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Développement durable

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(04/02/2009 14:29:59)

Les services informatiques ne sont pas incompatibles avec le développement durable (interview D2-SI)

Quand Laurent Hinault a créé sa société de services en informatique D2-SI en 2006, il a souhaité le faire dans l'esprit du développement durable. Une alliance étonnante pour un milieu, les services informatiques, peu réputé pour son intérêt pour ce type démarche. Encore plus étonnant, la SSII décline le développement durable sous tous ses aspects : environnemental, social, économique et même sociétal. Dans un entretien qu'il a accordé au MondeInformatique.fr, Laurent Hinault raconte sa société d'un nouveau genre. Pour commencer, le jeune dirigeant rappelle que le métier de D2-SI est bel et bien le service informatique. Mais simplement, avec Marc Roudier, co-fondateur, ils ont souhaité lui donner du sens. D'abord en accompagnant les ingénieurs recrutés dans leurs projets professionnels. Comme les deux fondateurs, les employés de la SSII cherchent à la fois à exercer leur métier dans les meilleures conditions et à lui trouver un sens au-delà de la seule compétence technologique ou commerciale. Mais D2-SI réserve aussi une partie de ses revenus et du temps de ses employés pour des projets à vocation sociétale comme l'accompagnement des enfants malades, par exemple. Pour ce qui est de l'environnement, outre que D2-SI le respecte au quotidien, la SSII aide aussi ses employés à le préserver durant leur temps libre. (...)

(28/01/2009 12:11:04)

Prodware intègrera le développement durable dans ses applications

Signe des temps, même les prestataires informatiques s'intéressent au développement durable. Ainsi, l'éditeur et intégrateur français d'environnements de gestion Prodware a-t-il décidé de mettre en oeuvre une politique globale en la matière. Pour sa propre stratégie, il vient de recruter Anne Baer au poste de chargée de mission développement durable. Mais il prépare aussi l'évolution de ses applications métiers, notamment conçues pour les PGI de Sage et de Microsoft, afin que d'ici à la fin 2009, elles génèrent des tableaux de bord pour faire le point sur la 'durabilité' des activités des entreprises. « L'une de nos actions va consister à faciliter la génération des bilans carbone. Au lieu de faire la chasse aux factures et autres tableaux Excel renfermant les informations nécessaires à leur élaboration, les entreprises pourront marquer à la base les données saisies dans leur PGI pour les exploiter le moment voulu », explique Philippe Bouaziz, président de Prodware. Certes, seules quelques entreprises ont aujourd'hui l'obligation légale de faire le point sur leur consommation énergétique et leurs émissions de gaz à effet de serre. Mais la loi dite du Grenelle 1, votée en 2008, envisage déjà l'extension progressive de ce devoir à d'autres structures, notamment celles qui comptent plus de 250 collaborateurs d'ici à la fin 2013. Prodware se prépare aussi à l'explosion du marché du bilan carbone en tant que prestataire de services. Dans le courant de ce semestre, certains de ses consultants seront formés par l'Ademe (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) à la certification de ces bilans carbone d'entreprise. Ne pas se cantonner au bilan carbone Mais Prodware ne souhaite pas se limiter au bilan carbone, ni même au volet environnemental du développement durable. Pour Philippe Bouaziz, « Le développement durable touche à de nombreux autres domaines parmi lesquels on peut citer l'équité salariale, l'égalité entre hommes et femmes ou encore les processus d'achat.» Afin de mettre à la disposition des entreprises un ensemble de critères à partir desquels elles vont pouvoir marquer leur données, Prodware se base sur la Global reporting initiative. Créé en 1997, ce référentiel, non contraignant, a été conçu pour aider les entreprises à évaluer la performance de leur activité en termes économiques, environnementaux et sociaux, à travers six grandes familles d'indicateurs : économie, environnement, droits de l'homme, emploi, relations sociales et travail, responsabilité du fait des produits, social. Les premiers tableaux de bord orientés vers le développement durable seront disponibles dans certaines applications de l'éditeur dès le mois de février prochain. Dans le courant du deuxième trimestre, ce sera au tour de la plupart des indicateurs de la GRI d'être intégrés. Et fin 2009, l'ensemble des offres verticales de l'éditeur auront leurs indicateurs sectoriels et métiers. L'une des prochaines évolutions des logiciels de Prodware dans le sens d'une meilleure prise du développement durable interviendra suite au vote de la prochaine loi sur les nouvelles régulations économiques (NRE). Selon Prodware, le nouveau volet d'obligations qu'elle comprendra devrait inclure des notions de développement durable. Toutefois, aucun agenda n'a encore été fixé par le gouvernement pour son examen. (...)

(27/01/2009 16:47:08)

Craig Barrett prendra sa retraite d'Intel en mai prochain

Après 35 ans de bons et loyaux services chez Intel, Craig Barrett, 69 ans, prendra sa retraite en mai prochain. Actuellement président du conseil d'administration, il a occupé divers postes de management chez le fabricant de microprocesseurs, dont celui de CEO entre 1998 et 2005. Il avait ensuite souhaité s'éloigner des problèmes du quotidien, laissant son rôle à Paul Otellini, afin de se consacrer à des projets d'émancipation des pays émergents grâce aux nouvelles technologies de l'information. Au dernier Intel Developer Forum, Craig Barrett avait ainsi exhorté les développeurs à « prendre part à la solution ». Et au dernier Consumer Electronics Show (CES de Las Vegas), il a lancé l'initiative Small Things, qui explique comment de petits pas peuvent aider les enfants des pays pauvres. Cela peut passer par le micro-crédit (Craig Barrett met en avant Kiva.org), mais le premier exemple d'un tel petit pas figure en une du site smallthingschallenge.com : pour chaque clic sur le bouton de don, Intel s'engage à verser 5 cents. (...)

(27/01/2009 12:27:19)

La fondation Bill et Melinda Gates alloue 255 M$ à l'éradication de la polio

La fondation Bill and Melinda Gates vient d'attribuer un don de 255 M$ au Rotary International pour que celui-ci poursuive son effort d'éradication mondiale de la polio. Le Rotary dispose désormais d'un total de 555 M$ pour mener à bien son action. Malgré une forte régression, la maladie continue d'atteindre quelques milliers de personnes chaque année et reste endémique en Afghanistan, en Inde, au Nigeria et au Pakistan. Bill Gates, libéré depuis l'été dernier de la charge de diriger Microsoft, est désormais davantage engagé dans des actions caritatives au travers de la fondation qui porte son nom et celui de son épouse. Il a ainsi annoncé ce don de 255 M$ à l'occasion de l'assemblée internationale du Rotary International de San Diego. La fondation s'intéresse entre autres à la santé et, en dehors de la polio, a octroyé des subventions à des associations s'occupant du sida, de la malaria, de la pneumonie et des soins maternels et infantiles. (...)

(22/01/2009 17:37:19)

Les TIC peuvent réduire l'empreinte carbone des autres secteurs de 7,8 milliards de tonnes

C'est presque en catimini que le monde des réseaux et des télécoms se réunit cette semaine à Paris autour de la thématique du développement durable. La conférence Green Telco World Congress a ouvert ses portes mercredi 21 janvier non loin du cour Saint-Emilion, à Paris. Luis Neves, vice-président 'corporate responsibility' de Deutsche Telekom, mais aussi président de la Global e-sustainability initiative, a ouvert le bal avec un constat qui bouscule les idées reçues. Les TIC polluent, certes, mais elles représentent aussi le meilleur moyen pour tous les autres secteurs d'activité de réduire leurs émissions de CO2. Le Gartner a estimé à 2% la contribution du secteur des TIC aux émissions mondiales de gaz à effet de serre. Selon la Gesi, elle pourrait monter jusqu'à 3% en 2020. Mais voilà le credo de Luis Neves et de son association : pourquoi ne pas agir sur les 98% restant, et ce, en utilisant les TIC à meilleur escient ? Pour appuyer son point de vue, la Gesi a rendu public l'an dernier, avec le Climate group, un rapport intitulé 'Smart 2020 : enabling the low carbon economy in the information age'. Celui-ci fait le point sur la pollution engendrée par l'industrie des TIC. Mais il établit également la façon de réduire l'empreinte carbone mondiale grâce aux TIC, en se projetant jusqu'en 2020. Résultat : Les TIC peuvent faciliter les réductions d'émissions de CO2 dans tous les secteurs, dans le monde entier, à hauteur de 15%, soit près de 8 milliards de tonnes. Des bâtiments intelligents et une chaîne logistique optimisée [[page]] Le contrôle de la déforestation et de la reforestation serait le premier bénéficiaire de l'utilisation d'outils numériques avec une diminution de 5,86 Md de tonnes de gaz à effet de serre. Mais la Gesi a identifié quatre cibles qui réunissent trois critères essentiels pour son industrie : la réduction potentielle de l'empreinte carbone, une opportunité de marché et, enfin la faisabilité. Ces cibles sont les bâtiments intelligents, des moteurs industriels optimisés, des réseaux électriques intelligents et une chaîne logistique optimisée. « Nous ne sommes ni un lobby, ni un groupe de travail technologique, rappelle Luis Neves à propos de la Gesi. Notre rôle est de faire comprendre comment les TIC peuvent accompagner toutes les autres industries à progresser en matière de développement durable. » L'association s'intéresse d'ailleurs à ce dernier au travers de ses trois volets : environnemental, bien sûr, mais aussi social et économique. La Gesi compte 26 membres parmi lesquels Alcatel-Lucent, AT&T, BT, France Telecom, HP, Microsoft, Motorola, Nokia, Sun, mais aussi le WWF et le Carbon disclosure project. Elle est par ailleurs partenaire avec plusieurs émanations de l'ONU, le World business initiatives for sustainable development, World Resources. « Au départ, nous étions très centrés sur l'Europe, raconte Luis Neves, mais aujourd'hui nous nous ouvrons au reste du monde. Nous préparons un document pour une politique globale en la matière et dès qu'il sera prêt, en mars, nous commencerons une tournée auprès des gouvernements américain et européen. Puis, j'irai en Chine en février. Aujourd'hui, personne ne met les TIC au programme de l'environnement. Or, il faut que les politiques prennent conscience qu'il faut le faire. Et vite. » (...)

(21/01/2009 15:41:07)

L'Efrei forme une soixantaine de chômeurs aux métiers de la BI

Période de crise ou pas, les entreprises sont toujours demandeuses d'outils qui les aideront à mieux analyser leurs activités. Mais les spécialistes de la BI (Business Intelligence- informatique décisionnelle) sont trop peu nombreux pour répondre à l'augmentation de la demande. Pour inverser la tendance, l'Efrei (Ecole française d'électronique et d'informatique) a décidé d'assurer la formation d'une soixantaine de demandeurs d'emploi à ces métiers avec le concours de Pôle emploi (qui réunit désormais Assedic et ANPE) et de l'éditeur d'outils analytiques SAS. Le programme est ouvert à tout demandeur d'emploi inscrit, ayant droit à l'Are (Aide de Retour à l'Emploi) et possédant. une expertise métier et/ou informatique. Les candidats - de niveaux Bac+2 (BTS DUT - DEUG), Bac+3 et 4 (Licence - Maîtrise) ou Bac+5 (DESS - DEA - Grande école - pourront postuler en envoyant lettre de motivation et CV par courriel à l'adresse topp@efrei.fr. Entièrement prises en charge par les ex Assedic, les sessions démarreront à partir du mois prochain à raison de 430 heures sur trois mois. A la clé, une place en SSII Les participants pourront intégrer une équipe projet d'une des SSII partenaires dès la fin du programme : Business & Decision, Umanis, Sopra group, Lincoln, Odesys, Groupe HLi, Acane Consulting ou Micropole Univers. Les salaires bruts iront de 30 à 40K€/an, suivant l'expérience et la formation initiale. (...)

(15/01/2009 13:24:38)

Nathalie Kosciusko-Morizet succède à Eric Besson contre toute attente

Nombreuses étaient les rumeurs sur le nom du successeur d'Eric Besson au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique. Finalement, Nicolas Sarkozy joue la carte de la surprise en nommant Nathalie Kosciusko-Morizet, que personne n'avait pressentie à ce poste. Jusqu'à présent secrétaire d'Etat chargée de l'Ecologie, maire de Longjumeau et secrétaire générale adjointe de l'UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet ne s'est jamais fait remarquer par ses prises de position sur quelque sujet concernant l'IT. De fait, son engagement politique s'est invariablement concentré sur les questions environnementales, auxquelles elle affirme s'être intéressée très tôt. Après être passée par Polytechnique, elle intègre en 1999 la direction des relations économiques extérieures, pour travailler sur l'environnement. Le même thème lui permettra de rejoindre le cabinet du Premier ministre Jean-Pierre Raffarin en 2002, au poste de conseillère technique, puis d'intégrer le secrétariat national de l'UMP l'année suivante, et enfin de seconder Jean-Louis Borloo au ministère de l'Ecologie en 2007. En choisissant de placer NKM au secrétariat d'Etat à l'Economie numérique, le chef de l'Etat pourrait logiquement vouloir diriger l'action de ce maroquin vers davantage de Green IT. La soeur de Pierre Kosciusko-Morizet, patron de Priceminister, devra néanmoins se pencher sur les dossiers laissés ouverts par son prédécesseur, Eric Besson. A commencer par la traduction en actions concrètes des mesures contenues dans le plan France numérique 2012. (...)

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