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(11/01/2008 14:42:40)

Tuées par X64, les stations de travail Risc/Unix disparaissent

Sur 762 200 stations de travail vendues de par le monde au troisième trimestre 2007 (+23,2%), 99% étaient animées par un processeur X64 et tournaient sous Windows ou sous Linux. Selon Jon Peddie Research, les modèles Risc/Unix, avec lesquels naquit le concept de stations de travail, ne représentent plus que 1% des livraisons. Avec cette disparition, c'est une page de l'informatique qui se tourne. Héritiers de l'architecture x86, les processeurs X64 d'AMD et d'Intel ont poussé à la disparition les processeurs Alpha, Mips, PA-Risc, etc. C'est d'ailleurs au cours de ce troisième trimestre 2007 que HP a annoncé l'arrêt de sa ligne de stations de travail PA-Risc. De la profusion de processeurs à jeu d'instruction réduit (Risc) des années 90, il ne reste plus que les processeurs Power d'IBM et Sparc de Sun. C'est pourtant grâce aux stations de travail Risc/Unix que l'écosystème Unix a trouvé son assise économique. Le dynamisme et les marges du marché des stations de travail ont permis à Unix de s'imposer sur d'autres marchés en entreprises, poussant à l'obsolescence les mini-ordinateurs propriétaires. Par ailleurs, Jon Peddie Research suit aussi les cartes graphiques. Sur le troisième trimestre, 1,1 million d'unités (+32,6%) ont généré un CA de 338 M$ (+29%) dont l'essentiel (86%) revient à nVidia et les miettes à AMD (qui avait racheté ATI). (...)

(11/01/2008 14:40:55)

VMware acquiert la société de services Foedus

L'Américain VMware, éditeur spécialiste de la virtualisation de serveurs, a acquis les actifs de Foedus, une petite société privée du New Hampshire, investie dans le service et la mise en place de projets d'infrastructures de virtualisation. Selon Reuters qui rapporte les déclarations de Greg Eden, porte-parole de l'éditeur, le rachat s'est opéré au début de ce mois et les trente salariés de Foedus devraient être repris par VMware. Aucun détail n'a en revanche été donné sur le montant de la transaction. Greg Eden a indiqué que les compétences ainsi acquises seraient mises à profit par VMware pour la formation et le conseil auprès des revendeurs de ses solutions. VMware, filiale d'EMC, est entré en bourse en août dernier. (...)

(11/01/2008 14:31:05)

La quête du premier brevet sur l'ETL est ouverte

Quelqu'un a-t-il connaissance d'un brevet antérieur à juin 1997 pouvant décrire les mécanismes de l'ETL ? Observatrice pointilleuse des affaires juridiques de l'industrie informatique, Pamela Jones, qui tient le site Groklaw, s'est lancée dans une nouvelle quête, après sa prise de position contre SCO. L'ETL englobe tous les outils capables d'extraire des données, de les transformer et de les réinjecter dans une base. Or JuxtaComm se déclare possesseur d'un brevet couvrant ces techniques, et a attaqué cet été à peu près tous les éditeurs susceptibles de les mettre en oeuvre. La plainte de JuxtaComm, déposée le 17 août dernier au Texas, concerne rien moins qu'Ascential Software (qui appartient à IBM), Business Objects (racheté par SAP), CA, Cognos, DataMirror (racheté par IBM), Fiorano Software, Hummingbird (racheté par Open Text), IBM, Informatica, Information Builders, Intersystems, iWay Software (filiale d'Information Builders), MetaStorm, Microsoft, Open Text, Software AG, Sybase et WebMethods (racheté par Software AG). Objectif dès 2004 : prendre une part d'un marché de 70 Md$ On notera l'absence d'Oracle, qui avait conclu un accord quelques mois auparavant. D'après un consultant qui a suivi l'affaire, la transaction ne se serait montée qu'aux alentours de 2 M$, dans la mesure où l'offre ETL d'Oracle n'était guère développée. Mais toujours selon lui, Teilhard Technologies, maison mère de JuxtaComm, a de grandes ambitions en matière de monétisation de portefeuille de brevets. D'après lui, le chiffre astronomique de 138 Md$ aurait été cité lors d'une assemblée générale et repris sur un forum, aujourd'hui inaccessible. Toujours est-il que dans un communiqué de presse paru en 2004, lors de l'acceptation du brevet par les autorités canadiennes, Teilhard Technologies avait expliqué que grâce à cela, il pourrait capter une part d'un marché de l'EAI (intégration des applications d'entreprise) valorisé alors à 70 Md$. Alors qu'Oracle a négocié, d'autres sont allés au procès. DataMirror a essayé de faire valoir que le but de sa technologie de réplication de données était relativement le même que celui de l'ETL, mais la technologie pas identique, sans succès jusqu'à présent. De son côté, Intersystems a répondu à la Cour qu'il ne violait pas le brevet incriminé, et ajouté que ce dernier était de toute façon invalide. La quête de Groklaw devrait aider l'éditeur à ficeler son dossier. Néanmoins, si on se souvient d'éditeurs comme New Era of Networks ou Ardent Software qui opéraient à l'époque depuis déjà un certain temps, leur propriété intellectuelle n'était pas encore établie. (...)

(11/01/2008 14:27:09)

Antitrust : Après l'Europe, New York poursuit Intel

Déjà englué dans une procédure judiciaire intentée par la Commission européenne contre ses pratiques anticoncurrentielles, Intel est désormais l'objet d'une enquête de l'Etat de New York. Dans les deux cas, il est reproché au fondeur d'avoir violé les dispositions antitrust, notamment en exerçant des pressions sur les constructeurs, et contribué à faire reculer la part de marché de son concurrent AMD. L'enquête conduite par le procureur Andrew Cuomo vise à faire la lumière sur la politique de tarification mise en place par Intel et ses supposées tentatives de nuire à ses concurrents. « La protection d'une concurrence loyale et ouverte sur le marché des microprocesseurs est cruciale pour New York, les Etats-Unis et le monde », s'exclame Andrew Cuomo. Du côté du mis en cause, le discours est, bien entendu, d'une autre teneur : « nos pratiques commerciales sont légales, nous pensons que le marché des microprocesseurs est concurrentiel ». Selon Intel, il n'y aurait donc jamais eu de pénalité adressée aux constructeurs indisciplinés ayant choisi de continuer à s'équiper en CPU AMD. (...)

(11/01/2008 12:26:11)

Les salariés d'Orsyp rachètent une partie de l'entreprise avec le soutien d'Argos Soditic

Orsyp a réalisé une opération de MBO (Management Buy Out, rachat d'entreprise par certains de ses cadres avec l'intervention d'un capital-investisseur) en partenariat avec Argos Soditic. L'éditeur français de logiciels d'automatisation et d'exploitation des flux informatiques en entreprise compte sur cet accord pour accroître sa présence internationale, renforcer son activité de conseil, recruter de nouveaux collaborateurs et investir dans la recherche et le développement.

« Dans un marché en pleine consolidation (Computer Associates a racheté le canadien Cybermation en mai 2006 et UC4 s'est payé AppWorx un an plus tard), cette opération apporte à Orsyp une véritable crédibilité et visibilité auprès de notre clientèle, des investisseurs et de potentiels partenaires (constructeurs et éditeurs) », souligne François-Xavier Floren, le nouveau PDG du groupe. Il succède à Jean-Jacques Parinet, fondateur de la société, qui devient président du comité de surveillance.

L'accord entre Orsyp et Argos Soditic a été conclu le 20 décembre 2007. Les termes financiers de cette transaction demeurent confidentiels. Orsyp a réalisé un chiffre d'affaires de 26 M€ en 2006 (l'exercice fiscal 2007 sera finalisé en mars prochain) et emploie 270 personnes au sein de 12 filiales dans le monde. Le Gartner a récemment distingué l'éditeur français parmi les cinq acteurs internationaux majeurs du marché de l'automatisation d'exploitation, aux côtés de Computer Associates, BMC, IBM et UC4. (...)

(11/01/2008 12:18:52)

IBM recycle ses déchets pour l'industrie des panneaux solaires

IBM, afin de donner une deuxième vie à ses déchets, a mis au point une technologie permettant de recycler les plaquettes de silicium (wafers) sur lesquelles sont gravées ses processeurs pour les revendre aux constructeurs de panneaux solaires. Ce projet original en matière de recyclage, initié par l'usine d'Essex Junction (état du Vermont) et dirigé par l'ingénieur Eric White, vise à utiliser à nouveau les wafers usés par les multiples tests sur les chaînes de production de Big Blue. Après plusieurs utilisations où elles sont polies, les plaquettes deviennent trop fines pour la fabrication de processeurs, mais contiennent suffisamment de silicium pour la construction de panneaux solaires. Reste alors à neutraliser les wafers (ôter les circuits électriques) pour permettre leur nouveau recyclage. Pour répondre à cette problématique et au lieu d'user des produits chimiques polluants, IBM a décidé de mettre au point une méthode composé d'un simple matériau abrasif, d'eau et d'une technique de polissage qui efface les composants non souhaités, tout en préservant la surface en silicium. Auparavant, IBM effaçait les wafers en y projetant du sable sous pression, mais ce procédé endommageait les plaquettes. Cette technique a valu à IBM le prix 2007 du Most Valuable Pollution Prevention Award (Trophée de la méthode la plus efficace contre la pollution) décerné par le National Pollution Prevention Roundtable. (...)

(11/01/2008 11:15:18)

Sun veut faire disparaître ses salles de serveurs en 2015

Pour Brian Cinque, responsable architecture Data Center de Sun, l'objectif est simple sinon paradoxal : supprimer toutes les salles de serveurs de la société d'ici à 2015. Plus exactement, il souhaite réduire la superficie des salles de serveurs de 50 % ou plus d'ici à 2013. Pour cela, il compte s'appuyer sur des techniques de virtualisation, de consolidation de stockage ou d'application, d'accélération de transfert de données, mais aussi sur les offres de Saas (Software as a Service). C'est d'ailleurs par une migration en deux ans vers du tout Saas que Brian Cinque compte se séparer des dernières salles de serveurs de la société en 2015. (...)

(11/01/2008 09:31:19)

Jeff Raikes va quitter la tête de Microsoft Business Division

Jeff Raikes, 49 ans, a décidé de quitter Microsoft en septembre de cette année. L'actuel patron de la division Business sera progressivement remplacé par Stephen Elop, ancien PDG de Macromedia, qui n'aura donc assuré la direction générale de Juniper Networks, en tant que COO (Chief operating officer), qu'une année. La division Business a réalisé l'année dernière un chiffre d'affaires de 16 Md$, soit un peu moins du tiers du chiffre d'affaires total de Microsoft. Jeff Raikes supervise en effet des produits comme le progiciel de gestion Dynamics, la base de données SQL Server, la suite bureautique Office ou encore le serveur de communication Exchange. Bien que Jim Allchin ait quitté récemment la tête de la division Windows (comme il l'avait planifié dès septembre 2005) et que Bill Gates prévoie son propre départ en juillet, cela ne devrait pas affecter le calendrier de l'éditeur, considère Rob Helm, directeur de recherches du cabinet Directions on Microsoft, dans la mesure où cela vient avec la fin d'un cycle : la sortie de Windows Vista, d'Office 2007 et d'Exchange 2007. Quant à SQL Server, sa gestion était plus directement sous la responsabilité de Bob Muglia, vice-président senior de la division Server and Tools, qui sera désormais en lien direct avec le PDG de Microsoft, Steve Ballmer. A noter aussi que fin février, Bruce Jaffe, responsable des acquisitions, quittera aussi l'éditeur. C'est lui qui a piloté l'acquisition d'aQuantive et lancé la procédure d'acquisition de Fast. (...)

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