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(28/12/2007 09:02:14)

EMC se paie Document Sciences

EMC, spécialiste du stockage, a annoncé le rachat de Document Sciences, acteur expert dans l'envoi de mailing personnalisé, pour 85 M$ en numéraire. Dans un communiqué, le groupe explique que cette opération devrait renforcer sa position sur le marché de la gestion de contenu transactionnelle, un segment très porteur selon lui. Les actifs de Document Sciences seront transférés dans la division gestion de contenu et archivage d'EMC. Document Sciences édite notamment xPression, une application d'automatisation de création et de personnalisation de documents, qui pioche ses données dans les systèmes d'entreprise, comme les PGI et les GRC. xPression est intégré à Documentum, plateforme de gestion de contenu de la marque, depuis 2004. La transaction, encore sujette à l'approbation des autorités, doit être finalisée fin mars. (...)

(18/12/2007 17:59:58)

La dépense IT de la distribution augmentera de 6,7% en 2008

En 2007, la dépense informatique des acteurs français du commerce et de la distribution a augmenté de 5,5%, à 4,74 milliards d'euros, selon le baromètre que viennent de diffuser IDC France et Microsoft. Ce faisant, elle a cette année progressé davantage que la dépense informatique professionnelle globale (+3,55%), alors que la distribution a longtemps investi moins que les autres secteurs dans son système d'information. D'ailleurs, en dépit de son augmentation, la dépense IT ne représente que 0,4% du chiffre d'affaires de la distribution, quand le secteur du transport y consacre 0,6%, l'industrie 1,4% et le secteur des services aux personnes, 1,6%. La hausse des investissements est tirée à la fois par les contraintes réglementaires qui s'imposent au secteur et entraînent la mise en place de nouveaux outils, et par la stagnation des profits (en dépit de l'augmentation du chiffre d'affaires), ce qui pousse la grande distribution à renforcer son efficacité opérationnelle et à réduire ses coûts. En 2008, IDC prévoit une progression globale de 6,7% de cette dépense informatique, et plus encore sur trois domaines clés : d'une part, l'équipement des magasins et les outils de gestion de la relation client, d'autre part, la gestion de la chaîne logistique (afin d'optimiser les relations avec les fournisseurs et de mieux gérer les stocks) et, enfin, les applications de pilotage prévisionnel qui, rappelle Alain Pétrissans, directeur études et conseil d'IDC France, « nécessiteront un gros travail de mise en cohérence des données issues de différentes bases ». + 8,7 % en 2008 sur les outils de pilotage En 2007, ces trois domaines clés ont pesé 53,3 %, soit 2,5 Md€ des 4,74 Md€ investis par la distribution dans les solutions informatiques : 1,13 Md€ consacrés aux solutions exploitées dans les magasins (23,9% du total), 822 M€ (17,3 %) pour l'optimisation de la chaîne logistique et 570 M€ (11,8 %) pour les outils de pilotage prévisionnel. L'an prochain, IDC France prévoit, sur ces postes, des progressions respectives de +7,8%, +7,4% et jusqu'à +8,7% pour les solutions de pilotage. En 2007, les 2,2 Md€ restants (46,7% du total) ont été dépensés dans les applications et l'équipement du back-office (progiciels de comptabilité, de gestion des ressources humaines, serveurs, PC, périphériques...). Pour ce premier baromètre de la distribution, IDC France a mené une cinquantaine d'interviews auprès des directions métiers des grands groupes de distribution français. A l'échelle européenne, le cabinet d'études a également créé un centre de recherche spécifique, Global Retail Insights, pour suivre les évolutions importantes qui s'opèrent actuellement sur ce marché autour de l'outil informatique. Des mouvements qui intéressent beaucoup de fournisseurs, tant Microsoft, Oracle, SAP ou Sage, que des acteurs locaux bien implantés dans le monde de la distribution, comme Generix ou Cegid. (...)

(22/11/2007 15:25:25)

Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle

Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)

(16/11/2007 17:55:18)

OpenWorld : les premières pièces de Fusion Applications

C'est sur la présentation des trois premiers produits de sa nouvelle génération d'applications, Fusion Applications, que Larry Ellison, PDG d'Oracle, a clos l'édition 2007 de sa conférence utilisateurs OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre). Il s'agit de trois offres destinées aux équipes commerciales : Oracle Sales Prospector, Oracle Sales References et Oracle Sales Tools. Les fonctions qu'elles apportent sont complémentaires aux outils de gestion de la relation client (GRC) qui existent déjà, Siebel CRM notamment. Larry Ellison les qualifie d'outils de GRC de 2ème génération, Salesforce et Siebel constituant la 1ère génération. Oracle Sales Prospector s'appuie sur du datamining pour déterminer quels sont les produits achetés par les clients afin de leur suggérer d'autres achats, en lien avec ceux qu'ils ont déjà faits. Oracle Sales References va servir à déterminer quels clients satisfaits peuvent servir de références à présenter à de nouveaux prospects. Oracle Sales Tools, enfin, s'appuie sur un concept de réseau social pour permettre le partage de présentations commerciales. Ces produits sont attendus pour le premier semestre 2008. Ces trois nouvelles solutions ont vocation à cohabiter avec l'existant, à l'instar de tous les produits à venir dans la gamme Fusion Applications. « Il y aura une longue période de cohabition (entre les anciennes applications et les nouvelles), a rappelé Larry Ellison. On ne peut pas tout changer d'un seul coup en appuyant sur un bouton. Notre priorité n°1 est d'assurer une coexistence harmonieuse et c'est ce que permet l'architecture orientée services adoptée pour Fusion Applications. » La deuxième priorité d'Oracle, d'après Larry Ellison, c'est de livrer des outils procurant aux clients un gain véritablement mesurable (selon leur demande expresse), et la troisième, d'offrir pour chaque nouvelle application le choix entre une installation interne ou un mode « on demand », c'est-à-dire en ligne et immédiatement accessible. On le voit, les toutes premières offres de Fusion Applications apportent des outils supplémentaires. Il ne s'agit pas encore des offres existantes (e-Business Suite, PeopleSoft Enterprise, JD Edwards EnterpriseOne et World) redéveloppées pour l'architecture SOA. Celles-ci arriveront petit à petit, module par module, assure Larry Ellison. Le PDG maintient la date de 2008 pour l'arrivée des premiers éléments revisités à la sauce SOA. (...)

(09/11/2007 17:43:25)

L'adoption du SaaS court-circuite les DSI, selon Gartner

Les trois quarts des applications dites « SaaS », c'est-à-dire fournies comme un service sur Internet, ont été achetées par les directions opérationnelles plutôt que par les directions informatiques, a alerté Ben Pring, vice-président recherche de Gartner, à l'occasion du Symposium ITxpo 2007, organisé par le cabinet d'analyse à Cannes (4-8 novembre). Ben Pring y a exhorté les directeurs informatiques à s'impliquer dans la décision d'achat des solutions SaaS. « De toutes façons, le SaaS entre dans vos entreprises que cela vous plaise ou non », a-t-il mis en garde. Si le modèle SaaS a gagné du crédit, c'est notamment parce qu'il attaquait le traditionnel modèle client/serveur. « Il y a quelques vérités gênantes dans notre industrie », a asséné Ben Pring, en qualifiant notamment de « coupable secret du secteur informatique » le nombre important de logiciels achetés par les entreprises, mais inutilisés. Selon lui, par exemple, 65% des licences de logiciels Siebel vendues avant qu'Oracle ne rachète l'éditeur « n'ont jamais été exploitées » dans les grandes structures. Ben Pring rappelle aussi la disproportion du ratio 1/10 indiquant que pour un dollar dépensé dans l'achat des licences, les entreprises en dépensaient dix dans la mise en oeuvre de l'application. Le mode SaaS a apporté un autre choix dans ce monde de « dysfonctionnement profitable », estime l'analyste de Gartner. Et « Salesforce.com a fourni la preuve que ce concept fonctionnait ». Miser sur une plateforme pour recueillir les vrais bénéfices du SaaS Tout en rappelant les nombreux atouts du mode SaaS (la flexibilité, le coût limité aux seules fonctions que l'on utilise, l'absence de maintenance, le déploiement rapide...), il rappelle aussi que la médaille a un revers. Les licences ne constituent plus un actif et les directeurs informatiques ont moins de contrôle sur les applications. Les problématiques de sécurité et les relations avec le fournisseur de l'application peuvent aussi poser des problèmes, de même que l'intégration avec le système d'information interne qui « continuera à être très compliqué », pronostique Ben Pring. Bien que l'on en sache encore peu sur les implications à long terme du modèle SaaS, cette formule peut finalement s'avérer plus coûteuse dans le temps que le modèle traditionnel, comme peut l'être le leasing d'une voiture comparé à son achat. Mais le constat que, quoi qu'il puisse advenir, les entreprises se mettent effectivement au SaaS rend essentielle l'implication des responsables informatiques dans la décision. Leur expertise est nécessaire pour retenir une solution SaaS qui combine à la fois une interface conviviale avec une infrastructure sous-jacente « très robuste et très industrielle », juge Ben Pring. Enfin, l'analyste du Gartner pense que les décideurs doivent miser sur une plateforme SaaS plutôt que sur des applications indépendantes. L'objectif étant là de faciliter l'ajout d'applications fournies par d'autres éditeurs en engageant le minimum d'intégration. « C'est en misant sur une plateforme que l'on récoltera les véritables bénéfices du modèle SaaS », conclut-il. (...)

(09/11/2007 12:21:37)

Grèves SNCF : des navettes vers les 9 salons du Cnit (ERP, BI, Demat, Sisqual...)

Du 13 au 15 novembre, des navettes sont mises en place pour que les visiteurs puissent se rendre, malgré les grèves de transport, sur les neuf salons qui se tiennent au Cnit : ERP, Solutions e-achats, MVI-CRM, Solutions BI, Solutions Finances, Solutions Demat, Solutions Finances, Système Serveurs & Applications, ainsi que Sysqual et Virtual Forum. Dès le mardi soir, à partir de 18 heures, trois départs de cars sont prévus vers Paris et deux autres vers la banlieue Ouest (près de 65 % des visiteurs enregistrés viennent de la Capitale et des Hauts de Seine). Le matin des jours suivants, deux navettes sont prévues au départ de Saint-Germain en laye et d'Issy-les-Moulineaux, à partir de 8 heures, et trois autres sur Paris, à Denfert-Rochereau, au Châtelet et à Opéra Saint-Lazare, à partir de 8 h 30. Le site Web "J'y vais quand même malgré la grève.com" a été ouvert pour fournir des détails sur les différents trajets. (...)

(07/11/2007 14:10:13)

Salesforce jugule une intrusion dans les données de ses clients

Les utilisateurs de Salesforce.com sont la cible de pourriels et de pirates. Ces malfaisants utilisent des informations qu'ils sont parvenues à extirper des systèmes de l'éditeur en ligne. La crise est d'une ampleur conséquente, mais l'éditeur, spécialiste des solutions de gestion de la relation client en ligne, semble avoir adopté une transparence et une communication de crise qui devraient minimiser la portée des conséquences de cet incident. Ainsi, le CEO Mark Benioff en personne a répondu par mail en moins de deux heures à des clients mécontents. Ces derniers ont exprimé leur satisfaction devant une telle prévenance. Les défaillances qui ont permis cette attaque d'envergure sont d'origine humaine. La première remonte à quelques mois, lorsqu'un salarié de Salesforce.com s'est fait abuser par un faux mail. A partir du mot de passe obtenu, les pirates ont pu exploiter une liste de clients. Certains d'entre eux se sont fait abuser à leur tour et ont communiqué leur mot de passe. La présence de virus et de chevaux de Troie attachés aux courriels d'hameçonnage a conduit la direction de Salesforce.com à émettre une alerte générale à l'attention de son million d'utilisateurs. (...)

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