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Cloud computing

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(05/10/2010 16:14:54)

Osiatis dévoile sa stratégie dans le cloud

Travaillant dans les infrastructures informatiques, Osiatis ne pouvait pas rester sourd aux sirènes du cloud computing. Jean-Maurice Firtsch et Bruno Grossi, co-présidents du directoire d'Osiatis, ont livré leur stratégie dans ce domaine. Elle va passer par deux axes majeurs. Le premier concerne le conseil aux entreprises pour appréhender et migrer vers cette façon de consommer les ressources informatiques. « De plus en plus de sociétés s'interrogent sur l'arrivée du cloud et sont un peu perdues avec l'abondance d'offres en la matière », souligne Bruno Grossi. Cette activité va s'effectuer auprès de la base clients d'Osiatis qui comprend un mix de grands comptes et de grosses PME. La société se reposera aussi sur l'expérience acquise avec son métier d'infogérant recensant 100 000 serveurs et 1 million de postes de travail.

Se doter d'un cloud privé

L'autre volet stratégique est la création d'une plate-forme cloud en propre pour Osiatis. La SSII a choisi HP avec son offre Blade System Matrix et pour la partie logiciel de virtualisation, Microsoft Datacenter Dynamics et HyperV. Jean-Maurice Firtsch explique « cela représente un effort financier compris entre 1 et 2 millions d'euros pour cette orientation vers le cloud ». Le dirigeant prévoit que « cette activité représentera 5% de notre chiffre d'affaires à l'exercice 2012 » (pour mémoire, le CA 2009 de la SSII était de 233 millions d'euros). Cette installation devrait permettre de former les experts et consultants d'Osiatis sur le cloud privé. Le groupe entend bien recruter, quand la phase de déploiement des clouds montera en puissance, environ une vingtaine d'ingénieurs. Osiatis reste par contre évasif sur une stratégie à plus long terme qui l'amènerait à devenir opérateur de cloud, « il y aura peut-être des opportunités de manière ponctuelle, mais rien n'est encore défini » déclare Bruno Grossi. « Le marché reste encore en phase de démarrage » conclut Jean-Maurice Fristch.

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(05/10/2010 10:18:29)

Revevol, un intégrateur ambitieux sur les Google Apps

« Nous assurons en fait trois missions, nous explique le directeur général de Revevol, Laurent Gasser : déployer Google Apps chez nos clients en tant qu'intégrateur, les conseiller sur de nouveaux usages collaboratifs, développer pour eux des applications légères sur la base des Google Apps ».

Pour assurer cette ambition, Revevol recrute d'autres intégrateurs, que ce soit à l'international ou en France en région. A l'international, l'idée est de trouver un intégrateur par pays. Il portera le nom de Revevol, mais l'actionnaire local sera majoritaire et paiera une redevance. Des partenaires sont en piste en  Allemagne, en Australie, en Espagne, aux Pays-Bas. Un autre devrait suivre cette semaine aux Etats-Unis. « D'ici un an, nous aurons couvert tous les grands pays » lance Laurent Gasser.

En France, Revevol recrute des partenaires intégrateurs pour séduire les entreprises de moins de 250 postes. Ils seront formés et certifiés Revevol et lui reverseront une partie de leur CA. D'ici au mois d'avril prochain, une dizaine de partenaires supplémentaires seront recrutés. Revevol les forme et installe ensuite un contrôle qualité et un retour client, « la qualité de service est indispensable dans le Saas » note Laurent Gasser. Ils sont encadrés par un responsable partenaires nouvellement recruté.

Développement offshore en Tunisie


Revevol peut également assurer du développement d'applications. Une fois Google Apps implanté, le client peut souhaiter de la comptabilité, du CRM. Revevol ne va pas déployer lui-même mais passer par une société implantée en France et en Tunisie, Bilog, avec laquelle a été signé un contrat la semaine passée. Bilog déploie pour l'intégrateur et ses clients des applications métier sur la base de fonctionnalités Google Apps. L'intégrateur proposera aussi à ses clients des applications en mode SaaS de partenaires comme Salesforce pour le CRM, nelis en GRC, pingidentify pour la gestion des identités.

Revevol veut aller vite, avec un dirigeant décomplexé. La société réalisera en 2010 10 millions d'euros de chiffre d'affaires, elle vise 250 ME en 2017, l'année de ses dix ans, et serait alors mûre pour un rachat ou une entrée en bourse.  En attendent, plus prosaïquement, elle cherche à se faire connaître et  organise début décembre un évènement sur le cloud public à Paris.

(*) Revevol a été créé par Louis Nauges, figure historique de l'informatique française et Laurent Gasser qui a été d'abord auditeur (dirigeant de Mazars en Europe de l'Est et d'un autre cabinet en Chine), créateur d'entreprise en Australie, revenu en France en 2006.

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(04/10/2010 09:37:35)

Hausse timide des budgets dans les DSI selon PAC

L'Enquête « DSI 250 » du cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC) vient de rendre son verdict annuel. L'après crise montre le bout de son nez, puisque 21% des DSI interrogés ont un budget en augmentation. 18% ont connu une augmentation de 5 à 10%, 3% ont un budget « en nette augmentation », égal ou supérieur à 10% de hausse. Le gros des troupes, 52% des DSI, ont un budget considéré comme « stable » c'est-à-dire compris entre -5% et +5%.  A l'autre extrémité, 20% ont un budget en diminution de 5 à 10%. 7% connaissent une diminution supérieure à 10%.

L'optimisme est donc des plus modéré. PAC relève même que les 2/3 des DSI ont des problématiques liés à la diminution des coûts, à l'optimisation des structures, à l'aspect RH. 37% des DSI interrogés citent l'externalisation comme un challenge pour leur société. 62% d'entre eux estiment que les pratiques offshore /nearshore vont augmenter, en particulier en matière de maintenance applicative.

Les PFI se développent dans les PME

L'investissement véritable porte sur la sécurité, la consolidation des infrastructures, les PGI en dehors des grands comptes. Le recours aux prestataires externes reste une tendance lourde note PAC. Un optimisme tempéré par d'autres appréciations et demandes des DSI interrogés qui réclament, au-delà de l'aspect prix, davantage de qualité chez ces mêmes prestataires.


Crédit photo : HP

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(30/09/2010 18:08:00)

OWF 2010 : Le Libre multiplie les modèles économiques

« Ce qui m'a frappé, en préparant l'Open World Forum cette année, c'est de constater à quel point le logiciel libre est partie prenante de la révolution numérique dans tous les domaines, qu'il s'agisse du cloud computing, de la mobilité, du Web 3.0, de l'Internet des objets, ou encore de l'embarqué et des systèmes critiques, par exemple dans l'industrie aéronautique et la Défense », souligne Philippe Montargès, président de l'Open World Forum (OWF) 2010. Il fait remarquer que cette troisième édition de l'événement consacré aux logiciels libres et Open Source est particulièrement orientée sur l'ouverture de l'écosystème.

« L'infusion du Libre s'est finalement faite, à la fois sous l'angle technologique, mais aussi, et c'est là le plus intéressant, sous l'angle culturel. L'angle technologique correspond en partie à une logique économique de banalisation d'un certain nombre de logiciels qui sont réutilisés pour accélérer l'innovation. Mais désormais on voit aussi, culturellement, l'infusion du modèle Open Source ». Philippe Montargès explique que l'OWF 2010 a souhaité mettre l'accent sur cet aspect. « Le Libre se propage avec des solutions, des composants techniques, mais aussi par ce qu'il génère comme nouvelles possibilités dans des secteurs extrêmement variés. A côté des acteurs technologiques classiques, des 'pure players', de nouveaux modèles apparaissent. » Des acteurs industriels viennent se plaquer sur ces modèles culturels, constate le président de l'OWF : « Et nous sommes là, vraiment, dans l'émergence de nouvelles réussites économiques ». Il cite en exemple l'ouverture qui s'est opéré du côté des médias avec les réseaux sociaux, les Web TV, la production de contenus ouverts. « Cela permet de créer des modèles économiques qui  n'existaient » et fait éclore « une nouvelle génération d'entrepreneurs», note-t-il.

Une logique de destruction créatrice

Philippe Montargès regrette qu'il n'y ait pas plus de reconnaissance du rôle du libre sur ces aspects-là : « Ce modèle génère de la création de valeur. Directement, bien sûr, parce qu'il fabrique des composants qui sont robustes, accessibles, interopérables et économiques. Mais aussi par ce qu'il représente comme révolution culturelle sous-jacente qui fait émerger de nouvelles tendances. Nous sommes vraiment là dans une logique de 'destruction créatrice' au sens où l'entend l'économiste Joseph Shumpeter »

Dans un premier temps, on a cru que le Libre, par son côté générique, se construisait aux dépens de l'économique classique traditionnelle. « En fait, non, il génère de nouveaux modèles et il est donc par là même créateur de valeur », insiste le président de l'OWF 2010.

Cette année, le vent du cloud computing ne manque pas de souffler parmi les acteurs de l'Open Source réunis sur l'événement parisien. Une des principales conférences est consacrée à ce thème et des acteurs comme Red Hat, Canonical et Microsoft, parmi d'autres, abordent le sujet. « Le cloud computing constitue un enjeu fort pour les acteurs du Libre. Sur bien des aspects, son émergence a été facilitée par de nombreux composants libres », rappelle Philippe Montargès, en évoquant le risque de voir ces composants monétisés ou transformés en composants propriétaires.

Compatible One, l'un des projets phares du cloud

Se préparent en ce moment de grands projets qui peuvent être financés dans le cadre du grand emprunt dont Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique, a parlé en ouverture du Forum, ce matin. Philippe Montargès cite en particulier 'Compatible One', l'un des projets phares du cloud, porté par le pôle de compétitivité francilien Systematic, mais soutenu par tout l'écosystème du logiciel libre. « L'objectif du projet consiste à fabriquer la boîte à outils du cloud, libre, Open Source, afin de permettre à de nombreux acteurs d'accéder à ce marché-là. Un marché fabuleux parce qu'il révolutionne la consommation de logiciels et de services informatiques ».

Interrogé sur la participation de Microsoft à l'OWF 2010, Philippe Montargès ne tique pas. Il rappelle juste que l'événement est porté par l'écosystème du logiciel libre, en France et en Europe, avec l'appui des pôles de compétitivité, de la région Ile-de-France et de la Ville de Paris. « Nous accueillons tous ceux qui veulent participer au Forum, dans cet esprit ». Mais il ajoute, à titre personnel, ne pas souhaiter en revanche que Microsoft puisse faire partie de l'organisation du Forum ou soit considéré comme un contributeur de l'événement. « Il vient pour donner son avis, mais il n'est pas contributeur. L'OWF est un événement multi-communautaire, multi-contributeur. Nous souhaitons garder cet esprit-là ».

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(30/09/2010 13:06:11)

CommonIT vise le cloud brokerage

Le cabinet Gartner estime qu'avec la multiplication des services en ligne, les entreprises sont perdues. Le cloud, censé diminuer les coûts, les augmente sur le poste de travail, car il faut renforcer la sécurité (authentification forte) ou gérer des questions de compatibilité. Le cabinet a donc inventé la notion de « cloud brokerage », pour désigner tout moyen d'accéder au cloud de manière plus simple, de résoudre les relations entre l'utilisateur final et les opérateurs, de vérifier l'interopérabilité des différentes solutions proposées. La société lyonnaise CommonIT, créateur d'un browser virtuel, se positionne sur cette approche et figure même parmi les sept spécialistes mondiaux identifiés par le Gartner.

Pour avancer vers le cloud brokerage, commonIT, créée il y a seulement deux ans et demi, a besoin d'un financement complémentaire. La société va procéder à une 2ème levée de fonds, de 500 000 euros, comme la précédente et avec les même investisseurs : Rhône-Alpes Creation (conseil régional et des investisseurs) et Expansinvest (Banque Populaire des Alpes).  « Cet apport nous permettra de financer notre développement technologique  et notre distribution », commente David Dupre, nouveau président de CommonIT. Daniel Fages s'est en effet retiré pour des raisons strictement familiales.

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(29/09/2010 16:29:11)

CA Technologies s'empare d'Hyperformix

«La virtualisation de la gestion des capacités répond à un besoin critique des clients », déclare Roger Pilc, directeur général des solutions pour entreprises d'automation et de virtualisation chez CA. La plupart des clients de l'éditeur ont besoin d'aide dans les premières étapes de la virtualisation et avec la montée en puissance, il deviendra de plus en plus important de gérer l'infrastructure et de d'anticiper les futurs usages, a ajouté Andi Mann, responsable marketing des produits de virtualisation, dans un post sur un blog.

Les solutions Hyperformix donnera aux utilisateurs la possibilité de réduire le nombre de machine virtuelle inutiles, tout en libérant des capacités de stockage et des ressources serveurs, explique Andi Mann. La société, basée à Austin, est spécialisée dans les logiciels de gestion automatisée des capacités des infrastructures IT dans le cloud. Le logiciel recense l'utilisation des différentes ressources, met en évidence l'inefficacité, aide à une allocation efficiente des capacités et donne des indications sur les prospectives d'architecture IT.

Les deux sociétés prévoient de conclure la transaction d'ici la fin de l'année. Les salariés d'Hyperformix intégreront la business unit « Virtualization and Automation » de CA Technologies.

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(29/09/2010 15:24:49)

Le cloud d'Amazon soutient le développement PHP

Le SDK d'Amazon Web Services (AWS) pour PHP fonctionne avec PHP 5.2 ou des versions ultérieures. Les développeurs peuvent créer des applications qui se servent des différents éléments du cloud d'Amazon, dont Simple Storage Service (S3), Elastic Compute Cloud (EC2) pour la capacité de calcul et la base de données SimpleDB .

Le kit de développement est basé sur le toolkit CloudFusion et comprend une bibliothèque d'API, des échantillons de code et la documentation. Il convient de simplifier le développement en fournissant des outils sur mesure, selon Amazon. Auparavant, les développeurs avaient besoin de de télécharger plusieurs bibliothèques de différents fournisseurs afin de bâtir une application sur les différentes briques d'AWS.

En mars dernier, le créateur de CloudFusion, Ryan Parman, a rejoint Amazon pour pouvoir se concentrer exclusivement sur l'amélioration du logiciel. Avec les ressources mises à disposition, il a été en mesure de réaliser « d'énormes progrès dans l'amélioration de presque tous les aspects du projet», indique-t-il sur le site de la solution.  Il répond aussi à d'autres questions sur les changements que le SDK AWS pour PHP apporte, y compris un commutateur d'une licence BSD vers Apache 2.0.  Amazon fournit également un guide qui explique comment migrer de CloudFusion 2.5 à AWS SDK pour PHP.

Ryan Parman consacre désormais tous ses efforts sur le SDK de l'AWS pour PHP, mais CloudFusion continuera à exister comme un projet ouvert, souligne-t-il.

Le cloud d'Amazon est agnostique en matière d'API pour les services web et n'importe quels langages de programmation sont acceptés. Pour ceux, cependant qui désirent plus de support, l'éditeur propose également des kits de développement pour Java et Microsoft. NET en plus du SDK PHP.

Le SDK AWS pour PHP peut être téléchargé sur le site d'Amazon.

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(27/09/2010 18:56:03)

Orange Business Services lance Flexible 4 Entreprise basé sur VBlock

En discussion lors du dernier EMC World Forum à Boston, Orange Business Services a finalement annoncé une alliance commerciale avec Cisco, EMC et VMware, trois acteurs ayant créé en novembre 2009 l'association Virtual Computing Environment (VCE). Cette dernière combine la partie réseau, le stockage, les serveurs et les composants de virtualisation au sein d'un seul produit, baptisé VBlock qui s'intègre au sein des datacenters. Cisco, EMC et VMware ont également formé une coentreprise, appelée Acadia, pour aider les clients et les intégrateurs de systèmes à déployer leur solution.

Orange Business Services va intervenir comme prestataire de services et fournira quatre types de solutions managées basées sur une facturation à l'usage. La gamme d'offres de cloud computing de « Flexible 4 Business » sera constituée dans un premier temps de solutions d'« Infrastructure as a Service » (IaaS) incluant du cloud privé (informatique, hébergement, middleware, OS) et des services de backup (sauvegardes hautement sécurisées), ainsi que des solutions de « Sofware as a service » (SaaS) incluant des services de sécurité (antivirus, filtrage, etc.) et de communications unifiées (avec une allocation à la demande). L'objectif est d'accompagner la migration progressive vers les clouds privés.

Les opérateurs en pole position


Peter Hall, analyste chez Ovum, a déclaré qu'OBS, AT&T et BT étaient en position de force pour rivaliser dans le cloud computing avec les autres acteurs IT. Il a prédit que les grands opérateurs mondiaux et régionaux seraient les principaux fournisseurs de service IaaS et SaaS. Cette opinion est partagée par Rob Lloyd, vice-président exécutif des opérations internationales de Cisco : « en travaillant depuis 10 ans avec Orange Business Services sur les services managés, nous pensons que le cloud privé et sa virtualisation sont une extension de ces services, Orange est donc parfaitement légitime dans ce domaine ». Avec cet accord, Peter Hall estime qu'« OBS a pris une longueur d'avance sur ses concurrents ». De son côté, Vivanek Badrinath, directeur exécutif d'Orange Business Services, a souligné que cette alliance « montre que le cloud a atteint un certain degré de maturité ». Pour rappel, l'offre Flexible computing lancée récemment comptait une dizaine de clients, mais l'optimisme primait.

La semaine dernière, les partenaires VCE ont annoncé un accord avec SingTel, opérateur de Singapour, sur l'utilisation des VBlocks pour offrir des services hébergés auprès des entreprises avant la fin de cette année. SingTel est le premier client asiatique.

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(23/09/2010 13:25:16)

HP installera les archives de Paul McCartney dans le cloud

Les archives de l'artiste, comprenant une grande collection de pochettes de disques, des photographies, des peintures, des films et des vidéos, seront numérisées, ainsi que les masters de chansons qu'il avait interprétées avec les Beatles, les Wings, et plus encore.

La mission de HP consistera à mettre en route la technologie qui rend tout cela possible, à commencer par le transfert des supports physiques dans un format numérique haute définition. Toutes données vont ensuite migrer dans un cloud privé au profit de MPL, l'entreprise de McCartney, le tout hébergé dans les serveurs d'un datacenter. « Paul McCartney a toujours été un précurseur dans le domaine musical et HP a été à la pointe de l'innovation technologique, » a souligné Tom Hogan, responsable des ventes et du marketing chez HP.

Un patrimoine musical sauvegardé

Les documents archivés aideront peut-être les chercheurs à répondre à l'un des grands mystères de la musique populaire : comment, en moins de dix ans, un groupe de garçons ordinaires âgés de 15 ans, originaires des quartiers défavorisés de Liverpool, qui tournaient dans les kermesses pour jouer du helter-skelter et du rock-and-roll ont réussi à produire une série d'albums d'avant-garde qui ont complètement changé la culture musicale moderne ? C'est comme si en 1915, les frères Wright avait inventé le moteur à réaction !

Rien n'indique comment les fans pourront accéder à ces archives en ligne, mais, si elles sont gérées par la propre entreprise commerciale de Paul McCartney, cela risque de coûter cher. La mise en ligne de ces archives signifie aussi que l'héritage de Paul McCartney sera enfin disponible en Russie! A se demander ce qu'en auraient pensé Nikita Khrouchtchev et John Lennon !

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