitesse les composantes serveur, stockage et réseau de l'infrastructure », explique Olivier Petit, chef de produits Blade chez HP. La marque dresse volontiers une vision d'ensemble de l'évolution de l'informatique, et se voit bien jouer le rôle du chef de file. Pour l'équipementier de réseau, la vision de l'avenir s'inspire des problèmes rencontrés par les entreprises au présent. « Plus vous ajoutez de serveurs en lame, plus votre réseau se complexifie. Si l'on veut réussir le cloud, il faut simplifier », explique Bruno Dutriaux.

Des approches techniques difficiles à différentier

Là encore, les deux frères ennemis sont à l'unisson. Et d'un point de vue purement technique, il reste difficile pour un non spécialiste de différentier clairement les deux offres. Virtual Connect de HP et Unified Computing System de Cisco ont en effet de nombreux points communs. Toutes deux utilisent un couple de commutateurs de coeur de réseau qui embarque toute l'intelligence de configuration des connexions LAN et SAN. Toutes deux proposent de concentrer les serveurs lames dans des châssis qui seront connectés aux commutateurs de coeur de réseau. Toutes deux poursuivent le même objectif, éliminer les câbles et apporter plus de flexibilité. Avec son offre Virtual Connect, HP revendique jusqu'à 95% de câbles et d'équipements de réseau en moins dans le data center. De son côté, Cisco explique que son offre Unified Computing System permet de réduire à une petite demi-heure le délai de mise en production d'un nouveau serveur lame, là où la concurrence mettrait plusieurs jours ou semaines.

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D'accords sur l'analyse du besoin, d'accords sur les solutions techniques, les frères ennemis du datacenter ne s'affrontent en réalité que sur un seul terrain, leur propre survie dans ce grand chambardement du marché. «  Derrière ces grandes manoeuvres, nous assistons à un mouvement de fond visant la simplification des offres, décrypte Yann Plétan d'Altimate. Stockage, réseau ou puissance de calcul, chaque brique des futurs cloud ne représentera plus à terme qu'une seule référence incluant le matériel et le logiciel. L'ère des bundles composés à la main par les revendeurs est en train de s'achever ». Même son de cloche chez les constructeurs qui, là encore, utilisent la même référence à l'industrie automobile pour insister sur ce qui les différentient : « Hier, un constructeur assemblait dans son atelier toutes les pièces de chaque véhicule, rappelle Bruno Dutriaux. Aujourd'hui, il fait appel à des ensembliers. Il est en train de se passer la même chose dans l'industrie informatique ».

Le réveil d'un vieux démon

A ceci près que dans ce match de titans, la plupart des coups risquent de s'échanger en dessous de la ceinture. « HP couvre déjà la totalité de l'offre alors que Cisco doit encore convaincre sur ce point », remarque Guy Lefebvre. Conscient des enjeux, HP pousse son avantage. Dans l'argumentation commerciale qu'il destine à ses partenaires, il n'hésite pas à enfoncer le clou et à insister sur le caractère disparate, lourd, peu intégré, de l'offre concurrente. La convergence, chez HP, se raconte en quelques chiffres : 2 composants au coeur de l'architecture cloud d'HP contre une trentaine requis par l'offre concurrente, et 95% de câbles en moins. Mais par rapport à quoi exactement ? A force de vouloir convaincre, le géant risque de finir par réveiller une inquiétude aussi vieille que l'informatique, celle du monopole absolu.

Pour aussi séduisant et pratique qu'il soit, le « one stop shopping » ou interlocuteur unique proposé par HP laisse toujours le sentiment d'avoir perdu une certaine liberté de choix. Et cela d'autant plus que, d'annonce en annonce, le géant de Palo Alto confirme son intention de capter un à un tous les marchés de ses concurrents. Dernier en date, le 23 novembre, le marché de la consolidation des applications Unix sur des infrastructures blades x86. En face, chaque mouvement du géant rapproche des ténors de l'informatique qui n'auraient pas imaginé s'allier auparavant. « Il faut regarder au delà de cette bataille d'acteurs pour voir où se dirige vraiment le marché, tempère Yann Plétan d'Altimate. Si on fait cela, on se rend compte que ce n'est pas seulement l'offre des constructeurs qui évolue, mais que nos métiers sont aussi en train de changer en conséquence ».

(...)

(01/12/2011 10:24:05)

Une plate-forme IaaS pour lancer une offre SaaS chez Everest Marketing Group

Spécialisé dans le marketing opérationnel, Everest Marketing Group est une société propose une offre de produits (notamment des voyages) et cartes cadeaux sous la marque Best. Ces produits et cartes peuvent être utilisés par ses clients dans le cadre d'opération de promotion, de fidélisation et d'incentive au travers de pass-cadeaux et de boutique en ligne. Pour cela, Everest Marketing Group propose à sa trentaine de clients un SaaS directement connecté à sa propre logistique, y compris à son outil de production.

Mais le système mis en place posait des soucis de performance liés à la croissance du groupe. Il fallait donc pouvoir accompagner cette croissance sans à-coups. Si Everest Marketing Group s'adresse uniquement à des entreprises, les utilisateurs finaux sont, eux, du grand public dans la majorité des cas. Le groupe devait donc cumuler les exigences du B2B (fiabilité...) et celles du B2C (fluidité, scalabilité...).

Pour cela, Everest Marketing Group a confié, en 2010, sa plate-forme web en infogérance à Oxalide en utilisant son offre de IaaS, par nature extensible à la demande. La migration entre l'ancien système et le nouveau a dû s'opérer par réplication progressive au fil des deux mois d'été 2010, mois de plus faible activité. Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
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