Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 8881 à 8890.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/03/2010 18:00:05)

BT France cherche à recruter 150 collaborateurs en mars

Cette campagne vise à recruter d'ici fin mars 2010 environ 150 collaborateurs pour la division services, afin d'accompagner les différents projets de services informatiques destinés à des entreprises d'envergure internationale implantées en France. BT recherche notamment des chefs de projet, des incident managers, des administrateurs de bases de données Oracle, des experts système, des experts réseau et sécurité, des ingénieurs réseaux/systèmes/sécurité, des développeurs JAVA, J2EE, .Net ou C#, des administrateurs réseaux et sécurité et, enfin, des techniciens réseaux et sécurité. 30 à 40 postes seulement seraient déjà couverts. BT emploie déjà 2600 personnes en France. (...)

(02/03/2010 17:39:13)

Bewan tombe dans l'escarcelle de Pace

Pace Micro Technology est cotée à la bourse de Londres, c'est le numéro 2 mondial des set top box (décodeurs numériques) derrière Motorola. Au mois d'avril 2008, Pace rachetait la division Philips Electronics, basée en France, mais qui est active aux Etats-Unis et en Amérique latine. Une opération réalisée essentiellement par échange d'actions, Philips obtenant 21,6% du capital de Pace. Bewan sera rattachée à cette filiale française de Pace tout en ayant son propre développement à l'international. « Nos deux sociétés sont très complémentaires » nous explique Mathias Hautefort, Président de Pace France, « c'est évident en terme de produits, Pace est dans les set top box, Bewan dans les gateway, nous sommes grand public, Bewan est plutôt entreprises. Nous sommes également deux sociétés créées par des ingénieurs, nous n'avons pas de grosses structures, le rapprochement est donc facilité ». « Nous avions la technologie, mais pas la taille suffisante pour les marchés extérieurs, souligne pour sa part Eric Teissandier, Pdg de Bewan. En 2004, nous avons fait venir de nouveaux investisseurs au capital, il s'agit aujourd'hui de la suite, une nouvelle étape cinq ans après la première, en intégrant Pace nous trouvons les moyens de notre développement ». En terme de distribution, les deux sociétés sont différentes. Pace traite directement les grandes surfaces et passe par des antennistes. Bewan compte sur un réseau classique en two tiers avec des grossistes et des revendeurs. Les deux directions vont faire le tour des grands clients dans les semaines qui viennent pour expliquer leur rapprochement. (...)

(02/03/2010 16:32:45)

L'Afnic va créer un observatoire des bureaux d'enregistrement

Au terme d'un appel à candidature amorcé en janvier 2009, Christian Estrosi, ministre en charge de l'industrie, a signé l'arrêté renouvelant pour une durée de 7 ans la gestion du .fr à l'Afnic (Association Française pour le Nommage Internet en Coopération). Outre la possibilité pour les français résidant à l'étranger de pouvoir déposer un nom de domaine en . fr, le « registrery » a annoncé différentes orientations. La première concerne la création d'un observatoire des bureaux d'enregistrements des noms de domaines. Mathieu Weill, directeur général de l'Afnic explique que « cette annonce répond aux retours de certains clients sur la qualité de service et la lisibilité des offres des registrars » et d'ajouter « l'objectif sera similaire à ceux observés sur les FAI avec la mise en place d'un classement des meilleurs bureaux ». Les critères d'évaluation seront négociés entre l'Afnic et les registrars (au nombre de 870 en France). Le responsable anticipe « quelques tensions» mais reste optimiste sur la présentation d'un premier classement à la fin 2010. Il ambitionne à terme, la création d'une labellisation des registrars. Sécurité et R&D Parmi les autres engagements de l'association, la sécurité bénéficiera d'un investissement représentant 5% du chiffre d'affaires (estimé à près de 1 million d'euros pour 2009) sur de nouveaux serveurs et le renforcement des plans de continuation d'activité à travers plusieurs scénarios. L'autre axe de développement est la R&D qui se traduira par des investissements sur des projets avec des universités ou des entreprises privées. Un prix Afnic de l'innovation sera aussi mis en place récompensant des projets en lien avec l'adressage. (...)

(02/03/2010 16:33:14)

Les PC serveurs eX5 d'IBM accueillent plus de Ram

Augmenter les performances des applications tout en réduisant les coûts en énergie dans les data centers tels semblent être le credo d'IBM avec sa gamme serveurs 2010. Reposant sur la traditionnelle architecture x86 (Intel Xeon Nehalem EX en l'occurrence), les eX5 prennent toutefois leurs distances avec les plates-formes où processeurs et mémoire sont étroitement imbriqués. Selon IBM, l'architecture de cette génération de serveurs qui découple la mémoire des processeurs, permet de s'adapter plus rapidement à l'évolution des charges de travail. L' objectif d'IBM est d'aller au-delà de l'offre standard de l'industrie pour offrir quelque chose de plus évolutive. « Traditionnellement, des serveurs supplémentaires sont ajoutés pour accompagner une charge de travail croissante, ce qui conduit à construire une plus grande ferme de serveurs et à l'utilisation de puissance supplémentaire » souligne Ronald Hagan, vice-président de la division System x chez IBM. Améliorer le taux d'utilisation Les entreprises ont certes réussi à consolider les serveurs x86 dans des environnements virtualisés, mais le taux d'utilisation du matériel reste limité par le lien étroit entre les processeurs et les composants mémoire. En séparant la Ram et les CPU, les systèmes auront accès à une plus grand capacité de mémoire ce qui pourrait stimuler les performances des logiciels. IBM fait ainsi valoir que ces serveurs auront accès à six fois plus de mémoire que dans les précédents serveurs maison. Un bonus non négligeable pour booster des applications comme les bases de données. Cette ligne de serveurs eX5 est un bon exemple de ce que Gartner appelle «le tissu de base de » l'informatique, qui permet aux clients de moduler la mémoire et les ressources, sans nécessairement acheter un nouveau serveur. Ces systèmes permettront également aux entreprises de déployer un plus grand nombre de machines virtuelles par serveurs. Les serveurs eX5 d'IBM seront tout d'abord disponibles en blade en mars et en rack un peu plus tard dans l'année. Big Blue reprend une partie de l'architecture Intel en y greffant un jeu de composants maison, qui réduit la latence entre la mémoire et les processeurs. IBM prétend que ses serveurs amélioreront les requêtes sur les bases de données d'un facteur de 30 par rapport aux systèmes actuels, tout en améliorant considérablement les performances par watt et la densité en machines virtuelles. [[page]] Gordon Haff, analyste chez Illuminata, estime que l'extension des capacités mémoire sera particulièrement intéressante pour les clients déployant des machines virtuelles. "La mémoire est la grosse affaire de la virtualisation, car l'une des choses que nous voyons avec les serveurs virtuels est que la mémoire vient à manquer avant les ressources CPU ». Mais IBM ne sera pas le seul fournisseur à répondre effacement aux besoins en mémoire des data center virtualisés, poursuit Gordon Haff. Cisco propose déjà une technologie de ce type (Extended Memory ) dans ses serveurs UCS (Unified Computing System). D'autres constructeurs dévoileront également dans les prochaines semaines des solutions de ce type reposant sur les puces Intel Nehalem EX. Avec les eX5, Big Blue poursuit son ambition de dépasser HP sur le marché des serveurs x86, précise Gordon Haff. « Comme avec ses mainframes et ses systèmes Power, IBM peaufine la puissance de ses solutions x86 pour les adapter à des charges de travail spécifiques ». De 1,5 à 3 To de Ram Les serveurs eX5 seront disponibles dans plusieurs versions : un système blade, deux modèles rack double et quatre sockets. Les clients pourront ajouter de 32 à 92 barrettes mémoire Dimm, selon les modèles, et plusieurs To d'espace disque SSD pour améliorer les capacités en entrée/sortie. Ils pourront également ajouter des processeurs par quantité de deux ou de quatre. Le cabinet Gartner prédit toutefois que ce type de serveurs coûtera beaucoup plus que les modèles x86 actuels, mais IBM soutient que cette technologie permettra également aux entreprises d'acheter moins de systèmes. (...)

(02/03/2010 15:22:37)

HP lance un service pour accélérer le passage au cloud

Privé ou public, les possibilités de l'environnement cloud sont multiples et il est parfois difficile de choisir sa solution. HP apporte une réponse en présentant un service de conseil aux entreprises ou aux services publics, baptisé Cloud Design. Ce dernier s'appuie sur une approche structurée de conception et de déploiement d'infrastructures évolutives en intégrant des ressources hybrides, associant cloud public et privé. La société se charge alors d'évaluer les besoins techniques et métiers, ainsi que d'auditer le système d'information du client. Il élabore ensuite un modèle d'infrastructure de type cloud (basé sur une architecture commune, nommée Reference Architecture for Cloud) et le plan de mise en oeuvre. Ce dernier comprend l'estimation des coûts, le test, l'exploitation, la gestion du cycle de vie des services, la gouvernance et le support. Pour Gard Little, analyste chez IDC sur les services émergents et internationaux estime que « le cloud est entré dans une phase d'accélération de son adoption. Pour aller vite, les entreprises ont besoin de conseils stratégiques sur le design de leur infrastructure dans le cloud » et d'ajouter «le service proposé par HP couvre les environnements les plus complexes et hétérogènes ». (...)

(02/03/2010 14:40:20)

Les applicatifs métier d'Apave passeront par la virtualisation

Apave Nord Ouest souhaitait rendre accessible aisément ses applicatifs métier autour de la gestion de la relation client dans le cadre du projet « accueil clients ». Le cabinet spécialisé dans la maîtrise des risques techniques et environnementaux a choisi de virtualiser ses applications afin de les rendre accessibles à partir de n'importe quel PC pouvant se connecter au serveur central. Sur un serveur Dell, Apave a installé la solution de virtualisation d'applications de Systancia, AppliDis. Outre le coût non précisé, Apave a fait ce choix pour favoriser une relation de proximité avec un éditeur français. (...)

(02/03/2010 12:14:05)

Le Pentagone autorise l'accès aux réseaux sociaux

Le Ministère de la Défense américaine vient de mettre fin à l'interdiction totale d'utiliser les réseaux sociaux depuis tous les ordinateurs de ses secteurs. « Nous encourageons le personnel engagé ainsi que nos employés à utiliser ces nouveaux médias, pour communiquer avec leurs amis et leur famille. Nous leur demandons tout de même de le faire prudemment » explique le communiqué officiel du Pentagone. Cette politique prévoit par contre de limiter les accès Internet en fonction des besoins en bande passante, et lors de certaines opérations, pour des raisons de sécurité. L'administration maintiendra également l'interdiction des sites pornographiques et des de jeux d'argent, elle examinera enfin l'utilisation des réseaux sociaux afin de voir si elle n'ouvre pas la porte à certains virus et autres codes malicieux vers le réseau militaire. Une première pour l'armée américaine En 2007, le Pentagone avait interdit l'accès à certains sites comme Youtube et Myspace depuis ses réseaux militaires, cela ne relevait pourtant pas d'une politique officielle. « C'est la première décision officielle du Ministère en matière de nouveau média » indique le communiqué. « Auparavant, les réseaux du Ministère et ceux du personnel engagé étaient régie par les politiques internes de chaque service, certains interdisant même l'accès à pratiquement tous les sites Internet. Un exemple, celui de la Marines qui, l'an dernier avait banni l'usage de Facebook, Myspace et Twitter, depuis tous leurs ordinateurs. Elle devra désormais s'accorder avec la politique officielle et en autoriser l'accès. Cette décision vient mettre un terme aux critiques reçues par le Pentagone, souvent accusé de tronquer la liberté de son personnel. Elle s'accorde aussi avec les méthodes de promotions du Département de la Défense qui utilise depuis longtemps déjà Facebook, Twitter, Flickr et autres pages Youtube pour communiquer avec le publique. (...)

(02/03/2010 11:29:49)

Impression : un marché en phase régressive

A en croire les derniers chiffres publiés par l'institut Context, la reprise n'est pas encore à l'ordre du jour sur le marché européen des imprimantes et MFP laser et jet d'encre. Pour le compte du mois de janvier 2010, les résultats des ventes du panel de grossistes informatiques(*) étudiés par Context ressortent en baisse de 6% en volume et de 8% en valeur. La zone étudiée englobe l'Allemagne, l'Espagne, la France, l'Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni et la Pologne. « Bien que la baisse des ventes ait commencé à s'atténuer en septembre 2009, le recul était alors de 22% en volume, le marché continue de décroître. Ainsi, janvier 2010 s'est avéré pire que décembre 2009 où le marché n'avait reculé que de 4% », indique Jeremy Davies, le co-fondateur de Context. Le MFP Jet d'encre se porte bien Une segmentation plus fine des chiffres par segment de produits montre que les ventes de multifonctions, particulièrement les jet d'encre, ont connu quant à elle une hausse qui s'établit à 8% en volume. La croissance atteint 9% en valeur, malgré la baisse historique du prix moyen des matériels le mois dernier. Toujours leader du marché en Europe, HP dispose d'une part de marché de 58,9%. Epson se place en second position et Canon en troisième, avec, respectivement, 16 et 6,3% de parts de marché. (*)Actebis, ETC, Dexxon, Ingram Micro, Tech Data (...)

(02/03/2010 11:29:46)

T-Mobile et Orange UK autorisées à s'unir

La co-entreprise va constituer un opérateur mobile sur le marché britannique gérant 29,5 millions de clients, ce qui le positionne en première position sur ce point. Les maison-mères déclarent que les engagements pris n'auront pas d'impact sur les clients ni sur les synergies envisagées. Tim Höttges, directeur financier de Deutsche Telekom, annonce ainsi qu'il s'agit de créer « un réseau haut débit mobile de premier rang dans l'un des marchés les plus compétitifs d'Europe ». Face aux exigences de la Commission européenne, Deutsche Telekom et France Télécom ont proposé de céder 2 fois 15 MHz de spectre dans la bande conjointe GSM des 1800 MHz d'ici fin 2011. Sur cette partie du spectre, 2 fois 10 MHz doivent être libérés d'ici le 30 septembre 2013 au plus tard et les 2 fois 5 MHz supplémentaires d'ici le 30 septembre 2015 au plus tard. De surcroit, l'accord existant de partage de réseau avec l'opérateur "3" en Grande Bretagne, propriété de Hutchison Whampoa basé à Hong Kong, a été renforcé. Synergies attendues et direction dévoilée France Télécom indique que comme souligné en septembre dernier, la nouvelle co-entreprise devrait générer des « synergies » (entendre des économies) de plus de 4 milliards d'euros en valeur nette actualisée. L'opérateur ajoute que sur la base des données 2009 publiées, le chiffre d'affaires et l'Ebitda de la nouvelle co-entreprise auraient été respectivement en 2009 d'environ 8,5 milliards d'euros et 1,6 milliards d'euros. Tim Höttges, directeur financier de Deutsche Telekom, assurera les fonctions de président non-exécutif pour une durée de deux ans de la co-entreprise. Passé ce délai, ces fonctions seront assurées par Gervais Pellissier directeur général adjoint, directeur financier de France Télécom pour une nouvelle durée de deux ans. L'équipe dirigeante sera menée par l'actuel Président d'Orange UK, Tom Alexander, en tant que Chief Executive Officer tandis que Richard Moat, actuellement Président de T-Mobile UK, assurera la fonction de Chief Operating Officer. Les deux marques T-Mobile et Orange seront maintenues au Royaume-Uni pour une période d'au moins 18 mois à l'issue de la réalisation de l'opération. Le nouvel opérateur se promet d'assurer une couverture élargie du territoire et un renforcement de la qualité du réseau pour offrir des services 2G et 3G de qualité. La proximité avec le client devra également être renforcée grâce à un réseau de boutiques détenues en propre. Photo : Tom Alexander, nouveau patron de la co-entreprise entre T-Mobile UK et Orange UK, et ancien président d'Orange UK (D.R.) (...)

(02/03/2010 11:56:17)

SharePoint ancre les outils sociaux à l'entreprise

Wikis, microblogging, forums de discussion, partage de favoris, groupes et communautés en ligne, et autres outils à inclure à la liste "des logiciels de réseaux sociaux» entrent à grands pas dans les entreprises à grand pas. Les salariés, surtout les plus jeunes, exigent que les outils sociaux qu'ils utilisent sur Facebook et Twitter soient impliqués dans leur environnement de travail. En outre, le credo culturel qui a un temps prévalu chez les cadres dirigeants contre l'intégration des outils sociaux a perdu de sa vigueur. Et personne ne le sait mieux que Microsoft dont la prochaine version de SharePoint 2010 a pris en compte le fait que la culture d'entreprise est à l'intégration de fonctionnalités de type réseau social. De manière aussi à rester en phase avec les vendeurs de solutions « agiles » qui proposent de plus en plus de systèmes sociaux aux entreprises. Car presque la quasi-totalité des vendeurs de solutions Entreprise 2.0 - Socialtext, Jive, Newsgator, Atlassian - ont construit leurs applications sociales pour qu'elles soient compatibles avec SharePoint. La stratégie (et le souhait) des vendeurs a été calquée sur cette nécessité, et selon eux, même les clients réfractaires accepteront d'intégrer leurs outils au sein du grand navire SharePoint. En même temps, ces fournisseurs sont en concurrence avec SharePoint, et plus SharePoint 2010 se montrera « social friendly », plus cette concurrence sera forte. Lier les outils sociaux à l'entreprise Une des entreprises à pouvoir témoigner d'une intégration réussie des outils sociaux dans SharePoint est le géant du conseil Accenture. Ces derniers temps encore, le département IT d'Accenture faisait remarquer que les cadres dirigeants avaient beaucoup assoupli leur résistance à l'encontre des outils de réseautage social. « La meilleure remarque que j'ai entendu d'un cadre dirigeant est : « je sais que je ne comprends pas, mais je sais que nous devons le faire », a déclaré Kevin Dana, en charge de l'informatique sociale et collaborative au sein de l'entreprise. Il y a deux ans, Accenture a commencé à expérimenter la mise en place d'un réseau social via MySites de SharePoint, avec des pages de profil incluant une photo, l'intitulé du poste du salarié, ses compétences, son e-mail et des informations d'agenda, une bibliothèque de documents et une liste de ses collègues de travail (surnommé «Colleague Tracker"). « Ces profils MySite se sont avérés très statiques et très limités en matière de personnalisation, » a expliqué Kevin Dana. « Ce dont l'entreprise avait besoin était un site officiel où les employés pouvaient devenir membres et un site principal, où ils pouvaient partager des informations sur un secteur ou des sujets donnés via les wikis, le microblogging, les tags et le partage de liens. » Accenture a finalement choisi d'intégrer la suite SocialSites de Newsgator dans SharePoint 2007 pour renforcer les outils existants. Après avoir mené, de mars à août 2009, des essais pilotes sur la suite Newsgator, Accenture a passé SocialSites en mode de production. Pour finir, Accenture a utilisé SocialSites de Newsgator pour son site de Groupe et pour son site de profile People (MySites). Le résultat final ressemble tout à fait aux nouvelles pages Feeds de Facebook. [[page]] « La suite Newsgator a permis de parfaire les outils sociaux incomplets de SharePoint, » a fait remarquer Kevin Dana, comme l'accès au microblogging, la mise à jour des statuts, le partage de liens, les tags, l'activité de flux et d'information, comme la gestion d'alertes pour rappeler les anniversaires des salariés. Avec Newsgator, Kevin Dana dit avoir également réussi à personnaliser les messages individuels postés sur le blog en attribuant une étiquette par groupe, de manière à créer des agrégations de posts et éviter ainsi aux utilisateurs de se rendre à la page du groupe dans lequel ils veulent mettre leur contribution. En janvier, Accenture comptabilisait 37.000 visiteurs uniques et 86.000 visites sur les pages SocialSites de la plateforme SharePoint. A la question : « Pourquoi avoir choisi Newsgator parmi d'autres solutions d'intégration de réseaux sociaux au sein de l'entreprise ? » Kevin Dana a répondu qu'il avait préféré Newsgator parce qu'il avait été conçu pour se placer au dessus de SharePoint et non pas à côté. «L'intégration de réseaux sociaux apporte une plus-value précieuse quand elle s'accorde aux objectifs de l'activité», dit-il, "et Newsgator est architecturé pour cela." SharePoint s'ouvre Il y a un an et demi, Edelman, l'une des plus grandes agences de RP du monde avec 3200 employés et 51 bureaux répartis sur la planète, a mis en place simultanément SharePoint 2007 et Newsgator SocialSites pour ses salariés. « Nous utilisions déjà des serveurs d'entreprise Newsgator. Nous avons donc décidé de poursuivre cet investissement en ajoutant leur plug-in de réseautage social, » explique David Rosenberg, vice-président en charge du développement des services Internet / Corporate MIS chez Edelman. Aujourd'hui, chez Edelman 3500 employés ont accès à SocialSites de SharePoint. Le géant des relations publiques utilise aussi SharePoint pour la gestion des documents ainsi que pour son intranet d'entreprise (appelé Fusion) où les clients peuvent télécharger et partager des fichiers. La plate forme extranet, où les clients peuvent communiquer dans un environnement sécurisé, fonctionne également sous SharePoint. David Rosenberg explique que, l'un des apports importants de l'intégration de Newsgator dans SharePoint est d'avoir permis d'enrichir les pages de profil MySites de fonctions sociales. L'agence a ensuite pu créer des groupes et des pages communautaires qui sont reliés entre elles par le biais du microblogging, de tags et via le partage de liens. « L'avantage d'un serveur d'entreprise Newsgator utilisé avec SocialSites, dit David Rosenberg, est que Edelman peut relayer les Feeds externes - de blogs externes (d'employés ou de clients), de comptes Facebook et Twitter - sur le flux des pages MyClient et MySite de SharePoint. «C'est un gain important pour nous car, en tant que cabinet de relations publiques et de communications, nous voulons que les choses soient le plus ouvertes et le plus sociales possibles», a déclaré David Rosenberg. Devancer SharePoint 2010 Edelman et Accenture se préparent activement à une mise à niveau vers SharePoint 2010. Pourtant, même si l'un et l'autre admettent que les outils sociaux de SharePoint 2010 ont été améliorés, ils pensent qu'ils ne sont pas encore au niveau des outils de partage de liens social et de microblogging de Newsgator Enterprise 2.0 et de solutions d'autres vendeurs, y compris la capacité à créer des pages groupes et communautaires, disent ils. Toutefois, Kevin Dana d'Accenture fait remarquer que, bien que les vendeurs de logiciels sociaux fournissent de meilleures fonctionnalités que SharePoint 2010, ils devront tous s'adapter à lui pour survivre. « Ils doivent devancer Microsoft», dit-il. « Quitte à ce que Newsgator soit allégé de certaines caractéristiques nouvellement disponibles dans la version 2010. » (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >