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Développement

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(08/02/2006 19:28:08)

Borland se sépare des outils de développement

De plus en plus engagé dans le marché des outils de gestion du cycle de vie des applications, Borland veut se séparer de ses outils de développement, son activité historique, représentant encore la moitié de ses revenus. L'éditeur indique chercher un repreneur pour JBuilder, C++ Builder, Delphi, etc. Dans le même temps, Borland renforce son offre de supervision et de tests avec l'acquisition de Segue Software, pour environ 100 M$. En savoir plus sur cette information sur notre rubrique Développeurs (...)

(08/02/2006 19:11:16)

Sortie de Intellij IDEA 5.1

Un mois après la sortie de la version 5.0, JetBrains annonce une nouvelle version 5.1 de son environnement de développement Java. Cette version fournit un support de Enhanced i18N, des plugins, du développement Web/J2EE et de JavaScript. Le support de Enhanced i18N facilite le travail de localisation des applications en conservant les chaînes d'internationalisation dans des fichiers ressources. La version 5.1 introduit de nombreuses améliorations au support de JavaScript. Ces améliorations aident au développement avec AJAX, notamment pour développer des bibliothèques AJAX. Les autres améliorations incluent une nouvelle navigation, de nouvelles complétions et refactorings. Le support amélioré de plugins pour les développeurs facilite la création de plugins personnalisé. Malgré la domination d'Eclipse dans le marché des environnements de développement Java, les concurrents n'ont pas encore tous jeté l'éponge : NetBeans et IntelliJ IDEA s'accrochent. (...)

(08/02/2006 19:11:40)

NetBeans 5.0 disponible

Sun annonce la version finale de NetBeans 5.0, son environnement de développement Java en Open Source. Cette version inclut Matisse (un concepteur d'interface utilisateur), l'intégration de J2EE 1.4 ave le support de serveurs d'application multiples, un plugin de collaboration, un profiler. Cette version semble également beaucoup plus rapide que les précédentes versions. L'environnement Matisse fournit un éditeur intuitif pour construire des interfaces utilisateur en glissant-déposant des composants dans un formulaire, sans avoir besoin de maitriser les gestionnaires de layout Swing. L'IDE suggère automatiquement l'alignement, l'espacement et le redimensionnement. NetBans 5.0 supporte maintenant plusieurs serveurs d'application en plus de Sun Java Sustem Application Server 8.2 : JBoss 4 et WebLogic 9. Il facilite l(utilisation des frameworks web tels que JavaServer Faces (JSF) ou Struts. NetBeans 5.0 inclut de nombreuses améliorations à l'éditeur, comme la complétion de code, le refactoring, la palette de composants, les Java Hints qui aident à générer du code, un navigateur XML, un éditeur SQL, etc. Le support de CVS a été refondu pour s'intégrer dans le workflow. NetBeans 5.0 fournit un support total de J2EE 1.4, avec des assitants de crétaion d'EJB, web services... Contrairement à Eclipse, NetBeans est un environnement intégré qui vient avec tous les composants nécessaires au développement d'applications Java. Cette nouvelle version semble recueillir un accueil très favorable dans la communauté Java et relance la compétition acharnée avec Eclipse. (...)

(08/02/2006 19:09:53)

Borland se sépare de ses IDE

Le communiqué de presse met l'accent sur l'orientation ALM (Application Lifecycle Management) engagée par Borland depuis trois ans. L'acquisition de Segue Software, un éditeur d'outils de qualité et de test, s'inscrit dans cette stratégie. Entre les mastodontes que sont devenus Eclipse et Visual Studio, il ne reste guère de place pour les éditeurs d'environnements de développement. Avec la montée inexorable d'Eclipse, les parts de marché de JBuilder se sont fortement érodées. C++Builder et C#Builder n'ont jamais vraiment réussi à percer. Quant à Delphi, s'il garde un base de développeurs fidèles sur la plate-forme Win32, il n'a plus les moyens de rivaliser avec le couple plate-forme .NET/Visual Studio. Borland accuse donc de mauvais résultats, ce qui a conduit à la démission de Dale Fuller de son poste de PDG en juillet dernier [https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-borland-perd-son-pdg-et-revoit-ses-previsions-de-resultats-a-la-baisse-9799.html], remplacé depuis par Tod Nielsen. De mauvais résultats dus à l'activité IDE de la société, en net déclin depuis 2002. En revanche, l'activité ALM connaît selon Borland une croissance à deux chiffres. L'abandon de l'activité IDE s'inscrit donc dans une logique économique implacable. Mais pour les développeurs, surtout les fidèles à Delphi, cet abandon risque d'être un choc. C'est tout un pan de l'histoire du développement logiciel qui s'écroule. Bien qu'il n'ait pas inventé l'IDE, Borland a popularisé le concept avec Turbo Pascal. A partir d'un compilateur Pascal écrit par Anders Hejlsberg, la société menée par le français Philippe Khan ajoute une interface utilisateur et un éditeur et lance la première version de Turbo Pascal en 1983. C'est le premier outil de développement réellement conçu pour le PC, vendu dix fois moins cher que les outils IBM ou Microsoft de l'époque. Le succès est immédiat et Borland fonde sa notoriété sur ce produit. Anders Hejlsberg rejoint la société et lance Delphi en 1995 (Anders rejoint Microsoft en 1996 où il conduit J++, Windows Foundation Classes et C#). Dans les années 90, tente une diversification dans les applications bureautiques (Quattro Pro, Paradox, dBase). Mais Microsoft est sur tous les fronts, et reconquit le domaine des outils de développement avec Visual Basic, puis Visual Studio. En 1998, Borland tente un nouveau virage dans les solutions d'intégration d'entreprise et change son nom en Inprise. Mauvaise idée, la société reprend le nom de Borland en 2001 et renoue timidement avec le succès. L'arrivée d'Eclipse marque un nouveau déclin. Aujourd'hui, Chris Barbin, vice-président senior de la division mondiale de Services de Borland, était le seul interlocuteur disponible pour répondre aux questions. Pour l'heure, on ne connaît les éventuels repreneurs de l'activité IDE. Borland semble confiant et l'éventualité qu'il n'y ait aucun repreneur ne l'inquiète pas. En attendant, les développements ne sont pour autant pas stoppés. Quant aux chances de Borland de s'imposer dans le marché de la gestion du cycle de vie, face à IBM et Microsoft, Chris Barbin délivre le discours rodé de la firme : l'atout de Borland est d'être indépendant et cross-plateforme. Concernant l'intégration des outils provenant de l'acquisition de Segue Software, cela devrait se faire rapidement, ils sont déjà intégrés avec CaliberRM et StarTeam. Si Borland conserve encore une bonne longueur d'avance sur Microsoft dans le domaine de la gestion du cycle de vie (Team System n'est pas encore sorti), la compétition sera rude avec IBM qui s'appuie avec succès sur Eclipse et qui dispose d'une bonne base installée dans les grands comptes. D'autres acteurs tels que Mercury, Serena, Telelogic sont également dans la course dans un marché qui s'annonce juteux. IDC prévoit un marché en croissance jusqu'à 3,3 milliard de dollars en 2009, avec un taux de croissance annuel de 9,2% de 2004 à 2009. La décision de tout miser sur la gestion du cycle de vie est un véritable coup de poker. Borland peut sauver sa peau ou tout y perdre. L'avenir nous le dira. (...)

(07/02/2006 18:19:31)

Les éditeurs d'applications phares pas assez respectueux de la sécurité de leurs produits

Les éditeurs comme AOL ou Adobe pourraient faire montre de davantage d'efforts pour développer des applications sécurisées selon une étude de deux chercheurs de l'université de Princeton. D'après les auteurs de l'étude, qui se sont appuyés sur de nombreux produits à succès, dont AOL Instant Messenger et Photoshop, beaucoup d'applications affectent la sécurité du système d'exploitation et le rendent vulnérable aux attaques. En particulier, nombre de programmes requièrent trop de privilèges pour fonctionner correctement. Des privilèges pouvant être considérés comme autant de portes ouvertes à des visiteurs mal intentionnés. "Les attaques susceptibles d'en découler ne passeront pas par Internet, précise Sudhakar Govindavajhala, l'un des auteurs de l'étude. Mais si quelqu'un met une main sur votre machine, alors il peut faire des choses intéressantes". De fait, après avoir ciblé le système d'exploitation pendant des années, et en particulier Windows, les auteurs d'attaquent se focalisent désormais progressivement sur les logiciels en cours d'utilisation. Cette étude est un pense-bête pour l'utilisateur "afin qu'il garde à l'esprit que les applications peuvent ouvrir des failles de sécurité et que les éditeurs font des erreurs génératrices de risques", explique Ed Felten, professeur d'informatique à Princeton. Les failles découvertes dans AIM et Photoshop par les deux chercheurs ont été corrigées, mais d'autres applications souffrent toujours du même genre de problème selon Sudhakar Govindavajhala. Celui-ci ne cite cependant aucun nom, les failles risquant d'être exploitées. (...)

(07/02/2006 18:18:21)

Les clients de Microsoft irrités de devoir patcher Office

Parce qu'un juge californien a estimé, l'an passé, que certaines lignes du code d'Access 2002 et 2003 violaient un brevet déposé par le guatémaltèque Carlos Armando Amado, Microsoft a demandé à de nombreuses entreprises utilisatrice de la suite Office d'appliquer une mise à jour. Bien que le groupe de Redmond ait fait appel de la décision, ses clients utilisant Office 2003 et Access sont censés procéder à l'installation du Service Pack 2. Ceux ayant recours à Office XP doivent passer par l'adjonction d'un patch correctif. Le temps nécessaire à la mise en place de ces mesures, et les tests qu'elles impliquent irritent les entreprises, à l'image de Kevin McGrew, PDG de TechTrack Solutions. Selon lui, les clients professionnels de Microsoft "ne veulent pas casser ce qui ne l'est pas", ni s'embarrasser d'un déploiement qui peut prendre une semaine. "C'est le problème de Microsoft, pas le nôtre", poursuit Marc West, DSI de H&R Block. "Nous n'allons rien changer, à moins qu'un problème de sécurité ne soit soulevé", précise-t-il. Une opinion que partage Jeff Campbell, le PDG d'AssetMetrix : "tous les utilisateurs d'Office 2000 avec qui nous avons discuté affirment que leur outil fonctionne. Dans ce cas, pourquoi le remplacer par une source de problèmes potentielle ? " (...)

(08/02/2006 19:25:30)

VMWare propose une bêta gratuite de VMWare Server

VMWare vient de lancer la version bêta de VMWare Server, le successeur gratuit de son de virtualisation de serveur GSX Server. A l'instar de GSX Server, qui était jusqu'alors payant, VMWare Server n'est pas un hyperviseur. Il s'installe au-dessus d'un serveur Windows ou Linux, qu'il permet partitionner en plusieurs machines virtuelles pouvant chacune faire tourner son propre système d'exploitation, Linux, NetWare, Solaris x86 et Windows. Les systèmes d'exploitation 64 bits sont supportés, de même que la technologie de virtualisation qu'Intel prévoit d'embarquer dans ses prochains microprocesseurs pour serveurs. Les principales limitations de VMWare Server concernent la sécurité et la haute disponibilité, ainsi que les performances (puisqu'il s'appuie sur un OS hôte relativement lourd). Cette version d'entrée de gamme ne supporte pas de chemin alternatif de secours vers un SAN, la migration à chaud de machines virtuelles, l'administration multi-utilisateurs ou encore l'installation des machines virtuelles d'un même serveur sur des réseaux locaux virtuels distincts. Autant de fonctions que supporte ESX Server, l'hyperviseur maison. Reste que pour nombre d'utilisateurs aujourd'hui habitués à GSX Server, VMWare Server devrait se révéler une solution plus que satisfaisante, d'autant que la plupart de ses concurrents, comme Microsoft Virtual Server, sont aujourd'hui payants La version finale de VMWare Server est prévue d'ici la fin du premier semestre 2006. (...)

(06/02/2006 18:05:56)

Openview : HP veut adapter Business Process Insight à des besoins verticaux

La division logicielle de Hewlett-Packard, qui a notamment en charge la gamme Openview, espère développer les ventes de son outil de supervision et d'optimisation de processus métiers OpenView Business Process Insight en lui adjoignant des utilitaires d'éditeurs tiers. Lancé en juin 2004 et récemment mis à jour, OpenView BPI permet à une entreprise de modéliser ses processus métiers et de les faire correspondre à des processus techniques pour suivre la bonne exécution de contrats de services et anticiper la dégradation de la qualité fournie aux utilisateurs d'une application. L'outil réunit deux composants clés, une console web sur laquelle les utilisteurs peuvent voir les flux métiers et un gestionnaire d'événements qui permet d'intégrer l'outil avec des logiciels tiers. C'est ce composant qu'HP vient d'utiliser avec Itron pour étendre les capacités d'Openview BPI à la collecte d'indicateurs adaptés aux métiers de la gestion d'énergie et d'eau. Itron est un spécialiste du secteur et fournit ses applications métiers à plus de 3000 clients sur ce secteur dans le monde. La combinaison des outils d'Itron et d'HP est conçue pour permettre à une société du secteur de l'énergie ou de l'eau de suivre des métriques métiers précis et par exemple de fournir un indicateur précis, en terme financier, de l'impact d'une panne informatique sur le business. HP entend multiplier les partenariats similaires à celui noué avec Itron afin d'adapter OpenView BPI à d'autres industries. Le constructeur cible notamment plusieurs secteurs-clés comme la gestion de la chaîne logistique pour les industries de l'automobile ou de la high-tech, le PLM ou le suivi des tests de médicaments dans l'industrie pharmaceutique. adapté d'un article en anglais de China Martens, notre correspondant d'IDG News Service à Boston (...)

(03/02/2006 16:39:40)

IBM, Google, Oracle et consorts s'unissent autour d'Open Ajax

Un groupe formé des plus influents acteurs de l'informatique du moment ont décidé de s'unir au sein d'Open Ajax, un consortium censé promouvoir le développement Ajax (Asynchronous Javascript and Extensible Markup Language). Il compte parmi ses membres IBM, Google, BEA, Oracle, Mozilla, Yahoo, Red Hat, Zimbra et enfin la Fondation Eclipse. Leur mission, selon eux, est de "promouvoir Ajax en tant qu'un ensemble de technologies ouvertes, compatible avec tout support, navigateurs Internet et outils de développement". Pour autant, pas de développement commun, pas de planning ni de réunion en vue. Les membres vont collaborer de façon informelle. "Nous produirons plus autour d'AJAX collectivement que si nous travaillerons individuellement", explique un représentant d'IBM à nos confrères d'IDG News Services. Et de poursuivre : "l'idée est également de travailler à simplifier les outils de développement de façon à ce qu'ils soient utiliser par le communauté des designer web, sans de compétence en programmation". (...)

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