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(19/05/2008 14:51:25)
Moonlight, la version libre de Silverlight fait ses premiers pas
L'un des fruits les plus célèbres de l'accord de collaboration controversé entre Novell et Microsoft , Moonlight vient de faire ses premiers pas publics. Cette adaptation de Silverlight fonctionne pour l'instant sous forme d'un plug-in pour Firefox sous Linux x86 et X64. A condition d'avoir installé la version 2 du navigateur. En effet, selon Miguel de Icaza, chef de projet Mono chez Novell, « certains changements dans Firefox 3 empêchent le fonctionnement de Silverlight et de Moonlight. Un script Greasemonkey peut contourner les bugs pour certains sites. » Ce n'est pas la seule restriction qui affecte Moonlight. L'application ne peut pour l'instant jouer ni les vidéos, ni certains sons, faute de codecs appropriés. Et elle ne reprend que les spécifications de Silverlight 1.0 (et non de la version 2.0 sortie plus récemment). Ce n'est même pas encore une version bêta Miguel de Icaza s'en explique en précisant que cette version de Moonlight « n'est pas Moonlight 1.0 mais la première publication du code source pour les contributeurs et les développeurs intéressés. Ce n'est même pas une version bêta, car nous n'avons pas encore installé toutes les fonctions. » De quoi s'agit-il alors ? D'une preuve que le travail continue et que le monde libre n'est pas abandonné, à l'heure où la version originale de Silverlight (destinée aux mondes Windows et Mac) souffre d'un déficit d'image et de quelques bogues avec les plates-formes de développement favorites de Windows. (...)
(07/05/2008 17:51:29)NetManage accepte l'offre d'achat de Micro Focus
Les 10 000 clients et 25 M$ en banque de NetManage sont finalement attribués à... Micro Focus. Editeur de logiciels de connectivité aux grands systèmes (Web-to-host) et de modernisation des applications, NetManage était de nouveau sur le marché, si l'on peut dire, depuis début mars après sa fusion avortée avec Rocket Software. Micro Focus, spécialiste des outils Cobol et des solutions de modernisation des applications mainframe, s'est empressé de jouer sa carte. L'accord conclu avec le conseil d'administration de NetManage est du même montant que celui prévu avec Rocket Software, à 7,20 $ par action. Toutefois, l'action de NetManage ayant augmenté entre-temps, la surprime est un peu moins élevée, mais reste confortable : 73%. En fait, nous a précisé Stephen Kelly, CEO de Micro Focus, « nous regardions NetManage depuis un an, et nous étions en discussion depuis plusieurs mois ». L'incapacité de Rocket Software à financer son acquisition a donc profité à Micro Focus qui, lui, n'a pas de souci de cash. D'après les résultats préliminaires, l'éditeur terminerait son année fiscale au 30 avril 2008 avec quelque 92 M$. « De quoi verser des dividendes aux actionnaires et financer des acquisitions », relève Stephen Kelly. 68% du chiffre d'affaires de NetManage repose sur le service - donc la maintenance Micro Focus propose en effet de payer en cash les 73,3 M$ proposés pour le rachat de NetManage. Sachant que l'acquisition est suspendue au fait que ce dernier devra disposer au moment du rachat d'au moins 25 M$, cela ramène le prix à environ 48 M$, soit guère plus que les 40,7 M$ que Micro Focus a déboursés pour s'offrir, il y a un an, son concurrent Acucorp. [[page]] Et les attentes financières envers NetManage sont relativement élevées. L'éditeur, concurrent de WRQ et Attachmate (rachetés et fusionnés par un fonds privé afin de collecter les revenus de maintenance), n'a pas des résultats particulièrement florissants ; voilà seulement trois trimestres qu'il parvient à se maintenir hors du rouge. Mais il génère déjà plus de 20 M$ par an en revenus de maintenance : le service compte pour 68% des 36,1 M$ de chiffre d'affaires réalisés par NetManage en 2007. Et Stephen Kelly d'expliquer que, à l'instar de ce qui a été fait pour Acucorp, la marge opérationnelle de NetManage sera portée à plus de 30%, « en ligne avec notre niveau de marge habituel ». Toutefois, le patron de Micro Focus insiste sur le fait qu'il ne s'agit pas d'une opération financière. « Notre croissance organique a été de 15% », indique-t-il, en avance sur la publication des résultats définitifs. « Avec un chiffre d'affaires de 226 à 228 M$ [contre 172 l'année dernière, NDLR], nous allons au-delà des attentes des analystes. » En termes de produits, le premier objectif de cette acquisition sera d'élargir l'offre d'ouverture vers les architectures orientées services (SOA) des applications anciennes, NetManage donnant en effet à Micro Focus une ouverture vers le monde des minis, de type AS/400, et Unix. Un atout, estime Stephen Kelly, face à une concurrence qu'il décrit comme très fragmentée, citant l'Irlandais Iona ou le Français Scort. (...)
(07/05/2008 11:47:35)JavaOne : Sun présente sa technologie de client riche JavaFX
JavaFX est - une nouvelle fois - la vedette de JavaOne. Formellement annoncée lors de l'édition précédente de la conférence de Sun consacrée à Java, la technologie pour applications Internet riches (RIA) a cette fois fait l'objet de démonstrations : possibilité de glisser-déplacer l'application depuis le navigateur vers le bureau, lecture de vidéos haute qualité, effets multimédias en tout genre... D'abord présenté comme un langage de script s'appuyant sur l'environnement d'exécution Java (JRE), JavaFX désigne désormais la plateforme de client riche, incluant aussi le moteur d'exécution et le framework pour la vidéo. Le kit de développement sera accessible aux développeurs en juillet, et la version 1.0 de JavaFX devrait sortir cet automne, mais uniquement pour les ordinateurs de bureau. La version adaptée aux mobiles est programmée pour le printemps 2009. Une démo de JavaFX mais pas de plan précis pour Android Sun rejoint ainsi de façon un peu plus précise les rangs de Microsoft et Adobe, qui positionnent respectivement Silverlight et le duo Flash/AIR sur le terrain des RIA. L'objectif, a rappelé Rich Green, vice-président exécutif de Sun Software, est de fournir une expérience unique - avec JavaFX, bien sûr - « sur tous les écrans de votre vie ». A noter que durant son intervention sur la scène de JavaOne, Rich Green a présenté une version de JavaFX tournant sur une émulation d'Android, le système d'exploitation basé sur Linux initié par Google et l'Open Handset Alliance. Cependant, le service de relation presse de Sun a vite précisé qu'il ne s'agissait en aucun cas d'une annonce produit, et que Sun n'avait aucun plan pour le moment incluant Android. Quant à l'iPhone, Sun s'est borné à indiquer que la balle était dans le camp d'Apple. Ce qui lui fait un autre point commun avec Adobe. (...)
(25/04/2008 17:54:42)Sun tente par tous les moyens de mettre du Java dans l'iPhone
Apple n'est pas très chaud pour laisser une machine virtuelle Java s'installer dans son iPhone. Le fabricant ne l'a pas exprimé officiellement, mais il fait la sourde oreille aux demandes insistantes de Sun. Qu'à cela ne tienne, Sun semble avoir trouvé le moyen de faire entrer les applications Java au chausse-pied dans le téléphone mobile d'Apple. Eric Klein, vice-président marketing Java de Sun, a expliqué que Sun travaillait avec Innaworks sur une solution de portage des applications Java ME (Mobile Edition) sur la plateforme iPhone. Innaworks a en effet annoncé fin mars un nouveau venu dans sa famille alcheMo - une suite d'outils de conversion de code, généralement utilisés par les développeurs de jeux - alcheMo pour iPhone (en version bêta). Les développements Java apparaîtraient ainsi comme des programmes natifs pour iPhone, distribuables via iTunes Store comme Apple le souhaite. Innaworks fera une démonstration de son produit dans deux semaines, lors de la conférence JavaOne. Toutefois, Sun ne perd pas espoir de faire fléchir Apple. « Nous sommes en discussion », a simplement indiqué Eric Klein. Qui ajoute : « Nul doute qu'un de nos objectifs, pour la plateforme Java, est de permettre à nos développeurs de cibler le plus grand nombre possible de téléphones. Or, de toute évidence, l'iPhone s'est avéré avoir beaucoup de succès, et nous voulons être sur cette plateforme. » (...)
(24/04/2008 17:11:53)Les mashups d'entreprise vedettes de la Web 2.0 Expo
La conférence d'O'Reilly consacrée au Web 2.0, qui se déroule en ce moment à San Francisco, tourne cette année essentiellement autour des mashups d'entreprise. Un concept défendu ardemment tant par les éditeurs spécialisés tels Kapow, Nexaweb ou Jackbe, que par les ténors de l'architecture logicielle, comme IBM, Tibco ou Oracle. Pour reprendre une définition communément admise, les mashups (également écrits mash-up) sont des applications composites légères, éventuellement mises au point par des non-informaticiens, combinant des sources de données et/ou des services applicatifs différents afin de fournir un service à valeur ajoutée. Pour la nouvelle version de son site, actuellement en bêta, ViaMichelin a ainsi réalisé un mashup en combinant ses propres services de calcul d'itinéraire et d'information trafic au service de représentation cartographique de Microsoft Virtual Earth. Positionner une information touristique sur une carte est en effet bien plus pratique pour l'utilisateur. Plus de 700 API de mashups identifiées De même, Information Builders propose dorénavant un mashup lié cette fois au service cartographique de Google, « pour développer rapidement des applications composites dotées d'indications géographiques et ne nécessitant aucune formation ou développement spécifique ». John Musser, qui maintient le catalogue en ligne de mashups ProgrammableWeb.com, est venu expliquer le concept sur la scène de la conférence Web 2.0. Il dit avoir ajouté à son catalogue 120 interfaces de programmation pour les trois premiers mois de l'année, ce qui porte le total d'API pour les mashups à plus de 700 (au 24 avril 2008, le total est de 732 API pour 2977 mashups). Pour lui, les entreprises ont quelque 18 à 24 mois de retard sur les particuliers dans l'utilisation de cette technologie. Aucune notion de qualité de service pour les mashups [[page]] De fait, les entreprises ont montré des réticences face à une technologie qui recourt aux protocoles les plus simples du Web (XML, RSS, Atom.) et qui ne répond donc pas aux normes habituelles du développement d'applications transactionnelles (intégrité, sécurité, disponibilité.). Le plus souvent, les services libres d'accès ne sont assortis d'aucune garantie en termes de qualité de service ni d'aucun moyen de supervision. Multiplication des solutions professionnelles de mashups Les barrières sont cependant en train de tomber, pour deux raisons. D'une part, les mashups mis en place rendent le plus souvent un service décorrélé de la notion de transaction, et peuvent donc être gérés de façon plus légère (pas trop non plus : un utilisateur mécontent du service ne reviendra pas ou ne se transformera pas en acheteur). D'autre part, les offres professionnelles se structurent. Au début du mois, IBM lançait son Mashup Center et WebSphere sMash comme une extension naturelle de son offre d'infrastructure SOA (Architecture orientée services). Twinsoft annonce opportunément aujourd'hui le lancement d'une nouvelle version de son Convertigo Enterprise Mashup Server, qui permet d'exposer des services à partir de l'existant, et de les combiner en applications composites. Présent à la conférence O'Reilly, Jackbe a présenté la version 2.0 de Presto, dont le rôle est de convertir des mashups en « mashlets », des composants à utiliser - comme les « portlets » - dans des portails, que ce soit sur PC ou sur mobile. Et Serena a de son côté présenté son projet de place de marché pour les mashups, Mashup Exchange. A noter tout de même, d'après une étude Forrester sur le marché du Web 2.0 publiée juste avant la conférence, le business des mashups devrait représenter nettement moins que celui des réseaux sociaux. (...)
(23/04/2008 15:52:33)Avec Live Mesh, Microsoft adapte son Porte-documents au Web 2.0
Accéder à ses fichiers de façon transparente sur n'importe lequel de ses appareils (PC de son domicile, ordinateur portable du travail, téléphone mobile...), connecté ou non, telle est la promesse de Live Mesh, une plateforme introduite par l'architecte en chef de Microsoft, Ray Ozzie. A l'image du porte-documents des anciennes versions de Windows, Live Mesh offre de synchroniser ses fichiers, mais en tirant parti des nouvelles possibilités techniques offertes par le Web : stockage en ligne, centralisation de l'authentification, partage avec des amis, flux d'informations et alertes, etc. Ainsi, un document mis à jour sur tout appareil du réseau maillé sera automatiquement dupliqué et/ou synchronisé sur les autres terminaux. Les formats de publication (flux RSS Atom, technologie Rest) laissent aussi entrevoir la possibilité de mettre à jour ces fichiers sur les réseaux sociaux. Relativement discret jusqu'ici, Ray Ozzie avait brièvement évoqué lors de la conférence Mix (en mars dernier à Las Vegas) le principe de Mesh, un terme emprunté au vocabulaire des réseaux, désignant les réseaux maillés. Aujourd'hui, Microsoft dévoile une 'technology preview' de cette plateforme, une étape qui permet de commencer à tester la technologie et à recueillir des commentaires avant la réalisation d'une bêta. Une étape importante dans la stratégie S+S de Ray Ozzie A la fois logiciel et service, Live Mesh s'inscrit dans la stratégie S+S (Software plus services) de l'éditeur définie par Ray Ozzie, qui a succédé à Bill Gates pour participer à la transition du modèle économique de l'éditeur. En ce sens, Live Mesh apparaît donc beaucoup plus stratégique qu'un simple service de synchronisation ou de stockage en ligne. Soucieux de montrer l'évolution de Microsoft vers les applications Web tout en préservant l'importance des logiciels installés sur les appareils accédant au Web, Ray Ozzie explique qu'il faut considérer le Web non pas comme une fin en soi, mais comme un hub servant à relier ses terminaux. Dans un memo aux employés de Microsoft, Ray Ozzie explique ainsi : « Pour les individus, le concept de 'mon ordinateur' cèdera la place au concept de 'maillage personnel d'appareils' - une façon de rassembler l'ensemble de ses appareils et de les gérer via le Web comme un tout. Une fois qu'un appareil sera identifié comme vous appartenant, alors l'ensemble de ses réglages de configuration, ses applications et leurs propres réglages ainsi que les données qu'il héberge seront disponibles et synchronisés au travers du réseau maillé. » Seuls XP et Vista sont supportés pour l'instant [[page]] Pour l'heure, cette 'preview' accessible à quelques milliers d'utilisateurs américains n'est disponible que sur Windows XP et Vista. Mais, précise sur son blog Amit Mital, qui dirige l'équipe Live Mesh, l'objectif est d'élargir le nombre de clients possibles, en commençant par les Mac et les appareils mobiles. En théorie, dans la mesure où les protocoles d'échange utilisés sont standards et les interfaces de programmation (API) ouvertes, il devrait être possible à un tiers de réaliser son propre client. Toutefois, les modalités en termes de licence ou de conditions tarifaires « ne sont pas encore déterminées », indique Laurent Ellerbach, responsable marketing de la division Plateforme et écosystème de Microsoft France. Licence et conditions tarifaires restent à préciser De même, Laurent Ellerbach précise qu' « il faudra une authentification Windows Live ID ». Avant d'ajouter qu'il est « possible que cela s'ouvre à d'autres technologies ». Même flou sur la partie stockage en ligne. Si les 5 Go alloués le seront sur Skydrive, rien n'empêche, toujours théoriquement, un service tiers de s'insérer dans ce maillage. « C'est possible technologiquement, mais pas encore déterminé », explique Laurent Ellerbach. L'inclusion de mobiles dans ce maillage fera aussi naître d'autres questions, notamment du fait des limitations en bande passante et en quantité d'octets transférés. « On n'en sait pas plus pour l'instant, indique Laurent Ellerbach. J'imagine qu'il sera possible de choisir ce qu'on veut synchroniser en fonction de critères comme la taille du fichier, la date de mise à jour... » Le financement du service par la publicité ou via un abonnement n'est pas non plus déterminé. « C'est un début, conclut Laurent Ellerbach. Il n'y a pas de date de sortie, justement pour se laisser le temps de s'adapter. » (...)
(23/04/2008 15:39:31)Sun voudrait un Java 100% libre
Sun aimerait voir sa plateforme Java davantage utilisée dans le monde Linux et même packagée avec la plupart des grandes distributions. Pour ce faire, il s'attèle à « nettoyer » le code pour de Java pour qu'il devienne entièrement Open source. Selon Sun, il ne resterait que 4% à passer vers une licence GPL, comprenant principalement des libraires de cryptage, des librairies graphiques, le moteur sonore et certains composants SNMP. En attendant, la société travaille avec les principaux distributeurs Linux (Fedora, OpenSuse et Ubuntu) afin de livrer une mise à jour de son OpenJDK, la plateforme opensource de Java, pour les principales distributions de l'OS. « Nous espérons voir prochainement du mouvement dans les distributions Linux, peut-être dès JavaOne (NDLR : la conférence JavaOne aura lieu à San Francisco du 6 au 9 mai 2008), espère Rich Sands, responsable du développement marketing chez Sun. Nous essayons d'emmener Java vers des endroits où il ne s'est jamais introduit. En l'absence de version 100% Open Source, certains développeurs Linux ont préféré bâtir leurs application avec du C, du C++ ou du PHP. » (...)
(18/04/2008 12:22:55)Silverlight supportera les DRM avant la fin de l'année
Sur le Web, l'offre de monétisation n'est jamais loin de l'offre technologique. Afin de faire de son client riche Silverlight le support idéal pour des accords commerciaux avec des producteurs de contenu, Microsoft a annoncé le support des DRM « plus tard dans l'année ». Le système de protection du contenu numérique (DRM, Digital rights management) concernera « uniquement le mode connecté pour l'instant », prévient Marc Jalabert, directeur de la division Plateforme et Ecosystème, autrement dit la vidéo en streaming et en téléchargement progressif. L'offre, intitulée 'Silverlight DRM, Powered by PlayReady', est compatible avec Windows Media DRM 10. Elle est en démonstration cette semaine au NAB Show 2008 de Las Vegas, qui réunit les créateurs, producteurs et distributeurs de contenu. Plusieurs partenaires de Microsoft ont déjà exprimé leur intérêt, dont Paramount Pictures. Avec Silverlight, Microsoft joue pour une fois les challengers face au mammouth du secteur, Flash d'Adobe. Marc Jalabert reste humble devant la base installée de Flash, qui équipe la quasi-totalité des PC dans le monde, mais précise que le plug-in Silverlight est téléchargé au rythme de 1,5 million d'exemplaires par jour. (...)
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