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(09/01/2009 16:09:34)

Les 18 700 clients de SalesForce privés d'accès pendant 40 minutes

Mardi dernier, les 18 700 clients de SalesForce.com ont été privés d'accès pendant 40 minutes. Selon les sources, les causes de l'interruption de service se trouveraient dans la défaillance d'un équipement réseau, d'une base de données ou d'une erreur d'allocation mémoire dans un des principaux serveurs du numéro un mondial de la gestion de la relation client en ligne. Quoiqu'il en soit, la procédure automatique de bascule sur les équipements de secours ayant failli, il a fallu une intervention manuelle, d'où les 40 minutes de black out. Les réactions d'utilisateurs recueillies sur le Web laissent entendre qu'ils déplorent des défaillances s'enchaînant à un rythme qu'ils jugent inacceptables. Pour mémoire, rappelons qu'une disponibilité d'un système de 99% sur un an signifie un arrêt de plus de 3,5 jours. Que 99,9% représente un arrêt d'environ 8 heures et que 99,99% se traduit par près d'une heure. (...)

(28/11/2008 12:56:10)

Microsoft prête à 4,9% aux PME pour acheter ses logiciels

Microsoft a annoncé hier une offre de financement à 4,9% sur 36 mois, à partir de 7 500 euros d'achat, sur l'ensemble de ses gammes professionnelles vendues à travers les contrats de licences en volume Open et Open Value. Mi-novembre, il avait déjà lancé une offre de financement à 0% sur 36 mois pour les acquéreurs de ses solutions ERP (Dynamics NAV et AX) et de son progiciel de gestion de la relation client Dynamics CRM (à partir de 15 500 et jusqu'à 775 000 euros). L'éditeur entend utiliser sa puissante trésorerie pour doper ses ventes vers des PME fragilisées par la dégradation du contexte économique. En préambule à son annonce, hier, Microsoft a rappelé que l'assureur crédit Euler Hermes SFAC prévoyait une augmentation de 25% du nombre de défaillances d'entreprises en 2008 et en 2009. Il a donc relancé l'organisme de crédit qu'il a créé en 2006 en France mais dont l'activité restait modeste : environ 15% des ventes de licences Open. L'objectif est de porter cette proportion à 40% avant deux ans. Le message aux grossistes, aux revendeurs, mais aussi aux banquiers, est clair : Microsoft est en mesure de prendre en charge le risque financier. Un offre valable jusqu'au 31 mars Le taux de 4,9% proposé « est quasiment inférieur de moitié à celui du marché », affirme Bertrand Launay, Directeur PME-PMI de Microsoft France. Cette offre de financement, soumise à l'approbation du dossier du client par Microsoft Financing, s'applique à l'ensemble de la gamme de produits de l'éditeur : Windows, la bureautique Office, Communications Server, l'offre de virtualisation, etc. Elle concerne l'ensemble des PME (dont l'effectif peut aller de 5 à 1 000 personnes selon les critères de Microsoft) et sera valable jusqu'au 31 mars 2009. Aucun impact sur la rémunération des partenaires [[page]] « Cela n'aura aucun impact sur la rémunération de nos partenaires », affirme Bertrand Launay. En fait, la principale différence est que les partenaires devront attendre l'accord de Microsoft Financing, « qui s'engage à répondre sous 24 heures ». Sur le fond, le discours de Microsoft est cohérent : « les PME ne peuvent pas se permettre d'arrêter d'investir dans des solutions qui leur permettent de réduire leurs coûts à cause de problèmes momentanés de trésorerie ». Ces taux avantageux concernent logiquement les produits Microsoft, mais l'éditeur va plus loin dans son nouveau rôle de banquier : il peut financer l'ensemble d'un projet, matériels, services et autres logiciels compris. Dans ce cas, les produits « non Microsoft » seront accessibles « au taux standard du marché ». Cerise sur le gâteau : Microsoft remboursera jusqu'à 5 000 euros aux entreprises qui avaient acquis des licences Open sur la gamme Office au prix fort. La remise correspond à environ 10% du prix d'une licence et est cumulable avec les nouvelles offres de crédit. (...)

(25/11/2008 16:45:51)

SAP va unifier ses interfaces utilisateurs

D'ici "quelques trimestres" SAP aura uniformisé l'interface de toutes ses applications. Cette interface sera une déclinaison de celle déjà présente sur la suite de gestion de la relation clients (GRC/CRM). Elle apparaîtra au fil des mises à jour -désormais régulières - des différents modules qui composent sa Business Suite (CRM, ERP, Supply Chain...). Le dernier "enhancement package" a été annoncé à la mi-novembre. Si cette standardisation de l'interface des utilisateurs aura une influence visible sur leur quotidien, l'éditeur ne cantonne pas ses efforts à l'amélioration de l'apparence de ses produits. Il est aussi aux petits soins pour ses développeurs. Le prix de NetWeaver, l'environnement middleware de prédilection pour la version 6 de son ERP vient d'être divisé par deux. Les licences passent de 2300-2100$ à 1200-1100 $. Un SGBD en préparation SAP peaufine aussi un SGBD capable de travailler en mémoire afin d'optimiser les temps de réponse. On sait encore peu de choses de ce SGBD si ce n'est qu'il est développé en coordination avec la division Business Object et qu'il devrait donc répondre en priorité aux besoins décisionnels. En revanche, on connaît les rapports tendus entre SAP et Oracle. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que MaxDB recommence à faire parler de lui. Le développement de ce SGBD, issu de l'univers Adabas, a été confié vers 2002 à MySQL sous licence libre. SAP en a repris le contrôle il y a un an et en a fait une brique essentielle de BusinessByDesign, son offre de progiciel en ligne pour les PME. Pour Leo Apotheker, qui sera nommé officiellement CEO en janvier prochain, c'est sur le terrain des logiciels en ligne (SaaS) que les enjeux sont les plus cruciaux. Son groupe est dans une posture similaire à celle de Microsoft. Les deux groupes doivent trouver un "business model" online aussi profitable que l'actuel. Faute d'avoir trouvé une formule adaptée pour Business ByDesign, SAP ne se décide toujours pas à véritablement promouvoir une solution qui a pourtant déjà un an d'existence. (...)

(20/11/2008 11:59:26)

Microsoft dote son PGI Dynamics NAV 2009 d'une interface à rôles

Comme attendu, le progiciel de gestion intégré pour PME Microsoft Dynamics NAV (1 800 clients en France) arrive dans sa version 2009 pourvue d'une interface adaptée aux rôles des différents utilisateurs d'une entreprise. C'est à l'occasion de sa conférence européenne Convergence (19-20/11, Copenhague) que Microsoft a annoncé sa disponibilité immédiate en France. Le PGI bénéficie de l'offre de financement à 0% annoncée la semaine dernière par l'éditeur dans le cadre d'achats allant de 15 500 euros à 775 000 euros.

Vingt-et-un rôles prédéfinis

L'interface par rôle a déjà été mise en oeuvre cette année dans Dynamics AX 2009, autre PGI de Microsoft, davantage tourné que NAV vers l'industrie et les grandes PME. C'est l'aboutissement d'une démarche menée depuis plusieurs années par les équipes de développement de l'éditeur (réparties entre les Etats-Unis et Copenhague). Des centaines d'utilisateurs ont été sollicités pour exposer la façon dont ils travaillaient afin que l'usage individuel de l'interface soit, au cas par cas, optimisé au plus près du poste occupé par la personne (commercial, comptable, préparateur de commande, employé à l'administration des ventes...). 

Vingt-et-un rôles ont été prédéfinis dans Dynamics NAV 2009. Chaque profil d'utilisateur bénéficie sur son interface (qu'il peut encore personnaliser) d'une présentation synthétique de ses tâches et d'un accès rapide aux données qui lui sont utiles, avec des indicateurs pertinents pour son métier, des fonctions contextuelles et la possibilité de communiquer avec les autres utilisateurs.
Les partenaires distributeurs de Dynamics NAV disposent de leur côté d'outils de modélisation pour formaliser les rôles.

Office, SharePoint, décisionnel et mobilité

Dans sa version 2009, le PGI a renforcé ses liens avec les autres produits de Microsoft, en particulier la bureautique Office et le portail SharePoint Server (servant à la collaboration, au stockage et à la gestion de documents, notamment), mais aussi MapPoint pour la cartographie et le middleware Biztalk Server pour l'intégration avec d'autres applications. L'accès aux outils de reporting de SQL Server Reporting Services a été généralisé et s'enrichit des fonctions décisionnelles de SQL Server Analysis Services. Enfin, comme prévu, le PGI repose sur une architecture orientée services qui s'appuie sur les technologies .Net pour s'ouvrir aux applications externes, exposer et consommer des services Web.

Quant à l'accès destiné aux utilisateurs itinérants, Dynamics Mobile, livré un peu plus tôt cette année, il fonctionne maintenant sous Windows Mobile 6.1.

A l'occasion de sa conférence européenne Convergence, Microsoft a également présenté une nouvelle version de son site communautaire (16 000 utilisateurs) destiné aux clients et partenaires des solutions Dynamics. (...)

(19/11/2008 10:48:17)

Le Libre se généralise dans les entreprises, selon Gartner

Seules 15% des entreprises n'utilisent pas encore de logiciels libres dans le monde, mais toutes prévoient de le faire d'ici un an. Les logiciels libres ont donc complètement investi les systèmes d'information des entreprises, tel est le résultat sans appel d'un sondage conduit par Gartner Group au début de l'été dernier auprès de quelque 300 entreprises réparties dans le monde. Pour autant, le cabinet est avare de précisions sur l'ampleur de cette présence au sein des DSI. Il garde pour ses clients les détails concrets. Il indique toutefois que, si le Libre est surtout utilisé au niveau des couches d'infrastructure, il étend son emprise aux couches applicatives. Pour l'avenir, les entreprises devraient opter pour le Libre autant dans des projets stratégiques que dans des chantiers de moindre importance. Gartner précise même que le nombre de projets Libres concernant la couche applicative est en croissance. Ces projets visent de plus en plus à remplacer une application propriétaire. Cette tendance est encore plus nette dans les domaines applicatifs qui manquent de maturité, là où l'effort de développement que réclame le Libre n'est pas plus lourd que celui pour paramétrer une application propriétaire complexe et coûteuse. Il s'agit des services à la clientèle qui regroupent le plus de projets Libres, suivi par l'intégration, la finance, l'administration et le décisionnel. Réduction des coûts et facilité de déploiement sont les moteurs de l'adoption du Libre Les motivations qui poussent à l'adoption du Libre relèvent à la fois des domaines économique et technique. Juste derrière le fameux TCO (coût total de possession), où la modicité relative des coûts de développement pèse de tout son poids, se profile la facilité d'entamer un nouveau projet avec du libre. Une souplesse renforcée par la possibilité de contourner la lourdeur des procédures internes qu'impose le choix d'un produit commercial. Gartner souligne que, malgré son adoption massive, les spécificités du logiciel libre ne sont toujours pas appréhendées comme telles par les entreprises utilisatrices. 69% d'entre elles n'ont pas développé de politique formelle pour sa gestion. Faute de pratiques rigoureuses en matière d'évaluation et de référencement, Gartner craint que les entreprises ne s'exposent à des risques d'ordre principalement juridique, un écueil encore aggravé par la profusion des licences. C'est d'ailleurs dans ce domaine que Gartner peut aider les entreprises. Ce cabinet, qui n'a rien d'une entreprise philanthropique, publie en plein tsunami économique le résumé de ce sondage qui remonte à cinq mois. Montrer les attraits du Libre et le besoin d'accompagnement qu'il réclame peut permettre d'échapper aux coupes budgétaires qui visent en priorité des postes comme le conseil. (...)

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