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(30/08/2006 18:15:32)

L'observatoire Comm'Back trace un portrait morose du secteur informatique en France

L'observatoire du marché informatique réalisé par le cabinet Comm'Back trace un portrait relativement contrasté du marché français avec notamment un fort dynamisme du secteur des outils de gestion d'infrastructure (SGBD, administration de réseaux et de systèmes...), une stagnation des grands projets applicatifs et de gestion d'entreprise, et un recul général des investissements en termes de matériel et de réseaux. L'étude, réalisée sur le premier semestre 2006, porte sur un échantillon de 33000 entreprises de plus de 50 salariés. Dans le domaine des applicatifs métiers, ce sont les progiciels de gestion intégrés (PGI) qui tirent le marché avec une progression de 11% par rapport à l'an passé. Cette progression des PGI se fait au détriment des progiciels indépendants avec notamment un fort recul des outils de gestion et de comptabilité (-20%), de gestion financière (-36%), et de ressources humaines (-36%). Pour ce qui est de la gestion d'entreprise, Comm'back note une augmentation sensible des projets de gestion de la relation client (+21%), de la gestion de projets (+17%), mais une quasi-stagnation des projets en décisionnel. Pour le matériel, l'ambiance générale est morose, à l'exception des outils de mobilité. Comm'back note ainsi une chute de 47 % des ventes de systèmes Unix et un recul de 21% des serveurs Windows entre le premier semestre 2005 et le premier semestre 2006. Des baisses équivalentes sont constatées sur le marché du stockage ou de l'impression. Le marché de la micro serait quant à lui en recul de près de 25% sur un an. De même Comm'back note une baisse générale du nombre de projets dans le domaine des réseaux locaux, et dans les projets Internet. Côté services enfin, les activités traditionnelles de maintenance ne se portent pas bien mais les offres de formation, bureautique et réseaux en particulier, se développent bien. (...)

(30/08/2006 18:20:31)

WebObjects bascule dans l'open source

Après dix ans d'existence, WebObjects, premier serveur d'applications orienté web racheté -et porté sur Java- par Apple à NeXT, devrait basculer dans l'open source dès sa prochaine version 5.4 (prévue pour l'année prochaine). L'équipe de développeurs travaillant sur le projet a affirmé sur une mailing-list qu'Apple se bornera désormais à faire évoluer l'environnement d'exécution (Runtime), et non plus le framework, alors livré à la communauté open source. Selon eux, en offrant WebObjects à l'open source, Apple compte s'appuyer sur les méthodes communautaires pour accélérer les développements du serveur d'applications, en proie à la stagnation chez Apple. Selon des sources proches, seule une petite équipe s'attelait au projet chez l'éditeur. En décembre 2005, WebObjects était 10e du classement annuel des serveurs d'applications réalisé par BZ Research, avec une part de marché de 1,8% (à comparer aux 37% d'IBM et de JBoss et aux 27% de BEA et Oracle). Apple compte collaborer avec la communauté en leur fournissant notamment le support technique ainsi que les spécifications. (...)

(30/08/2006 09:30:10)

Oracle assure un futur à ses outils de développement express

Le lancement de la version 2.2 de Oracle Application Express (Apex) n'est pas seulement la mise à jour de l'outil de développement rapide de l'éditeur de la base de données. Il symbolise aussi l'engagement d'Oracle à fournir un outil simple pour concevoir des applications Web à partir des tables de données contenues dans ses bases 10g et 9iR2 - et à le faire évoluer à l'avenir. Oracle offrait auparavant Web DB, un outil qui a cessé d'évoluer. Il a été plus ou moins remplacé par HTML DB en 2004, l'ancêtre d'Apex. « Oracle n'a jamais tué, ni amélioré, Web DB, reconnaît Mike Hichwa, vice-président du développement logiciel chez Oracle. Nous avons créé un nouveau produit, Apex. La filiation a été rompue, puis reprise. Je m'excuse auprès des utilisateurs. Nous n'avons aucune intention de refaire ce genre de choses. » A la différence de son prédécesseur, Apex 2.2 peut bâtir une application entière, et pas simplement des bouts de code. Le support d'Ajax (emploi de scripts Javascript asynchrones et du langage XML pour modifier le comportement d'une page et ses données sans avoir à rafraîchir toute la page) est encore limité, il sera complété avec la version 3.0, attendue pour l'été 2007. Toutefois, Oracle explique faire exprès de ne pas aller trop vite sur ce point, dans la mesure où la compatibilité avec les différents navigateurs pourrait poser des problèmes. (...)

(29/08/2006 12:38:01)

Zend reçoit 20 M$ pour mieux asseoir son offre

Vingt nouveaux millions de dollars à dépenser : le père Noël est passé cet été chez Zend Technologies. L'éditeur d'outils de développement pour PHP a fait entrer dans son capital Greylock Partners, une firme d'investissement dans les entreprises de haute technologie. Elle vient rejoindre Azure Capital Partners, Index Ventures, Intel Capital, Platinum Venture Capital, SAP Ventures et Walden Israel Venture Capital. Sachant que les deux premiers de cette liste ont eux-mêmes rejoint Zend il y a deux ans (au moment du lancement de la plate-forme PHP 5) à l'occasion du précédent tour de table, de 8 M$. A l'époque, il s'agissait d'attaquer le marché américain, en déplaçant le siège à Cupertino, en Californie. Aujourd'hui, les 20 M$ devraient servir à « s'étendre plus vite dans les marchés géographiquement émergents, accélérer notre développement de produits et étendre l'organisation des services de façon à satisfaire le nombre croissant de clients PHP en entreprise », indique Zend dans un communiqué. Zend estime que son moteur Web est utilisé par 15 millions de sites aujourd'hui (selon une estimation de Netcraft). La société revendique 8000 clients dans plus de 6000 entreprises de par le monde. Récemment, elle a signé des accords importants avec IBM et Oracle pour adapter son offre aux middlewares de ces géants. (...)

(28/08/2006 18:13:59)

Oracle doit encore réaliser plus de la moitié du développement de Fusion

Lorsque les responsables d'Oracle ont, en janvier dernier, décrit comme achevé à 50 % le développement d'une nouvelle suite d'applications d'entreprise baptisée Fusion, ils faisaient en fait allusion à la partie middleware de l'offre d'Oracle et non pas à la composante applicative de l'offre d'Oracle, dont l'objectif est de fusionner le meilleur des applications d'Oracle, PeopleSoft et Siebel au sein d'une suite unifiée. "En fait nous n'en sommes pas tout à fait encore à la moitié du chemin", a expliqué la semaine passée John Wookey à nos confrères d'IDG News Service. Wookey a toutefois été prudent en indiquant que les travaux réalisés sur la suite de Middleware Fusion seront une composante essentielle de Fusion, la suite applicative. Pour Oracle, l'enjeu de Fusion est de se hisser à la hauteur du numéro un mondial des progiciels, l'Allemand SAP. Selon l'éditeur, la première mouture de Fusion devrait voir le jour en 2008 et s'appuiera sur le middleware J2EE de la firme et sur une architecture orientée services (SOA), permettant une réutilisation optimale des composants applicatifs. Pour l'instant, Fusion reste un grand chantier qui implique des milliers de développeurs Oracle. L'enjeu, il est vrai, est de taille. Oracle espère que la "grande majorité de ses clients" migreront vers Fusion, au fur et à mesure qu'il se désengageront de leurs applications historiques (que l'éditeur s'est par ailleurs engagé à maintenir et à faire évoluer). Dans ce gigantesque chantier, Wookey estime qu'une des réussites clés d'Oracle est d'être parvenu à conserver près de 90% des équipes de développement et de support de PeopleSoft et Siebel. "Il y a eu mésentente lorsque nous avons dit que Fusion serait bâtie sur E-Business Suite (la suite applicative actuelle d'Oracle, NDLR). En fait, nous l'avons utilisée comme base de départ". Selon Wookey, Oracle Fusion s'appuiera sur les meilleures idées glanées dans E-Business Suite, PeopleSoft et Siebel CRM : "Sur la partie gestion de la relation client, par exemple, C'est Siebel qui sert de base de travail au développement des futurs composants CRM, même si la technologie et les réflexions de Peoplesoft sont utilisées en matière d'interface utilisateur". D'ici à la fin de l'année, Oracle devrait avoir terminé son chantier d'architecture et de conception sur Fusion. 2007 sera l'année où s'effectuera l'essentiel des développements clés pour concrétiser la vision de l'éditeur. Avec China Martens, notre correspondant d'IDG News Service à Boston Titre de l'encadré: (...)

(28/08/2006 17:55:48)

Intel aide les développeurs à exploiter le multi-coeur

Intel prévoit de publier un kit de développement pour exploiter les caractéristiques de ses processeurs multi-coeurs. L'idée, explique le constructeur, est de simplifier l'optimisation des applications pour le multi-threading (routine en parallèle), composante essentielle des processeurs à plusieurs coeurs. L'outil, baptisé "Threading Building Blocks" (disponible pour MacOS, Linux et Windows), est une extension au langage C++, censée fluidifier les développements de routines parallèles dans les applications. Une aubaine pour les éditeurs, Intel prévoyant de migrer plus de deux-tiers de ses gammes de processeurs vers le multi-c?ur -dont le dernier en date, le Tulsa. (...)

(24/08/2006 12:34:09)

Le convertisseur OpenXML/ODF de Microsoft génère de l'intérêt

Le projet Microsoft de convertisseur d'OpenDocument (ODF) vers OpenXML suscite un véritable intérêt auprès de la communauté des développeurs et des administrations. En juillet dernier, l'éditeur de Redmond annonçait qu'il intégrerait à Office 2007, la prochaine version de son système bureautique, une option assurant l'interopérabilité du format ODF avec OpenXML, son format maison. Marquant ainsi une pose dans la guerre des formats bureautiques, avant l'éventuelle normalisation d'OpenXML auprès de l'Ecma. Le projet d'"OpenXML Translator" a attiré, depuis sa création, plus de 25 000 téléchargements dans sa version sous forme d'add-in à Word 2007, et se positionne dans le top 25 des projets les plus populaires sur Sourceforge, se félicite Brian Jones, développeur senior chez Microsoft." En grande majorité issus des administration, coeur de cible du projet', précise-t-il. Plus concrètement, le prototype du convertisseur est disponible dans une pré-version 0.2-M1, "une mise à jour majeure dans la feuille de route", confie Brian Jones. Cette mouture s'enrichit selon lui du support de Word 2003 et Word XP, d'une amélioration des styles du traitement de texte et une optimisation des procédures d'installation. (...)

(22/08/2006 17:56:24)

Borland met un ancien de Dell à la tête de sa R&D

Afin de parfaire sa nouvelle organisation, focalisée sur la gestion du développement (stratégie SDO, Software delivery optimization), Borland a nommé un nouveau directeur de sa R&D : Peter Morowski, ancien vice-président du logiciel chez Dell, où il a mis la division logicielle sur pied, et a conduit les stratégies sur Linux, le clustering et l'administration de systèmes. Il avait aussi travaillé à des postes de direction du logiciel chez IBM et chez Novell. Le poste de patron de la R&D de Borland était assuré depuis un an par Rick Jackson, chef marketing produits, qui pourra désormais se consacrer de nouveau pleinement à sa tâche. Côté outils de développements, le processus de vente est dans les rails, indique Borland. Le nom de l'acheteur pourrait même être dévoilé vers fin septembre. (...)

(22/08/2006 17:54:42)

Les clients Oracle aiment les bases Open Source... en marge de leur SI

Plus du tiers (37%) des entreprises clientes d'Oracle pour la base de données a aussi déployé au moins une base Open Source. L'étude sur les tendances en matière d'Open Source commanditée par l'IOUG (International Oracle user group) auprès de ses membres révèle toutefois que seulement 10% des entreprises utilisent ces SGBD Open Source pour des progiciels. La plupart sont déployés en-dehors du c?ur du système d'information, pour des systèmes spécifiques (37%), des sites Web vitrines (32%), des environnements de développement (32%), des applications maison (32%) et des environnements de test (27%). Au premier rang des bases Open Source utilisées vient MySQL, avec 33% des entreprises. Les autres sont loin derrière : PostgreSQL compte pour 9%, Ingres 3%, Firebird 2% et Sleepycat (racheté par Oracle) 1%. Ces taux de pénétration indiquent que le danger posé par les SGBD Open Source aux éditeurs de bases commerciales est réel, note l'étude. A mi-2007, le pourcentage d'entreprises n'utilisant aucune base Open Source devrait tomber à 40%. Et 69% des gens utilisant aujourd'hui un SGBD Open Source comptent accroître leur utilisation d'ici là. 60% des entreprises utilisent un OS Open Source pour leur SGBD Globalement, l'Open Source est plutôt bien perçu par les clients Oracle, qui sont 60% à utiliser un système d'exploitation Open Source et 56% un serveur d'applications ou autre middleware Open Source. Seulement 14% des 269 répondants disent n'utiliser aucun logiciel Open Source et n'avoir aucune intention de le faire dans un futur proche. Côté OS, les plus utilisés sont Red Hat et Suse (56% des réponses), loin devant Solaris 10 (13%), les autres Linux (6%) et OpenBSD (2%). Dans la moitié des cas (51%), le système Open Source sert de support à la base de données. Une utilisation d'ailleurs beaucoup plus élevée dans les entreprises les plus petites (moins de 500 personnes) puisque le pourcentage monte alors à 63%. C'est côté middleware que l'étude dit avoir discerné le plus d'incertitude. Le serveur Web et le moteur de servlets Tomcat d'Apache sont largement utilisés (respectivement 47% et 38%). Derrière, viennent le cadre applicatif Struts (13%), et les serveurs d'applications WebSphere CE (11%), JBoss (1%) et Glassfish (1%). Parmi ces derniers, JBoss devrait faire un saut à 13% l'année prochaine. Intérêt de l'Open Source : les économies plutôt que le code ouvert Parmi les entreprises qui ont tenté l'expérience Open Source, l'étude de l'IOUG souligne que, « ironiquement, elles n'utilisent pas l'Open Source pour ses qualités de code ouvert ». Elles ne sont que 19% à avoir procédé à des modifications de code, et encore l'essentiel (17%) indique qu'il s'agissait de changements mineurs. La grande majorité vient à l'Open Source pour des raisons de coûts (57%). Beaucoup y voient aussi certaines limites : support plus compliqué (35%), manque de robustesse pour les fonctions entreprise par rapport aux offres commerciales (32%), craintes vis-à-vis de la sécurité (28%)... Toutefois, ces craintes sont plus élevées chez ceux qui débutent dans l'Open Source que chez les entreprises plus expérimentées. (...)

(22/08/2006 17:55:54)

Nortel, premier membre télécom du comité directeur de l'Oasis

Le secteur des réseaux et des télécoms entre dans le comité directeur de l'Oasis (Organization for the Advancement of Structured Information Standards), organisme en charge de la définition des standards liés aux services web. Nouvel arrivant, Paul Knight, en charge des standards chez l'équipementier Nortel, qui siège également dans le groupe de travail du W3C travaillant sur la spécification WS-Addressing. Il rejoint Ed Cobb (BEA), Robert Glushkode (Université de Californie Berkeley), Frederick Hirsch (Nokia), et Jeff Mischkinsky (Oracle), Eduardo Gutentag (Sun Microsystems), John Jackson (General Motors), Chris Kurt (Microsoft), Claus von Riegen (SAP) et enfin Michael Winters (IBM), réélus quant à eux. Patrick Gannon conserve son titre de président du comité directeur. (...)

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