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Emploi
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(16/04/2008 12:27:54)
Indice Keljob.com : plus de 81 000 offres pour les informaticiens en mars
En mars dernier, l'indice de mesure des offres diffusées sur Internet et publié par le site d'emploi Keljob.com a gagné 43 points supplémentaires en l'espace de deux mois : le nombre d'annonces en ligne a ainsi doublé en un peu plus de trois ans, pour atteindre 464 000. Cette tendance à la hausse devrait vraisemblablement se poursuivre jusqu'en juillet prochain, estime le site d'emploi. Sans surprise, c'est encore une fois le secteur de l'informatique et des télécoms qui joue le premier rôle, en s'accaparant quelque 17,5% du marché, avec 81 200 postes à pourvoir sur la Toile. Le secteur R&D suit, mais de très loin, avec seulement 2,% des offres. En dressant une analyse de sites par catégorie, Keljob note que les offres déposées par les cabinets de recrutement ont très fortement augmenté (+40%) au cours du mois dernier. A l'inverse, le nombre d'annonces publiées sur les sites d'emploi spécialisés sont en légère baisse (- 4,5%), tandis que les propositions de stages continuent de reculer, mais de façon plus sensible (- 18,3%). (...)
(15/04/2008 18:05:39)Sogeti invite ses collaborateurs à un brainstorming virtuel
Sogeti suit les pas d'IBM et de ses « jam sessions », pratiques empruntées à l'univers du jazz et transformées en forums de discussion rassemblant divers interlocuteurs. Pour inciter l'ensemble de ses troupes - soit 18 000 collaborateurs répartis dans 14 pays - à dialoguer sur l'avenir de leur entreprise, le spécialiste des services d'informatique et d'ingénierie de proximité, membre du groupe Capgemini, vient en effet de lancer un brainstorming virtuel sur son site Internet. Du 15 au 17 avril 2008, un espace collaboratif de discussion, dont le principe a été développé par IBM, vient ainsi d'être créé à leur intention. Le but étant de mettre à profit la créativité des collaborateurs, où qu'ils soient dans le monde, pour faire germer des idées sur l'avenir de Sogeti, autour de quatre thèmes : les clients, les collaborateurs, les technologies et la responsabilité sociale de l'entreprise. La société de services s'engage à concrétiser dans les mois suivants les idées qui valoriseront le plus l'entreprise, ses salariés et son environnement. Jacques Attali a participé au coup d'envoi de ce brainstorming international via un webcast en direct à 9 h 00 depuis le siège parisien de la SSII : « Je suis enchanté que Sogeti soit pionnier dans ce genre d'interaction avec ses collaborateurs et que la responsabilité sociale d'entreprise soit au centre de ces discussions, a-t-il commenté, en tant que président de PlaNetFinance, organisation de solidarité soutenue par le groupe Sogeti. Je crois fermement qu'en regroupant des équipes locales en une seule et même équipe virtuelle, la communication au niveau international et la qualité du processus d'innovation ne peuvent s'en trouver que durablement améliorées. » [[page]] Jacques Attali a ensuite insisté sur la rapidité croissante des process innovants, en particulier sur Internet, la téléphonie, les biotechnologies et les nanotechnologies. Sur la question de la responsabilité sociale de l'entreprise, il appelle à réfléchir sur la façon de garder ses talents, démarche essentielle de survie. Luc-François Salvador, PDG du Groupe Sogeti, dirige personnellement cette initiative : « Les technologies de réseaux sociaux du Web 2.0 ouvrent de grandes opportunités pour réfléchir, ensemble, à notre futur, et rendent possible la collaboration autour de nouvelles idées. Avec de tels outils, chaque collaborateur sera un contributeur actif de ce dialogue créatif qui devrait apporter un grand nombre de solutions concrètes pour accélérer notre croissance et apporter quelques changements clés. ». Le procédé semble avoir déjà porté ses fruits : c'est à l'issue d'une « jam session » conduite en 2004, qu'IBM a décidé de revoir la définition de son organisation en Europe. Chez Sogeti, le brainstorming semble avoir séduit les salariés, puisqu'en fin de matinée, 5 000 collaborateurs étaient connectés, dont 2 000 Français. Le thème qui revient le plus souvent ? Le respect de l'environnement, cité par de nombreux internautes qui souhaitent vivement renforcer la Green IT chez Sogeti. (...)
(15/04/2008 14:37:09)Index Freelance.com : les spécialistes d'Unix, en tête du Top 10 depuis trois mois
En cette deuxième semaine d'avril, le quatuor de tête des compétences reste inchangé. La demande des recruteurs se concentre une nouvelle fois sur les spécialistes d'Unix, en tête du palmarès depuis près de trois mois, et ce en dépit d'un fléchissement de 2,3 points. Un bémol cependant concernant les compétences Unix, en particulier sur les environnements IBM : en effet, les demandes sur AIX ont reculé, cette semaine, de quelque 3,3 points.
Juste derrière Unix, les incontournables professionnels d'Oracle, de Java et de SAP campent sur les mêmes positions depuis maintenant trois semaines. Les administrateurs, les ingénieurs et les développeurs font, encore une fois, partie des compétences les plus recherchées.
Du côté des spécialités, la tendance observée ces dernières semaines se confirme : les experts des langages de programmation, logiciels de gestion et bases de données demeurent les plus courtisés sur des missions de courte durée.
Quant à l'index d'évolution de la rémunération des experts freelances, basé sur le prix moyen des offres proposées par Freelance.com, il reste stable en se maintenant à 480 euros depuis déjà plusieurs mois.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 585 offres de projets informatiques disponibles au 14 Avril 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande.
(...)
Le Munci alerte les parlementaires sur le contrat de projet
C'est à partir de demain, mardi 15 avril, que les députés commenceront à examiner le projet de loi portant sur la modernisation du marché du travail. Rappelons qu'un accord a été conclu sur ce sujet le 11 janvier dernier par les partenaires sociaux et qu'il a été signé par trois organisations professionnelles (le Medef, la GPME et l'UPA) et quatre organisations syndicales (la CFDT, FO, la CFTC et la CFE-CGC). Ce projet aborde notamment, dans son article 6, « la création d'un contrat pour la réalisation d'un objet défini, destiné aux ingénieurs et cadres et d'une durée de 18 à 36 mois », article qui continue à inquiéter le Munci. Pour l'association professionnelle d'informaticiens, il y a « un risque très important d'incertitudes juridiques et de détournement » de l'utilisation normale de ce contrat avec « la possibilité de rupture à la date anniversaire de la conclusion du contrat par l'une ou l'autre partie pour un motif réel et sérieux » (alinéa 7 de l'article). A la veille de l'ouverture des débats à l'Assemblée Nationale, le Munci attire l'attention des parlementaires sur ce point en leur adressant une lettre argumentée. L'association requiert que l'article en question soit amendé afin d'interdire la rupture du CDD à objet défini (également appelé « contrat de projet ») pour un « motif réel et sérieux » avant la durée minimum de 18 ou 24 mois. Le Munci propose de supprimer la deuxième phrase de l'alinéa 7 de l'article 6 ou de la rédiger ainsi : « Sauf accord des parties, il ne peut être rompu avant l'échéance du terme qu'en cas de faute grave ou de force majeure ». (...)
(11/04/2008 16:22:32)Capgemini : direction et syndicats s'opposent encore
Retour à la case départ chez Capgemini ? Au lendemain des trois jours de discussion entre la direction et les organisations syndicales, rien n'a progressé, dénonce l'intersyndicale, qui appelle les salariés à se mobiliser de nouveau « pour tout mouvement de grève dans les semaines à venir ». Les revendications portent notamment sur une augmentation générale destinée à rattraper une perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans. Un préalable que n'accepte par la direction de la SSII, qui a formulé d'autres propositions, dont certaines seront appliquées dès le mois prochain.
L'intersyndicale dénonce « un simulacre
de négociation »
L'ampleur des mouvements du 28 mars et du 1er avril derniers avait décidé la direction à proposer trois jours de négociation, les 7, 8 et 9 avril. Dans leur communiqué daté du 10 avril, les représentants CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT et FO écrivent : « En fait la Direction nous a fourni des éléments destinés à préparer la NAO (Négociation Annuelle Obligatoire sur les salaires) pour fin 2008. [...] Devant l'intransigeance de la Direction, l'Intersyndicale n'a eu d'autre recours que d'interrompre ce simulacre de négociation, en revenant vers les salariés dans les Assemblées Générales qui vont se tenir à partir du jeudi 10 avril. »
La direction de Capgemini ne voit pas les choses du même oeil. Philippe Tavernier, directeur général adjoint de Sogeti qui a mené les négociations avec les syndicats, reconnaît que certaines propositions relevaient bien des NAO. Toutefois, pour lui, « il ne s'agit absolument pas d'un simulacre de négociations. Nous avons proposé ces journées pleines et entières dès le 31 mars, et la réunion s'est bien tenue sur les trois jours. » Autre élément mis en avant par Philippe Tavernier, la direction a apporté « une dizaine de propositions qui relèvent directement ou indirectement des rémunérations et de l'évolution du coût de la vie. »
Capgemini juge une augmentation générale « pas réaliste »
Malgré cette apparente volonté de dialogue, les négociations ont achoppé sur la principale demande de l'intersyndicale. Les représentants des salariés réclament en effet une augmentation générale qui rattrapera la perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans, un accord salarial pérenne, une revalorisation des frais professionnels et une refonte complète du système d'évaluation des salariés. La direction estime de son côté que « vouloir augmenter de 1 500 euros tout salaire inférieur à 50 000 euros ne constitue pas une revendication réaliste ». D'une part, parce que « les syndicats prennent en compte les résultats opérationnels du groupe dans son ensemble, et non les résultats en France ». Or, explique Philippe Tavernier, « le taux de rentabilité en France est un des plus faibles dans le groupe ». D'autre part, parce que Capgemini juge sa politique salariale équilibrée, des mesures existant déjà pour assurer des augmentations, notamment aux salaires les moins élevés.
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Philippe Tavernier rappelle ainsi que le salaire moyen des quelque 21 000 salariés était de 39 462 E en 2007, et de 42 758 E si on ne prend en compte que la population des cadres, soit près de 16 000 personnes. Les augmentations de salaire se font de façon individualisée, « au regard de la performance et du potentiel ». Au total cette année, selon Capgemini, « à effectif constant l'augmentation de la masse salariale se monte à 2,8 % ».
« En 2007, souligne encore Philippe Tavernier, 19,3 ME ont été consacrés à la performance collective des unités au travers de la participation (contre 12 ME en 2006). » Enfin, dit-il, des « mesures-filets ont été signées en 2006 avec quatre des cinq organisations de l'intersyndicale dans le cadre d'un accord courant jusqu'en 2010 ». Elles prévoient une augmentation automatique de 1,5% pour les gens touchant moins de 42 834 E et qui n'auraient pas été augmentés les trois dernières années, ainsi que 500 euros par an d'indemnité forfaitaire pour les 2% des gens de chaque branche touchant moins de 32 000 E.
Capgemini propose des mesures de revalorisation applicables dès le 1er mai
« Afin de concrétiser le dialogue », fait valoir Philippe Tavernier, Capgemini a proposé lors de ces trois jours de négociations de revoir à la hausse ces mesures de l'accord signé en 2006 ainsi que d'autres compléments de rémunération. Ainsi, ce sont 4% des salaires les plus bas qui seront concernés par l'augmentation de 500 euros par an, et le délai au-delà duquel la revalorisation devient automatique est raccourci de 3 à 2 ans. « Ces mesures qui touchent l'ensemble des collaborateurs de Capgemini seront appliquées dès le 1er mai », fait observer le directeur général adjoint de Sogeti. De même que trois autres mesures : la valeur faciale du ticket restaurant sera portée de 7 à 8 euros, « sachant que la participation patronale est de 60% » (le salarié y étant donc de sa poche aussi, remarque l'intersyndicale) ; le remboursement des indemnités kilométriques gagnera 3% (ce qui est calqué sur le barème du Fisc, dénonce là aussi l'intersyndicale) ; et les forfaits pour les frais de déplacement des non-cadres seront valorisés de 2%.
La direction a communiqué ces décisions hier aux collaborateurs du groupe. Et fait savoir aux organisations syndicales qu'elle avait d'autres propositions dont elle entend discuter la mise en oeuvre. De nouvelles assemblées générales décideront si l'intersyndicale doit accepter ou s'en tenir à son préalable. (...)
39 390 postes de cadres et ingénieurs informatiques ouverts en 2008
Pour sa septième édition, l'enquête BMO (besoins en main d'oeuvre) réalisée par l'Unédic a dénombré 39 390 projets de recrutement d'ingénieurs et cadres dans l'informatique en 2008, sur un total de 1 298 142. Cette catégorie professionnelle se classe en 6ème position des métiers rassemblant le plus d'intentions d'embauches, derrière l'hôtellerie, les agents d'entretien, les animateurs sociaux culturels, les caissiers et les employés de maison. Chaque groupe se divise en deux catégories - effectifs permanents et activité saisonnière. Pour les cinq premiers groupes, ce sont surtout les embauches saisonnières qui tirent les chiffres vers le haut, alors que pour l'informatique, elles restent anecdotiques (352 à peine, soit 0,9%, contre 25% en moyenne). L'étude souligne par ailleurs que la demande de personnel qualifié est à la hausse, mais difficile à contenter. 62,8% des ingénieurs et cadres de l'informatique sont difficiles à recruter, contre 56% l'an dernier. Des disparités géographiques sont également signalées. Les difficultés de recrutement concernent essentiellement l'Ile-de-France, qui réunit à elle seule deux tiers des intentions d'embauche. Le Munci, association des professionnels informaticiens, met toutefois en garde contre l'optimisme affiché de cette étude, et ce pour trois raisons. D'une part à cause du turn-over en constante progression, notamment dans les SSII. Il ne s'agirait donc pas de véritables créations d'emploi, mais de remplacement de postes régulièrement vacants. Le Munci pointe également du doigt les critères de recrutement, qui sont de plus en plus exigeants, à la fois en termes de formation, de salaire et d'âge (toujours plus jeunes, blindés de diplômes mais sous-payés), d'où les difficultés à dénicher la perle rare. Le Munci relève enfin que l'enquête a été soumise à plus de 1,5 million d'établissements affiliés à l'assurance-chômage, mais n'a obtenu que 355 174 réponses (soit 23,3%)... ce qui peut statistiquement sembler peu fiable. L'enquête Besoins en main-d'oeuvre (BMO) est une initiative de l'Unédic, réalisée auprès de 30 institutions de l'Assurance chômage (Assédic et Garp) et le concours du Crédoc (Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie). (...)
(09/04/2008 09:56:04)2 000 postes menacés par le rapprochement SFR-Neuf Cegetel
Le rachat par SFR de Neuf Cegetel pourrait entraîner dans son sillage de lourdes suppressions d'emplois. C'est du moins ce qui est à craindre selon la Lettre de l'Expansion, qui, sans préciser l'origine de l'information, indique que l'acquisition de l'ensemble des parts du groupe Louis Dreyfus dans Neuf Cegetel par SFR risque de se traduire par la disparition de 2 000 postes. Un plan qui concernerait 600 salariés de SFR oeuvrant pour le déploiement des antennes GSM et 1 400 autres répartis au sein des services clients des deux entités. Aussitôt après la diffusion de ce qui n'est encore qu'une rumeur, SFR s'empressait d'apporter sa réponse, sous la forme d'un démenti catégorique : « Aucun plan de licenciement n'est envisagé et aucun objectif de réduction d'effectif n'est fixé », assure l'opérateur. SFR a pourtant présenté, le 26 mars en comité central d'entreprise, un accord de méthode prévoyant un plan de départs volontaires, qualifié de « plan social déguisé » par la CGT. Dans son communiqué publié en début de semaine, le futur propriétaire de Neuf Cegetel assure cependant que « le dialogue social est permanent au sein de l'entreprise et se poursuit conformément aux pratiques d'ouverture et de concertation en vigueur chez SFR. » (...)
(08/04/2008 17:39:15)Index Freelance.com : les spécialistes PHP dans le top 10
L'indice de l'évolution de la rémunération des Experts Free-lances reste stable depuis le mois de février. Si le quatuor de tête reste inchangé (Unix, Oracle, Java et SAP), on constate néanmoins une augmentation des demandes de compétences en environnement Unix qui peut s'expliquer par une augmentation des projets Oracle et SAP. Les administrateurs, les ingénieurs et les développeurs font partie des compétences les plus recherchées.
Concernant les spécialistes JAVA, les profils demandés sont plutôt axés autour du développement et de l'ingénierie.
Les spécialistes en langage de programmation COBOL qui revenaient dans le classement la semaine dernière en 8ème position, perdent, cette semaine, deux places au profit des demandes de compétences sur PHP qui font leur entrée à la 8ème place du classement, liées à la recherche de programmeurs.
Concernant le top 10 des spécialités demandées, les spécialistes en langage de programmation (C++, Java, J2EE et Cobol) restent en tête du classement.
(...)
Sondage flash : un informaticien sur deux privé d'augmentation
D'après le 'sondage flash' proposé sur Lemondeinformatique.fr, sur près de 1 300 répondants, près de la moitié n'ont pas été concernés par la moindre augmentation de salaire au cours des douze derniers mois de l'année. Et un peu moins du quart ont connu une légère revalorisation de leur salaire, inférieure à 3% (voir le tableau ci-dessous). On comprend ainsi pourquoi, actuellement, la question des salaires mobilise les salariés de certains éditeurs de logiciels et SSII. En témoignent les récentes manifestations publiques des salariés d'IBM, de Business Objects et plus récemment de Capgemini, pour une revalorisation de leurs salaires ou pour le maintien de leurs primes d'intéressement. « Les salariés de la IT demandent le retour des augmentations générales, devenues inexistantes dans les services informatiques, indique Yvan Béraud, secrétaire national du syndicat F3C CFDT. Chez Cagemini notamment, les informaticiens réclament un rattrapage de la perte du pouvoir d'achat sur plusieurs années, une revalorisation des indemnités repas, et souhaitent une meilleure cohérence du référentiel métier. » Et le représentant syndical de pointer l'absence de gestion des salaires qui règne actuellement dans certaines SSII. « Dans ce secteur, les salaires souffrent très souvent d'une mauvaise répartition, déplore t-il. On voit fréquemment des cas de chefs de projets débutants embauchés plus cher que leurs collègues en poste, pour des fonctions et responsabilités équivalentes, et ce, au sein d'un même service. Dans certains cas, les écarts peuvent parfois monter jusqu'à 30%. » (...)
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