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Développement
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(17/04/2008 17:38:25)
Microsoft rejoue Mix au public français
Microsoft a proposé aujourd'hui au public français un « Remix », autrement dit une édition adaptée de l'événement Mix, qui s'est déroulé il y a un mois à Las Vegas. Pas d'annonce à se mettre sous la dent, donc, dans la mesure où les bêtas de Silverlight 2 (et sa déclinaison pour mobiles) et de SSDS ont été lancées le mois dernier. Mais des témoignages clients et des démonstrations à foison. Pour rappel, alors que la première version du plug-in pour navigateur Silverlight se contentait d'offrir un espace d'exécution graphique, la version 2 embarque l'environnement .Net, ce qui ouvre la voie à des applications évoluées offrant une interface de type client Internet riche (RIA, Rich Internet Application). SSDS, de son côté, ou SQL Server Data Services, est une offre en ligne, ou « in the cloud », s'appuyant sur la base de données SQL Server. L'objectif de cette rencontre parisienne est de montrer au millier de designers, développeurs et businessmen inscrits - trois sessions parallèles leur étaient proposées - ce qu'il est possible de faire aujourd'hui avec les technologies Microsoft pour améliorer l'attractivité et in fine la rentabilité des sites Web. Malgré l'offre de monétisation dorénavant mise en avant par Microsoft au même titre que les technologies, certains exemples laissent dubitatifs quant au modèle économique. Seesmic, la plateforme de blog vidéo de Loïc Le Meur, est ainsi un bel exemple d'applications de ces technologies sur le mobile, mais sans indice évident sur le financement. D'autres cas d'utilisation sont une simple transposition du modèle économique préexistant, tel M6Replay, qui permet pendant quelques jours de visionner un programme manqué sur la chaîne en le faisant précéder d'un spot publicitaire. D'autres, comme Quiksilver ou cdiscount, tentent d'innover avec une autre façon de présenter ce qu'ils ont à vendre. [[page]] Deep Zoom pour les photos, Silverlight pour la vidéo Parmi les autres clients de ces technologies, citons pêle-mêle la Fnac, le Cirque du soleil, Coca-Cola, Aston Martin, Gucci, et même Double Click, régie publicitaire désormais sous la férule de Google. Constellation, start-up du programme Idées, montre comment Silverlight peut aussi servir de client de mash-up (combinaison de services Web) : son offre associe son service de guide touristique et de réservation d'hôtels au service en ligne de cartographie proposé par Microsoft, Virtual Earth. Toutefois, lors d'une récente manifestation IBM à Las Vegas, Harley Davidson avait montré un outil similaire, destiné à ses clients bikers, aussi convaincant sans plug-in graphique spécifique pour le client. A noter que parmi ces présentations de cas clients se cache une application d'une technologie tombée dans l'escarcelle de Microsoft lors du rachat de Seadragon (à qui l'on doit PhotoSynth et sa vision à plusieurs angles d'Endeavour) : Deep Zoom. Le Défi Wind de Gruissan, compétition de planche à voile à Gruissan (dans l'Aude), l'utilise pour naviguer au sein de son fonds iconographique, en sus des vidéos. « Ils avaient des centaines de photos haute définition pas exploitées, commente Marc Jalabert, directeur de la division plateforme et écosystème de Microsoft France - et lui-même véliplanchiste compétiteur. Cela donne des idées à beaucoup de monde : rendez-vous dans quelques mois ! » En attendant, le test à grande échelle de Silverlight sera ce que met en place NBC pour les Jeux olympiques de Pékin. Le network américain utilisera le Web et Silverlight pour diffuser en direct (enfin, selon ce que permettront les autorités chinoises...) les compétitions, avec des possibilités de visualisation en plein écran, de modules d'information contextuels, d'incrustation de vignettes vidéo pour suivre d'autres sports, etc. (...)
(14/04/2008 12:31:20)La start-up française Iminent lève 2,4 millions d'euros
La start-up parisienne Iminent vient de réaliser un second tour de table d'un montant de 2,4 M€ auprès de son investisseur 360 Capital Partners, rejoint par I-Source, « séduit par le succès grandissant d'Iminent [NDLR : auprès de bêta-testeurs privés] », d'après Francis Cohen, président de la société. Iminent.com est une plateforme de services et d'extensions pour les utilisateurs de messagerie instantanée (comme celle de Windows ou de Yahoo). Elle leur permet d'enrichir leurs conversation et de créer du contenu (vidéo par exemple). La société, lancée en 2006 par les anciens fondateurs de Kiwee (un site de téléchargement d'avatars, d'émoticônes), avait déjà levé 3 M€ l'an dernier auprès de 360 Capital Partners. « Cette deuxième levée de fonds nous permettra de développer de nouveaux services, mais également de nous attaquer au marché américain », précise Francis Cohen. (...)
(14/04/2008 12:19:54)Cisco transforme ses routeurs en serveurs d'application
Cisco se lance sur le marché des serveurs d'applications sous Linux avec sa Cisco Application eXtended Platform (AXP). Associant matériel et logiciel, celle-ci va transformer les routeurs ISR (Integrated Services Routers) et WAAS (Wide Area Applications Services) de Cisco en serveurs d'application. Il suffit de brancher le module AXP sur l'un des routeurs. Bien que le système d'exploitation au coeur d'AXP soit une distribution maison de Linux, Cisco Hardened Linux, cette plateforme propose un ensemble de librairies standard en C, Python ou Java pour accueillir presque n'importe quel type d'application. (...)
(11/04/2008 17:44:41)STMicroelectronics et NXP unissent leurs activités sans fil
Le fondeur franco-italien STMicrolectronics (STM) va fusionner ses activités dans le domaine des technologies sans fil avec celles du néerlandais NXP, en créant une joint-venture dont il contrôlera 80% du capital. En déboursant 1,55 Md€ cash dans cette opération, STM créé ainsi une société qui devrait figurer parmi les leaders du marché, derrière Intel, Texas Instrument ou encore Qualcomm, les trois géants des puces pour périphériques sans fil. La nouvelle société devrait employer 9000 personnes (STM emploie 50 000 personnes dans le monde), et son siège social se situera en Suisse. Aussitôt l'opération annoncée, Christine Lagarde, ministre des Finances, s'est félicitée de ce partenariat : « L'accord conclu avec NXP s'inscrit dans la vision stratégique commune aux actionnaires publics italiens et français de STMicroelectronics, reposant sur un modèle intégré de recherche et de production ». De fait, les composants pour périphériques sans fil représentent un marché important de 14% du total des puces vendues dans le monde, STM et NXP ayant généré ensemble un chiffre d'affaire de 3 milliards de dollars sur ce segment en 2007. Selon Leif-Olof Wallin, vice-président de la recherche chez Gartner, cette annonce n'est pas une surprise : " les fournisseurs de composants ont été soumis à une grande pression sur les prix. S'unir est une façon d'y faire face." (...)
(09/04/2008 12:16:33)Impact 2008 : IBM repeint son SOA en vert
Qu'on se le dise, les architectures orientées services (SOA) peuvent aussi contribuer à lutter contre le réchauffement planétaire. En tout cas, c'est le discours qu'a tenu IBM, qui a placé la deuxième journée de sa conférence utilisateurs sur les SOA (Impact 2008, du 6 au 11 avril à Las Vegas) sous le signe du « Green ». Plusieurs responsables d'IBM ont rappelé les efforts entrepris sur ce thème depuis quelques temps, à commencer par le projet Big Green. Annoncé en mai dernier, Big Green formalise l'engagement de Big Blue de mettre ses datacenters au vert ; concrètement, il s'agit de doubler leur capacité en termes de puissance sans augmenter la consommation énergétique ni l'impact sur l'environnement. « Depuis, est intervenu Rich Lechner, vice-président Systèmes d'entreprise, nous avons aidé 2000 clients à faire de même. [.] Et il est important de noter que pour 1 dollar économisé en énergie, ce sont 6 à 8 dollars économisés sur les coûts opérationnels. » Websphere pour le côté 'green IT', la SOA pour le 'green computing' Dans ce contexte, les SOA auraient un rôle à jouer, tant pour ce qui est du 'Green IT' (en aidant à rendre le service informatique écologiquement correct) que du 'Green computing' (en fournissant les moyens applicatifs de mieux maîtriser son impact sur l'environnement). Côté 'Green IT', IBM met en avant l'édition Virtual Enterprise de Websphere (connu auparavant sous le nom XD, pour Extended Deployment) qui gère les ressources virtualisées, et permet donc une utilisation plus efficiente des serveurs.[[page]] Pour ce qui est du 'Green computing', IBM dit avoir utilisé ses offres de SOA et de BPM (gestion des processus métier) d'abord pour mettre au point des applications de supervision de l'impact environnemental de ses processus, puis pour optimiser certains d'entre eux. John Soyring, vice-président solutions et logiciels, et membre du bureau exécutif d'IBM pour l'énergie et l'environnement, a montré au public réuni dans la salle de spectacle du MGM Grand de Las Vegas des captures d'écran de la console de supervision. il a notamment affiché la consommation énergétique et le degré d'émission de gaz carbonique de chaque processus. Pour lui, il s'agit d'un préalable indispensable : « Si vous ne savez pas ce que consomme un processus, il est certain que votre comportement ne pourra pas changer. » John Soyring a expliqué ensuite comment IBM avait pu réduire sa facture énergétique de sa chaîne d'approvisionnement - mais aussi son efficacité opérationnelle. Un client d'IBM, petit producteur d'électricité du Delaware, a aussi expliqué comment la SOA lui avait permis de suivre en temps réel son activité, et d'ajuster au mieux sa production. Le public a enfin eu droit à l'avant-première du prochain spot télévisé de publicité d'IBM, consacré au 'green IT'. Grand symbole : la couleur y fait son apparition. (...)
(09/04/2008 08:40:42)Impact 2008 : IBM mixe mashups et SOA
Les langages de script, le style Rest et l'assemblage de services (mashups) ont officiellement fait leur entrée dans la famille Websphere. IBM a en effet annoncé lors d'Impact 2008, sa conférence utilisateurs sur les architectures orientées services (SOA), la disponibilité en bêta d'un environnement complet pour produire des services applicatifs de type widgets et permettre à des non informaticiens de les assembler. Un concept déjà exploré par Oracle/BEA, Tibco, Microsoft ou encore dernièrement Serena Software. « Mais avec un atout du côté d'IBM », remarque Mathieu Poujol, consultant chez PAC, présent lui aussi à Las Vegas : sa capacité à manipuler les sources de données grâce aux technologies de sa division Information Management. IBM promet que son Mashup Center, dont la version bêta sortira mi-avril, sera accessible à tout type d'utilisateur métier ayant le désir de créer lui-même une application Web pour un besoin précis. Il devrait être possible, par exemple, d'associer une liste de points de vente avec un service de géolocalisation, sans coder mais en recourant à de simples glisser-déposer. L'idée, explique IBM, est de fournir un outil contrôlé à des utilisateurs qui, sinon, devraient soit attendre le cycle normal des évolutions fonctionnelles, soit passer outre et créer des choses de façon totalement anarchique, donc potentiellement dangereuses. Project Zero débattra des prochaines versions de Websphere sMash Néanmoins, qui dit environnement contrôlé dit aussi participation du service informatique, appelé à exposer les diverses fonctions applicatives et sources de données. Pour les développeurs, IBM propose là encore un outil Web, Websphere sMash (avec un grand M pour bien signifier qu'il s'agit de mash-up). En bêta pour l'instant avant un lancement prévu d'ici juin, sMash est la version 1.0 de Project Zero. IBM avait lancé ce projet en juin 2007, sous forme d'un site Web ouvert à la communauté. Il ne s'agissait pas d'en faire un projet Open Source, mais de recueillir les avis des utilisateurs potentiels, développeurs en entreprise mais aussi éditeurs et intégrateurs. Project Zero restera d'ailleurs ouvert afin de continuer à remplir cette fonction pour les futures versions de sMash. Jason McGee, architecte en chef de Websphere sMash, explique que si la plateforme sMash a été bâtie en Java, il était dès le départ évident qu'elle offrirait aux développeurs la possibilité de coder avec un langage de script. « Pour faire notre choix, explique-t-il, nous avons cherché les communautés les plus nombreuses. Il y en avait deux, PHP et Java. Nous avons donc choisi PHP et Groovy, dont la syntaxe est très proche de celle de Java. » [[page]] Pour Jason McGee, il ne s'agit que d'une étape dans un plan stratégique plus vaste, qui consiste à s'inspirer de ce qui se pratique dans le monde du Web 2.0 pour le diffuser au sein des solutions d'IBM. Y compris dans la famille SOA, d'où cette annonce pendant Impact 2008. « Il a toujours été clair que les SOA étaient bien plus que WS-* », indique ainsi Jason McGee, faisant référence à la pile de standards encadrant les services Web. IBM, grand supporter de ces technologies, s'est mis à apprécier Rest (Representational state transfer), un style de programmation beaucoup moins complexe tirant parti des protocoles déjà en place pour le Web, tels que les liens hypertextes ou les abonnements à des flux XML. « Nous exposerons de plus en plus de services sur un mode Rest, poursuit Jason McGee, qu'il s'agisse d'EJB, de MQ. » IBM adhère maintenant au concept de « Restful SOA » IBM est donc désormais confronté à un double challenge en termes de marketing. D'une part, il lui faut déterminer qui poussera cette solution de mashup auprès des clients, sachant que plusieurs divisions sont impliquées dans sa conception, fait observer Mathieu Poujol : Lotus, pour l'aspect collaboratif, Websphere, pour la plateforme d'exécution, Information Management, pour l'accès aux sources de données (le concept d'Infosphere). Second challenge : le positionnement de cette offre dans une stratégie SOA globale. IBM commence en effet à parler de « Restful SOA », autrement dit de réaliser des développements de type architecture orientée services beaucoup plus simplement que ce qui se fait actuellement. En ce cas, comment justifier les efforts humains et financiers consentis pour mettre un système d'information aux normes de la SOA ? Premier élément de réponse, cette « Restful SOA » ne s'adresse qu'à des applications Web, proches de l'utilisateur. Ensuite, précise Jason McGee, cela convient si le premier critère est la rapidité de développement. « En revanche, si vous misez sur la flexibilité et la longévité, alors cela justifie un temps de développement plus long. » On ajoutera que l'intégrité des transactions, sur laquelle Steve Mills, vice-président d'IBM Software, a lourdement insisté dans son discours d'ouverture la veille, reste l'apanage des solutions de SOA classiques. (...)
(08/04/2008 04:00:18)Impact 2008 : IBM entame sa conférence SOA avec du 'business event processing'
C'est dans la grande salle de spectacle de l'un des grands hôtels-casinos de Las Vegas qu'IBM a donné lundi le coup d'envoi d'Impact 2008, un cycle de conférences d'une semaine réunissant 6000 utilisateurs et partenaires pour parler de SOA (architectures orientées services). Ou plutôt de « Smart SOA », comme IBM a choisi d'appeler son offre, afin, comme l'a dit l'humoriste invité par IBM pour animer la conférence d'introduction, « de se distinguer des concurrents qui vendent probablement de la SOA stupide ». Après plusieurs saynètes allant du ridicule au sublime, donc tout à fait dans le ton de ce qui se pratique à Las Vegas, une brochette de dirigeants d'IBM Software se sont succédé afin de présenter la logique derrière ce « smart » et ce que les clients peuvent attendre dans les prochains mois. Des modules fonctionnels et verticaux pour accélérer les SOA Robert Leblanc, directeur général de la branche Global consulting services, a par exemple insisté sur la prise en compte des spécificités des entreprises. Cela se traduit par l'introduction de deux « key agility indicators », ou indicateurs clés d'agilité, censés aider à mesurer son degré d'agilité dans un domaine particulier. Ces indicateurs ont été élaborés à partir d'enquêtes menées auprès des clients : 400 répartis dans 31 pays pour le KAI sur la gestion des ressources humaines, 9 000 répartis dans 71 pays pour le KAI sur la gestion de la chaîne logistique. Autre module vertical lancé aujourd'hui, un « customer care and insight framework » destiné aux établissements financiers, pour mettre en place une vue unifiée du client. Tom Rosamilia, directeur général IBM Websphere (qui avait justement annoncé le concept de Smart SOA lors de notre dernier SOA Forum), s'est octroyé le beau rôle en apportant, pour les 10 ans de Websphere, deux cadeaux : BPM Suite et Websphere Business Events. [[page]]Le premier constitue, pour reprendre la rhétorique d'IBM, deux points d'entrée dans les Smart SOA, selon que l'on parle de gestion de processus applicatifs s'appuyant sur la plateforme Websphere, ou de gestion de processus liés à du contenu, s'appuyant cette fois sur la plateforme FileNet. IBM veut mettre la gestion des événements dans les mains des utilisateurs Le module de gestion des événements, Websphere Business Events, est plus novateur : il s'agit cette fois d'introduire les technologies héritées d'AptSoft dans un outil plutôt destiné à des utilisateurs métier. « C'est la grande différence avec ce que pratiquent les concurrents », nous a confié par la suite Jerry Cuomo, vice-président et directeur technique Websphere. Oracle, Tibco ou Progress (qui a racheté Apama dans ce domaine) parlent depuis longtemps de gestion des événements complexes (CEP, complex event processing), une technologie qui permet de déclencher des processus en fonction de règles, à partir de l'analyse des flux d'informations et des transactions. AptSoft, justement, mettait cette technologie au service des banques pour repérer les tentatives de fraude, mais aussi pour améliorer leur relation client. « IBM, explique Jerry Cuomo, va au-delà, en permettant aux non informaticiens d'écrire les règles métier. C'est une autre façon d'aligner le métier et l'informatique. » Du coup, IBM parle plutôt de Business Event Processing. Plus classiquement, Steve Mills, vice-président senior d'IBM Software, a rappelé qu'un des grands éléments différentiateurs de l'offre SOA d'IBM est sa capacité à assurer l'intégrité de forts volumes de transactions. Mais il ne craint pas le grand écart, et assure aussi que la simplicité est prise en compte : une annonce en ce sens est programmée pour le deuxième jour de la conférence. (...)
(08/04/2008 11:04:54)Impact 2008 : Wintergreen crédite IBM de 64% du marché des middlewares SOA
L'étude « Services Oriented Architecture (SOA) Infrastructure Market Shares Strategies, and Forecasts, 2008 to 2014 » de Wintergreen Research est tombée à point nommé pour IBM : dévoilée quelques jours avant le lancement de la conférence utilisateurs Impact à Las Vegas, elle crédite IBM d'une part de marché de 64%, alors qu'aucun des concurrents éditeurs de middleware ne dépasse les 8% ! Même avec l'absorption de BEA, Oracle n'arrive ainsi, selon Wintergreen, qu'à 7%, au même niveau que Tibco. Trois acteurs atteignent ensuite les 4% : Software AG, Microsoft et Progress Software (voir le tableau ci-dessous). 64%, c'est « 11 points de mieux que l'année dernière », a remarqué Sandy Carter, vice-présidente d'IBM SOA et Websphere, qui ne s'est pas privée d'évoquer cette étude lors de son discours d'introduction. Elle a également précisé que l'offre SOA d'IBM comptait maintenant 6 550 clients, un nombre en augmentation de 46% par rapport à l'édition 2007 d'Impact. (...)
(08/04/2008 10:57:41)Impact 2008 : IBM lance un réseau social des spécialistes SOA
Qui a dit que Web 2.0 et SOA n'allaient pas ensemble ? Pas IBM qui a profité du lancement de sa conférence Impact 2008 pour annoncer l'ouverture prochaine d'un réseau social SOA. IBM souhaite en effet s'appuyer sur les outils existants, de type Facebook, Twitter ou Second Life, pour rassembler les diverses communautés ayant les architectures orientées services comme point commun. « Nous avons une population de 120 000 développeurs et architectes, 134 universités enseignant les SOA, et plus de 5 000 partenaires », a rappelé Sandy Carter, vice-présidente d'IBM SOA et Websphere. Ces communautés sont désormais invitées à entrer en contact, pour échanger conseils et bonnes pratiques. Autre intérêt, explique Sandy Carter, cela permettra d'inclure d'autres types de profils, tels que des experts métier. Chaque participant devra en effet définir son rôle, et des rôles non techniques sont prévus. Les SOA sont, il est vrai, autant affaire de technique que de changements organisationnels. En attendant l'ouverture du réseau social, les participants à Impact présents à Las Vegas, mais aussi tous les clients et partenaires IBM dans le monde, sont invités à une session de discussions en ligne, un « Smart SOA jam ». (...)
(07/04/2008 15:03:57)Sun prolonge le support de J2SE jusqu'en 2017
Annoncé dès décembre 2006, l'arrêt du support de J2SE (Java Standard Edition) 1.4 était prévu pour le 30 octobre prochain. Mais il semblerait que Sun ait finalement changé son fusil d'épaule. L'éditeur propose désormais un contrat qui étend la durée de vie jusqu'en 2017 du framework Java destiné aux applications pour poste de travail. Le support gratuit ramené de 6 à 3 ans Baptisé « Java SE for Business », le programme prévoit deux options : support sur 10 ou 15 ans, avec, pour chaque durée, un tarif spécifique. Sur 10 ans, le service démarre à 10 dollars par utilisateur et par mois. Pour un support de 15 ans, il faut prévoir 12,5 dollars sur les mêmes bases mais les entreprises auront alors droit à des correctifs personnalisés, facturés en plus. En contrepartie, Sun ramène la durée du support gratuit de six à trois ans seulement. Pour les entreprises qui ne souhaitent pas s'engager dans un support payant, Sun a également prévu d'intégrer toutes ses mises à jour dans OpenJDK (sources librairies, compilateur et machine virtuelle java). Cette nouvelle politique de support devrait être appliquée à toutes les versions de Java à partir de la 1.4.2. (...)
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