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(05/06/2007 09:56:46)

L'accord Google-Salesforce est seulement publicitaire

Fin des rumeurs et des spéculations : Google ne rachète pas Salesforce, les deux entreprises n'intègrent pas leurs technologies (on s'attendait une combinaison de l'offre bureautique de Google avec l'offre de logiciels hébergés de Salesforce). L'accord vient d'être officialisé, il s'agit seulement d'un partenariat publicitaire. Le système Adwords de Google, qui permet à des annonceurs d'acheter des mots clés, redirigera vers le logiciel de gestion de la relation client de Salesforce, pour proposer aux personnes intéressées par la publicité de laisser leurs coordonnées. Nous reviendrons sur cette actualité dans la journée, dès que nous aurons obtenu davantage de détails. (...)

(04/06/2007 17:15:57)

Tous les logiciels ne seront pas fournis « comme un service », prévient AMR Research

Peut-on tout transposer selon le modèle SaaS ? Non, semble répondre le cabinet AMR Research, qui, à force de se voir interrogé sur la question, a publié une étude sur le sujet. Selon le cabinet, de plus en plus d'éditeurs s'interrogent sur l'opportunité et l'intérêt de développer une stratégie SaaS (Software as a service) qui les amènerait à proposer leurs logiciels en ligne, à partir d'une connexion Internet, sur la base d'une tarification calculée sous forme d'abonnement. Pourtant, en dépit des déclarations du PDG de Salesforce Mark Benioff, l'un des plus notables acteurs du marché SaaS, qui prédit la mort du logiciel vendu de façon traditionnelle, AMR Research rappelle que certaines catégories d'applications ne seront probablement jamais déployées à grande échelle selon l'approche SaaS. « Celles qui nécessitent de gérer d'importants volumes de données, une intégration en temps réel, une personnalisation très poussée ou une disponibilité proche de la perfection sont de mauvaises candidates pour ce modèle. » La GRC, un exemple à suivre Le succès rencontré avec le modèle SaaS par des acteurs de la GRC (gestion de la relation client), comme Salesforce, a conduit d'autres secteurs à s'y intéresser : acteurs de la gestion des ressources humaines (paie, fonctions en self-service, recrutement), des achats et de la recherche des fournisseurs (sourcing) ou du commerce électronique. En revanche, AMR Research fait remarquer que, dans le secteur de la production industrielle, par exemple, il n'y a guère de demande pour utiliser en ligne les moteurs de planification avancée de la demande (APS, advanced planning and scheduling) ou les logiciels de gestion de la production (MES, Manufacturing execution system). Si l'approche SaaS a sa place, elle a aussi ses limites et, conclut le cabinet, les utilisateurs sont finalement les mieux placés pour juger, au cas par cas, si le modèle « Software as a service » est bien en adéquation avec leur mode de fonctionnement. (...)

(01/06/2007 17:54:38)

Skype se déploie dans Salesforce

Les fonctions de téléphonie sur Internet fournies par Skype sont maintenant disponibles sur AppExchange, l'annuaire de logiciels à exploiter en ligne sur la plateforme de gestion de la relation client (GRC) de Salesforce. Ces fonctions peuvent donc être utilisées au sein de l'application de GRC, ainsi qu'avec les autres logiciels disponibles sur AppExchange. Outre la capacité de passer des appels en utilisant la technologie Skype (les communications sont gratuites entre deux utilisateurs du service et facturées à la minute, à tarif réduit, vers les autres interlocuteurs), il est possible d'accéder à des outils de messagerie instantanée (dialogue en direct, « chat » en anglais). Les contacts et les indicateurs de présence seront insérés dans l'application de GRC, manuellement ou de façon automatique. Les utilisateurs de Skype pour Salesforce pourront aussi organiser des conférences (jusqu'à dix personnes au total) que les interlocuteurs aient eux-mêmes recours ou non à Skype. L'adaptateur Skype CTI Connector 2.0 (Basic Edition) permet par ailleurs d'intégrer les fonctions de téléphonie dans les modules de gestion des forces de vente (Salesforce SFA) et de service au client (Salesforce Service & Support) afin de pouvoir appeler sur un clic les clients ou partenaires qui y sont listés tout en faisant remonter à l'écran les fiches d'informations sur les personnes contactées. (...)

(01/06/2007 17:19:01)

Salesforce et Google sur le point d'annoncer un partenariat

Salesforce et Google s'apprêtent à dévoiler un partenariat. Une conférence a été programmée par Salesforce pour mardi 05 juin prochain au cours de laquelle Lindsey Armstrong, co-presidente de l'éditeur pour la région EMEA (Europe, Middle East, Africa), fera une annonce stratégique avec « un acteur Internet majeur basé près de San Francisco ». La semaine dernière, le Wall Street Journal du 21 mai avait déjà évoqué des discussions entre Salesforce et Google au sujet d'une possible alliance autour des applications en ligne que proposent les deux fournisseurs : solutions de gestion de la relation client (GRC) pour Salesforce, et pour Google, logiciels bureautiques (les Google Apps), de messagerie et d'analyse de connexions Web. (...)

(22/05/2007 17:00:25)

Salesforce promet des architectures orientées services en ligne

Salesforce s'intéresse aux SOA (architectures orientées services). Le champion des applications en ligne de gestion de la relation client vient (GRC) d'annoncer Salesforce SOA, censé permettre la création d'applications composites depuis des offres hébergées (Saas, software as a service). Certes, Apex, l'environnement de développement promis par Salesforce, ne sera pas disponible en-dehors d'une version bêta avant décembre prochain. Mais, d'ici là, on pourra donc imaginer tous les avantages à développer des Services Web pour évoluer vers cette architecture orientée services intégrant des applications en ligne. Si le projet Salesforce SOA, encore dans les limbes, a le mérite de présenter une approche élégante pour l'intégration entre les vieux applicatifs et les offres de Salesforce, il est difficile de voir ce qu'il y a de vraiment nouveau dans cette annonce ; Salesforce a déjà quasiment tout dit sur Apex. René Bonvanie, vice-président marketing senior et responsable de l'offre AppExchange, explique que « la nouvelle technologie est la possibilité pour Apex d'appeler et de coordonner des services Web ». On serait donc en face d'un outil de mash-up géant (le mash-up consistant dans le mélange de services hétérogènes). Un accord avec Skype, et bientôt un avec Google ? Par ailleurs, la semaine dernière, SalesForce avait annoncé l'intégration du logiciel de VoIP Skype, via sa plateforme AppExchange, à ses applicatifs de GRC. SalesForce, qui revendique 575 applications pour sa plateforme AppExchange, précise qu'elles peuvent toutes intégrer Skype. Enfin, le Wall Street, dont les sources sont toujours de premier ordre, annonce des négociations entre Salesforce et Google. L'éditeur pourrait ajouter à son offre une partie des Google Apps, cette suite en ligne gratuite d'outils de productivité individuelle que Google propose aussi à des entreprises et, désormais à des partenaires. Commercialisés de pair avec les services de GRC de SalesForce, des outils comme la messagerie gmail constitueraient un ensemble applicatif intéressant face aux offres de Microsoft. (...)

(17/04/2007 16:34:19)

Oracle lance AIA, son offre d'applications composites

Oracle s'est officiellement lancé sur la voie des applications composites. L'éditeur a annoncé AIA (Application integration architecture) à la conférence utilisateurs Collaborate '07, à Las Vegas. Le principe d'AIA est de fournir des processus prêts à l'emploi sous forme de packs, s'appuyant à la fois sur l'offre progicielle d'Oracle et sur son middleware Fusion. C'est donc très proche de ce que SAP propose depuis longtemps avec ses xApps (ou Cross Apps) : relier divers modules fonctionnels, à l'aide notamment d'un outil de gestion des processus métier (BPM) et d'un bus de services (ESB) afin de construire des applications dites composites, collant davantage aux besoins des clients. « Cela a la même ambition, confirme Lionel Dubreuil, responsable marketing techno pour les applications chez Oracle France. Sauf que pour nous, les applications composites peuvent s'appuyer sur notre offre, celle de nos partenaires mais aussi sur toutes les applications que nous avons rachetées. » Lionel Dubreuil explique par ailleurs qu'AIA s'inscrit dans la stratégie d'évolution des produits qu'Oracle avait déjà annoncée. De fait, avec toutes ces technologies à intégrer (Oracle a procédé à plus de 20 Md$ d'acquisitions en un peu plus de deux ans), seule l'option SOA (architecture orientée services) est valable : exposer des fonctionnalités en tant que services, et orchestrer ces derniers à l'aide d'un outil de BPM. L'effort d'intégration qu'Oracle doit réaliser se situant alors au niveau de la définition des objets métier des applications. A partir du moment où les différentes applications partagent un vocabulaire XML, il est possible de recourir à un référentiel commun et d'assembler les services reposant sur ces objets. Oracle souligne que les clients comme les partenaires peuvent ainsi réaliser leurs propres applications composites, tout reposant sur des standards. De même, le recours à XML permet de mettre à jour les applications tout en conservant la personnalisation des objets métier. Dans sa présentation aux Etats-Unis, Oracle a même employé la notion de « sustainable integration » (intégration durable). Oracle veut faire d'AIA une opportunité pour les partenaires Un pack AIA fournit les outils nécessaires à la réalisation et à la personnalisation de l'intégration d'un processus métier. Une licence AIA comprend notamment l'outil Aris pour la modélisation des processus métier, et un droit d'utilisation de la SOA Suite. Néanmoins, rares seront les clients qui n'ont aucun élément middleware en interne. « Un client qui aurait déjà fait un choix tiers pourra utiliser son produit, mais ne bénéficiera pas du côté 'prêt à l'emploi', commente Lionel Bubreuil. Nous avons déjà des clients qui utilisent notre offre BPEL [le moteur d'exécution des processus métier, NDLR] avec un autre ESB. » Il est cependant légitime de penser qu'il sera plus simple d'utiliser le moteur BPEL d'Oracle avec un ESB tiers, plutôt que l'inverse. Les packs AIA pourront aussi être utilisés pour se connecter à des services fournis par des applications non-Oracle. Un appel du pied d'Oracle envers les éditeurs et SSII, appelées à constituer, comme pour SAP, un écosystème. « Les partenaires pourront développer leurs propres objets, venant en complément de l'offre Oracle ou s'y substituant, explique Lionel Dubreuil. Par exemple pour intégrer du Salesforce à la place de Siebel OnDemand ou du back-office SAP à la place du nôtre. » Les deux premiers packs livrés sont justement des processus reliant le progiciel E-Business Suite d'Oracle à son offre de gestion de la relation client Siebel CRM. Les suivants viendront entre autres compléter l'intégration de Siebel avec ses offres de facturation et de gestion de la distribution, mais aussi avec des modules de l'offre JDEdwards EnterpriseOne. (...)

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