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(31/05/2006 18:07:55)

Sun travaille sur l'accélération de Java dans les processeurs

Les laboratoires de recherche de Sun Microsystems mènent depuis 5 ans des recherches dans le cadre du projet Maxwell, pour accélérer le traitement des applications Java dans les processeurs et rendre ces derniers capables de manipuler des objets Java. L'objectif est notamment de développer une architecture mémoire orientée objet pour compléter les actuels mécanismes linéaires de gestion de la mémoire par les processeurs. Selon Mario Wolczko, l'un des chercheurs de Sun, "il parait intéressant d'avoir la notion d'un objet ramenée au niveau matériel". Pour Wolczko, il est notamment pertinent de confier au processeur la gestion des objets et les services de garbage Collection. "Notre travail consiste à étudier comment on pourrait concevoir un système de gestion de la mémoire dans le processeur capable d'accroître significativement l'efficacité de la gestion des objets et du garbage collector" ajoute-il, tout en indiquant que les technologie développées dans le cadre de MaxWell pourraient trouver leur application dans les processeurs Sparc. Mais aussi dans d'autres puces telles que des puces x86 (On peut à ce sujet noter qu'Intel mène lui aussi des recherches pour optimiser l'exécution des applications en bytecode dans ses processeurs, NDLA). Terminons en indiquant que l'optimisation de la gestion mémoire et notamment le traitement du garbage collector au niveau matériel sont les deux domaines qu'a exploré Azul Systems, une startup fondée par des anciens de Sun -et actuellement poursuivie par le constructeur pour violation de propriété intellectuelle, pour ses appliances de traitement et d'accélération Java. Avec Paul Krill, Infoworld (US) (...)

(29/05/2006 17:38:52)

IDC et Gartner tombent d'accord : Oracle a dominé de loin le marché des bases de données en 2005

IDC et Gartner viennent tous deux de finaliser leurs études concernant le marché 2005 des bases de données. Si leurs résultats ne sont pas parfaitement identiques pour cause de méthodologies différentes, ils se rejoignent, de même leurs analyses. Globalement, le marché mondial des bases de données a connu en 2005 une très bonne progression. IDC l'estime à 9,4 % avec un chiffre d'affaires de l'ordre de 14,6 Md$. Gartner développe une vision légèrement plus modeste, mais confirme la très bonne tenue du marché avec une augmentation de 8,3 % pour un chiffre d'affaires 2005 de 13,8 Md$. Deux zones géographiques ont été particulièrement actives durant cette année: la région Asie-Pacifique et les Etats-Unis. Ces derniers ont été largement demandeurs compte tenu de leurs besoins en matière de gouvernance de l'information liés aux nouvelles contraintes réglementaires. Le classement des cinq meilleurs éditeurs ne varie pas depuis 2004. Oracle est toujours loin devant. L'américain totalise entre 44,6 % et 48,6 % du marché, selon les estimations. Derrière lui vient IBM avec 22 % du marché, suivi de Microsoft qui est le seul a avoir vu ses parts de marché augmenter. Microsoft représente entre 15 et 16,8 % du marché. On trouve loin derrière Terradata et Sybase. IDC et Gartner estiment que Microsoft n'est pas la seule menace à l'hégémonie d'Oracle et d'IBM. La montée en puissance des bases de données Open Source pourrait bien influencer le marché. Actuellement leur position est insignifiante, mais leur progression est spectaculaire. Les solutions s'améliorent et les vendeurs se font de plus en plus présents. Si leurs parts de marché en valeur devraient rester marginales, leur positionnement pourrait à terme influencer les prix. Les deux cabinets d'études voient l'avenir d'un oeil bienveillant. Le marché devrait continuer sa croissance. Gartner prédit une croissance jusqu'en 2010. Les entreprises devraient recourir de plus en plus aux bases de données pour le traitement des transactions en ligne. Le décisionnel et le datawarehouse seront également des moteurs actifs du marché. (...)

(23/05/2006 12:34:34)

OpenAjax devient OpenAjax Alliance

Signe d'un départ poussif? A l'occasion de sa première réunion qui réunissait 24 de ses membres (sur 31), le consortium OpenAjax a voulu clarifier ses orientations et livrer enfin sa propre définition du terme Ajax. Signe d'un nouveau départ, le consortium se rebaptise OpenAjax Alliance. "Nous avons clairement besoin de définir Ajax", raconte Scott Dietzen, PDG de Zimbra, membre fondateur, sur son blog, tout en énumérant les différents axes de développement en cours du consortium. Epaulé notamment par IBM, l'objectif a été également de consolider les bonnes pratiques, travailler à normaliser des modèles de programmation ainsi que des références d'implémentations. Pour Scott Dietzen, il s'agit également d'aller plus loin, et de s'assurer qu'"Ajax reste multi-client, multi-navigateur, multi-serveur, et indépendant de tout langage spécifique" Après le coup d'envoi en février dernier, OpenAjax avait reçu 13 membres supplémentaires. (...)

(22/05/2006 17:45:49)

Sun se rapproche d'Eclipse

Un premier pas vers Eclipse. Sun a confirmé, à l'occasion de JavaOne 2006, avoir versé dans la communauté Eclipse. L'éditeur a finalement livré le code nécessaire au fonctionnement du socle open source sur Solaris x86. Sur son blog, Mike Milinkovich, le directeur d'Eclipse, raconte qu'il a été approché il y a deux mois par Simon Phipps, patron de l'open source chez Sun. Ce dernier faisait état de travaux en cours Et Tim Bray, directeur des technologies web chez Sun, d'insister : Sun n'a pas rejoint Eclipse. Mais cela s'inscrit dans l'élan open source de la société. Sun n'abandonne en rien Netbeans. (...)

(19/05/2006 17:33:12)

JavaOne 2006 : Oracle rend public son moteur AJAX

Profitant de la conférence JavaOne, qui se tient actuellement à San Francisco, Oracle a annoncé son intention de publier le code source de son moteur de rendu AJAX. Selon Ted Farrel, l'architecte en chef d'Oracle, qui s'exprimait lors d'une conférence de presse, Oracle entend fournir le code de son render Kit dans les deux mois à venir à une organisation open source, comme il l'avait fait précédemment avec la fondation Apache pour ses composants JSF (JavaServer Faces). Les travaux d'Oracle sur Ajax sont dans la lignée de travaux entamés il y a déjà plusieurs années sur DHTML et JavaScript, a expliqué Farrel, pour justifier l'utilisation du terme SOA 2.0 lors de son allocution. Selon lui, AJAX va permettre aux développeurs de profiter des bénéfices des technologies de scripting et de web dynamique, sans avoir a apprendre les spécificités de DHTML et de javaScript. Implicitement, Oracle espère donner son code Ajax à la fondation Apache, mais pour l'instant la firme indique qu'aucun accord n'a été conclu. Oracle entend aussi contribuer le code source de son architecture de persistence Java qui inclut le support des EJB 3.0 et sa technologie de mapping relationnel objet. Ce code sera mis en ligne sur l'Oracle Technology Network. (...)

(19/05/2006 17:29:26)

JavaOne 2006 : Schwartz : "les 13 Md$ de CA de Sun proviennent de Java"

lemondeinformatique.fr : Vous avez récemment pris la tête de Sun. Que faites vous différemment de Scott Mc Nealy ? Jonathan Schwartz : J'ai le privilège d'être assis sur les épaules de géants. J'ai aussi l'opportunité de pouvoir m'appuyer sur des gens comme James Gosling qui ont fait un vrai travail de pionnier avec Java. Ce que je fais à la tête de Sun n'est pas différent de ce que faisait mon prédécesseur, c'est à dire faire honneur aux innovateurs et aux innovation qui créent nos opportunités d'affaires. Ceci dit, j'ai une coupe de cheveux différente de Scott, je n'aime pas les mêmes sports, Pour Scott tout vin qui sort d'une bouteille est un vin fin, ce qui n'est pas mon cas, bref nous avons des personnalités différentes. Ce qui devrait nous différencier est que je vais me concentrer plus sur les communautés de développeurs que Scott, alors que Scott s'est plutôt concentré sur les CEO. Mon challenge est de faire en sorte que nous rapprochions les deux de façon à ce que les CIO et CEO comprennent les tendances qui parcourent l'industrie informatique, tout en aidant les développeurs à identifier de nouvelles opportunités de marché. Quel est l'intérêt économique de Java pour Sun et quels revenus en tirez-vous ? Je pense que c'est la question à laquelle je vais avoir à répondre au cours des dix prochaines années. [Schwartz se lève et montre une prise électrique] Vous voyez cette prise, comme elle pour l'électricité, je crois que Java est la standardisation de l'accès à l'Internet. Demander à Sun la valeur de Java pour notre business est comme demander à un fabricant de turbines électriques la valeur de cette prise électrique pour leur business. Cela permet la standardisation du marché de telle façon que vous pouvez croître au-delà de votre propre marché. Un autre exemple de cela : tout opérateur mobile dans le monde perd de l'argent en vous vendant un téléphone. La raison est qu'il veut vous attirer pour que vous vous abonniez, et une fois que vous avez un téléphone, il peut vous fournir des services qu'il monétise. Bien sur, certains analystes financiers pourraient raisonner qu'il n'est pas sain de vendre des téléphones à perte, car on perd de l'argent et qu'il faut cesser immédiatement. La conséquence pour Verizon, NTT DoCoMo ou Vodafone serait l'arrêt de la croissance du nombre d'abonnés et à terme la faillite (...) Vous m'avez demandé quelle est la valeur de Java pour Sun. Je pense que les 13 milliards de revenus de Sun cette année proviennent de Java. Nous demander la valeur de Java dans notre business est comme nous demander la valeur d'Internet. Nos systèmes comptables sont sophistiqués, mais je crains qu'ils ne soient pas assez intelligents pour répondre à cette question. Vous vous êtes beaucoup exprimé sur la fracture numérique. Qu'est ce que Sun peut faire pour contribuer à sa résorption ? Je crois que Sun est une force de démocratisation de la technologie. Nous aidons à abaisser le coût et la complexité pour ceux qui souhaitent se raccorder au réseau. Regardez le succès d'OpenOffice et Staroffice, de Java, de Netbeans et d'OpenSolaris. Ce sont des preuves que nous sommes réellement engagés au sein du mouvement open source. La fracture numérique existe, car le réseau est aujourd'hui trop complexe et donc trop coûteux. On travaille avec des gouvernements à travers le monde pour résoudre ce problème. Récemment, j'étais au Brésil où j'ai rencontré le président Lula et nous partagions cette volonté que les brésiliens soient en ligne que les colombiens se raccordent que l'ensemble du monde soit connecté. Ceci dit, nous sommes une compagnie rare au sens ou quand nous faisons du bien pour le monde et quand nous aidons à lutter contre la fracture numérique nous contribuons aussi à la bonne santé de notre business. Car plus il y aura de brésiliens en ligne, plus ils se connecteront aux systèmes de nos clients qui se tourneront vers nous pour mettre en place des infrastructures informatique adéquates. L'exemple que j'ai utilisé au Brésil est celui d'une banque pour laquelle nous travaillons. Elle a 22 millions de clients, dont 5 millions qui font de la banque en ligne. Aux Etats-Unis, la quasi-totalité des clients font de la banque en ligne. Ce n'est pas le cas au Brésil car la fracture numérique a un impact sur la faculté qu'ont les clients à se connecter au réseau. Mon point au président Lula, qui s'étonnait de notre intérêt à voir tant de gens se raccorder au réseau est d'imaginer l'opportunité que représente pour Sun, l'arrivée de 15 millions des clients de cette banque en ligne en terme d'infrastructure Le mouvement open source semble pendre partout à travers le monde. Pouvez-vous nous donner votre avis à ce propos ? Chaque nation comprend la valeur des standards ouverts. Tout client comprend le sens du mot gratuit. Chaque étudiant ou créateur d'entreprise comprend qu'en utilisant OpenOffice, il économise quelques centaines de dollars par poste, qu'il peut investir de façon plus utile dans son entreprise. Je vois les gouvernements considérer les technologies réseaux comme un outil de progrès social autant que comme un outil de progrès technique. Et je vois de plus en plus cette tendance dans les pays en cours de développement s plus qu'En Europe ou aux Etats-Unis. Où en êtes vous de vos opérations de réduction de coûts? Je crois qu'aucune société n'a jamais atteint la grandeur en se coupant les membres un à un. La meilleure façon de se bâtir un futur est de faire croître le marché comme vous pouvez le voir ici à JavaOne. Nous allons continuer à travailler sur trois axes. Premièrement, nous allons continuer à innover pour faire croître notre CA. Deuxièmement, nous allons continuer à améliorer notre efficacité et à améliorer nos marges. Troisièmement, nous allons continuer à couper dans tout ce qui n'est pas stratégique pour notre futur. C'est ce que nos clients attendent de nous : avoir une roadmap pour aujourd'hui et une roadmap d'innovation pour le futur. (...)

(17/05/2006 17:49:34)

JavaOne 2006 : Sun promet que Java sera libre... un jour

A l'occasion de la première journée de JavaOne 2006, qui s'est ouvert hier à San Francisco, Sun a officiellement annoncé la disponibilité de Java Enterprise Edition 5.0 et a dévoilé la première version beta de Java Standard Edition 6.0 (nom de code Mustang). La firme a également annoncé son intention de publier le code source de Java. Rejoignant Jonathan Schwartz sur le podium lors du keynote d'ouverture de JavaOne, Rich Green, le nouveau patron du logiciel chez Sun, a expliqué que "l'ouverture du code de Java n'était plus une question de quand mais une question de comment". En fait, Sun semble s'interroger sur le modèle de licence à adopter et sur la façon de protéger Java contre un éventuel risque de balkanisation. Invitant les développeurs Java à rejoindre le Java Community Process (JCP) et à souscrire à son framework NetBeans, Sun pourrait profiter de la publication du code de Java pour renforcer le rôle du Java Community Process et en faire le gardien du temple de Java, mais aussi s'en servir comme une alternative à Eclipse. "Il y a deux forces antagonistes à l'oeuvre (...). Nous avons le désir d'ouvrir [Java] mais d'un autre côté la compatibilité est primordiale. Personne n'a intérêt de voir diverger la plate-forme Java", a expliqué Green, tandis que Schwartz rappelait que "Sun est allé devant une cour pour protéger la plate-forme contre une telle divergence", faisant allusion à son procès contre Microsoft sur Java. En attendant l'ouverture complète du code de Java, Sun continue à publier progressivement son portefeuille de produit. Lors de la première journée de JavaOne, la firme a annoncé la publication de son moteur BPEL acquis lors du rachat de SeeBeyond. La firme a également annoncé la disponibilité du code de Java System Portal Server 7, son portail web, ainsi que celle de Java Studio Creator. Sun a également supprimé certaines restrictions qui empêchaient l'inclusion de Java dans les distributions Linux. La nouvelle licence, Operating System Distributor's License for Java, permet ainsi à Ubuntu, mais aussi à Debian, de proposer l'environnement d'exécution Java (JRE) et le Java Development Kit avec leurs distributions. L'occasion pour Simon Phibbs, le patron de l'open source chez Sun, de rappeler que Java sur Linux et l'amélioration des relations de Sun avec la communauté libre est désormais une priorité. Un changement notable par rapport à la position qu'avait Sun sous la direction de Scott McNealy... (...)

(17/05/2006 17:54:56)

JavaOne 2006 : Ubuntu lancera sa distribution serveur le 1er juin

Après avoir séduit une large communauté d'utilisateurs et de développeurs à travers le monde, Ubuntu s'attaquera à un nouveau défi dès le mois de juin : le lancement d'une distribution serveur. Présent à JavaOne pour annoncer la disponibilité du JDK dans Ubuntu, Mark Shuttleworth, le fondateur de Cannonical, l'entité commerciale qui parraine Ubuntu, a expliqué que le lancement d'Ubuntu Server respectera les principes établis pour la distribution de bureau, notamment la gratuité totale des licences. Brocardant les modèles commerciaux adoptés par Red Hat et Novell, Shuttleworth a expliqué que la version serveur d'Ubuntu sera gratuite et que Cannonical ne facturera que le support. Ubuntu Server devrait être disponible sur un vaste choix de plates-formes, notamment les serveurs x86, x86 64 bit, power PC et Sparc. En fait, Sun et Shuttleworth ont laissé entendre que les deux sociétés collaboreront sur le support d'Ubuntu sur les puces Sparc T1 ("Niagara"). Les deux parties se sont en revanche refusées à confirmer si Sun supportera officiellement Ubuntu sur ses machines x86 et Sparc. Même si Shuttleworth s'est déclaré confiant qu'Ubuntu Server remplirait tous les critères nécessaires pour une éventuelle certification par Sun... En savoir plus: L'interview de Mark Shuttleworth (...)

(17/05/2006 17:52:52)

Gartner: l'ISO va probablement rejeter OpenXML

Dans une note publiée (1) sur son site, Gartner prédit un cuisant échec de Microsoft et de son format OpenXML auprès de l'ISO (International Organization for Standardization). Selon deux analystes du cabinet, la récente acceptation d'OpenDocument devrait tout simplement enrayer sa ratification auprès de l'organisme. "L'ISO n'approuvera pas plusieurs formats d'échange XML", assure le cabinet. Dans sa lancée, Gartner prédit avec la même assurance un bel avenir au format de l'Oasis: d'ici 2010, la moitié des échanges entre administrations s'effectueront au format ODF et 20% dans les entreprises. Et d'encourager ainsi les entreprises à considérer dès maintenant le format ouvert dans leur système d'information. Et à explorer les différentes applications qui supportent ODF. OpenXML est actuellement en cours de ratification auprès de l'Ecma, avant une soumission à l'ISO. (1) intitulée "ISO OpenDoc Approval Is a Blow to Microsoft " (...)

(17/05/2006 10:47:40)

BMC et CA dévoilent de nouveaux outils de supervision

BMC et Computer Associates viennent de présenter de nouveaux outils de supervision de systèmes et de contrôle d'applications Web. Plus d'un an après la sortie de sa version 1.0, l'Atrium Configuration Management Database de BMC a fait l'objet de sa première mise à jour majeure. Ce module de gestion de base de données de configuration pour l'outil d'administration Atrium est en outre complété par CMDB Enterprise Manager; un module dictionnaire de produits logiciels. L'éditeur a en outre présenté des outils de découverte d'identités, de processus et de mainframe ainsi que deux solutions permettant de disposer d'une vue synthétique des services des analyses CMDB. Parallèlement, la filiale Wily Technology de Computer Associates vient de présenter la version 7 d'Introscope, son outil de supervision et d'optimisation de la performance des applications Web critiques. Cette nouvelle mouture doit notamment permettre de disposer d'indicateurs supplémentaires dont les temps de réponse pour l'utilisateur. Introscop 7 introduit en outre des fonctions de découverte automatique, de supervision et de triage automatique des incidents. (...)

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