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Cloud computing
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(20/10/2010 12:30:55)
Code2Cloud, l'environnement de développement cloud de VMware
Même si l'entreprise a fait la démonstration d'un prototype de son futur service Code2Cloud lors de la conférence développeur SpringOne G2X qui se tient à Chicago, celui-ci ne sera pas disponible avant 2011. Ce service gratuit, qui était plus connu sous le nom de code NAPA, est qualifié de « portail de déploiement » par Rod Johnson, directeur général de la division produits SpringSource de VMware. Il a le considère comme « le chaînon manquant entre l'environnement développeur desktop intégré (IDE) et le déploiement vers le cloud, ». « Aujourd'hui, le processus impliquant le déploiement d'une toute nouvelle application vers le cloud est très fragmenté, » explique Rod Johnson. « Ainsi, il n'existe pas de lien direct entre le développement en interne et les étapes de test et de déploiement qui ont lieu à travers le réseau, » a t-il ajouté. « Comment et à quel niveau suivre son code source? Comment assurer le suivi de ses tests ? Comment procéder à une intégration en continu ? Dans ces domaines, les développeurs sont largement livrés à eux-mêmes, » a déclaré Rod Johnson.
Le service offrira un environnement de développement complet, ainsi que les moyens de déployer facilement des applications dans des cloud privés ou publics à l'image de l'offre VMforce commune à Vmware et Salesforce, ou des Google Apps. L'éditeur canadien Tasktop Technologies a également contribué à l'élaboration de Code2Cloud. Le service apportera un certain nombre d'outils de développement comme SpringSource Tool Suite IDE, le logiciel de contrôle de code source Git, le plug-in de gestion de tâches Mylyn issu du logiciel Eclipse de Tasktop Technologies, l'outil d'intégration Hudson, et un service de suivi compatible avec Bugzilla. Le service VMware propose également un tableau de bord permettant de suivre la progression des projets et le travail des équipes de développement.
Le service sera d'abord disponible via la suite logicielle gratuite SpringSource Tool Suite, ou via un plug-in Eclipse. Le développeur aura la possibilité de lancer un projet dans l'environnement intégré IDE, et poursuivre sur le cloud où il pourra trouver les outils de contrôle de code source, la gestion de l'intégration en continu, et les outils de debugage et de suivi. « Avec Code2Cloud, dès que le développeur a corrigé un défaut dans Eclipse, le code hébergé est instantanément créé, testé et déployé. Tout problème détecté lors de l'exécution en runtime apparaît immédiatement dans le contrôleur et dans l'IDE avec un compte rendu complet du contexte de l'erreur, » a déclaré Mik Kersten, PDG de Tasktop Technologies, dans un communiqué. « Java sera le premier langage pris en charge par cette offre, mais au fil du temps VMware pourra ajouter d'autres langages, » a déclaré Rod Johnson.
Crédit Photo : D.R
(...)(19/10/2010 11:59:56)Ray Ozzie, évangéliste du cloud, quitte Microsoft
L'architecte logiciel en chef de Microsoft, Ray Ozzie, quitte le navire en faisant valoir ses droits à la retraite. Nous n'avons pas de plans pour le remplacer a simplement indiqué le PDG de l'éditeur de Remond, Steve Ballmer, qui a écrit une note aux employés de la société, également publié sur le site Internet maison. Steve Ballmer est resté vague sur la date exacte de départ de Ray Ozzie. Il va rester « un certain temps », pour assurer la transition entre les équipes et les projets en cours explique le PDG de Microsoft. « Pendant cette évolution et avant qu'il se retire, il se concentrera ses efforts dans le domaine plus large du divertissement où Microsoft a de nombreux investissements en cours, at-il dit.
L'éditeur n'a pas l'intention de le remplacer. « Le rôle de l'ASC [Chief Software Architect] était unique et je ne vais pas remplir ce rôle après le départ de Ozzie Ray » précise Steve Ballmer et d'ajouter « il a joué un rôle crucial dans la bascule vers le cloud et nous a correctement positionné pour le succès futur ». Le dirigeant rappelle la note « Internet Services Disruption » écrite il y a 5 ans et qui « a stimulé la réflexion de la société et a aidé à catalyser nos efforts sur le cloud. » Dans cette note, Ray Ozzie a déclaré que Microsoft avait besoin d'orienter son activité vers un nouveau modèle de services financés par la publicité et les logiciels. « Ce modèle a le potentiel pour avoir un impact fondamental sur la manière dont nous et les autres développeurs fabriquons, livrons et monétisons des innovations ». Azure, la Plateform as a Service (PaaS) de Microsoft, est l'exemple de ce type de produits prôné par Ray Ozzie. Cette orientation s'est ensuite étendue à des versions hébergées de produits tels que SharePoint, Exchange et Office Communications.
Une réorganisation fatale
Mais peu après le lancement d'Azure, la société s'est réorganisée et les destinées de la plate-forme sont passées sous la direction de Bob Muglia, qui s'occupait de l'activité Server et and Tools Business. À l'époque, certaines personnes se demandaient quel serait le rôle de Ray Ozzie dans l'entreprise une fois Azure hors de son contrôle. Il a rejoint Microsoft en 2005 comme agent technique en chef lorsque le géant du logiciel a acquis sa compagnie, Groove Networks. Il était surtout connu à l'époque pour être l'un des créateurs de Lotus Notes. Il a été une grande force de Microsoft, car il était un des représentants de l'époque des spécialistes en informatique, qui ont grandi avec les premiers ordinateurs. Lorsque Bill Gates a démissionné, Ray Ozzie a été logiquement pressenti pour le remplacer comme architecte logiciel en chef.
L'ASC a une fois estimé qu'il avait accumulé 10 000 heures derrière un ordinateur depuis sa deuxième année au collège. Il est né la même année que Gates et ils avaient tous deux connus leurs premières expériences avec l'informatique en utilisant des ordinateurs GE sous Time Sharing.
Crédit Photo : D.R
(...)(18/10/2010 15:15:58)VMworld Europe 2010 : Un écosystème en pleine effervescence
Le cru 2010 de cette édition européenne est marqué par une montée en puissance de Vmware sur les différentes couches de l'IT, du datacenter virtualisé en passant par l'utilisateur final, les annonces ont été nombreuses. Au sein du centre des congrès danois, plusieurs sociétés ont profité de cet évènement pour promouvoir leurs solutions parfois en complément des annonces de VMware, d'autres en concurrence avec, peut-être, le secret espoir d'attirer l'attention de l'éditeur américain.
La sécurité étant un frein psychologique ou réel, à l'adoption du cloud computing, plusieurs sociétés ont annoncé des solutions pour répondre à cette crainte. Ainsi, Trend Micro va fournir une appliance virtuelle de sécurité qui apporte une protection des VM et des Vapps dans le cadre d'un datacenter virtualisé. Pour Harish Agastya, directeur marketing et produit de sécurité pour datacenter chez Trend Micro, « notre solution deep security 7.5 comprend un anti-malware qui s'appuie sur VShield Endpoint [NDLR : une gamme de produit de sécurité comprenant les applications, le réseau, etc.] , elle permet de créer une protection anti-virus pour les VM sans agent tiers installé sur chaque machine virtuelle ». Par ailleurs, dans la logique de migration des données d'un cloud privé vers un cloud public, Trend Micro a lancé une version bêta d'une plateforme de sécurité baptisée SecureCloud. Celle-ci comprend une gestion à base de clés, une technologie de chiffrement standard et une authentification des serveurs virtuels. Cela répond aux propos de Paul Maritz, CEO de VMware qui expliquait en ouverture du salon, « nous devons concevoir la sécurité autrement. Celle-ci ne se réalise plus à la marge du réseau, mais devant les applications elles-mêmes. » Autre acteur, qui se lance dans les appliances virtuelles de sécurité, Fortinet, ce dernier propose en effet 4 solutions (Fortigate, FortiManager, FortiAnalyzer et FortiMail) à destination des environnements virtualisés. Christophe Auberger, ingénieur système senior, explique « sur le cloud, les menaces sont les mêmes, mais les risques sont plus importants, car il y a des zones d'ombres ». Les solutions présentées s'associent donc aux services de sécurité physique existant pour combler ses zones.
De l'administration et du management à profusion
La migration vers le cloud apporte sans conteste de la souplesse, mais nécessite quelques aménagements des infrastructures souvent complexes. Pour accompagner au mieux cette transition et pour l'automatiser, les responsables IT sont friands d'outils de gestion, d'administration du cloud. Le salon a été l'occasion de découvrir des sociétés qui proposent différentes solutions en la matière. C'est le cas de VKernel qui a présenté sa suite de capacity management intégrant le monitoring, le planning, l'optimisation et la refacturation à la demande. Cette solution entre en concurrence avec Capacity IQ de VMware mais revendique une plus grande granularité dans l'administration des VM, ainsi qu'un coût moindre. Avec la montée en gamme de VMware, des acteurs unifient leurs outils de supervision comme le montre Veeam, qui propose One Solution, qui se compose d'éléments similaires à ceux de VKernel. Daniel Fried, Directeur Général de Veeam souligne que « le management des infrastructures virtualisées a besoin de temps réel et d'unification, les entreprises vont dans la direction d'une plus grande agilité ». En parallèle des ses solutions d'administration, Veeam est également très présent dans le backup et la restauration, « une étude que nous avons réalisé montre qu'en France, par exemple les problèmes, de restauration coûtent en moyenne 458 000 dollars par an, car les sociétés réalisent très peu de test dans ce domaine ». Les données étaient au coeur des discussions dans les allées du salon et plus exactement les bases de données. Un petit acteur, qui répond au nom de Splunk, (diminutif de spéléologie en anglais) a présenté une solution capable d'analyser tous les types de données (sécurité, log, incident, charge de travail, etc.) en temps réel.
Les opérateurs télécoms, cibles privilégiées
Pour l'ensemble des acteurs, l'adoption de cloud passera par les opérateurs télécoms, véritable lien entre le monde des services managés et des offres de communications. Ce n'est donc pas pour rien que plusieurs opérateurs étaient présents sur le salon. Colt s'est ainsi distingué en devenant le premier partenaire de VMware pour déployer Vcloud Datacenter. Deux clients ont déjà intégré cette solution de virtualisation du datacenter, Carphone Warehouse et Fidelity. Pour l'instant il s'agit de plateforme de test applicatif, la mise en production devrait se faire progressivement. En France, Béatrice Rollet, directrice produit et marketing chez Colt France a indiqué « nous avons des beta testeurs sur cette solution, notamment dans le e-commerce qui sont très sensible à la montée en charge de leur activité pendant certaines périodes ». Si les allées du salon ont bruissé de la compétition entre des services des providers et les opérateurs, ces derniers ont démontré qu'il fallait compter sur eux, « il ne faut pas réduire le cloud au datacenter », prévient Michel Calmejane, DG France de Colt et d'ajouter « la mise en place de SLA, les outils de sécurisation, la localisation des données sont aussi importants ».
IBM va doper ses serveurs avec des puces spécialisées
Les serveurs s'appuyant sur des designs génériques de processeurs conviennent parfaitement pour certaines applications. Néanmoins, pour accélérer certains traitements, IBM prévoit de leur adjoindre des co-processeurs de sa fabrication, ainsi que des circuits spécialisés. C'est ce qu'a expliqué Jai Menon, directeur technique de la division Systèmes et Technology d'IBM, à l'occasion d'une interview donnée la semaine dernière à nos confrères d'IDG News Service.
Big Blue va continuer à proposer des serveurs de base avec des processeurs x86. Mais, de plus en plus, il va aussi disposer de configurations serveurs et d'appliances optimisées pour des domaines particuliers, comme le cloud computing, les traitements transactionnels ou des secteurs d'applications tels que la médecine. « Tout le monde n'a pas besoin des mêmes machines, rappelle Jai Menon. Les systèmes x86 ne constituent pas une réponse adaptée pour tout, pas plus que les systèmes à base de Power ».
Certains pas ont déjà été faits dans cette direction, par exemple avec l'appliance CloudBurst (photo ci-dessus, à gauche), conçue pour accélérer les déploiements d'applications dans le cloud et les environnements virtualisés. Ou encore par l'adjonction de processeurs graphiques Nvidia en complément des processeurs dans certains serveurs lames pour booster les application scientifiques et mathématiques.
Des circuits reprogrammables
IBM développe maintenant des puces et des circuits reprogrammables qui peuvent décharger le processeur de certaines tâches, indique Jai Menon. Big Blue crée aussi un nouveau langage de programmation qui pourra fonctionner en tandem avec les accélérateurs afin de doper la performance du système.
En février, le groupe de Sam Palmisano a annoncé le processeur PowerEN (Power Edge of Network, photo ci-dessus, à droite) qui peut être utilisé de façon assez large, ou bien en tant que co-processeur vers lequel certains traitements, tels que des tâches réseaux, peuvent être transférés. La puce sera intégrée dans des serveurs et également proposée sur des cartes à insérer dans un port PCI (peripheral component interconnect).
IBM met par ailleurs l'accent sur les circuits FPGA (field-programmable gate arrays) qui peuvent exécuter des tâches spécifiques plus rapidement que les processeurs, par exemple, le chiffrement de données ou des transactions bancaires. Le constructeur en utilise déjà dans des serveurs pour les traitements XML.
Des modifications sont nécessaires au niveau de la couche logicielle pour tirer le meilleur parti de ces composants associés, précise Jai Menon. IBM supporte le standard OpenCL, un jeu d'outils de programmation conçus pour développer et gérer l'exécution de tâches parallèles entre des processeurs et des puces graphiques. Big Blue essaie de rendre les FPGA adaptables et facilement reprogrammables au travers d'un langage compatible Java baptisé Lime, toujours en phase de recherche, a ajouté le directeur technique. « On aimerait programmer les FPGA comme on le fait en programmation classique afin de pouvoir reconfigurer ces circuits à la volée pour les affecter à une nouvelle catégorie d'applications », explicite-t-il.
Selon lui, les FPGA reprogrammables pourraient réduire le besoin en Asic (application-specific integrated circuits), ces circuits spécialisés assignées à certaines tâches « Les Asic ne sont pas adaptables et ils sont longs et coûteux à élaborer ».
Cap sur les mémoires à changement de phase
A plus long terme, Jai Menon pense que les mémoires à changement de phase (phase-change memory, PCM) pourraient remplacer les actuelles mémoires dynamiques (DRAM) et révolutionner la façon dont les serveurs sont construits. Les PCM utilisent un matériau proche du verre qui peut passer de multiples états vers des formes cristallines en fonction de la façon dont ses atomes sont réarrangés.
« Elles sont suffisamment abordables pour qu'on puisse les rapprocher des disques et suffisamment rapides pour s'apparenter à de la mémoire », détaille Jai Menon. Lorsque leur prix diminuera, les utilisateurs pourront disposer de 5 à 10 fois plus de mémoire dans les serveurs par rapport à ce qu'apportent aujourd'hui les DRAM, affirme le directeur technique.
Ces mémoires seront par ailleurs non-volatiles. Les données ne seront pas perdues si l'alimentation d'un serveur tombe. « Vous pourrez concevoir différemment vos systèmes de gestion de fichiers et vos bases de données, et ces composants ont le potentiel nécessaire pour parvenir à diviser par trois la consommation électrique et le volume d'espace utilisé par les serveurs. »
IBM va continuer à développer ces PCM et les intègrera à ses serveurs, promet Jay Menon, sans indiquer toutefois à quelle échéance. Des industriels comme Samsung et Numonyx travaillent aussi sur les mémoires à changement de phase.
Illustration : Offre CloudBurst (à gauche), processeur PowerEN (à droite) - crédit photo : IBM
Microsoft fixe un tarif accrocheur pour son CRM Online
Face à un concurrent comme Salesforce.com, qui s'est forgé une incontestable notoriété sur les offres de CRM en ligne, Microsoft dégaine la carte du tarif promotionnel pour attirer l'attention sur sa propre solution dans le cloud, Dynamics CRM Online. Hébergée par Microsoft lui-même et déjà accessible depuis deux ans aux Etats-Unis, cette solution est actuellement en version bêta sur 40 autres pays dont la France. Elle sera disponible au cours du premier trimestre de l'année prochaine dans sa version commerciale basée sur Dynamics CRM 2011.
A son lancement, il sera donc possible de souscrire un contrat de service de douze mois pour exploiter ce logiciel de gestion de la relation client au prix de 31 euros par mois et par utilisateur (34 dollars aux Etats-Unis), soit une réduction de 25% par rapport au prix normal (44 dollars). Cela représente la moitié du prix demandé par Salesforce.com pour la « Professional Edition » de son offre, tarifée 65 dollars. Pour bénéficier de ce tarif pendant un an, il faudra souscrire son abonnement avant le 30 juin 2011 inclus. Au-delà de cette date, Microsoft appliquera le tarif normal.
Vif succès pour le programme bêta
Cette annonce a été faite ce matin à Twickenham par Kirill Tatarinov, vice-président de la division Business de Microsoft, à l'occasion de la première d'une série européenne de trois conférences utilisateurs « Convergence » consacrées aux logiciels de gestion Dynamics. Les deux autres conférences auront lieu à Prague (18-19 octobre) et La Haye (20-21 octobre).
Depuis son ouverture, le programme bêta de Dynamics CRM Online a rencontré un vif succès qui a amené Microsoft à étendre ses capacités d'accueil pour pouvoir répondre à cette demande, a indiqué ce matin Benoît de la Tour, vice-président de Microsoft Business Solutions pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique. Avant de rejoindre Microsoft cet été, Benoît de la Tour a occupé des fonctions équivalentes chez l'éditeur Infor. Il a acquis une expérience de dix-sept ans au sein d'entreprises éditant des logiciels applicatifs.
Lefebvre Software se dote d'un monsieur cloud et SaaS
Christophe Richer devient directeur des activités « Saas et cloud » de l'éditeur Lefebvre Software. Depuis plusieurs mois, cet acteur du marché développe une stratégie Saas. Le diriegant ne sera pas tout à fait en terre inconnue. Il vient d'Ares, où il occupait le poste de directeur des opérations. Or, Lefebvre Software vient de reprendre l'offre Arcole d'Ares.
Christophe Richer, 37 ans, avait débuté chez R2i Santé, puis créé un logiciel pour l'analyse des dialyses, avant de rejoindre Ares en 2000. (...)
IBM met ses intégrateurs au régime cloud
Big Blue déploie toute son énergie pour entraîner son écosystème dans le cloud. Les éditeurs sont sollicités à travers le «club alliances » organisé par IBM pour les regrouper. Les partenaires intégrateurs ne sont pas en reste. « Ils vont par exemple pouvoir faire le lien entre l'existant et les solutions clouds » explique Eric Taillard, vice-président, division PME et partenaires d'IBM France. Le constructeur a acheté la société Cast Iron, spécialiste de cette intégration, dont les solutions sont désormais disponibles en France.
Le but est d'aider les partenaires intégrateurs dans toutes les briques nécessaires au cloud computing, par exemple en matière de facturation (le « billing ») ou d'allocation de ressources (« provisionning »). IBM va également miser sur la dimension métier, une conférence est ainsi organisée début décembre sur la banque et la finance. Il a par ailleurs mis sur pied une certification, pour son offre « cloudburst », pour le cloud privé. Mais la démarche certifiante n'est pas au coeur de l'accompagnement des partenaires, le cloud donnant une perspective beaucoup plus large que les offres habituelles.
Plus original, IBM va mobiliser sa filiale de financement, IBM global financing, IFG, pour aider les intégrateurs, qui veulent financer leur propre datacenter.
IBM et son club alliances (qui comprend ses partenaires éditeurs) se réunissaient hier, pour une journée entière au siège d'IBM France. 280 partenaires étaient attendus, un peu moins étaient au rendez-vous compte tenu des problèmes de transport. Une dizaine d'exposants présentaient également leurs solutions.
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