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Développement
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(22/11/2006 18:23:34)
Borland 'CodeGear' annonce JBuilder 2007
A peine annoncée la filialisation de sa division outils de développement sous le nom de CodeGear, Borland annonce comme promis la disponibilité d'une nouvelle version de son IDE Java basé sur Eclipse : JBuilder 2007. Lancée en 1995, la première version de JBuilder était bâtie sur un socle d'intégration écrit principalement en Delphi. Ce socle perdura jusqu'à la version 3 qui avait une réputation d'être plutôt lente et instable. En 1997, la version 3.5 fut la première version basée sur un socle entièrement écrit en Java (PrimeTime). Cet environnement, révolutionnaire pour l'époque, permettait aux développeurs d'ajouter des add-ons (OpenTools) et de personnaliser ainsi leur IDE. JBuilder devint l'environnement de développement Java préféré des développeurs jusqu'à ce qu'un projet Open Source lancé par IBM, Eclipse, vint progressivement grignoter ses parts de marché. Sentant le vent tourner, Borland se raccrocha au train Eclipse en février 2005 en intégrant le board du consortium en tant que Strategic Developer. Fin 2005, Borland annonce qu'il va migrer progressivement JBuilder sur le socle technique Eclipse (nom de code Peloton). Dans le même temps, l'éditeur californien recentre ses activités sur la gestion du cycle de vie des applications (ALM). Face aux mauvais résultats de sa branche IDE, Borland annonce en février 2006 son intention de revendre son activité outils de développement. Neuf mois après, faute de repreneurs valables, Borland décide finalement de filialiser ses outils de développement et annonce la création de la filiale CodeGear qui devrait être opérationnelle début 2007. L'annonce de JBuilder 2007 concrétise donc la logique de migration progressive des outils Borland sur les deux principales plates-formes de développement, Eclipse et Visual Studio. Parmi les nouveautés de cette version, on notera un nouvel assistant de création de projet, un portail centralisé pour le développement collaboratif, l'intégration d'OptimizeIt 2007 for Eclipse (profiling et débogage), un atelier RAD graphique pour le développement d'EJB 3, l'intégration de Together LiveSource pour la modélisation UML. JBuilder 2007 sera disponible en éditions Developer, Professional et Enterprise. (...)
(22/11/2006 18:22:44)Rencontres Développeur Adobe au sommet
C'est au 56ème étage la Tour Montparnasse que s'est tenue la première Rencontre Développeur Adobe ce lundi 20 novembre destinée aux développeurs Java. L'objectif était de présenter le développement d'applications Internet Riches (RIA) avec Adobe Flex. Près de 200 développeurs ont pu assister à une après-midi de présentations autour des technologies Flex, plus particulièrement de Flex 2, annoncé cet été. Thinbault Imbert, développeur, a présenté les fondements d'ActionScript 3 et les nouveautés du langage. Florent Pajani d'Adobe a montré les principes du SDK Flex, les avantages de l'environnement Flex Builder à travers le développement d'une application Flex. Jean-Luc Esser, développeur, est venu parler de Cairngorm, un framework issu des labs d'Adobe permettant de mettre en oeuvre des design patterns pour le développement de RIA. Conçu par l'équipe Adobe Consulting à partir de leur expérience en développement d'application en entreprise (J2EE et .NET), CairnGorm est disponible pour Flex 1.5 et Flex 2. Christophe Coenrats, évangéliste produit Adobe Flex, a, quant à lui, présenté le développement d'applications d'entreprise avec les Flex Data Services, avec notamment l'intégration de J2EE et d'AJAX. Enfin Emmanuel Levi-Valensi de People In Action a conclu l'après-midi en présentant la gestion d'un projet RIA, avec des recommandations pour la réussite d'un projet. En marge des présentations, nous avons pu nous entretenir avec Christophe Coenrats. Apollo, le futur client desktop multiplateforme compatible Flash, PDF et HTML est un enjeu stratégique important. Flex constitue évidemment l'environnement de choix pour développer et déployer des applications Apollo. Actuellement en version alpha privée, on attend une première version ouverte aux développeurs en début d'année 2007. (...)
(22/11/2006 18:21:54)17 millions de développeurs en 2009
17 millions de développeurs en 2009 Selon une nouvelle étude du cabinet Evans Data, la population mondiale des développeurs dépasserait 17 millions en l'an 2009. Dans ce rapport, Global Developer Population and Demographics Report, qui inaugure une nouvelle série d'études démographiques sur les développeurs, Evans Data prévoit pour la population des développeurs une croissance de 46% entre 2005 et 2009. Jusqu'alors, un grand nombre de développeurs professionnels provenaient traditionnellement de la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). En 2007, la tendance va s'inverser et le nombre de développeurs de la région APAC (Asie Pacifique, incluant l'Inde, la Chine et le Japon) dépassera celui de l'Europe. Evans Data estime qu'en 2009, un développeur sur quatre proviendra de la région APAC. Cela correspond à une croissance de la population de 81% de 2005 à 2009 pour la région APAC, alors que dans la même période la croissance en Amérique du Nord ne sera que de 15%. En 2009, le nombre de développeurs chinois dépassera celui des développeurs japonais. Globalement, les Etats-Unis, l'Inde et la Chine conserveront le leadership quant au nombre de développeurs jusqu'en 2009. Cette démographie galopante peut avoir plusieurs explications. Le développement orienté composants, d'une part, facilite l'accès à la programmation. Il permet, d'autre part, une décentralisation des tâches. Le faible coût de la main d'oeuvre dans les pays asiatiques favorise du coup l'offshoring. De plus, dans les pays APAC, le développement logiciel est devenu une priorité. Si l'on rapporte cela à la masse de la population chinoise et indienne, cela fait du monde en perspective ! IDC pour sa part, dans une étude publiée en décembre 2005 (2005 Professional Developer Model), voyait dans la Russie une des populations de développeurs les plus importantes et grandissantes et prévoyait une croissance de 40% entre 2005 et 2008 du nombre de développeurs. De toute évidence, le métier de développeur a encore de l'avenir, même si cela ne se traduit pas de la même manière en Europe et en Asie. (...)
(22/11/2006 15:38:02)La bêta 2 de Flash pour Linux est disponible
Un mois après la première bêta du Player Flash 9 pour Linux, une seconde bêta est disponible sur le site de la R&D d'Adobe. L'éditeur, qui réunissait ses clients en France lundi et en Belgique hier mardi autour de ses solutions professionnelles, en a profité pour réaffirmer son engagement à servir la communauté Linux. Jeff Whatcott, responsable marketing produits d'Adobe, a souligné que Linux était un environnement très délicat à aborder, à cause de ses multiples déclinaisons. Et nous a ainsi fait part de son cas de conscience : « fallait-il livrer la version 8 du Player avec le support de Linux et retarder la version 9 (qui incorpore la v2 de la machine virtuelle ActionScript) ou bien zapper cette version et passer directement au support de Linux dans la version 9 ? » C'est cette dernière option qui a été retenue. Et malgré le projet Tamarin, qui confie justement ActionScript à la Fondation Mozilla, il n'est pas question pour l'instant qu'Adobe aille plus loin, et demande à la communauté Linux davantage que son opinion. (...)
(22/11/2006 13:00:49)Microsoft propose une licence gratuite de l'interface d'Office 2007
Microsoft poursuit sa stratégie de placer Office 2007 au centre des systèmes d'information. L'éditeur de Redmond, après avoir mué son prochain système bureautique en frontal de progiciels (SAP ou EMC Documentum) a décidé d'offrir gratuitement aux développeurs l'interface « Ribbon », ruban en français, de sa suite bureautique. Le ruban constitue une des principales innovations ergonomiques dans l'interface d'Office 2007 qui doit donner un accès simplifié aux fonctionnalités de l'outil (les icônes se modifient en fonction du contexte et des habitudes de l'utilisateur). Microsoft licencie gratuitement tant les fonctionnalités que l'interface, et via un programme dédié, fournira également des guides d'implémentations. Pour y accéder, les ISV (Independant Software Vendor) devront s'enregistrer puis référencer leur projet sur le site l'éditeur. Selon la FAQ Microsoft, le programme donne le droit à ses souscripteurs "d'intégrer à leurs produits enregistrées le comportement ainsi que l'interface d'Office 2007". Pour l'éditeur, officiellement, cette initiative s'inscrit d'abord dans le cadre d'une demande formulée par ses partenaires désirant utiliser Office 2007 comme plateforme de base. Mais il s'agit également de protéger puis de capitaliser sur les innovations très coûteuses, puis en répertoriant et multipliant (et rentabilisant) les programmes centrés sur le système bureautique. L'interface ruban peut en effet être déroutante, et la généraliser dans d'autres logiciels permettra d'y habituer plus vite les utilisateurs... et d'asseoir la domination de Microsoft sur le poste de travail. Seule restriction: "L'interface ne pourra être licenciée pour des applications en concurrence directe avec les cinq modules d'Office (Word, Excel, PowerPoint, Outlook, et Access) qui bénéficient de cette nouvelle interface". (...)
(21/11/2006 18:14:16)Bull devient partenaire de JBoss et renforce ses liens avec Red Hat
Bull et JBoss ont annoncé aujourd'hui un partenariat technologique et commercial mondial afin d'accélérer le développement et le déploiement de solutions middleware open source pour architectures orientées services (SOA). Ce partenariat entre le constructeur français et la filiale de Red Hat vient renforcer les relations entre les deux sociétés: Bull et Red Hat sont partenaires depuis 2000, année où Bull a conclut un accord de distribution mondial de la distribution Red Hat. Les deux sociétés avait déjà conforté leur alliance en 2003 autour des logiciels d'infrastructure, mais aussi des middlewares java libres. A l'époque, Red Hat avait bâti une offre de middleware embarquant certains composants de l'offre du consortium ObjectWeb dont JonAS. Red Hat avait ensuite rejoint ObjectWeb. Dans le cadre de l'accord avec JBoss, Bull va contribuer aux développements de la communauté JBoss sur un mode similaire à celui déjà utilisé pour ObjectWeb , Apache ou Eclipse. Bull indique notamment qu'il va apporter son savoir faire en termes de sécurité et de gestion de processus métier (BPM). Bull va aussi devenir l'un des intégrateurs stratégiques de la suite JEMS (Java Entreprise Middleware Suite) de JBoss, qu'il déploiera sur ses serveurs NovaScale et Escala. Enfin, Bull revendra à ses clients les services de support JBoss. Le constructeur opérera lui-même le support de premier et de deuxième niveau, laissant à Red Hat le soin d'intervenir en niveau 3. Red Hat renforce ses liens avec Objectweb L'accord prévoit aussi un renforcement de l'implication de Red Hat dans ObjectWeb, ce que nous a par ailleurs confirmé Christophe Ney, le responsable de l'architecture au sein du consortium. Red Hat et Bull devraient renforcer leur collaboration à propos du développement et de l'extension d'ObjectWeb (provisoirement ObjectWeb v2). Bull s'engage aussi à travailler sur l'interopérabilité entre la communauté JBoss et le consortium ObjectWeb. "Ce partenariat avec JBoss s'ajoute à notre engagement dans ObjectWeb sur du long terme ; il nous permet de mettre l'accent sur la fertilisation croisée et l'interopérabilité de développements middleware open source", indique ainsi Jean-Pierre Barbéris, le directeur général de Bull Services et Solutions. Pour Christophe Ney, le fait que Bull resserre ses relations avec JBoss n'est toutefois pas de nature à transformer ObjectWeb. En revanche elle consolide le rôle de Red Hat dans le Consortium. Car, selon Christophe Ney, "la technologie J2EE a désormais une importance plus relative que les années antérieures dans les travaux d'ObjectWeb. Désormais, les nouvelles perspectives sont au-dessus du middleware". C'est dans l'interopérabilité des composants au-dessus du middleware que se jouerait désormais la bataille. Nul doute qu'en maintenant un pied dans JBoss et un autre dans Objectweb, Bull se verrait bien jouer le rôle de la Suisse des intégrateurs. (...)
(21/11/2006 13:02:52)JasperSoft connecte iReport à Eclipse
JasperSoft poursuit sa percée dans le décisionnel Open Source en annonçant sa première intégration à Eclipse. S'offrant au passage une porte d'entrée dans l'IDE Open Source le plus convoité actuellement. L'éditeur, qui vient récemment d'établir son QG en Europe (à Dublin), a annoncé la disponibilité de iReport Plug-in for Eclipse, une version de son outil de modélisation graphique de rapport adapté à l'IDE Java. IReport constitue, avec les bibliothèques JasperReport et JasperServer, le fondement de JasperIntelligence, la suite intégrée de reporting de l'éditeur. Selon lui, "les développeurs Java pourront désormais ajouter simplement, via l'éditeur de rapports intégré, des fonctionnalités de reporting élaborées et très graphiques, aux formats PDF, HTML, XLS, CSV, TXT et XML". Notons qu'Eclipse héberge également le projet de reporting BIRT 1.0, qui embarque Eclipse Report Designer, autre module de création et de mise en forme de rapports. (...)
(15/11/2006 17:13:46)Faute de repreneurs valables, Borland filialise ses outils de développement
"Nous avons reçu d'intéressantes offres de la part de potentiels investisseurs, mais nous estimons qu'elles ne reflètent pas la valeur de cette ligne de produits", a déclaré en substance Tod Nielsen, PDG de Borland, écartant tout rachat de ses outils de développement. Les éventuels acquéreurs - Borland parle de cinq sérieuses offres - n'étant visiblement pas à la hauteur des espérances du groupe, Borland s'est finalement décidé à faire de sa branche développement "Developer Tools Group", une filiale. Elle sera rebaptisée CodeGear et devrait être opérationnelle dès le début 2007. Ben Smith, en poste chez Borland depuis un an, assurera les fonctions de PDG. L'éditeur avait annoncé en février son intention de vendre sa division dédiée aux outils de développement. Une initiative attribuée à la rude concurrence des EDI (environnement de développement intégré) tels qu'Eclipse qui, selon lui, érodaient les parts de marché de Jbuilder, son EDI maison. Cette vente devait notamment permettre à Borland de se repositionner sur le marché, plus prometteur, de la gestion du cycle de vie des applications (ALM). La vente de la branche avait, à l'origine, été fixée à septembre 2006. CodeGear sera la marque des EDI de Borland : Developer Studio (Delphi, C++ Builder et C# Builder), Jbuilder, Turbo et Interbase. Borland couvrira désormais les outils ALM. En outre, la nouvelle entité disposera d'équipes opérationnelles et de direction dédiées. Un troisième trimestre encore dans le rouge, les ventes ALM en forte progression Pour son troisième trimestre, clos le 30 septembre, l'éditeur creuse un peu plus ses pertes, à 12,2 M$ contre 5,3 M$ il y a un an. Les activités ALM de Borland ont généré, quant à elles, un chiffre d'affaires de 54,7 M$ sur la période, soit une hausse spectaculaire de 91% par rapport à l'année dernière. Des revenus dopés notamment par les ventes de licences, qui enregistrent une fulgurante progression de 115% en un an, à 29,7 M$. Ce qui représente 60% du CA total du groupe sur la période, à 82,4 M$, en hausse de 21%. Le groupe qui compte bien profiter de son repositionnement dans l'ALM et la séparation ses activités d'EDI (en baisse de 25%, à 15,1 M$ sur la période), prévoit de revenir à la profitabilité en 2007, après deux années de trou noir. (...)
(15/11/2006 11:37:58)Sogeti confie son framework Ajax à ObjectWeb
L'industrialisation d'Ajax vient de faire un grand pas, avec la publication en Open Source du framework Telosys, au sein du consortium ObjectWeb. Des pré-versions étaient déjà disponibles sur le site d'ObjectWeb, mais les deux protagonistes attendaient la version finalisée pour le lancer officiellement. Plus qu'un cadre applicatif, Telosys s'apparente davantage à un outil de développement rapide (RAD), simplifiant la conception d'applications Web dotées d'interfaces riches. Pour rappel, Ajax (Asynchronous Javascript and XML) préconise l'emploi de technologies permettant notamment de rafraîchir les données d'une page sans recharger la page en entier. Développé au sein de la SSII Sogeti, Telosys est désormais officiellement un projet ObjectWeb, donc accessible à tous, sous licence LGPL. Les applications visées par Telosys sont de type client-serveur : il s'agit d'accéder via des navigateurs Web à des applications d'entreprise, transactionnelles, avec une logique de type succession d'écrans. Le framework fournit ainsi des composants serveurs, clients et des outils de génération de code. « La solution a un aspect autosuffisant, indique son créateur, Laurent Guérin, responsable du pôle de compétences NTIC région Ouest de Sogeti. Il s'agit d'apporter au développeur une solution prête à l'emploi, légère, avec un seul fichier de déploiement, qui couvre tous les aspects techniques nécessaires. » Laurent Guérin pense avoir réussi à retrouver l'esprit du RAD - pour ce qui est de l'efficacité, pas de la méthode. Par rapport aux frameworks existants, Laurent Guérin pense que Telosys a une carte à jouer importante grâce à cette intégration des parties cliente et serveur, plus la capacité de générer un Javascript propre, qui assure, dit-il, de bonnes performances, et devrait simplifier la maintenance : « le dialogue est complètement encapsulé, c'est transparent pour les développeurs ». Intégrée, la solution est toutefois modulaire. Telosys fournit par exemple un outil pour gérer la persistance des données, « mais vous pouvez très bien l'extraire pour utiliser la solution de votre choix, Hibernate par exemple ». Etre plus visible au sein de l'Open Source Telosys a commencé à germer en 2003, quand Sogeti a dû migrer un logiciel de gestion d'atelier chez un client, en recourant à du XML sur HTTP afin de diminuer les coûts de déploiement liés aux clients lourds. Il y avait 210 écrans à migrer, ce qui a conduit la SSII à développer un socle technologique pour accélérer la migration. « Nous nous sommes aperçus qu'en le rendant plus générique, ce socle pouvait répondre aux besoins d'autres projets, raconte Laurent Guérin. Entre les clients qui manifestaient leur intérêt et le phénomène Ajax qui prenait de l'ampleur, il nous a semblé évident de le mettre en Open Source. » Cette ouverture à l'Open Source répond également à une volonté politique, de la part de Sogeti. Il s'agit d'une part de s'engager davantage dans l'Open Source, d'y être plus visible, et pas seulement en tant qu'utilisateur mais aussi en tant que contributeur. Une image importante à avoir face à des collectivités locales, notamment, très pointilleuses sur le sujet. D'autre part, explique encore Laurent Guérin, « cela permet de fédérer des ressources en interne dans un projet qui a de la visibilité, c'est motivant ». Enfin, cela permet aussi aux entreprises utilisatrices de la solution de s'impliquer dans son développement. Même si, répète Sogeti, l'offre est utilisable par des informaticiens non experts. Quant au choix d'ObjectWeb, il s'est fait assez naturellement, explique Sogeti : « c'est un consortium majeur au niveau européen, et il est spécialisé en J2EE ». Telosys a été testé avec succès sur la plupart des serveurs d'applications, mais il est probable que sa migration chez ObjectWeb favorisera des liens plus étroits avec Jonas. (...)
(14/11/2006 16:10:13)Java Open Source : IBM aurait préféré Apache
Jamais content. Après avoir appelé de ses voeux le passage de Java en Open Source, IBM est bien forcé d'applaudir à l'annonce faite par Sun lundi matin. On se souvient de la lettre ouverte datée de 2004, où un vice-président d'IBM, Rod Smith, demandait à Sun de participer à une organisation indépendante autour d'un Java Open Source. Mais voilà que le même Rod Smith critique le passage de Java sous licence GPL, prétextant, en substance, que Sun aurait mieux fait de soutenir le projet Harmony en cours au sein de la Fondation Apache, plutôt que de lancer un projet parallèle. « IBM supporte toutes les licences Open Source approuvées par l'OSI, écrit Rod Smith. Cependant, il existe déjà un effort Open Source important pour travailler avec Sun à créer une implémentation compatible Java de Java SE au sein de la Fondation Apache : le projet Harmony. En outre, il y a eu récemment des annonces de sociétés très actives dans le monde Java ME [Micro Edition, pour les terminaux mobiles, NDLR] disant qu'elles allaient verser du code à Apache afin d'y lancer des projets Java ME. » Et d'appeler ensuite Sun à revoir son modèle de gouvernance, ou à défaut sa licence : « A la lumière des projets Apache, nous avons indiqué à Sun que nous étions persuadés qu'il vaudrait mieux que Sun confie ses technologies Java à Apache plutôt que d'entamer un autre projet Java Open Source, ou au moins qu'il rende sa contribution disponible sous une licence compatible Apache afin d'éviter une fragmentation de la communauté Java Open Source [...]. » A la Fondation Apache, on n'en demande pas tant. Jim Jagielski, responsable des relations publiques de la Fondation, explique qu'Apache n'est pas contre les dons de code, mais que, « comme l'indique la FAQ du projet Harmony, même si nous apprécions toutes les contributions, c'est à la communauté de développement de voir ce qui fait sens ». Quant au leader du projet, Geir Magnusson, il apprécie plutôt cette multiplication des projets Open Source. (...)
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