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Emploi

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(04/04/2008 14:49:16)
Dell supprime plus de postes que prévu
Dell vient d'annoncer de nouvelles mesures drastiques qui devraient l'aider à économiser 3 Md$ d'ici trois ans. Le Texan de Round Rock pourrait bien dépasser ses objectifs de réductions d'effectifs, initialement fixés à quelque 8 800 licenciements, soit 10% de ses effectifs. Michael Dell, le patron du groupe éponyme qui a reculé à la seconde place du marché des PC derrière HP, a indiqué hier, jeudi 3 avril, à l'occasion d'une réunion d'analystes, qu'il envisageait d'aller plus loin dans la réduction du nombre de postes, ce qui devrait l'aider à réduire ses coûts. Sur les neuf premiers mois de l'exercice 2008, 3 200 emplois ont déjà été supprimés à son initiative. Cette semaine, l'entreprise avait fait savoir qu'elle fermait une usine à Austin, au Texas, envoyant ainsi 900 salariés au chômage. Au Canada, Dell a également fait fermer un centre d'appels à Edmonton, où travaillaient 900 personnes, et renoncé à recruter 1 200 nouveaux employés pour son centre d'Ottawa. Le directeur financier de Dell, Donald Carty, a indiqué que 5 500 coupes avaient déjà été effectuées, et que 1 000 suppressions de postes interviendraient au cours de ce trimestre. Il a ajouté que l'entreprise comptait racheter 1 Md$ de ses actions, après en avoir acquis pour 4 Md$, en 2007. De son coté, Keith Bachman, analyste pour le compte du cabinet BMO Capital Market aux États-Unis, a indiqué dans une note que Dell devait chercher à s'améliorer sur le plan opérationnel, pour rattraper les erreurs stratégiques commises par le passé. Michael Dell a également déclaré qu'il espérait que les coûts d'exploitation de l'entreprise auront reculé de 1% d'ici à la fin de l'année, en précisant qu'il ne souhaitait pas procéder à de nouvelles acquisitions d'envergure. Rappelons qu'en janvier dernier, le rachat d'EqualLogic lui avait coûté quelque 1,4 Md $ Pour Michael Dell, l'entreprise entre actuellement dans une grande phase de transformation. Un point de vue que ne partage pas l'analyste Keith Bachman, qui évoque les possibles conséquences du ralentissement de l'économie américaine sur les performances du constructeur. (...)
(03/04/2008 17:46:57)Google licencie 300 salariés de DoubleClick
C'est un coup dur pour les employés de la régie publicitaire DoubleClick. Google a décidé de se séparer de 300 salariés de sa récente acquisition, rapportent nos confrères du New York Times. C'est une première pour le géant des moteurs de recherche qui annonce ainsi les premières suppressions de postes de son histoire. Les réductions d'effectifs représentent 25% de la force américaine de travail de DoubleClick, constituée de quelque 1 200 salariés. Les 300 autres employés de l'agence de publicité ailleurs dans le monde, notamment en Europe, seront eux-aussi concernés par des coupes, mais à une date ultérieure, a précisé Eric E. Schmidt, PDG de Google, sans pour autant confirmer le nombre de licenciements. « Depuis la finalisation du rachat de DoubleClick, le 11 mars 2008, nous nous efforçons d'adapter l'effectif américain de la régie à notre organisation, a déclaré Google mercredi dernier, dans un communiqué. Comme c'est le cas lors de nombreuses fusions, cette intégration doit passer par des réductions d'effectifs ». Et ce n'est pas tout. En parallèle de ce premier plan social, Google vient d'annoncer la mise en vente de l'activité de référencement de Performics, filiale de DoubleClick. En fournissant l'aide nécessaire aux clients afin qu'ils trouvent le meilleur placement de leurs annonces publicitaires sur Internet, que ce soit sur Google, ou sur ses concurrents Yahoo ou Microsoft, Performics présentait d'évidents problèmes de conflits d'intérêts. La société sera donc divisée en deux entités : Affiliate Marketing et Search Marketing. Google intègrera la partie Affiliate Marketing à son business et cèdera l'activité de référencement Search Marketing, à un tiers. En 2007, le géant des moteurs de recherche avait procédé à 6 100 nouvelles embauches, pour terminer l'année avec un effectif de 16 805 salariés dans le monde. (...)
(03/04/2008 14:08:43)L'Isep ouvre quatre « B.A.D.G.E » en informatique
Dès la rentrée 2008, l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris) proposera, en plus de ses deux Mastères Spécialisés, quatre B.A.D.G.E (Bilan d'aptitude délivré par les grandes écoles), ouverts aux salariés de niveaux Bac et Bac + 2. Ces formations s'articuleront autour d'une dizaine de modules et de projets dédiés aux technologies de l'information. : au menu, la conduite de projets IT, les aspects légaux et techniques du management et de la protection des données personnelles, (préparant au métier de correspondant informatique et liberté), et les nouveaux services liés à la convergence des technologies de téléphonie fixe et mobile. Le cursus, d'une à deux journées par semaine, permettra l'exercice d'une activité professionnelle au 3/5ème voire au 4/5ème en parallèle. Seront admis les profils Bac +2, possédant au moins trois années d'expérience professionnelle en rapport avec la formation, et les niveaux Bac, à condition qu'ils aient cinq années d'expérience (également en rapport avec la formation), pour un coût qui se situe entre 7 000 € et 8 500 €. Rappelons que la formule du bilan d'aptitude est un label reconnu et délivré par la Conférence des Grandes Ecoles (CGE), qui offre aux salariés les moins diplômés la possibilité de valider et de consolider leur parcours professionnel. (...)
(02/04/2008 18:09:43)Succès confirmé de la mobilisation chez Capgemini
Hier, mardi 1er avril, ils étaient 1 200, chez Capgemini, à faire grève pour un retour des augmentations de salaires générales. Si l'on tient compte de la première journée de mobilisation du 28 mars, qui avait réuni quelque 400 grévistes, les deux manifestations lancées à l'appel des syndicats CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, CFTC auront rassemblé près de 1 700 salariés, au total., soit 8% des effectifs du groupe (qui compte 20 000 salariés). La CFDT se félicite de l'importance du taux de participation, surtout dans l'ouest, le centre et le sud-ouest de la France, « des régions où certains salaires ne dépassent pas les 2 000 € mensuels », selon Frédéric Boloré, délégué syndical CFDT. Hier, 150 grévistes s'étaient mobilisés sur l'un des sites de Capgemini Ouest à Nantes, 180 manifestants étaient comptabilisés à Rennes, alors qu'une soixantaine se rassemblaient à Brest. Le mouvement a également gagné le site OS de Clermont (80 salariés mobilisés), et a été fortement suivi à Toulouse, avec plus d'une centaine de salariés en grève. La direction réagit en ouvrant trois jours de débats Devant l'ampleur de la grogne, la direction a décidé de répondre positivement à une proposition de dialogue. « Nous avons bon espoir, car la direction a proposé de bloquer trois journées complètes de discussion les 7, 8 et 9 avril prochains », indique Frédéric Boloré. Seront abordées les questions des salaires et des compléments de rémunération et les processus d'évaluation. De son côté, la CGT se veut moins optimiste en raison « d'une conjoncture difficile », terme qui aurait été évoqué lundi dernier par la direction. Rappelons que les syndicats réclament une augmentation générale qui rattrapera la perte du pouvoir d'achat depuis cinq ans, un accord salarial pérenne, une revalorisation des frais professionnels et une refonte complète du système d'évaluation des salariés. La direction avait rétorqué que « les minima salariaux chez Capgemini étaient supérieurs à ceux pratiqués par la branche et que les enveloppes budgétaires consacrées aux augmentations individuelles étaient équivalentes voire supérieures à celles de la profession ». Un point de vue que ne partage pas la CFDT : « La direction entend par « augmentations », celles des minima sociaux issues de l'accord 2006 sur les dispositions salariales Syntec appliquées aux salaires les moins élevés, déplore Frédéric Boloré. A l'issue de cet accord, une enveloppe budgétaire de 178 000 € avait été proposée, soit moins de 2% d'augmentation. » Quoi qu'il en soit, et quels que soient les résultats des négociations de la semaine à venir, il semble que les syndicats sont prêts à aller jusqu'au bout. « Jusqu'ici, la mobilisation a atteint un niveau qui va au-delà de ce qu'on avait pu espérer, estime Frédéric Boloré. Nous sommes prêts à poursuivre notre action, en cas d'un éventuel refus de la direction. » (...)
(02/04/2008 13:07:54)Telindus ouvre une centaine de postes en sécurité, réseaux et communications unifiées
Telindus Belgacom ICT, intégrateur spécialisé dans les réseaux et la sécurité, annonce pour l'année en cours, un plan de recrutement similaire à celui lancé il y a un an à peine. Après avoir embauché 130 nouveaux collaborateurs en 2007, en Ile-de-France et en régions, l'intégrateur poursuit sur sa lancée en annonçant l'ouverture d'une centaine de postes supplémentaires d'ici la fin de l'année. Les offres sont à pourvoir dans les domaines liés à la sécurité, aux réseaux, aux communications unifiées et à la vidéo-protection. Il s'agit d'ingénieurs avant-vente, de consultants, de techniciens et ingénieurs support et réalisation, et de directeurs de projet. «Nous devons faire face à l'évolution de nos effectifs, pour répondre à un besoin permanent d'expertises complémentaires sur un marché tendu », a commenté Fabienne Guillou, directrice des ressources humaines de Telindus. Des partenariats avec les écoles d'ingénieurs télécoms Pour accompagner ses recrutements, Telindus compte sur le soutien de grandes écoles d'ingénieurs, comme Telecom Sud Paris (ex INT), l'Esigetel, l'Epita, Télécom Lille ou encore l'Insa. Dans le cadre de ces partenariats, l'équipe RH est régulièrement sollicitée pour des simulations d'entretiens et du coaching de positionnement individuel auprès des futurs jeunes diplômés. Le fournisseur dispense aussi des formations auprès de ces écoles partenaires sur des technologies de pointe telles que les communications unifiées ou la sécurité. (...)
(02/04/2008 11:53:48)Sogeti crée une chaire d'entreprise sur le test logiciel à l'EISTI
Après Keyrus pour le décisionnel, Sopra pour le génie logiciel, Alti pour l'ingénierie financière, c'est au tour de Sogeti de s'offrir une chaire d'entreprise à l'EISTI (Ecole Internationale des Sciences du Traitement de l'Information) à partir de septembre 2008. La société de service proposera 80 heures de formation aux métiers du test logiciel. Bien sur, elle s'engage aussi à proposer des stages et des emplois aux ingénieurs diplômés de l'EISTI ayant suivi ces cours. "Via ces chaires, les entreprises proposent des cours à l'intérieur d'une de nos options, détaille Nesim Fintz, directeur général et fondateur de l'école. C'est un bon moyen pour les étudiants de mieux connaître les entreprises, mais surtout pour celles-ci de trouver les profils qui leur correspondent le mieux." Une manière de répondre aux difficultés actuelles rencontrées par les entreprises du secteur informatique pour trouver certaines compétences pointues, comme le test logiciel. Ces chaires, planifiée généralement pour 3 ans, rapportent par ailleurs un financement global d'environ 150 000 euros par an à l'école. (...)
(01/04/2008 19:09:58)Index Freelance.com : les spécialistes de Cobol entrent au top 10
Les compétences en environnement Unix, les administrateurs, ingénieurs et développeurs tiennent toujours le haut du pavé : plus d'une offre sur cinq concerne en effet ce type de profils. Les spécialistes d'Oracle et les ingénieurs de projets Internet et Java suivent, en restant très près.
Absents des classements de Freelance.com depuis de nombreuses semaines, les spécialistes du langage de programmation Cobol, des analystes pour la plupart, font leur entrée à la 8ème place du palmarès. Dans la course aux dix spécialités les plus demandées sur des missions de courte durée, les programmeurs spécialisés (C++, Java, J2EE et désormais COBOL) sont de plus en plus recherchés.
Les experts en logiciels de gestion sont doublés par les spécialistes des bases de données.
En revanche, Freelance.com ne note pas d'évolution majeure de l'indice de la rémunération des experts free-lance, qui frôle toujours la barre des 500 €.
Méthodologie : Les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 571 offres de projets informatiques disponibles au 31 03 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande).
(...)
Les salariés d'IBM restent mobilisés contre les transferts d'activités
Par une nouvelle action, menée jeudi dernier 27 mars sur différents sites français d'IBM (La Gaude, Montpelier, Clermont-Ferrand, Nice, Paris et Ecully) et, à l'échelle européenne, dans le monde virtuel de Second Life, les collaborateurs d'IBM ont souhaité rappelé à leur direction qu'ils restaient vigilants sur les projets de vente d'activités impliquant le transfert de salariés. Si le mouvement trouve principalement son origine dans le projet BlueSky relatif au transfert vers AT&T des activités de services réseaux (NSD) d'IBM, les responsables du personnel ont précisé que leur protestation s'appliquait à l'ensemble de la politique de transferts d'IBM, « personne n'étant à l'abri ». Sur le blog relayant les actions menées, le bilan de jeudi dernier fait état d'une centaine d'avatars ayant participé à la manifestation virtuelle, principalement en Belgique, en Italie, en Espagne et en France, mais également, par solidarité, au Royaume-Uni, en Suisse, au Canada et en Allemagne. En savoir plus : Le blog de protestation virtuelle des salariés d'IBM (...)
(31/03/2008 18:00:22)Le Munci va créer un syndicat professionnel
Le Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens (Munci) essaime sur le terrain syndical. L'association d'informaticiens a en effet entériné samedi, lors de son assemblée générale, la décision de créer un syndicat de branche en marge du Munci. Objectif de cette nouvelle structure, dont le nom n'a pas été dévoilé : la défense des intérêts collectifs chez les prestataires de services informatiques. « Concrètement, nous souhaitons fédérer les salariés et les indépendants des sociétés de prestations intellectuelles (conseil, ingénierie, informatique...) relevant de la branche Syntec », explique Régis Granarolo, président du Munci. Aujourd'hui, un nouveau club professionnel se créé chaque mois en France et en Europe, et de plus en plus de salariés souhaitent s'investir dans les élections des IRP (institutions représentatives du personnelles : délégués syndicaux, délégués du personnel, comités d'entreprise) de leurs sociétés. » Une nouvelle répartition des tâches devrait donc rapidement voir le jour entre le Munci et ce nouveau syndicat, dont les statuts sont en cours de d'analyse. En l'occurrence, un certain nombre de missions - notamment d'assistance juridique et de lobbying - lui seront dévolues. « Notre syndicat fonctionnera sur le même principe de démocratie participative que l'association, précise Régis Granarolo. Nous nous sommes par ailleurs rapprochés de l'Unsa (Union nationale des syndicats autonomes), et nous réfléchissons d'ores et déjà à l'opportunité de fusionner à terme avec un autre syndicat professionnel ». De son côté, le Munci entend renforcer son rôle d'information et de conseil auprès de ses adhérents. En particulier, le premier exemplaire d'une lettre de veille professionnelle, destinée à paraître à échéance trimestrielle, leur sera envoyée d'ici quelques semaines. De la même manière, un programme d'ateliers et de conférences thématiques est en cours de finalisation. L'association entend, en outre, renforcer son partenariat avec les éditeurs, pour permettre à ses membres d'accéder à des formations à moindre coût. Enfin, l'une de ses priorités sera cette année la création d'une cellule Emploi, assurant un suivi des offres et des recruteurs (lutte contre la discrimination à l'embauche, sociétés à conseiller ou au contraire à éviter...). (...)
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