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Développement

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(19/04/2005 18:33:14)
Le développement d'OpenOffice.org ralenti par manque de développeurs
Le développement d'Openoffice.org, concurrent potentiel de Microsoft Office, issu de la suite bureautique de Sun StarOffice, est ralenti par le manque de développeurs. Deux soucis majeurs entravent la bonne progression du travail : la complexité d'un code très monolithique et son immensité – dix millions de lignes. L'autre inconvénient du projet actuel est la trop forte présence des développeurs en provenance de Sun qui nuit à l'indépendance totale du produit : seuls quatre développeurs du projet sont indépendants, contre cinquante issus de chez Sun et dix de chez Novell. Pourtant, Sun est prêt à accepter des développeurs issus de compagnies concurrentes. Et même de souligner avec malice qu'IBM utilise OpenOffice mais n'y participe pas. Ce manque de développeurs va peser sur la sortie officielle de la deuxième version d'OpenOffice, qui ne devrait pas avoir lieu avant juin ou même juillet. (...)
(13/04/2005 18:47:36)Une alternative libre à Visual Studio Team System
Visual Studio Team System, le futur environnement de développement de Microsoft, n'est pas encore sorti qu'il voit déjà apparaître une alternative Open Source. Le projet NTeam utilise plusieurs outils Open Source existants tels que NUnit, Nant qui vont s'intégrer avec des IDE propriétaires ou Open Source. L'objectif est à terme de couvrir tout le cycle de vie du développement comme prétend le faire Visual Studio Team System.
NTeam répond sûrement à un besoin. Actuellement, il est possible d'utiliser une série d'outils Open Source pour couvrir le cycle de vie du développement : NUnit (tests unitaires), Nant (outil de build), cvs/Subversion (contrôle de version), FxCop (règles de codage), NDoc (documentation de code), NCover (couverture de code)… Si une solution pouvait fédérer et intégrer tous ces outils, ce serait tout à fait dans la lignée des Software Factories.
Hébergé par GotDotNet, le projet compte déjà une vingtaine de développeurs. NTeam vise les petites et moyennes équipes qui veulent les fonctionnalités d'un Team System, mais qui n'en ont pas les moyens. En effet, Microsoft a dévoilé le mois dernier le pricing de la future gamme Visual Studio, et Team System se positionne assurément comme un logiciel pour équipes de grande envergure.
La nouvelle, apparue dans la blogosphère et rapidement relayée par eWeek.com, semble cependant tenir encore du vaporware. Le site des news du projet , apparemment créé à la hâte quelques jours avant l'article, est fermé. Il n'y a pas encore de code déposé, mais les discussions vont bon train sur le forum du projet. Le projet de s'attaquer à Team System, gros morceau s'il en est, est particulièrement ambitieux mais NTeam reçoit un accueil assez favorable de la part de la communauté .NET. Souhaitons-lui bonne chance. (...)
Ajax, pour un Web plus ergonomique
Pour certains, Ajax aura autant d'impact que les premiers sites dynamiques à leur époque. Pour d'autres, ce n'est qu'une réédition de ce qui se fait déjà dans les clients riches en Java depuis des années.
Comme l'explique Jesse James Garrett, l'inventeur du concept, dans cet article d'introduction [Ajax : A New Approach to Web Applications, Ajax n'est pas une technologie nouvelle, mais un ensemble de technologies qui se combinent entre elles :
- Un moteur de présentation basé sur les standards en utilisant XHTML et CSS
- Un affichage dynamique et de l'interaction en utilisant le modèle DOM (Document Object Model)
- La transformation et la manipulation de données en utilisant XML et XSLT
- La récupération de données asynchrones en utilisant XMLHttpRequest
- Le langage de script JavaScript pour lier tout cela ensemble
Comme on peut le voir, il s'agit de standards largement implémentés dans les navigateurs d'aujourd'hui. Alors où se situe la différence avec les applications Web existante ? Ajax introduit l'asynchronicité dans la session Web.
Classiquement aujourd'hui, l'utilisateur clique sur un bouton et envoie une requête HTTP au serveur Web. Le serveur mouline un certain temps (il va chercher des données, effectue des traitements, les formate. Il génère une page HTML, il la renvoie au client qui peut alors l'afficher. Cette approche est techniquement d'une logique indiscutable. Cependant, alors que le serveur mouline, le client attend derrière son écran…
Avec l'approche Ajax, on introduit un intermédiaire ente le client et le serveur : le moteur Ajax. Paradoxalement, introduire un intermédiaire ne rend pas l'application moins réactive, au contraire. Ce moteur, écrit en JavaScript, se charge à la fois de faire le rendu de l'interface et de communiquer au serveur le comportement de l'utilisateur. Il permet une interaction avec l'utilisateur de manière asynchrone par rapport au serveur. Il n'attend pas que le serveur ait entièrement répondu à la requête pour continuer à afficher. Résultat : le temps d'attente est considérablement réduit et l'utilisateur n'a jamais l'impression d'attendre.
Pour s'en convaincre, il suffit d'aller visiter des sites qui utilisent Ajax : Google Groups, Google Suggest, Gmail. Moteur de recherche d'Amazon A9.com utilise des techniques similaires. Ce qui caractérise ces sites est leur incroyable fluidité.
Comme le fait remarquer un commentateur sur le site Application-Serveur.com, deux caractéristiques des interfaces clients conformes au modèle Ajax contribuent à la fluidité et à la réactivité : la suppression des affichages inutiles et l'accélération de la mise à disposition des informations provenant du serveur. Ce modèle de présentation implique une prise en compte du parallélisme des tâches dans la logique applicative client-serveur.
Pour l'heure, les implémentation sont encore rares. Citons SAJAX (en PHP), Rails (en Ruby), AJAX Wrapper for .NET (langages .NET). Un concept à suivre avec attention. (...)
Un atelier gratuit pour migrer de Java à .NET
Microsoft espère attirer les développeurs Java dans son camp .NET en proposant gratuitement un atelier de migration du langage de Sun vers celui de Microsoft : Java to .NET Framework Migration Workshop .
L'atelier, qui se pratique en ligne, comprend huit parties pour presque 15 heures de cours. Il fournit des informations détaillées pour la migration des applications existantes depuis Java vers le framework .NET. Il consiste en des présentations vidéo et des démonstrations, du matériel téléchargeable et des laboratoires de prise en main utilisant l'infrastructure MSDN Virtual Labs.
L'atelier explique comment mapper les fonctionnalités J2SE et J2EE vers leurs équivalents dans le framework .NET et décrit les outils et les techniques nécessaires à cette migration. Il distingue les techniques de migration manuelle et automatique entre Java et C#, la conversion de JavaBean, de classe de collection Java, de code JDBC. Un petit tour également vers le déploiement des applications. La conversion automatique couvre l'utilsiation des outils Java Language Conversion Assistant (JCLA), et le Visual J# Binary Converter (JBIMP). La migration des applications JDK 1.4 et J2EE occupe les dernières séances avec le mapping Java/J# et la compilation des applications Java avec J#.
Même si l'objectif à terme n'est pas de migrer, cet atelier pourra servir aux développeurs Java à se familiariser avec la plate-forme .NET, à comprendre les différences et les similitudes entre les deux plates-formes. (...)
IBM accompagne les entreprises dans le déploiement de SOA
La branche conseil et services d'IBM, IBM Global Services, vient de dévoiler une offre de services autour de l'architecture orientée service SOA, combinant à la fois la planification, le développement, et enfin la gestion d'un projet SOA. Objectif : aider les entreprises à basculer vers une architecture SOA, en résolvant les problèmes techniques liés à l'implémentation des applications métiers. Evoquant le lancement prochain de services de ce type, Jim Hilt, en charge de la stratégie SOA d'IBM Global Services, expliquait en janvier dernier que « tout le monde commence à comprendre qu'il n'est plus possible de modéliser un processus métier de bout en bout, mais qu'il faut le découper en composants ».
Concrètement, l'offre décortique le projet en cinq étapes. En amont, IGS, via Business Enablement Services for SOA, détaillera les besoins métiers de l'entreprise. Ou comment une architecture SOA pourrait répondre aux très sensibles « business processes » de l'entreprise.
Etapes suivantes : Design Services for SOA permettra d'ébaucher une infrastructure et d'établir un plan d'implémentation. La SSII coordonnera ensuite le déploiement via son offre Implementation Services for SOA.
Dernières étapes : Management Services for SOA devrait fournir les services de maintenance et contrôle de performance.
Pour gérer l'intégration des applications métiers – étape la plus sensible auprès des entreprises –, IBM a doté son offre d'un service baptisé Application Value Optimization. Son rôle sera d'évaluer chaque application métier, puis de la faire évoluer jusqu'à une architecture SOA.
La semaine dernière, SAP a lancé ESA (Enterprise Services Architecture Adoption Program) un programme incitant les entreprises à déployer des architectures SOA, et ainsi doper l'adoption de NetWeaver. (...)
Microsoft détaille les fonctions décisionnelles de SQL Server 2005
A défaut d'être à même de livrer SQL Server, Microsoft a détaillé la semaine passée les fonctions décisionnelles de la prochaine mouture de son SGBDR, SQL Server 2005. L'objectif de l'éditeur avec cette version est de fournir à ses utilisateurs des outils d'intégration, d'analyse et de reporting pour les aider à extraire des informations de leurs systèmes transactionnels sans avoir à recourir à des outils tiers.
En France, où Microsoft a accumulé les déconvenues face à Oracle -la pénétration de SQL Server dans l'hexagone est 2,5 fois inférieure au Royaume-Uni-, le BI pourrait être un argument de poids face à la concurrence. Pour Bernard Ourghanlian, le CTO de Microsoft France, les outils de BI intégrés seraient "en quelque sorte un cheval de Troie pour SQL Server". Il pourrait ne pas se tromper, Microsoft ayant choisi d'intégrer ces outils sans supplément de prix.
En fait, l'éditeur proposera quatre versions de SQL Server 2005, express, workgroup, standard et enterprise. Les éditions express et workgroup ne proposeront que des outils de business Intelligence limités. Les moutures standard et enterprise, quant à elles, intégreront un moteur d'analyse ainsi qu'un environnement de développement intégré pour l'intégration de données, des outils OLAP de datamining et des applications de reporting.
Une fonction clé selon Microsoft est Report Builder un outil d'interrogation et de reporting basé sur les technologies acquises lors du rachat d'Active Views. Report Builder permet à un utilisateur de créer et de modifier des rapports sans avoir à connaitre un langage d'interrogation. Une autre fonction mise en avant par le géant de Redmond est "infinite drilldown," qui permet de creuser à l'infini dans des rapports pour déterminer comment un résultat a été obtenu.
Même si les fonctions de BI sont inclues dans SQL Server, plusieurs analystes et consultants indiquent que leur utilisation nécessitera dans bien des cas de faire fonctionner plusieurs instance du logiciel et donc de payer plusieurs licences
Tous les grands acteurs des SGBD et la BI se prépare à l'affrontement à l'approche du lancement de SQL Server. En Mars 2005, IBM a annoncé le rachat d' Ascential Software pour 1;1 Md$ afin de doper ses outils de gestion de données. Oracle de son côté a amélioré les outils analytiques de son SGBD-R, Oracle 10g .
Pour autant, 61% des décideurs interrogés par Goldman Sachs indiquent qu'ils continueront à acheter leurs outils analytiques auprès d'un spécialiste comme Cognos, Business Objects ou Hyperion au cours des 12 prochains mois, tandis que 12% utiliseront ceux des vendeurs de SGBD. Les 27% restant s'appuieront quant à eux, sur les outils fournis par leurs vendeurs de progiciel comme SAP ou Siebel. (...)
Open Source : MySQL 5.0.3 en version beta
L'éditeur suédois MySQL AB annonce la disponibilité d'une version béta de la base de donnée open source MySQL 5.0.3, « la plus importante mise à jour majeure depuis 10 ans ». Selon l'éditeur, cette mouture devrait grossir la base d'utilisateurs de MySQL, et surtout se faire adopter par les entreprises, prochain eldorado convioté par l'éditeur. Jugée plus mure pour une utilisation professionnelle, MySQL 5.0.3 dispose de fonctionnalités (notamment les procédures stockées) qui devraient lui ouvrir les portes du commerce électronique et des entrepôts de données. Ambitieux, l'éditeur espère ainsi grignoter des parts de marché aux ténors du secteur, Oracle, IBM et Microsoft. Rappelons par ailleurs que MySQL a récemment refondu son support aux entreprises. Et propose également, via MySQL Network, une offre combinant le support et une série de services associés.
Pour l'heure, MySQL reste en téléchargement libre pour les plates-formes Linux, Solaris, Windows, AIX et Mac OS X . L'éditeur précise toutefois q'il ne s'agit pas d'une version à déployer « en production ». Et compte bien sur la communauté des développeurs pour résoudre tous les bogues.
La version finale est prévue d'ici la fin du deuxième trimestre 2005. (...)
HP et BA renforcent les liens entre Weblogic et Openview
BEA Systems a renforcé son alliance avec HP autour de weblogic et Openview. L'accord signé entre les deux sociétés prévoit un renforcement de l'intégration entre les deux logiciels afin de faciliter les déploiements communs par les clients. La plate-forme de BEA sera notamment intégrée à tous les niveaux avec les outils Openview et cette intégration sera validée dans le cadre du programme de validation de BEA. L'objectif est de permettre aux clients de déployer des architectures orientées services sur WebLogic tout en assurant le suivi de leur exploitation et un reporting complet au travers d'Openview. Des actions marketing commune sont également prévues et HP est élevé au rang de partenaire privilégié de BEA pour l'administration et la supervision. (...)
(29/03/2005 18:02:40)Plumtree lance Analytics Server, un outil d'analyse et de rapport pour portails
Plumtree, qui développe notamment le portail d'entreprise Plumtree Corporate Portal, lance, une solution d'analyse et de rapport en temps réel pour portail web. L'objectif, selon l'éditeur, est de remonter vers les administrateurs les informations liées à l'activité du portail (telles que l'analyse comportementale des utilisateurs, ou le temps de réponse), pour en optimiser les fonctionnalités.
Techniquement, Plumtree applique un système de filtres au niveau de chaque composant critique du portail. Les outils plus traditionnels basent, quant à eux, leur rapport sur l'analyse des log du serveur.
Plumtree Analytics Server supporte les portails bâtis sur ISS, Tomcat, WebLogic et Websphere Application Server. Plumtree commercialise sa solution à partir de 10 000$. (...)
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