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Développement
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(31/10/2007 16:08:22)
SAFECode, une association pour la qualité logicielle
Quel point commun existe-t-il entre EMC, Symantec, Juniper networks, Microsoft et SAP ? Ces cinq éditeurs ont tous - un jour ou l'autre - vu leurs logiciels remis en cause en raison de vulnérabilités informatiques. Ils ont donc décidé de créer une association, la SAFECode (pour Software Assurance Forum for Excellence in Code), qui aura pour objectif d'améliorer la fiabilité des produits et services informatiques, en généralisant les modèles d'assurance qualité pour logiciels. En clair, il s'agit de regrouper dans un pôle commun toutes les bonnes pratiques de développement et d'intégration des logiciels que chaque éditeur a développés de son côté avec ses clients. Paul Kurtz, analyste chez Good Harbor Consulting et ex-directeur de CSIA (Cyber Security Industry Alliance), prendra la tête de cette association. « L'assurance logicielle est un élément critique pour sécuriser les écosystèmes informatiques. SAFECode répond à la demande croissante des utilisateurs pour plus d'information et de dialogue sur l'assurance logicielle et pour faire progresser la confiance du public dans les technologies de l'information et les produits et services de télécommunication », affirme Paul Kurtz, directeur exécutif de SAFECode. Outre un partage des informations entre tous les membres de l'association, SAFECode interviendra également auprès des gouvernements pour les sensibiliser afin d'obtenir des standards clairs de qualité logicielle. Aucune date n'a encore été annoncée pour la publication de premières bonnes pratiques communes. (...)
(31/10/2007 10:47:05)Un test pour mesurer la performance des middlewares JMS
L'association professionnelle Spec (Standard performance evaluation corporation) annonce la mise au point du test SPECjms2007. Ce test devra permettre de mesurer les performances des middlewares orientés messages (MOM) qui utilisent Java Message Service. JMS (Java Message Service) est l'implémentation en Java des technologies d'échange asynchrone de messages entre applications. Elle est donc supportée par la grande majorité des MOM, celui de Sun évidemment, mais aussi de BEA, IBM et Oracle, ainsi que plusieurs acteurs de l'Open Source dont Red Hat. On retrouve Sun, BEA, IBM et Oracle dans la liste des acteurs ayant collaboré à la mise au point du test SPECjms2007, aux côtés de l'université allemande Technische Universitat Darmstadt et de la Fondation Apache. (...)
(30/10/2007 18:04:00)L'OpenDocument Foundation lâche ODF pour CDF
« Après des mois de tests, nous croyons que le format CDF du W3C répond, et même au delà, aux besoins du marché. Et cela, sans le recours à des extensions propriétaires [...] nécessaires pour la conversion de documents, d'applications et de processus vers ODF. » Le couperet est tombé. Après cinq ans d'existence et de soutien du format de fichier ODF (OpenDocument), l'OpenDocument Foundation jette l'éponge et abandonne simplement le support du format qui lui avait prêté son nom, au profit de CDF (Compound Document Format) soutenu par le W3C. La faute à des raisons techniques, d'abord, mais également à des dissensions à l'Oasis, l'organisme qui le développe. Puis enfin, à Sun. L'OpenDocument Foundation, dont la mission principale est de soutenir un format universel prônant l'interopérabilité, avait, il y a cinq ans, opté pour ODF, estimant qu'il correspondait davantage à leur définition du standard que les autres technologies du marché. L'OpenDocument Foundation est membre de l'OpenDocument Alliance qui, quant à elle, fédère les supporters d'ODF. Si l'organisme raconte sur son site comment il a été amené à prendre sa décision, Sam Hiser, vice-président de la fondation explique sur son blog que CDF est un format universel plus viable qu'ODF. Concrètement, CDF répond davantage à la « charte d'interopérabilité » de la Foundation en garantissant une meilleure compatibilité avec Open XML, le format de Microsoft, mais également en termes de convergence entre desktops, serveurs et périphériques, de portabilité et de d'indépendance des fournisseurs. « Sun ne s'intéresse qu'à son application » Interrogé par nos confrères d'IDG News Service, Sam Hiser admet que des tensions à l'Oasis ont barré la route à l'adoption du standard dans les entreprises. Des dissensions qui ne sont pas en ligne avec la mission de l'organisme. Une importante part des responsabilités incomberait, selon lui, à Sun qui a donné des signes clairs en février, qu'« il était plus intéressé à rendre sa propre version de StarOffice interopérable avec les formats de Microsoft Office ». Et d'aller plus loin, en suspectant le constructeur et l'accord de 2 Md$ qu'il a noué avec Microsoft, d'être pour quelque chose dans « l'apparent désintérêt du groupe à faire interopérer ODF avec Open XML ». Au final, l'OpenDocument Foundation devrait changer de nom, sans que toutefois Sam Hiser ne communique sur le prochain nom de baptême. (...)
(30/10/2007 18:03:15)Microsoft dévoile Oslo, sa vision pour les SOA
Les applications composites au sein de l'entreprise et au-delà de ses frontières sont le nouveau cheval de bataille de Microsoft. L'éditeur a profité de sa conférence SOA & Business Process à Redmond pour dévoiler Oslo, nom de code pour un ensemble d'investissements techniques dans plusieurs lignes de produits. Le but est d'harmoniser les développements pour « simplifier les SOA », rendre usuelles les applications composites, et in fine concrétiser la promesse logiciels plus services (« software plus services »). Pour plusieurs observateurs du secteur, l'annonce est à prendre au sérieux, elle marque un engagement fort. Microsoft donne cinq domaines clés pour les investissements de ces prochaines années : - Les logiciels serveurs : l'effort continuera de porter sur Biztalk, qui sert déjà de socle pour le déploiement et l'administration des applications ; - Les services : Microsoft proposera une offre commerciale, « Biztalk Services 1 », donc fournie avec un support, de services hébergés (messagerie, authentification, workflow) permettant de mettre en place des applications composites sortant des frontières de l'entreprise ; - Le framework : la version 4 de .Net se focalisera sur le développement guidé par les modèles ; - Les outils : Microsoft prévoit d'inclure dans Visual Studio 10 des outils de gestion du cycle de vie des applications devant faciliter la conception et le déploiement d'applications distribuées ; - Le référentiel : Microsoft veut « aligner les référentiels de métadonnées des produits des divisions outils et serveurs ». Concrètement, Microsoft System Center 5, Visual Studio 10 et Biztalk Server 6 devraient partager une même technologie de référentiel pour les données concernant l'administration et le déploiement des modèles applicatifs. (...)
(25/10/2007 17:53:24)Oracle/BEA : BEA fixe son prix à 8,15 Md$
A 21$ l'action, soit une somme globale de 8,15 Md$, BEA se dit prêt à se vendre « à des tiers, y compris Oracle ». Sous le coup d'une offre de la part d'Oracle à 17$ l'action, BEA avait d'abord répondu qu'il n'était pas à vendre, puis que le prix fixé ne reflétait pas la valeur réelle de l'entreprise. Finalement, comme dans toute transaction, la proie a elle-même fixé un prix - établi après avoir pris conseil auprès de Goldman Sachs, a précisé BEA - afin de pouvoir entamer des négociations. Pour Massimo Pezzini, analyste du Gartner, cela ne fait aucun doute que les actionnaires de BEA soient prêts à se vendre, 17$ l'action constituant déjà « un bon prix ». Pour lui, le délai avant la transaction est dû à une raison relativement simple : il faut s'entendre sur les 'golden parachutes', ces compensations financières qui seront accordées aux dirigeants de BEA. Quant aux dernières rumeurs disant qu'IBM pourrait intervenir, « j'ai du mal à l'envisager, dit-il, dans la mesure où IBM est de loin le numéro un du marché, et BEA le numéro deux : cela poserait des problèmes vis-à-vis des autorités chargées de la régulation de la concurrence ». (...)
(24/10/2007 17:04:43)Google contribuera au code de MySQL
L'éditeur suédois MySQL, qui fonde le développement de son SGBD sur du code ouvert, a tracé les grandes lignes de son évolution jusqu'en 2009. A cet horizon, Google, qui vient de signer un "Contributor Licence Agrement", aura fourni du code pour enrichir ce SGBD. Google, qui utilise beaucoup MySQL, aurait de fortes compétences en matière de réplication et de gestion d'instances multiples. Elle pourrait figurer dans une mise à jour de la version 6.0, laquelle est attendue pour fin 2008. Cette 6.1 « googlisée » est prévue pour début 2009. (...)
(24/10/2007 09:32:40)Oracle/BEA : BEA se dit prêt à se vendre... plus cher
Visiblement, l'ultimatum d'Oracle a porté. Après que la firme de Larry Ellison a déclaré qu'elle mettrait un terme dimanche à son offre de 17 $ l'action sur BEA, ce dernier a réagi par un communiqué stipulant que l'éditeur de middleware n'était pas opposé à la vente. Enfin, cela s'entend, si Oracle relevait son offre : « Le conseil d'administration de BEA n'a pas indiqué qu'il s'opposerait à une transaction qui reflète de façon appropriée la valeur de BEA, à l'issue d'un processus raisonnable. » Oracle relèvera-t-il son offre ? Pour Ray Wang, analyste chez Forrester, « s'ils veulent vraiment dominer le marché du middleware, alors c'est une acquisition qu'ils devraient vouloir mener à terme ». Comme l'expliquaient nos précédents interlocuteurs, si BEA tombait dans d'autres mains, c'est Oracle qui se ferait distancer sur ce marché. (...)
(22/10/2007 14:52:38)Amazon offre 100 000 dollars au meilleur développeur de services Web
Amazon vient de lancer un concours au meilleur AWS (Amazon Web Service), autrement dit un Service Web utilisant les technologies du célèbre site de vente en ligne. Les développeurs (individuels, ou start-up) intéressés ont jusqu'au 28 octobre pour déposer leur candidature sur le site de la société en remplissant un formulaire dans lequel ils décrivent leur application, qu'elle soit encore au stade de simple idée ou déjà finalisée. Amazon retiendra les 5 meilleurs AWS en se basant sur l'originalité, la créativité mais également le service rendu au site. Les cinq finalistes seront ensuite invités au siège de la société à Seattle en novembre pour présenter leur application à un jury qui prendra alors sa décision. Le prix remis au vainqueur s'élève à un montant total de 100 000 dollars, dont 50 000 dollars en cash ainsi que différents avantages en termes notamment de formation avec les experts techniques de la société. (...)
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