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(16/04/2007 15:27:23)

Microsoft recrute des partenaires pour fournir des logiciels en ligne

Microsoft démarre aujourd'hui un programme à destination des hébergeurs de services sur Internet. L'objectif est de les aider à constituer des offres permettant à des éditeurs indépendants de proposer leurs logiciels en ligne, en mode SaaS (software as a service). Dans ce programme, baptisé Centre d'incubation SaaS, Microsoft fournit l'infrastructure et les services qu'un hébergeur peut offrir à des éditeurs pour les aider à transformer leurs applications en solutions SaaS, a précisé Michael van Dijken, l'un des responsables marketing de Microsoft. Ce faisant, l'éditeur regroupe en fait un ensemble de solutions qu'il proposait déjà aux hébergeurs mais qu'il formalise afin de développer l'offre SaaS de ses partenaires éditeurs. Microsoft veut en effet contribuer à mettre en contact les hébergeurs avec les intégrateurs et les éditeurs qui ont rejoint son réseau de partenaires et développé des logiciels autour de son offre. Déjà quatre hébergeurs partenaires en Europe Côté infrastructure, le programme Centre d'incubation SaaS de Microsoft comprend un bundle logiciel appelé Microsoft Solution for Windows-based Hosting for Applications (incluant les produits Windows Server, SQL Server, Microsoft Operations Manager et Microsoft Provisioning System). Il comporte également des exemples de scripts pour faciliter la mise en place d'offres SaaS et des prestations de conseil. Ces prestations consisteront à accompagner les hébergeurs dans leur approche des éditeurs, tant sur la compréhension du marché SaaS que sur les opérations de marketing. Microsoft a déjà signé des accords avec huit hébergeurs, quatre aux Etats-Unis (Opsource, Affinity Internet, NaviSite et Wizmo) et quatre en Europe (NTT Europe Online, 7global, Siennax et Visionapp GmbH). Parallèlement, Microsoft a également annoncé la deuxième phase de son programme « SaaS On-Ramp », lancé en novembre dernier. Celui-ci propose des licences à prix réduit aux éditeurs souhaitant permettre l'exploitation de leurs logiciels en ligne. Désormais, ces éditeurs peuvent se procurer ces licences à prix réduit chez tous les hébergeurs partenaires du programme et plus uniquement auprès de Microsoft. Il est prévu que le programme SaaS On-Ramp se poursuive jusqu'en 2008. Un modèle qui se développe concrètement Les logiciels commercialisés sur le modèle SaaS sont installés chez un prestataire externe et non pas dans l'entreprise. Accessibles aux utilisateurs à partir d'une connexion Internet, les logiciels sont ainsi fournis aux utilisateurs comme un service, et payés sur la base d'un abonnement mensuel ou annuel. Le prestataire héberge les applications sur des serveurs installés dans des locaux sécurisés et gère l'ensemble de l'infrastructure matérielle (disponibilité et maintenance des serveurs, sauvegarde des données, procédures de sécurité...). La maintenance du logiciel est assurée par l'éditeur qui, selon les cas, peut être aussi l'hébergeur. Microsoft, notamment, s'apprête à proposer sous cette forme son application de gestion de la relation client (GRC) Dynamics Live CRM, après l'avoir redéveloppée afin qu'elle puisse être partagée en ligne. Ce mode d'usage des applications se développe désormais, après avoir vaincu de nombreuses réticences de la part des entreprises qui ont longtemps rechigné à stocker leurs données hors de leurs murs. Il présente l'avantage de soulager les départements informatiques de la gestion interne des serveurs et des applications. Un modèle qui convient autant à la grande entreprise qu'à la petite PME. Un acteur comme Salesforce.com, dans le domaine des logiciels de GRC, a exclusivement basé son activité d'éditeur sur ce modèle. Sa base installée compte aujourd'hui 640 000 utilisateurs. Plus récemment, Google a également lancé Google Apps, une suite bureautique à exploiter en ligne qui, en France, intéresse un groupe comme Essilor. En s'investissant résolument sur ce marché, Microsoft témoigne de l'intérêt du modèle et de ses perspectives de développement. (...)

(12/04/2007 18:15:16)

Dataflux accélère la qualification des informations

Représenté en France depuis le début de cette année par le biais d'un partenariat avec l'intégrateur Solveo, Dataflux vient d'annoncer le lancement de CDI Accelerator, un module d'accélération des processus de qualification des données clients, à mettre en oeuvre dans le cadre d'un projet de CDI (Customer Data Integration). Filiale à 100 % de SAS Institute qui en a fait l'acquisition en 2000, l'éditeur Dataflux est spécialisé sur la gestion de la qualité des données. Les solutions qu'il développe permettent de construire des référentiels offrant, pour l'ensemble des applications de gestion utilisées dans une entreprise, une vue unique et cohérente des données se rapportant aux clients, aux fournisseurs ou aux produits. « Le module CDI Accelerator résulte d'une capitalisation du savoir-faire de Dataflux, explique Grégoire Leynaud, président de Solveo. Il regroupe sous une forme packagée un ensemble des traitements standards ayant déjà été mis en flux dans des entreprises clientes afin d'obtenir une vue à 360° des données sur les clients, c'est-à-dire une vision transversale aux différentes applications exploitées. » CDI Accelerator va en particulier permettre d'identifier les qualités et les défauts d'un patrimoine de données par l'intermédiaire d'états, de comptes-rendus et de tableaux de bord pré-packagés. Rappelons que les solutions de Dataflux couvrent les différents domaines de la gestion des données : le profilage (analyse des données), la qualification (reconstruction et correction), l'intégration et l'interconnexion entre les différentes sources, l'enrichissement des données avec des informations extérieures et, enfin, le contrôle de l'intégrité des données dans le temps. Ce type d'outils est particulièrement en vogue en ce moment, avec le développement des projets de MDM (Master Data Management) visant à constituer des plateformes centralisées de données de référence. « Des référentiels qui peuvent être logiques et pas obligatoirement physiques », rappelle Grégoire Leynaud, de Solveo. (...)

(10/04/2007 17:18:13)

Salesforce.com fait son entrée dans la gestion de contenus

Salesforce.com, l'éditeur d'applications en ligne de GRC (gestion de la relation client), s'introduit sur le marché de la gestion de contenu en proposant sur sa plate-forme et sous sa bannière les applications qu'il a acquises avec le rachat de Koral Inc, une start-up de neuf personnes. La transaction s'est opérée le mois dernier. « A partir d'aujourd'hui, nous sommes un acteur de la gestion de contenus », a déclaré Bruce Francis, vice-président de Salesforce. Sous le nom de Salesforce Content, l'éditeur va proposer à ses utilisateurs, d'une part Salesforce ContentExchange, un service Web 2.0 pour gérer les contenus d'entreprise (informations structurées et non structurées) et, d'autre part, Apex Content, une extension à sa plate-forme de développement. Cette extension permettra aux éditeurs indépendants qui conçoivent des logiciels complémentaires à Salesforce d'ajouter à leurs applications des fonctions de gestion de contenus. Salesforce ContentExchange permet de stocker des informations en ligne, de partager des documents avec des collègues, des partenaires ou des clients, d'effectuer des recherches sur les contenus et d'organiser la mise à jour de ces informations (par synchronisation des données). Il est possible d'attribuer des mots-clés à certains contenus, d'y ajouter des commentaires, de s'abonner à des documents, thèmes ou auteurs. Un nouveau débouché pour les éditeurs dans la gestion de contenu Pour Bruce Francis, le logiciel a été conçu pour rendre la recherche d'informations plus aisée et plus rapide qu'avec les produits concurrents. Il cite notamment ceux d'EMC Documentum ou encore le portail SharePoint de Microsoft. « Dans Salesforce, on ajoutera un mot-clé à un document aussi simplement qu'on le fait sur des images dans Flickr ou des vidéos sur YouTube. » Le prix et la disponibilité de ContentExchange et Apex Exchange n'ont pas encore été communiqués. Pour Rob Bois, analyste du cabinet d'études AMR Research, l'entrée de Salesforce sur le terrain de la gestion de documents pourrait amener des éditeurs ayant recours à un mode de distribution traditionnel à s'intéresser d'un peu plus près au modèle SaaS (software as a service), par exemple pour toucher de nouvelles populations d'utilisateurs. Rappelons que Salesforce.com est l'un des leaders du marché SaaS. Il héberge lui-même ses applications de GRC (gestion des contacts et des opportunités commerciales, automatisation des actions de marketing et gestion du service au client) et propose à ses clients de les exploiter en ligne, sur la base d'un abonnement mensuel. Autour de son offre s'est constituée une communauté de développeurs qui bâtissent des fonctions complémentaires à exploiter sur la plateforme Salesforce.com. (...)

(03/04/2007 17:08:04)

Infor se renforce dans les applications de GRH avec Workbrain

L'éditeur de PGI Infor poursuit ses opérations de croissance extérieure. La société a annoncé le rachat du Canadien Workbrain, spécialiste des applications de gestion des ressources humaines (GRH), pour 227 M$. Un faible montant comparé aux précédentes acquisitions de l'éditeur: SSA Global (son concurrent direct) en août 2006 pour 1,4 Md$, et Extensity et Systems Union Group dans les secteurs du décisionnel et de l'analyse financière pour plus de 3 Md$. Ces rachats successifs avaient par ailleurs propulsé Infor, pourtant focalisé sur le segment du midmarket, à la troisième place des éditeurs de PGI, derrière les pharaoniques Oracle et SAP. Infor entend se focaliser sur les outils de Workbrain de gestion du calendrier, des absences et des plannings. La transaction, encore sujette à l'approbation des actionnaires, devrait être finalisée en juin. (...)

(26/03/2007 11:36:36)

GRC : Salesforce.com ouvre ses applications aux clients de ses clients

Dans sa version de printemps (Spring'07), qui sera disponible en ligne courant avril, Salesforce.com permet à ses utilisateurs d'ouvrir des portails en self-service pour leurs clients depuis son application hébergée de GRC (gestion de la relation client). Ce modèle d'utilisation, baptisé AppSpace, inclut les logiciels publiés dans la plate-forme AppExchange, cette dernière rassemblant des applications complémentaires, développées par des éditeurs indépendants et certifiées par Salesforce.com. Dans le cadre d'AppSpace, les utilisateurs de Salesforce peuvent donc inviter leurs clients à partager certaines de leurs données. Les écrans qu'ils rendent ainsi accessibles combinent des informations issues de différents modules de la solution. A l'instar de Salesforce.com, AppSpace s'utilise entièrement en ligne, à partir d'une connexion Internet. Pour mettre au point cette version Spring'07, l'éditeur dit s'être inspiré des commentaires de sa communauté d'utilisateurs qui, depuis octobre dernier, lui suggère des améliorations fonctionnelles sur le site d'échanges http://ideas.salesforce.com. Parmi les apports de Spring'07 directement soutenus par le suffrage des utilisateurs, Salesforce cite la gestion chronologique des workflows. Cette fonctionnalité permet de mettre en place un système de validation pouvant générer des actions planifiées dans le temps. A noter que le logiciel d'automatisation des forces de vente (Salesforce SFA), l'une des briques les plus utilisées de Salesforce, bénéficie maintenant d'une fonction de recherche permettant de créer des filtres et de trier les résultats. Autre nouveauté, les informations issues des actions les plus récentes sont automatiquement proposées dans une fenêtre pop-up. La connexion avec la messagerie MS Outlook a également été renforcée. D'autres améliorations ont été par ailleurs apportées aux logiciels de gestion des services au client (Salesforce Service & Support) et de gestion des relations avec les partenaires (Salesforce PRM). Enfin, le connecteur ApexConnect pour Oracle permettra d'intégrer la solution avec les applications internes de l'entreprise exploitant la base de données Oracle 11i. L'utilisation de ce connecteur revient à 12 000 $ par an pour les clients de Salesforce Enterprise Edition et Unlimited Edition. (...)

(22/03/2007 11:21:54)

SugarCRM ajoute la gestion de projet à son offre de GRC

Depuis la création de SugarCRM, en juin 2004, le logiciel de gestion de la relation client (GRC) que l'éditeur développe en Open Source a été téléchargé un million et demi de fois (trois millions de téléchargements au total, en incluant les mises à jour et les nouveaux modules). La base installée de l'offre payante regroupe 1 200 entreprises et l'éditeur entend défier des spécialistes de la GRC, comme Salesforce.com (30 000 clients dans le monde). Clint Oram, l'un des trois fondateurs de la société, directeur général du siège européen tout juste implanté, en veut pour preuve les cinquante clients qu'il a déjà repris à cet emblématique concurrent. Pour renforcer sa solution, actuellement dotée des fonctions requises pour gérer les ventes, le marketing multicanal et l'assistance aux clients (les trois piliers de la GRC), l'éditeur vient d'annoncer un module de gestion de projets. Intégré aux autres modules, Project Management permet de suivre les actions menées sur les clients. Il assure le partage d'informations entre les collaborateurs (avec visualisation de l'historique des échanges), apporte des outils de planification, des modèles de projets pré-définis, des vues sous forme de diagrammes de Gantt (pour figurer graphiquement les différentes étapes d'un projet) et des tableaux de bord pour le contrôle d'indicateurs clés. Il est possible d'exporter ces données vers le logiciel Microsoft Project. Des versions sur site, en ligne ou packagées clé en main Le module Project Management est inclus dans l'abonnement aux versions commerciales de SugarCRM. L'éditeur propose en effet deux produits, parallèlement à Sugar Open Source, son offre gratuite allant jusqu'à cinq utilisateurs. Au-delà de cinq postes, on trouve Sugar Professional et, pour les grandes structures, Sugar Enterprise. Ces déclinaisons peuvent s'installer en interne, de façon classique (version On-Site), ou s'utiliser à partir d'une connexion Internet (version On-Demand). Sugar Professional On-Site est vendu 210 euros par utilisateur et par an, et Sugar Enterprise, 340 euros par utilisateur et par an. En mode hébergé, l'abonnement mensuel à ces versions coûte respectivement 40 ou 75 euros par utilisateur. Il est intéressant de noter que SugarCRM a également mis au point une version « clé en main » de son offre, livrée avec le matériel. Baptisée Sugar Cube, elle comprend le serveur, la base de données (MySQL ou Oracle 9i, au choix) et un outil de déploiement rapide, Sugar FastStack. A partir de cinq utilisateurs (Sugar Cube 1005) et jusqu'à 250 (Sugar Cube 3005. La communauté SugarCRM regroupe 7 000 développeurs dans le monde, dont 200 sont impliqués au quotidien sur le projet (le logiciel est entièrement développé en langage PHP). A l'instar de Salesforce.com, SugarCRM a également créé sa place de marché, SugarExchange, sur laquelle des éditeurs indépendants peuvent proposer des outils complémentaires à son offre de GRC. Parmi ces partenaires figure notamment l'éditeur de solutions décisionnelles en Open Source JasperSoft qui a également apporté des outils d'analyse à l'offre de Salesforce.com (sur le site AppExchange.com). Sur le même sujet : -GRC en Open Source : SugarCRM ouvre un siège en Europe -Forrester distingue quatre logiciels pour moyennes entreprises - SugarCRM se rapproche de JasperSoft -SugarCRM propose de nouveaux services de support -SugarCRM devrait adopter la licence Microsoft Shared Source (...)

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