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(13/06/2007 18:20:36)

Apache annonce Synapse 1.0

L'équipe d'Apache Synapse annonce la première version complète d'Apache Synapse 1.0. Apache Synapse est un médiateur pour Web Services et un framework SOA. Il peut être utilisé pour construire un Enterprise Service Bus (ESB) ou une architecture orientée services (SOA). Le médiateur permet d'effectuer de nombreuses opérations sur les requêtes de services telles que le routage, l'équilibrage de charge, la transformation et le basculement de protocole. Apache Synapse a été conçu pour supporter un routage XML très rapide avec un streaming XML issu du projet Apache Axiom. Il utilise une architecture complètement asynchrone et un mécanisme d'entrées/sorties non bloquantes basé sur Java NIO ; ce qui garantit à Synapse un overhead très bas et une montée en charge de plusieurs milliers de clients sans perte de messages. Synapse fournit de larges possibilités de médiation, incluant le support de standards ouverts tels que XML, XSLT, XPath, SOAP, HTTP, JMS, Web Services Security, Web Services Reliable Messaging (WS-RM), SMTP et Web Services Addressing. Synapse supporte de nombreuses fonctions prêtes à l'emploi sans programmation, mais peut également être étendu en utilisant les langages de programmation populaires tels que Java, JavaScript, Ruby et Groovy. Avec MuleSource, Apache Synapse est une des tentatives de développer un ESB en Open Source. (...)

(13/06/2007 18:19:59)

IBM lance la communauté Jazz

Alors que se déroule en ce moment la conférence IBM Rational Software Development Conference 2007 à Orlando en Floride, IBM a annoncé le lancement d'une nouvelle plateforme collaborative de développement baptisée Jazz. Jazz est un projet interne vieux de deux ans, développé conjointement par IBM Rational et IBM Research. L'objectif est de proposer une plateforme de collaboration pour les équipes de développement, extensible, ouverte afin d'intégrer les différentes tâches tout au long du cycle de développement des applications. Le projet Jazz est ouvert, mais n'est pas vraiment en Open Source. Il est ouvert à la communauté des partenaires et des clients et permet ainsi aux partenaires et aux clients de collaborer avec IBM et entre eux. IBM envisage d'ouvrir par la suite la plateforme à une audience plus large ainsi que d'ouvrir le code de certaines portions de la plateforme, lorsque celle-ci sera stabilisée. Le projet Jazz est bâti sur le framework Eclipse, mais constitue un tout nouveau développement pour IBM. A l'occasion de la conférence Rational, IBM a dévoilé le premier produit développé sur Jazz : IBM Rational Team Concert. Actuellement en bêta, Team Concert est un portail collaboratif conçu pour améliorer la productivité des équipes et optimisé pour le développement agile. Il permet de communiquer et d'éditer le code en temps réel pour ClearCase et ClearQuest. IBM envisage de sortir une gamme d'offres et d'extensions Team Concert dans le futur. Dans la foulée, certains produits Rational ont été ou vont être mis à jour pour s'intégrer dans Jazz : Portfolio Manager, Asset Manager, ClearCase et un plugin pour le développement géographiquement distribué avec Method Composer. (...)

(12/06/2007 14:05:01)

WWDC : Apple ouvre l'iPhone aux développeurs Web

A l'occasion de l'édition 2007 de la conférence développeurs WWDC, Steve Jobs, le PDG d'Apple, a invité les développeurs à créer des applications pour l'iPhone, très attendu produit communiquant de la marque à la Pomme dont la commercialisation débutera le 29 juin. Pour rappel, l'iPhone combine des fonctionnalités de téléphone portable, de navigation Web et de lecteur audio et vidéo. "Les développeurs peuvent écrire des applications qui ressemblent à celles proposées par l'iPhone, comme l'envoi d'email, les appels téléphoniques", a déclaré Steve Jobs. Pour cela, pas besoin d'un kit de développement, précise le PDG du groupe. Les développeurs pourront bâtir des applications pour l'iPhone en utilisant des outils de programmation pour le Web 2.0, comme Ajax, grâce à Safari installé dans l'appareil". Rappelons qu'Apple a également annoncé décliner la version 3 de son navigateur Safari pour la plateforme Windows. Une version bêta du logiciel est déjà disponible pour XP et Vista. (...)

(12/06/2007 12:10:22)

eBay présente San Dimas, son interface desktop

eBay veut être partout. C'est le message que le site d'enchères en ligne a fait passer au public venu assister à sa conférence développeurs annuelle, qui se tient actuellement à Boston. En particulier, eBay développe une interface desktop, nom de code San Dimas, avec la technologie AIR d'Adobe (qui portait le nom de code Apollo, comme nous le signalions hier). San Dimas reprend toutes les fonctionnalités du site, tout en bénéficiant des performances des applications desktop. Alan Lewis, chef de projet chez eBay, explique avoir aussi ajouté des fonctions d'alertes (si quelqu'un a surenchéri), et des capacités de synchronisation permettant de tout faire sans aller sur le site. San Dimas est censé être en bêta mais pour l'heure, l'accès est restreint. eBay a donné au public de sa conférence un accès privilégié. Mais eBay ne souhaite pas s'arrêter là. Le site veut être présent aussi sur des sites tiers et sur les nouvelles générations d'appareils aptes à se connecter au Web, tels que les téléphones mobiles ou les télévisions. EBay a donc présenté un ensemble de services et d'outils pour inciter les développeurs à créer des applications reliées à ses API (interfaces de programmation). Parmi ces outils, on peut noter un service de notifications « proches du temps réel », ou encore Shopping Web Services, une suite de services Web pour connecter les fonctions du site à une application d'achat. (...)

(11/06/2007 16:55:12)

Adobe renomme Apollo pour sa sortie en bêta

Apollo est désormais disponible en bêta publique. Pour l'occasion, la technologie d'application Internet riche (RIA en anglais) d'Adobe gagne un nom officiel : AIR, pour Adobe integrated runtime. Le but d'AIR est de fournir un environnement d'exécution pour différents types de contenu habituellement disponibles uniquement au sein d'un navigateur Web : Flash bien sûr, mais aussi HTML ou Ajax. Ce type de technologie est plus performante qu'un navigateur, et permet de travailler en mode hors ligne tout en gérant de façon automatique les connexions/déconnexions. Par rapport aux versions d'Apollo déjà en circulation, la bêta d'AIR ajoute le support du PDF et une intégration plus poussée avec l'outil de conception d'applications Web Dreamweaver. Les applications Web existantes, souligne Adobe, peuvent être reprises en utilisant Dreamweaver ou bien le Builder (l'atelier) de Flex, dont la bêta de la version 3 sort également aujourd'hui. Parmi les exemples connus d'utilisateurs d'Apollo, on peut citer SAP, qui conçoit Muse, une interface conviviale pour les utilisateurs occasionnels de son progiciel, ou encore eBay, qui travaille actuellement à son projet San Dimas. Sur le même sujet : - Google Gears rend disponibles hors ligne les applications en ligne - Adobe libère Flex pour mieux contrer Microsoft - Apollo face à ses concurrents - Sapphire'06 Paris : Muse devra rendre l'utilisateur heureux (...)

(11/06/2007 16:51:46)

Microsoft débauche le chef du développement de la Linux Foundation

Microsoft a séduit l'un des ingénieurs en chef de la communauté Linux, Tom Hanrahan. Cet expert quitte son poste de chef du développement à la Linux Foundation pour celui de directeur du laboratoire de l'interopérabilité chez Microsoft. Un laboratoire né du rapprochement entre Microsoft et Novell. Son nouveau rôle : améliorer la compatibilité entre les produits Windows et certains produits Linux, dont le Linux Enterprise Server de Suse. Tom Hanrahan pourrait également se consacrer à l'interopérabilité OpenXML/ODF, ainsi qu'aux problématiques de virtualisation. Tom Hanrahan met au service de Microsoft ses 30 ans d'expérience. Ces dernières années, l'ingénieur a été responsable du Linux Technology Center d'IBM à Beaverton, puis des Open Source Developement Laboratories (OSDL), avant de passer chef du développement à la Linux Foundation. (...)

(11/06/2007 16:18:48)

ODF recule aux Etats-Unis, IBM reste serein

Tout n'est pas encore joué. Alors que l'adoption du format de fichier OpenDocument par plusieurs Etats américains semblait acquise par avance, une série d'initiatives viennent freiner la marge de progression de ce format soutenu par le monde de l'Open Source - et format par défaut dans la suite OpenOffice. Si l'Etat de New York est venu se greffer à la liste des "early adopters" d'ODF, le Texas, l'Oregon, la Floride, le Connecticut et, plus récemment, la Californie font machine arrière. Sans définitivement abandonner l'idée d'utiliser ODF dans leurs échanges de documents, ces Etats ont transformé ce qui semblait être une recommandation d'usage en une simple étude de cas. Mettant en sommeil les projets de loi, et repoussant aux calendes grecques la formalisation d'ODF. Un constat qui rejoint la décision prise par le Massachusetts qui, s'il constitue toujours le bastion pionnier du standard ouvert, a rapidement changé son fusil d'épaule, optant pour la formule édulcorée d'un traducteur bi-directionnel. Comme celui développé par Clever Age en collaboration avec Microsoft. L'Etat de New York et le Minnesota restent quant à eux mois radicaux, préférant avancer sur la pointe des pieds, déclarant d'emblée qu'il ne s'agit que d'une étude de faisabilité. De l'influence des lobbyistes Certains y verront une preuve de la puissance du lobbying de Microsoft qui, pour barrer la route à l'adoption d'ODF et d'applications supportant le format, s'est rapproché des comités censés valider les projets de lois. D'autres mettront en avant les trop lourdes spécifications techniques qui, misent entre les mains de sénateurs, demeurent indigestes. Y compris pour ODF, même si le dossier technique est beaucoup plus léger que celui du format concurrent Open XML défendu par Microsoft. " Nous sommes des experts de politiques publiques. "Décider de standards techniques n'est pas notre métier', rappelle Don Betzold, sénateur démocrate du Minnesota. Pourquoi alors basculer vers un format compliqué, aussi ouvert soit-il? Don Betzold insiste sur le fait que si le lobbying de Microsoft était évident, IBM, de son côté, le principal sponsor d'ODF, n'était pas non plus innocent. "Microsoft avait ses intérêts. IBM avait les siens", commente-t-il. IBM reste toutefois serein Pour Bob Sutor, vice-président des standards et de l'Open Source chez IBM - fervent défenseur d'ODF -, le recul des Etats américains dans l'adoption d'ODF constitue une étape dans l'évolution naturelle d'un standard. "Nous avons pu constater cela avec d'autres standards. Prenons le Web par exemple. Il s'est popularisé vers 1994 et 1995. Avec le recul, il débuta dans les années 80. Pour la plupart des standards, cela prend entre 5 ou 10 ans pour s'établir. Ils débutent à travers des comités, existent par eux-mêmes et ensuite, arrivent les intérêts commerciaux. Les services Web ont démarré en 2000, mais nous avons vu la SOA arriver entre 2004 et 2005." Pas lieu dès lors de s'inquiéter, semble-t-il supposer. ODF suit une trajectoire normale. Il s'agit simplement d'une période de transition. D'autant plus que la lenteur des processus des comités législatifs des Etats ralentissent les négociations. Il se veut toutefois confiant : "Les changements sont bien en cours". Des changements bien plus importants pourraient par ailleurs se produire. Car si pour l'heure aucune convergence entre les formats ODF et Open XML n'est à prévoir pour des raisons techniques - "la technologie XML de Microsoft n'est pas bonne"-, Sutor anticipe que l'éditeur de Redmond se mette à développer d'ici quelques années un autre format, plus proche d'ODF en termes d'architecture. Et " ainsi, je pourrais penser à une convergence naturelle qui unira les deux [formats, ndlr]". (...)

(11/06/2007 17:42:46)

IBM lance une OPA amicale sur Telelogic

IBM veut racheter Telelogic, éditeur suédois d'outils d'analyse et de gestion du développement logiciel. IBM propose 21 couronnes suédoises par action - soit un bonus d'environ 21% par rapport au cours de Bourse du 31 mai dernier - ce qui valorise la transaction à 5,2 milliards de couronnes suédoises (557 ME). L'offre, qui courra tout le mois de juillet, a été approuvée par le conseil d'administration de Telelogic. « L'acquisition de Telelogic aidera nos clients à piloter des processus de développement efficaces, qui sont vitaux pour la livraison des produits », explique dans un communiqué Danny Sabbah, le directeur général de Rational, la branche architecture logicielle d'IBM. De fait, avec l'acquisition de Rational en décembre 2002, IBM a constitué une gamme répondant aux besoins de divers intervenants d'un projet, du développeur à l'architecte, le tout relié à une offre méthodologique (RUP, Rational unified process). Un leader sur le marché des outils pour architectes Toutefois, le créneau sur lequel se battent désormais Borland, Mercury, Serena ou Telelogic est celui de l'encadrement du développement : gérer les portefeuilles de projets, les ressources, hiérarchiser les demandes, suivre les évolutions, bref, faire en sorte que les projets s'achèvent à temps et sans dépassement de budget. On retrouve là les segments du PPM (Project portfolio management) et de l'ALM (Application lifecycle management). Telelogic est également présent sur le segment du BPM (où il côtoie déjà IBM) et sur celui des outils pour architectes. Sur ce marché, Telelogic se mesure à des acteurs comme IDS Scheer, Troux Technologies, Proforma, ou encore Mega International, tous cités dans le carré des leaders du quadrant Gartner publié début 2006 (Enterprise architecture tools). Telelogic occupe la place la plus enviée de ce quadrant - en haut à droite - grâce au rachat de Popkin Software, éditeur de System Architect, effectué au printemps 2005. Telelogic apportera donc à IBM des produits dans un domaine où Rational est absent, ainsi que son expertise des clients de petite et moyenne taille. Si les actionnaires approuvent la transaction, Telelogic sera intégré à la division Rational d'IBM, a fait logiquement savoir IBM. Qui assure que son intention est de préserver les produits, les 1100 employés et les 8000 clients de l'éditeur. (...)

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