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(10/01/2008 18:17:01)
Supercalculateur du CNRS : Bull n'a pas été consulté
Faisant suite à l'annonce, par le CNRS, du choix d'IBM pour la mise en place d'une plateforme de calcul intensif, le constructeur national Bull a tenu à préciser qu'il n'avait pas été consulté dans le cadre de ce marché, contrairement à ce que l'on avait pu comprendre lors de la conférence de presse du lundi 07 janvier dernier. « S'il s'était agi d'un appel d'offres ouvert, nous aurions étudié le cahier des charges afin d'établir quelle réponse nous pouvions y apporter », a expliqué Philippe Miltin, vice-président de Bull, responsable de la division produit. Le secteur du calcul intensif est un marché sur lequel nous remportons régulièrement des contrats lorsque nous nous trouvons dans des conditions de compétition normale, dans le cadre de procédures d'appels d'offres classiques.» Le choix d'IBM par le CNRS s'est fait sur la base d'un contrat négocié, rendu possible par la loi de programmation pour la recherche de 2006. Arnold Migus, directeur général du CNRS, s'était d'ailleurs félicité, lors de l'annonce de la mise en place du supercalculateur, de la rapidité avec laquelle l'acquisition avait ainsi pu être menée. Sur le terrain des supercalculateurs, Bull souligne qu'il rencontre fréquemment des acteurs comme SGI, HP, Cray et IBM, de fait son principal concurrent. Les plateformes de calcul intensif de Bull s'appuient sur une technologie de type cluster reposant sur des processeurs X86 standards. « Notre valeur ajoutée réside dans le système de management Bull Advanced Server, la couche logicielle qui permet de gérer l'ensemble des clusters », indique Philippe Miltin. Au dernier trimestre 2007, le constructeur a participé à un appel d'offres du ministère de la Recherche brésilien, face à IBM, SGI et HP, à l'issue duquel il a remporté le marché pour quatre universités sur sept. (...)
(10/01/2008 17:58:09)Le contrat de projet sur 18 mois revient à l'ordre du jour
Le dernier round de négociation sur la « modernisation du marché du travail » a réuni aujourd'hui jeudi 10 janvier les syndicats et organisations patronales. Elles auront jusqu'à demain pour aboutir à un texte car, en cas d'échec des discussions, le gouvernement tranchera seul après une concertation rapide. Les organisations CGT, CFDT, FO, CFTC et CFE-CGC auraient toutes été d'accord pour rejeter le CDI "de projet", baptisé « CDI pour la réalisation d'un objet précis » , rapporte nos confrères de l'AFP. Selon l'agence de presse, certaines organisations craignent que ce nouveau type de CDI signe l'arrêt de mort du contrat à durée indéterminée. Inspiré d'une des propositions du rapport de Virville sur le droit du travail, ce CDI à objet précis souhaité par le patronat, court sur une durée d'au moins 18 mois qui prendra fin une fois achevée la mission pour laquelle le salarié a été embauché. Des indemnités de rupture, au montant à négocier, sont prévues en cas de licenciement avant terme. Le Munci (Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens) a décidé de prendre les devants, en envoyant une lettre aux partenaires sociaux. L'association professionnelle estime notamment qu'un tel contrat serait « en totale contradiction avec les politiques de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) pour lesquelles la profession IT est fortement demandeuse face aux exigences d'employabilité et de formation ». (...)
(10/01/2008 17:42:35)Les mondes virtuels s'imposeront dans les entreprises d'ici cinq ans selon Forrester
Les espaces virtuels joueront un rôle important dans le monde des affaires, et devraient avoir autant d'importance que l'Internet d'aujourd'hui dans les entreprises dans cinq ans, c'est ce que prédit une étude du cabinet Forrester. Mieux encore, ces espaces (qui ressembleront au célèbre Second Life) devraient leur apporter de la valeur ajoutée : facilité de collaboration sur un projet, économies de locaux et transactions commerciales. D'après le cabinet américain, les outils collaboratifs actuellement disponibles en entreprise sont relativement limités. Forrester a alors comparé le Web tel qu'il est aujourd'hui et les mondes virtuels. Première différence, Internet est en 2 D, dans les mondes virtuels on passe à la 3 D. La représentation et la marge de manoeuvre de l'utilisateur est également différente. Dans le premier cas, si une personne consulte une page Internet, elle a rarement l'occasion de voir qui visionne cette même page, et interagir avec les autres connectés. Dans les mondes virtuels, l'internaute dispose d'un avatar (avec un nom, un titre, une fonction, un visage...) qui peut rencontrer d'autres personnes, discuter (via la voix sur IP), accéder aux équipements et aux locaux de l'entreprise, mais aussi exprimer des émotions ou manifester des comportements (sourire, acquiescer, serrer une main...). Avec un tel outil, tous les scénarios sont possibles : on peut par exemple imaginer une entreprise donnant rendez-vous sur son monde virtuel à l'ensemble de ses salariés, dispersés dans plusieurs filiales, pour participer à une réunion ou à un projet en direct et en images. Les avatars seront répertoriés dans un annuaire d'entreprise et contrôlés par un système sécurisé afin d'identifier clairement les personnes physiques (pour limiter les accès à certaines pièces ou à certains documents par exemple). Cet élément pose d'ailleurs problème, car pour le moment les avatars ne possèdent aucun statut juridique. Un potentiel collaboratif et économique à découvrir Le cabinet encourage donc vivement les entreprises à explorer ces environnements virtuels, afin d'en découvrir le potentiel collaboratif. Ce modèle est particulièrement intéressant pour des professionnels comme les chirurgiens, les architectes, les ingénieurs ou les créateurs qui utilisent des logiciels de conception assistée par ordinateur (CAO). Les entreprises disposant de plusieurs filiales ou d'une flotte de commerciaux mobiles utiliseront probablement les mondes virtuels pour communiquer avec leurs collaborateurs éloignés. Selon le cabinet, ce changement de modèle permettra aux entreprises de réaliser des économies, car elles investiront moins dans des bureaux, mais davantage dans la construction d'un univers virtuel. Pour l'instant, les mondes virtuels ne répondent pas tout à fait aux attentes des professionnels, notamment en termes de technologie. L'adoption de ces espaces rencontre également un frein culturel du côté des entreprises. Ces dernières sont encore réticentes, car beaucoup de personnes considèrent les mondes virtuels comme des endroits frivoles « où les personnes se rendent essentiellement pour se mettre en valeur ». D'après une autre étude de Forrester (publiée en juillet 2007), seules 14% des entreprises interrogées ont adopté les espaces virtuels, et 44% sont en cours de réflexion, voire de développement, ce qui reste très encourageant. On peut donc imaginer que demain ou après-demain, beaucoup de bureaux seront remplacés par des espaces virtuels. (...)
(10/01/2008 17:19:42)Samba, PHP et Perl certifiés sécurisés
Coverity, qui exécute le programme Open source Hardening Project pour le compte du ministère de l'Intérieur américain (DHS - Department of homeland security), vient de certifier 11 logiciels Open Source, leur appliquant son sceau Rung 2. Ce qui symbolise le plus haut degré de sécurité pour une application Open Source, selon le barème - qui fait référence - de la société. On dénombre Amanda, NTP, OpenPAM, OpenVPN, Overdose, Perl, PHP, Postfix, Python, Samba et TCL. Le programme a été lancé en mars 2006 pour analyser les lignes de codes de quelque 180 logiciels Open Source afin d'en déterminer un indice de confiance. Depuis sa création, Coverity aurait ainsi scanné plus de 50 millions de lignes de code et aurait permis de patcher quelque 7 826 failles et bogues. Coverity est censé repérer les failles et les soucis de qualité du code. Les rustines sont apportées par l'éditeur et sa communauté, qui au fur et à mesure, franchissent les étapes du barème Coverity (Rung 0, Rung 1 et Rung 2). Dans un communiqué, Coverity explique que nombre de projets Open Source ont été assidus à corriger les troubles de sécurité qu'il a identifiés. Par exemple, sur les 236 failles isolées dans les 450 000 lignes de code de Samba, 228 ont été corrigées. (...)
(10/01/2008 17:05:26)Virtualisation : le top 10 des outils d'administration de CIO
L'écosystème autour de la virtualisation s'étoffe. Notre confrère américain CIO (du groupe IDG, actionnaire d'IT News Info) a dressé la liste des dix acteurs qu'ils jugent clés pour 2008. Une fois l'hyperviseur installé et les machines virtuelles (VM) opérationnelles, commencent les difficiles missions de l'administration. Certes VMWare et Citrix proposent des outils pour cela ; Microsoft, IBM, HP et tous les grands acteurs en font de même. Mais, sur un marché naissant, c'est l'innovation qui prime. Voici les sociétés retenues par CIO, dont peu sont connues ici : - Cirba propose un logiciel d'administration qui permet d'analyser et de visualiser comment faire migrer et consolider des machines virtuelles. L'outil permettrait d'évaluer les conditions de cohabitation de VM en fonction de paramètres comme le type de middleware, la configuration du SGBD, le niveau de service requis et la charge. - Vizioncore, connu pour son outil de sauvegarde de machine virtuelle vRanger Pro, propose aussi vCharter qui permet de scruter ce qui se passe au sein même d'une machine virtuelle. - Akorri commercialise la suite BalancePoint. Utilisé par le site de recrutement Monster.com, cet outil permet de simuler de bout en bout le besoin de ressources qu'entraîne l'installation d'une VM : du serveur au stockage en passant par le logiciel. - Platform Computing, très connu du monde bancaire, est un des pionniers dans les domaines du grid et des systèmes de calcul. Appliquée à la virtualisation, cette expertise en matière de systèmes répartis lui permet de proposer VM Orchestrator et Enterprise Grid Orchestrator dont les noms parlent d'eux-mêmes. - Embotics se présente comme un spécialiste de la gestion du cycle de vie des VM. Son logiciel V-Commander (qui s'intègre à la suite VirtualCenter de VMWare) permet de prendre en compte à partir d'un seul écran l'ensemble des VM d'un centre sur toute leur durée de vie. - EqualLogic ne se présente plus depuis son rachat par Dell. Ce spécialiste du stockage est à la pointe de la virtualisation du stockage à base de iSCSI. - PlateSpin est connu pour ses outils de conversion qui facilitent le passage d'environnements réels à du virtuel. PowerConvert permet de revenir à des configurations non virtuelles et dispose de fonctionnalités de reprise d'activités après sinistre. PowerRecon permet, quant à lui, de facturer les VM aux unités opérationnelles. - Marathontechnologies propose everRun HA (high availability) et everRun FT (fault tolerant) pour assurer la haute disponibilité de VM qui tournent sur l'hyperviseur Xen. - Blue Lane aide à la gestion des rustines sur les VM avec VirtualShield. - Quant au logiciel Virtual Security Appliance (VSA) de Reflex Security, il confère une couche de sécurité supplémentaire qui pourrait protéger des attaques contre les hyperviseurs. (...)
(10/01/2008 17:02:44)IBM condamne à mort l'Itanium d'ici 5 ans
IBM ne donne pas cher de la peau du processeur Itanium, un des deux concurrents de son Power avec le Sparc de Sun. Selon Scott Handy, vice président chez IBM, responsable de la stratégie Linux et Open Source, l'Itanium co-développé par Intel et HP n'en aurait plus que pour cinq ans. C'est ce qu'il a déclaré à notre confrère The Register. Il est vrai qu'IBM grignote des parts du marché Unix à HP depuis quelques mois. Mais si le choix technologique qui consiste à pousser le Power vers les hautes fréquences paye aujourd'hui, il pourrait avoir un revers. Intel et Sun ont pris le temps de revoir leur architecture pour augmenter le nombre de threads plutôt que la performance brute. Une stratégie qui pourrait porter ses fruits à moyen terme. Si les volumes de vente sont encore là, ironise Scott Handy. On verra si lui aussi... (...)
(10/01/2008 16:55:53)Yahoo teste Open ID
Le protocole Open Source de gestion des identités a-t-il séduit un nouveau grand compte ? C'est ce que peuvent laisser penser certaines lignes de codes de Flickr, le site de partages d'images de Yahoo, et la page d'accueil des futurs services Yahoo Live : me.yahoo.com. Sur les deux sites, Yahoo se définit comme un fournisseur d'identité OpenID 2.0. Ce qui serait cohérent avec la vision des services Yahoo Live telle que présentée par Jerry Yang, PDG de Yahoo. Il pense en effet intégrer dans ces services, des offres propres à Yahoo et d'autres provenant de réseaux tiers comme MySpace.com ou LinkedIn. En devenant fournisseur d'identité OpenID, Yahoo permettrait à ses utilisateurs de contrôler l'accès à ces services de façon centralisée. Même si d'autres grands acteurs du Web - comme Microsoft, AOL et Google (notamment pour son site Blogger.com) - ont rejoint Open ID, ils n'en ont pour l'instant que peu exploité les capacités. Cela devrait changer si Yahoo dépasse la simple phase de test. Toutefois, les porte-parole du groupe se refusent à l'heure actuelle à tout commentaire. Et, même si Yahoo se contente d'associer une Open ID à l'ensemble de ses comptes abonnés, cela fournira plusieurs millions d'utilisateurs potentiels à Open ID. En juillet 2007 (donc avant qu'Orange, Microsoft et Google rejoigne le projet), OpenID revendiquait 120 millions de comptes. (...)
(10/01/2008 16:50:47)20 000 postes à pourvoir pour l'édition de rentrée des Jeudis
Signe que le marché de l'emploi est toujours tendu, les annonceurs se sont bousculés à l'occasion de la première édition de rentrée du salon de l'emploi IT LesJeudis. Plus de 70 entreprises de la high-tech se sont en effet rassemblées jeudi 10 janvier, dans l'enceinte du Palais des Congrès de la Porte de Versailles, à Paris. Avec, à la clé, 20 000 offres émanant de SSII, éditeurs de logiciels et entreprises utilisatrices. Ce qui devrait permettre d'attirer un nombre de visiteurs estimé à 4 500, par les organisateurs. « Les prévisions de recrutement 2008 sont une nouvelle fois à la hausse, commente Cédric Barbier, organisateur du salon. Avec, cette année, un nombre d'exposants qui a augmenté de 50% par rapport à 2007. » Les candidats - stagiaires, jeunes diplômés, et expérimentés -, qu'ils soient en poste ou disponibles immédiatement, n'ont eu que l'embarras du choix, tant l'offre était vaste : administrateurs, architectes, chefs de projet, commerciaux, consultants, ingénieurs d'études et développement, ingénieurs systèmes, techniciens... Quant aux intentions d'embauches des grandes SSII, elles paraissent toujours aussi massives : 2 500 postes à pourvoir chez Atos Origin, 2 000 offres chez CapGemini, 1500 chez GFI Informatique, 1 800 offres chez Unilog LogicaCMG et Astek, 1 700 pour Sopra Group. En revanche, on sait bien que dans les faits, les embauches n'atteignent pas ce niveau affiché. En parallèle les candidats ont pu profiter d'un atelier CV et de conseils d'un consultant RH pour valoriser leur parcours ou rédiger leurs lettres de motivation. Grands absents de cette édition de rentrée : les banques utilisatrices telles que BNP Paribas, ou Cetelem, qui avaient pourtant fait leur grand retour lors des précédentes éditions du salon de l'emploi IT. Et IBM, qui préfère attendre le mois de mai pour honorer le salon de sa présence. (...)
(10/01/2008 15:47:04)La version bêta de Parallels Server est disponible
Alors qu'il ne travaillait jusqu'ici que sur la partie poste de travail pour Macintosh, l'éditeur SWSoft (qui se rebaptisera bientôt Parallels) lance avec la version bêta de Parallels Server, son premier outil de virtualisation pour serveurs Mac. Il fonctionne également sous Windows ou Linux, sur processeurs 32 bits comme 64 bits. Ce logiciel comprend deux hyperviseurs : le classique Parallels où les machines virtuelles s'exécutent en tandem avec le système hôte, et le « bare metal » où elles sont indépendantes du système hôte. Bien que la même société soit à l'origine des deux technologies, les machines virtuelles Parallels et les conteneurs Virtuozzo ne peuvent pas cohabiter, mais SWsoft devrait bientôt proposer un outil de gestion commun. (...)
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