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Développement durable

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(31/01/2011 10:42:26)

Greenbook, un réseau social écolobobo

Le Fonds mondial pour la nature, le WWF, s'est associé à Sony Europe pour lancer en septembre dernier le défi en ligne Open Planet Ideas, destiné à trouver des idées pour changer la fonction des technologies existantes, afin qu'elles soient utiles pour la planète. Les candidats, amateurs ou professionnels, pouvaient soumettre leurs idées sous forme de texte, de vidéo ou de photo jusqu'en janvier dernier, sur le site. Les membres de la communauté Internet pouvaient également commenter et même participer à améliorer les idées des autres.

Parmi les quelque 400 projets mis en ligne, c'est finalement Paul Frigout, et son Greenbook, qui a remporté le premier prix. Ce réseau communautaire écolo "repose sur l'utilisation de technologies de géo-localisation et de jeu en réseau pour créer une nouvelle forme de mobilisation éclair spontanée, bénévole et informelle", expliquent les organisateurs du concours. Le logiciel imaginé par le lauréat sera développé par plusieurs équipes spécialisées et professionnelles, notamment de chez Sony.

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(07/01/2011 16:10:10)

La SNCF soigne son image verte avec l'éco-mobilité

Jeudi 6 janvier 2011 au soir, la SNCF a organisé sa manifestation annuelle au Carrousel du Louvre, les « Rendez-vous clients ». Celle-ci vise à présenter les innovations de services de l'opérateur ferroviaire historique. Pour 2011, la tonalité était très « développement durable » grâce à de nombreux projets dont beaucoup s'appuyaient sur l'IT. Les cadres dirigeants se sont succédés pour les présenter, notamment Jean-Louis Jourdan, directeur du développement durable de la SNCF. Guillaume Pépy, président de la SNCF, a fait une courte apparition. L'enjeu pour la SNCF est de traiter « l'éco-mobilité » sur la totalité du trajet, en porte-à-porte et pas seulement sur la seule partie ferroviaire gare-à-gare. « La SNCF a la chance d'être une solution au problème du CO² et pas une cause » comme a souligné l'animateur de la soirée.

Certains projets sont purement industriels et ne comportent une part informatique que, au mieux, sous la forme de logiciels embarqués pour optimiser le fonctionnement électromécanique. On peut citer ainsi Plathée, une locomotive expérimentale hybride diesel/électricité/pile à combustible. Un programme de recherche et développement est également mené avec l'université de Versailles Saint-Quentin sur l'optimisation du pilotage de la consommation électrique assistée par logiciel.

D'autres projets concernent des services connexes, comme le panier fraicheur (des légumes de petits producteurs locaux) mis à disposition en soirée pour une commande en gare le matin. Certains sont juste une amélioration du service normal, comme la mise en place des autoroutes ferroviaires. D'autres concernent juste des pratiques internes, comme l'amélioration des processus d'achat pour favoriser des « achats responsables et solidaires ». Mais beaucoup des projets ont une dimension informatique qui leur est fondamentale.

Optimiser l'usage de la voiture

Ainsi, l'optimisation de l'usage de l'automobile est devenu un axe majeur pour la SNCF : 9 utilisateurs sur 10 sont seuls dans leur véhicule, occupent de la place sur la route mais aussi dans les parkings saturés des gares et polluent de fait beaucoup plus que nécessaire. Malgré tout, les trajets départ-gare ou gare-destination ne peuvent souvent se faire qu'en automobile. La SNCF va ainsi multiplier les projets pour faciliter et susciter le co-voiturage mais sans pour autant sortir de son métier en opérant elle-même un service. L'entreprise nationale s'est ainsi associée au service Greencove, déclaré partenaire de Transilien (SNCF Proximité). Le service Greencove est en cours d'intégration au site web de Transilien. En gare, des écrans vont présenter les listes d'automobiles disponibles pour un trajet en co-voiturage avec les précisions nécessaires (notamment le trajet) et un code-barre scannable. En flashant celui-ci avec son smartphone, un demandeur de trajet pourra être mis en relation aussitôt avec le chauffeur.

En Languedoc-Roussillon ou à Pau notamment, des offres de partage d'automobiles (sur le modèle de l'Autolib' parisienne) sont intégrées à une offre de transport globale comprenant aussi le train voire les vélos partagés et gérée avec une identification unique du voyageur.

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Le développement durable, c'est aussi mieux s'occuper des personnes en difficulté, notamment les handicapés. Un boitier intégré à des panneaux d'information issu de cinq ans de recherche et développement va bientôt transmettre en Bluetooth aux smartphones de malvoyants les textes informatifs sous forme de synthèse vocale. Le web est aussi mobilisé au service du développement du transport éco-responsable : la SNCF a mis en place un site web destiné aux enseignants et comportant des supports pédagogiques qui ont été téléchargés 75 000 fois en six mois.

Un éco-calculateur automatique

Enfin, en prolongation de l'annonce effectuée l'an passé par Guillaume Pépy, le projet CO²Go mené en partenariat avec le MIT (Massachusetts Institute of Technology) poursuit son développement. Cet éco-calculateur se présentera sous la forme d'un gadget pour smartphone. Il utilisera les fonctions de GPS et d'accéléromètre du terminal pour calculer la distance en reconnaissant automatiquement le mode de transport (marche, course, vélo, voiture, train...). Il calculera le CO² produit pour un déplacement, qu'il comparera aux performances d'autres utilisateurs pour un déplacement similaire, et permettra de partager les « bons plans » d'optimisations des trajets entre utilisateurs via un réseau social dédié. Actuellement, CO²Go existe en version alpha. Une version béta sera disponible au printemps 2011. Pour être béta-testeur, il convient d'envoyer un SMS au 31000 avec le texte CO2[espace][numéro de portable sur dix chiffres].
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(22/11/2010 12:20:18)

IBM en tête du Green500

Tandis que la Chine a pris la tête de la liste mondiale des supercalculateurs les plus puissants, l'Américain IBM s'est de son côté distingué dans la catégorie des systèmes présentant la consommation d'énergie la plus efficace par rapport à leur puissance de calcul. La prochaine génération de Blue Gene d'IBM, le supercalculateur Blue Gene/Q, arrive à la première place du Green500 publié la semaine dernière.

Le Blue Gene/Q est 165% plus efficace que le supercalculateur chinois Tianhe-1A qui occupe la première place du Top500 publié mi novembre. Et il est 77% plus efficace que le système qui le suit immédiatement au Green500, le Tsubame 2.0 de l'institut de technologie de Tokyo. En termes de données brutes, il a été constaté que le Blue Gene/Q exécutait 1,684 megaflops par watt, alors que le Tsubame 2.0 affiche 948 megaflops par watt. A la troisième place du classement figure encore un système américain. Il s'agit de l'EcoG du NCSA (National Center for Supercomputing Applications), avec 933 megaflops par watt.

1 milliard de watt d'ici dix ans si rien n'est fait


Cette liste fait apparaître que les supercalculateurs les plus puissants ne font pas nécessairement le meilleur usage de l'énergie consommée. Au chapitre des performances pures, le pic de performance atteint par le Blue Gene/Q, par exemple, plafonne à 653 teraflops en comparaison des 2,57 petaflops du Chinois Tianhe-1A. En revanche, l'efficacité énergétique de ce dernier ne dépasse pas les 635 megaflops par watt, ce qui le place à la onzième place du Green500.

L'idée de ce classement a pris forme en 2005, à l'instigation du chercheur en informatique, Wu-chun Feng, directeur du laboratoire Synergy de l'Université Virginia Tech. Deux ans plus tard, la première liste sortait, avec l'objectif d'attirer l'attention sur l'augmentation de la consommation d'énergie des supercalculateurs. Wu-chun Feng considère que l'efficacité énergétique doit être prise en compte dans les contraintes de conception des systèmes. Dans une interview accordée à nos confrères d'IDG News Service, le chercheur signale qu'à la fin de la décennie, si la conception des systèmes ne change pas de trajectoire, le supercalculateur de pointe consommera un gigawatt (un milliard de watts). Par ordre de comparaison, l'état de New-York a lui seul consomme une moyenne de 62 gigawatts par an.

IBM exploite sa puce PowerXCell


Le Green500 est mis à jour deux fois par an. La participation des candidats est volontaire et le classement repose sur le nombre d'opération en virgule flottante exécutées par watt d'électricité. Seuls les ordinateurs figurant dans le Top500 sont pris en compte.

La dernière liste montre que l'utilisation des processeurs graphiques (GPU) constitue une façon d'augmenter la puissance qui se trouve être relativement peu gourmande en énergie. Ainsi, quatre des dix premiers utilisent des GPU Nvidia, ce qui aurait été impensable il y a quelques années.

Le Blue Gene/Q d'IBM n'intègre pas de GPU. Il s'appuie sur un autre type de carte d'accélération, basée sur sa puce PowerXCell. Pour le professeur Wu-chun Feng, 2010 peut être considérée comme 'l'année de l'accélérateur'. « C'est une plateforme informatique alternative qui convient bien à des tâches différentes. L'autre avantage, c'est qu'il se trouve qu'elle présente un très bon rendement énergétique ».

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(17/11/2010 12:45:39)

Les entreprises considèrent le Green IT comme un réel enjeu

La SSII Devoteam a livré les résultats de sa seconde enquête européenne consacrée au Green IT. Cette année, 134 entreprises et organisations ont répondu depuis 11 pays européens aux questions mises en ligne par le groupe sur son site. Même si quelques répondants (14%) considèrent que le Green IT n'est qu'un prétexte à la mode pour réduire les coûts, l'immense majorité d'entre eux (67%) l'envisage comme un enjeu important pour le développement durable et un moyen de répondre aux attentes des clients. Par ailleurs, le  datacenter concentre toute l'attention des directions informatiques. En effet, 65% des entreprises connaissent la facture électrique de leurs datacenters contre moins de 40% pour les postes de travail et les infrastructures réseaux. Reste que la situation a très peu évolué depuis l'année dernière : seules un quart des directions informatiques payent elles-mêmes leur facture énergétique. Pourtant, c'est lorsque la DSI informatique paye la facture électrique que le plus d'initiatives sont lancées. L'enquête montre 35% d'initiatives supplémentaires lancées dans ce cas.

Poste de travail : priorité aux actions à faible coût

Les actions telles que la sensibilisation (55% des utilisateurs) et le paramétrage économique des postes (51% des sondés) apparaissent, en outre, comme largement menées dans les organisations interrogées. S'agissant des bonnes pratiques mises en place pour les impressions, les personnes sondées estiment, en moyenne, imprimer 13 pages par jour. La généralisation des imprimantes multifonctions arrive en tête (62%). L'enquête montre également que les solutions de réunion à distance sont devenues  incontournables. L'utilisation d'outils destinés à réduire les déplacements est en augmentation de près de 50% depuis l'année dernière : ainsi, 56% des entreprises interrogées indiquent utiliser des solutions de vidéoconférence, 34% s'appuient sur du webmeeting et 24%, sur de la téléconférence. Mais, si travailler en dehors de son bureau est technologiquement possible, pourtant, seulement 16% des employés télétravaillent en raison de freins sociaux. Néanmoins, les entreprises s'ouvrent progressivement au télétravail. Le pourcentage de répondants l'ayant intégré dans les contrats et conventions a doublé, passant de 30% en 2009 à 67% cette année.

Le bilan carbone à l'arrêt faute de réelles évolutions règlementaires

La part des entreprises à avoir réalisé un bilan carbone n'a pas évolué depuis 2009 et se stabilise à 32%.Cependant, les disparités sont considérables au sein de l'Europe. Le Royaume-Uni fait figure de bon élève avec plus de 90% des entreprises interrogées à avoir conduit un bilan carbone. Ce fossé s'explique par l'arrivée, depuis avril 2010, d'une législation contraignante : le Carbon Reduction Commitment, un système de bourse carbone pour les entreprises.

Enfin, seulement 21% des organisations connaissent le volume de leurs déchets électroniques et suivent leur fin de vie. Outre l'impact que ces déchets ont sur l'environnement s'ils ne sont pas traités dans des filières conformes aux normes en vigueur, ils constituent un risque important d'image pour l'organisation.



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(09/11/2010 10:45:53)

Un guide informatique pour acheter plus vert

Construire un référentiel de produits et de services éco-responsables, tel est le but de greenflex, une société qui se définit elle-même comme une SSDD (société de services en développement durable). Elle a ainsi récemment mis en ligne la version bêta du site ecoguide qui se positionne comme un guide « achats responsables »« Nous référençons actuellement 800 références et 500 marques dont la moitié dans l'informatique », précise Jérôme Soisitier, le co-président de Greenflex. 

Pour faire entrer un produit dans son catalogue, la SSDD s'assure qu'il remplisse plusieurs critères. Elle prend en compte le fait qu'il ait reçu différents labels de l'industrie (Energy Star, Epeat...), la façon dont il est fabriqué ou distribué, ou encore le niveau de maturité du fabricant en matière développement durable... A l'issu de ce passage au crible, deux notes sont attribuées au produit : l'une mesure l'engagement de l'entreprise en matière de développement durable, l'autre le respect environnemental du produit. 
L'ensemble des fiches techniques constituées, dans lesquelles figurent également les caractéristiques techniques des produits, est accessible via un moteur de recherche ou à travers différentes rubriques (périphériques, systèmes d'impression, matériel informatique...). 

Un outil qui se veut indépendant des fournisseurs

Si l'accès à l'ecoguide de greenflex est totalement gratuit, la SSDD n'en poursuit pas moins un but commercial. Opérationnelle depuis environ un an, greenflex propose en effet des prestations d'audit et de conseil en développement durable, une aide à la mise en oeuvre d'une politique d'achat responsable, et une offre de financement. Cette dernière est accompagnée d'outils de pilotage qui permettent aux entreprises de mesurer l'écologie et l'économie de leurs achats. « Nous ne nous faisons en aucun cas rétribuer pour faire apparaître un produit sur nos pages. Seul compte le fait qu'il remplisse nos critères de sélection », tient à préciser Frédéric Rodriguez, l'autre co-président de greenFlex. En revanche, la possibilité pour une entreprise de gérer ses achats à travers un espace personnalisé sur le site est payante. Plus précisément, cette prestations sera accessible aux entreprise étant entrées dans une relation contractuelle avec greenflex intégrant un ou plusieurs autres de ses services. 

A terme, l'entreprise souhaite également mettre en place une place de marché où fabricants ou distributeurs et clients pourront se rencontrer. Là encore, greenflex indique ne pas avoir l'intention de percevoir de commission sur les achats qui seront réalisées via son outil. Ces achats devront toutefois être financées par ses contrats de leasing.
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(22/10/2010 16:50:49)

L'EPITA se penche sur les logiciels et le développement durable (MAJ)

Pour son deuxième millésime, la conférence Green IT de l'EPITA s'est focalisée sur les logiciels orientés vers le développement durable. Plusieurs tables rondes ont eu lieues sur des thèmes variés. La première a concerné les programmes capables de recenser les émissions carbone. Simple sur le papier, mais la pratique n'est pas forcément une sinécure. Quel outil choisir, doit-on passer par des prestataires extérieurs ? Quels sont les critères à prendre en compte, comment collecter l'information ? Des questions que se sont posées par exemple la communauté d'agglomération de Val et Forêt qui regroupe les villes d'Eaubonne, Ermont, Montlignon, Plessis-Bouchard et Saint-Prix. Cette dernière souhaitait disposer d'un outil pour connaître son empreinte carbone. Le syndicat intercommunal a fait confiance à la solution Verteego, mais comme le précise Laura François, chargé de mission auprès de la Communauté d'agglomération de Val et Forêt « nous avons acquis une compétence et non une solution ». Les agents ont donc été formés, mais piloteront eux-mêmes le projet. Une responsabilité qui demande un effort de communication et d'informations auprès des différents services pour saisir les données sur la plate-forme en ligne. Il reste maintenant à passer à l'étape suivant, définir un plan d'action pour diminuer ce bilan carbone.

Une valeur ajoutée pour les achats responsables

La deuxième table ronde a réuni des acteurs des logiciels d'achat et un client en la personne d'Olivier Veilhan de Bouygues Telecom qui a piloté la mise en place d'un programme pour l'évaluation des fournisseurs. L'opérateur travaille avec 5000 prestataires pour un volume d'affaires de 2 milliards d'euros par an. Il a fait confiance à Ecovadis, jeune société née en 2007, qui propose un programme Achats Responsables, qui référence plusieurs indicateurs allant du travail des enfants (qui reste l'élément discriminant absolu en matière de relation avec les fournisseurs) à l'efficacité énergétique. Comment cela marche ? Une plate-forme collaborative est mise en place où les fournisseurs répondent à des formulaires sur les différents indicateurs. Interrogé sur la fiabilité d'un tel procédé, Jean Christophe Binetti, gérant de l'activité France de Convis explique qu'il est nécessaire d'envoyer des experts contrôler in situ la véracité des informations. Alain Veilhan rappelle que « les prestataires ont tout intérêt à jouer le jeu pour deux raisons, cela les fait progresser et nous avons étendu ce système à l'ensemble du groupe Bouygues et autres opérateurs via notre fédération ». Ces logiciels permettent aussi pour les fournisseurs de connaître leur position par rapports à leurs concurrents et de l'améliorer en passant à des certifications de type ISO 14 000 ou la dernière en date ISO 26 000 qui prend en compte des éléments environnementaux, éthiques et sociaux.

Un pilotage RSE en devenir

La troisième et dernière table ronde prenait un peu de hauteur pour se concentrer sur les logiciels pour suivre et piloter la stratégie de développement durable de l'entreprise. Isabelle Carcassonne, Business Analytics - sustainable Performance chez IBM définit d'emblée le champs du sujet « il ne s'agit pas de faire du reporting de tels ou tels indicateurs, mais bien d'un projet RSE (responsabilité sociale d'entreprise) qui comprend des éléments de gouvernance, d'éthique, du social (le travail des enfants, mais aussi de la qualité de la formation des salariés, l'effectivité de l'égalité Hommes Femmes dans l'entreprise) et économique ». Hélène Joubert, responsable développement durable chez SAP confirme « la multiplicité des contraintes réglementaires entraîne la mise en place d'un véritable projet RSE et les ERP sont une solution pour piloter cette transformation ». Thomas Couturier d'IHS, société d'analyse et éditeur de solutions logicielles pour les problématiques QEHS (Qualité, Environnement, Hygiène et Sécurité) et développement durable, modère les propos des deux intervenantes en précisant que « les entreprises tentent d'abord de se mettre aux normes sur des problématiques comme l'hygiène et la sécurité pour ensuite ajouter la brique développement durable ». L'ensemble des intervenants s'accordent néanmoins à dire que cela prendra du temps et que les avancées se feront en fonction de la maturité des décideurs.

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