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(10/11/2006 16:36:06)

La semaine de l'emploi pour les personnes handicapées s'ouvre avec le "job dating" en ligne

Environ 255 000 demandeurs d'emploi handicapés sont inscrits à l'ANPE et représentent 8% de l'ensemble des demandeurs d'emploi dans les catégories 1, 2 ou 3 (ANPE/Dares). La semaine proposée par l'Adapt (association pour l'insertion sociale et professionnelle des travailleurs handicapés) du 13 au 19 novembre est donc plus que légitime : elle permet de sensibiliser les recruteurs à cette catégorie de collaborateurs. Elle offre aussi la possibilité de réaffirmer que la lutte contre l'exclusion n'est pas qu'une vaine promesse, à l'exemple de partenariats écoles/entreprises ou via la prise en compte de la formation par l'ensemble des acteurs. L'un des enjeux de cette semaine de l'emploi pour les travailleurs handicapés est de rompre l'isolement. L'informatique permet d'y parvenir et d'ailleurs, certains opérateurs mobiles l'ont bien compris. Dernière innovation en date : le speed dating en ligne ou "job dating online". Une évolution dans le recrutement Selon l'Adapt, le job dating classique (au bout de 12 minutes, le candidat rencontre un autre recruteur) a fait ses preuves, puisque 55% des travailleurs handicapés qui ont exploré cette nouvelle méthode de recrutement sont en poste 6 mois après la rencontre. Pour leur permettre d'évoluer davantage, l'Adapt met cette année l'accent sur le job dating online, qui sera testé toute la semaine à Lyon et à Caen. Les deux parties se rencontrent par écran interposé avec webcam et casque pour communiquer. Ce double système, très fluide, est particulièrement efficace pour les personnes qui souffrent de surdité. Au bout de 12 minutes, l'écran devient noir et il est temps de passer à un autre entretien. Les informaticiens qui souffrent de handicap y auront-ils recours ? Pas forcément puisque selon l'Adapt, en raison d'une embellie de l'emploi dans l'informatique, ils sont très courtisés, à la différence des 65 600 travailleurs handicapés qui sont entrés à l'ANPE au premier trimestre 2006, et représentent 5% des nouveaux demandeurs d'emploi. Le site de la semaine de l'emploi des personnes handicapées permet de consulter le programme des manifestations et propose de découvrir le job dating en ligne à travers une vidéo. (...)

(10/11/2006 16:34:41)

Une journée sous le signe de l'infogérance et de la gouvernance des SI

Le 15 novembre, l'Afai (association française de l'audit et du conseil informatique) organise une journée pour répondre aux préoccupations des DSI. Ceux-ci doivent souvent prouver à leur hiérarchie que leur SI est bien maîtrisé et gouverné, notamment dans un contexte d'infogérance. « De l'externalisation à la délocalisation » sera le premier thème abordé, avec l'analyse de spécialistes de l'offshore. Cette session donne les clés pour maîtriser le système de pilotage de son SI (aspects techniques, juridiques et conseils pour choisir la meilleure implantation géographique en fonction de son contexte d'infogérance). Puis la question des « référentiels comme outils de la gouvernance des SI » sera soulevée, à travers des cas concrets. (...)

(09/11/2006 16:54:40)

Vers une montée en grade des "digital natives" au sein des directions informatiques

Moins de répression. Plus de collaboration avec les utilisateurs avertis. Selon les analystes du Gartner, c'est l'attitude qui doit désormais prévaloir chez les informaticiens garants de la cohérence des systèmes d'information des entreprises. A l'heure où la frontière entre usages privés et professionnels de l'informatique devient de plus en plus floue, "il serait vain de résister aux changements fondamentaux qu'apportent la messagerie instantanée, le pair-à-pair, les wikis et autres modes de collaboration réactifs, dans la marche des entreprises", insiste Steve Prentice, senior analyst du Gartner lors du ITXpo à Cannes. "La répression est la graine de la révolution", rappelle-t-il en citant Woodrow Wilson. Et, puisqu'au fil des années la charge des informaticiens n'a cessé de s'alourdir de nouvelles responsabilités (sécurité, organisation, support, accompagnement des utilisateurs) au delà de leur rôle de spécialistes des technologies, au point d'accaparer près de 80% de leur budget (et de leur temps), il est grand temps de lâcher un peu prise de ce côté. D'autant que les nouvelles générations, nées avec Internet et autres avancées de la technologie, les "digital natives", selon le Gartner, arrivent en âge de prendre en mains leurs usages dont dépend leur efficacité professionnelle. Déjà, 29% des salariés avouent avoir connecté sur le réseau de leur entreprise des outils (mobiles, PDA, PC portables, etc) qui ne relèvent pas du choix de leur employeur, et, selon le Gartner, ce taux devrait monter à 42% d'ici à 2008. "Ce qui ne veut pas dire laisser place au chaos", ajoute Steve Prentice. Distinguer le contrôle central et l'auto-contrôle des utilisateurs Les architectes des systèmes d'information, notamment, ont plus que jamais à tenir leur rôle en pleine conscience de cette percée de l'informatique privée dans la sphère de l'entreprise. Construire et faire évoluer les infrastructures (ERP compris) afin d'en tenir compte. Même chose pour les DSI, directeurs de projet, responsables de maîtrise d'oeuvre et autres responsables de la sécurité: réguler plus que contraindre et miser sur l'auto-régulation des utilisateurs. Soit autant de ressources dégagées pour faire autre chose que de la maintenance. (...)

(08/11/2006 17:38:32)

Rapport Hetzel : suivre le modèle des écoles d'ingénieurs

Après 6 mois d'enquête, Patrick Hetzel, recteur de l'académie de Limoges et président de la commission du débat national université-emploi, a rendu sa copie de 108 pages à Dominique de Villepin. Son rapport se décline en 6 chapitres qui devraient permettre de meilleures passerelles entre l'université et l'emploi : lutter contre l'échec à l'université ; repenser l'information et l'orientation ; améliorer la professionnalisation ; rapprocher durablement l'université du monde du travail ; créer un partenariat universités/employeurs pour la croissance et faire évoluer l'ensemble du système universitaire. Le maître-mot : professionnaliser Le rapport découvrirait-il une réalité déjà éprouvée par les écoles d'ingénieurs ? Celles-ci obligent en effet, depuis longtemps, leurs étudiants à s'initier aux réalités de l'entreprise notamment via le principe des stages. Dans le domaine de l'informatique, entre 80% et 100% (selon la cote de l'école) des jeunes diplômés sont intégrés au sein de l'entreprise où ils ont fait leurs 6 mois de stage de fin d'études. L'université pourrait être obligée de se conformer désormais à ce fonctionnement pour mieux relier l'université à l'emploi. Le traditionnel modèle universitaire français devra donc impérativement s'adapter aux contraintes de la professionnalisation. Ce devrait être une bonne nouvelle pour les élèves des filières scientifiques et informatiques, parfois taxés d'excellents théoriciens mais sans pratique concrète par les recruteurs qui leur préfèrent souvent de jeunes diplômés déjà aguerris au monde professionnel. (...)

(08/11/2006 17:37:08)

Les ingénieurs de Supméca engagés dans la lutte contre les inégalités

Avoir un projet personnel au c?ur de ses études est l'un des aspects de la pédagogie de Supméca. Un an après avoir signé un partenariat avec l'Atev (association de la fondation étudiante pour la ville), Supméca vient de présenter le bilan : un pari réussi puisque onze étudiants ont choisi, à raison de deux heures par semaine, d'aider écoliers et collégiens en difficulté. L'expérience sera d'ailleurs poursuivie cette année avec d'autres étudiants. Cet engagement a permis aux ingénieurs volontaires d'aider non seulement les élèves sur un plan scolaire, mais également d'un point de vue personnel (appréhender l'école de manière positive, préparer son cartable la veille ou s'organiser pour les devoirs). La confrontation entre ces étudiants, excellents élèves d'une école de très haut niveau avec des enfants et adolescents en situation scolaire difficile, est un enrichissement réciproque. Pour les futurs diplômés de Supméca, les réalités quotidiennes de leurs cadets qui n'ont pas forcément le même environnement pour réussir. Et pour ces jeunes, des modèles concrets, alternatifs aux réussites par le sport, le rap ou l'économie souterraine. (...)

(07/11/2006 17:53:16)

Placeojeunes, le bras armé du Syntec pour l'offre de stages des SSII

Sous la marque "Syntec Informatique Campus", la chambre professionnelle des SSII relaye en ligne les propositions de stages des entreprises, ainsi que les postes ouverts à l'apprentissage et les postes à l'étranger (volontaires pour l'international ou VIE). Une première dans le monde des chambres syndicales, sachant que ce nouveau service gratuit met les chargés de recrutement des SSII en contact avec 335 écoles et cursus universitaires, et avec 82 centres de formation par apprentissage (CFA) qui opérent dans la filière informatique. Le service mis au point par l'équipe de Placeojeunes est conçu pour qu'une saisie unique de chaque proposition de poste (stage, apprentissage) soit diffusée instantanément vers les cursus ciblés (système d'aide sur fond de sélection de formation en fonction du domaine, du lieu, de la date et de la durée du stage), en accord avec le calendrier des stages de ces établissements; et pour qu'en retour, les étudiants concernés puissent postuler en ligne et comparer. (...)

(07/11/2006 17:49:13)

Miser sur la complémentarité hommes/femmes devient essentiel pour le secteur informatique

En Europe, à peine 6% des services informatiques des entreprises sont dirigés par des femmes, contre 20% en Amérique du Nord (Etude CIO, Gartner 2006). Et à l'horizon 2012, selon le Gartner, 40% des femmes travaillant dans le secteur des technologies de l'information se seront éloignées des voies classiques d'évolution de carrière de ce secteur (chef de projet, etc.) pour exercer des responsabilités ailleurs dans l'entreprise, dans des domaines fonctionnels, en R&D, ou dans la création d'entreprise. Au delà de la prise de conscience de cette désaffection, les analystes du Gartner, Mark Raskino et Kathy Harris, recommandent dès à présent de miser sur la complémentarité des sexes dans les équipes informatiques. Pour une raison simple : dans un monde où les femmes contrôlent ou influencent 80% des décisions de dépenses, alors que 90% des produits et services sont conçus par des hommes, le hiatus est devenu trop important pour que l'on se permette de négliger son impact sur la marche et les résultats des entreprises. Intégrer dans la constitution des équipes D'autant plus qu'en informatique, comme dans d'autres domaines des affaires, les processus de décision, le travail en mode projet, l'ingénierie sociale au sens large, font que le fonctionnement de l'entreprise relève de plus en plus de la mise en réseau. Là où, précisément, les femmes ont - disent les psychologues - un avantage sur les hommes. Selon les stéréotypes hommes/femmes relevés par les deux analystes du Gartner dans diverses études scientifiques, dans la résolution des problèmes, comme dans la façon d'aborder le leadership, les femmes se distinguent par un comportement plus horizontal, multitâche, dans la recherche de collaboration, de mise en confiance, de planification, là où les hommes fonctionnent à la verticale (mode hiérarchique, résultat rapide, prise de risque). Plutôt que de forcer le jeu, avec une politique de promotion visant à recruter et retenir plus de femmes (du style de la discrimination positive), les analystes du Gartner préconisent de tenir compte autant que possible dans la constitution et dans l'organisation des équipes de l'apport respectifs de ces valeurs stéréotypes. (...)

(06/11/2006 17:23:51)

De nouvelles destructions d'emplois en informatique par l'offshore

Les 500 premières entreprises européennes vont faire face dans la décennie qui vient à une perte d'emplois locaux estimée à 1,3 millions de postes sur la chaîne administrative de l'entreprise. Cette thèse est celle du groupe Hackett (études de benchmarking et d'accompagnement des entreprises) qui vient de rendre les conclusions d'une étude, à partir de 2100 grandes entreprises internationales. Après les métiers informatique, ceux du back-office délocalisés Michael Janssen, PDG de Hackett, indique : « de nos jours les entreprises peuvent faire appel aux ressources dites d'offshore, pour tirer partie des zones de travail à coût réduit, tout en maintenant et en développant les compétences de leur personnel. Les gains liés à ces économies, évalués par nos analystes à 96 millions d'Euros par an et par entreprise présente dans le panel des 500 sociétés européennes étudiées, sont trop énormes pour être ignorés. » L'étude indique que l'informatique constituait pendant longtemps la fonction la plus prompte à basculer en dehors des frontières de l'entreprise. Or aujourd'hui, c'est aux fonctions dites de back office (services informatiques, comptabilité, ressources humaines, fonction achat) d'être touchées à leur tour par la tendance. Mais quelle valeur accorder au signal d'alarme tiré par Hackett ? En France, le Sénat va dans un sens similaire : en juin 2005, une étude de Jean Arthuis, président de la commission des finances du Sénat, complétée par l'analyse du cabinet Karlyse, prévoyait pour 2006-2010 la délocalisation de 202 000 emplois de services (dont près de 40 000 dans l'informatique, environ 12 000 dans le domaine des télécommunications et 90 000 dans le secteur « services aux entreprises »). Or ce chiffre de 202 000 représente 22 % de la création nette d'emplois salariés au cours de la période 1999-2003. Même si les analystes s'accordent sur le fait qu'il est difficile d'envisager des prospectives dans ce domaine, une étude d'IDC confirme également la tendance et estime à 20% environ la croissance de l'offshore chaque année (janvier 2006). Le Syntec Informatique minimise en revanche le risque de généralisation de l'offshore : certes, cette pratique paraît inéluctable, mais elle serait structurellement limitée, puisque sa part dans le CA du secteur pourrait être comprise entre 4% et 6% à l'horizon 2009 et que le plafond théorique des prestations « offshorisables » serait inférieur à 15 % du CA des services informatiques. (...)

(06/11/2006 17:25:10)

Deux salons pour l'emploi informatique à Marseille et à Rennes

Est-il encore temps de trouver un emploi dans l'informatique avant fin 2006 ? Oui, puisque deux organisateurs de salons, Kavesta et lesjeudis, donnent en région l'occasion d'une rencontre entre candidats et entreprises qui recrutent. Pour Kavesta, la manifestation se déroulera le 8 novembre à Marseille (Parc Chanot, palais des congrès). Les profils les plus recherchés sont essentiellement destinés aux secteurs des études et développement ; banque/finance/assurance ; exploitation et production ; conseil ; réseau et sécurité ; industrie. Quant à la rencontre organisée par lesjeudis, elle aura lieu le lendemain 9 novembre à Rennes (Halle Martenot). Outre des recruteurs, les candidats pourront également découvrir les formations continues et diplômantes (masters, VAE) dispensées dans la région. (...)

(03/11/2006 17:52:22)

9 et 10 novembre : l'Epitech présente les projets de fin d'études de ses étudiants

Ecole d'ingénieurs créée en 1999, l'Epitech (groupe Ionis) est ouverte à tous les bacheliers passionnés d'informatique qui obtiennent leur diplôme en 5 ans. Elle présente sa « vitrine » les 9 et 10 novembre, les projets de fin d'études (PFE) menés en 4e et 5e années et réalisés par groupes de 5 personnes au minimum. Ce forum rassemblera étudiants, entreprises et public. Directeur de l'Epitech, Nicola Sadirac indique que « le PFE fait référence au chef d'?uvre réalisé par les compagnons du devoir, artisans qui se transmettent un savoir millénaire : il représente le travail final. Le but est de porter à un niveau d'achèvement total, montrable et utilisable à l'extérieur, la réalisation produite. Le projet doit avoir son mode d'emploi pour les utilisateurs et sa notice technique. C'est un vrai travail d'entreprise : imaginé, conçu, développé, formalisé, finalisé, présenté et souvent vendu.» Une Twingo modifiée autoguidée En effet, les projets peuvent soit sortir de l'imagination des futurs diplômés et servir ensuite de carte de visite, soit être proposés et financés par des entreprises. Une cinquantaine d'exposants, diplômés ayant monté leurs entreprises et étudiants en fin d'études à l'Epitech présenteront leurs réalisations. Ainsi, le projet Scope (Twingo modifiée autoguidée, conçue en collaboration avec le laboratoire Imara de l'Inria) disputera la vedette à Fantasy Chess (intelligence artificielle appliquée aux échecs) ou à Magrathea Engine (moteur graphique permettant de visualiser en 3D et en temps réel, des systèmes solaires complets). D'autres applications comme SPIR (système de prévention des intrusions réseaux) ou Easy Decision (développement d'un logiciel d'aide à la décision) devraient également intéresser les visiteurs en quête de tendances et de nouveaux talents. (...)

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