Flux RSS
Emploi

1541 documents trouvés, affichage des résultats 791 à 800.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/03/2008 10:04:01)
Une candidature pour plus de deux offres IT, selon Embauche.com
Embauche.com, le site d'emploi édité par la société Aronet filiale de TF1, a réalisé une analyse basée sur 12 000 offres d'emplois et 15 000 CV publiés fin 2007 sur Internet. Principal enseignement de cette enquête : une pénurie de candidats dans certains secteurs, et particulièrement dans l' informatique. En effet, 13% du total des offres publiées sur la Toile concernent le secteur de la high-tech, pour seulement 5% de candidats ayant des compétences IT. Ce qui correspond à une moyenne de 2,4 offres d'emploi informatique, pour une seule candidature. Un score étonnant, car le chômage des informaticiens est aussi une réalité. Le bilan est moins catastrophique dans l'industrie, mais le sondage laisse néanmoins apparaître quelques signes avant-coureurs d'une crise plus profonde, avec cinq CV pour dix offres publiées. Autre tendance relevée par le site d'emploi, l'attractivité des candidats pour le secteur public, qui attire de plus en plus : 34 demandes ont ainsi été déposées en 2007 pour une dizaine d'offres disponibles. Ce sondage en ligne montre également que 67% des candidats interrogés ont déposé leurs CV sur plus de trois sites d'emploi l'an dernier et que 21% de ces candidats ont reçu une proposition d'emploi. (...)
(14/03/2008 17:51:07)Suicide d'un informaticien du Technocentre de Renault
La série noire se poursuit au Technocentre de Renault à Guyancourt (Yvelines). Le site en est en désormais à son quatrième suicide, et la dernière victime est un informaticien. Il s'agit d'un technicien de 47 ans qui travaillait depuis trois ans au support informatique de production d'Assystem, pour le compte du Technocentre, et qui a mis fin à ses jours le mois dernier à son domicile. Selon nos confrères de La Tribune, qui citent une source syndicale de Renault, le salarié se serait dit surmené. Pour Emmanuelle Capiez, DRH d'Assystem, il est impossible à ce stade d'établir un lien entre le suicide de son collaborateur et les conditions de travail du centre d'ingénierie de Renault. « C'était un salarié apprécié par son entourage professionnel et son management, qui était bien intégré dans l'entreprise, indique la DRH. Ses entretiens d'évaluation faisaient apparaître un ressenti positif sur son intégration, son positionnement, la politique de la société et son manager. » Autant d'éléments qui ne pouvaient laisser présager un tel événement. En réaction à cette annonce, la DRH a organisé, dans les jours qui ont suivi le drame, une réunion extraordinaire avec le CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) afin d'analyser les faits et avoir un premier échange plus large autour des conditions de travail. Suite à cette réunion, la direction du groupe confirme sa volonté d'engager des actions en coordination avec les partenaires sociaux et notamment les CHSCT sur les mesures à mettre en place en vue de prévenir toute forme de mal être au travail. [[page]] Le rapport sur les risques psychosociaux au travail remis à Xavier Bertrand De son côté Renault a notamment souligné qu'un certain nombre de mesures avaient été prises depuis un an, dont « la mise en place d'un DRH à part entière dont la mission est de s'occuper des conditions de travail au Technocentre ». Hasard du calendrier, ce suicide intervient au moment de la remise d'un rapport remis à Xavier Bertrand, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, sur les risques psychosociaux au travail. Ce rapport sur « la détermination, la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail » a donné lieu à neuf propositions d'actions concrètes pour prévenir le mal-être en entreprise. Le ministère du Travail souhaite notamment rendre obligatoires des négociations sur le stress dans les branches où le phénomène est le plus marqué. Une initiative qui semble utile à l'heure où le stress touche les salariés des services informatiques : les rapports des médecins du travail d'IBM France, par exemple, ont déclaré, pour la seule année 2006, 29 dépressions, 9 cas d'épuisement mental ('burns-out'), un suicide reconnu en maladie professionnelle et 206 urgences. En 2007, au cours des 6 premiers mois, 19 dépressions, 2 'burns-out' et 116 urgences ont également été comptabilisés chez IBM. (...)
(13/03/2008 17:44:36)Altran recrute en ouvrant un concours sur Facebook
L'usage des réseaux sociaux pour recruter commence à se développer dans les entreprises de l'Hexagone. Il y a quelques semaines, les SSII CSC et Logica décidaient de s'appuyer sur les outils du Web 2.0 pour attirer des candidats potentiels. De son côté, l'Apec créait l'événement en annonçant son union avec le réseau professionnel LinkedIn. A présent, c'est au tour d'Altran de miser sur les espaces communautaires pour toucher ses futurs collaborateurs. La société de conseil en innovation et en hautes technologies, dont les objectifs de recrutement paraissent ambitieux - 2400 embauches prévues en 2008 -, vient en effet d'annoncer le lancement d'un concours sur l'incontournable réseau communautaire Facebook. Pour attirer un maximum de candidats, des tracts ont même été distribués à la sortie des métros, notamment à la Défense. AppliChallenge est une compétition destinée aux étudiants ou diplômés de formation bac+ 5 des grandes écoles de commerce/ingénieurs et/ou d'universités. Il s'agit, pour les participants, de mettre en avant leurs compétences techniques et esprit d'équipe, en créant une application sur Facebook. Les gagnants seront ceux qui auront créé l'application la plus souvent installée par les utilisateurs du réseau. La remise des prix aura lieu à l'occasion de l'opération « What's Next », une journée portes ouvertes organisée par Altran le 29 mai prochain. pour exposer aux futurs jeunes recrues les métiers, projets et opportunités de carrières au sein du groupe. (...)
(13/03/2008 12:47:37)Bill Gates réclame plus d'immigration qualifiée aux Etats-Unis
A voir, notre reportage vidéo : Bill Gates demande au Congrès américain davantage d'immigration qualifiée Pour que les Etats-Unis conservent leur place de moteur de l'innovation mondiale, il leur faut accueillir davantage d'étudiants et de travailleurs qualifiés étrangers. C'est le message qu'a martelé Bill Gates devant le Congrès américain, plaidant pour une augmentation du nombre de visas accordés annuellement aux éléments les plus brillants. Interrogé par des représentants républicains sur le risque que pourrait faire courir cette mesure sur les emplois des travailleurs américains, Bill Gates s'est montré catégorique : « en faisant venir ces ingénieurs, nous créons des emplois autour d'eux ». Et si les dispositions légales empêchent les grands groupes de recruter des travailleurs étrangers aux Etats-Unis, les employeurs devront réaliser ces embauches à l'extérieur du territoire américain. Les recrutements afférents se trouvant dans ce cas également repoussés dans d'autres pays. Au coeur des revendications de Bill Gates, le nombre de visas H-1B accordés chaque année par le gouvernement aux travailleurs étrangers. Un nombre fixé à 65 000, qui « ne reflète pas la demande de l'économie américaine en professionnels qualifiés ». Ainsi, l'an passé, l'éditeur aurait été incapable d'obtenir des visas pour un tiers des travailleurs étrangers qu'il souhaitait recruter. L'informatique n'est pas un jeu pratiqué aux seuls Etats-Unis, explique le fondateur de Microsoft. « Au final, on est en concurrence avec les meilleurs du monde. La question est : est-ce que cela se passera aux Etats-Unis ou dans un autre pays ? » A voir, notre reportage vidéo : Bill Gates demande au Congrès américain davantage d'immigration qualifiée (...)
(12/03/2008 16:18:18)Les entreprises encore très réticentes face au Web 2.0, d'après MessageLabs
20% des entreprises ont bloqué l'accès de leurs employés aux réseaux sociaux au courant du mois de février, selon MessageLabs, une société spécialisée dans la protection du courrier électronique. Motif invoqué : une baisse de la productivité des salariés, combinée à une crainte de recrudescence de l'introduction de malwares (logiciels malveillants qui s'installent à l'insu de l'internaute, suite à un simple clic sur un lien). L'analyse de MessageLabs s'appuie également sur une étude réalisée par cio.com auprès de plus de 300 DSI. Près de 10% d'entre eux considèrent que les réseaux sociaux (comme MySpace ou Facebook) représentent une menace pour l'entreprise, 18% d'entre eux pointent du doigt en deuxième place des outils de messagerie comme Hotmail ou Gmail, juste à côté de périphériques du type clés USB. Toujours d'après MessageLabs, le nombre de sites Internet bloqués par les filtres des entreprises atteint pratiquement les 47%. Un chiffre qui devrait « inciter les départements informatiques à mettre à jour leur politique d'utilisation d'Internet, tout en sensibilisant les utilisateurs, afin de mieux profiter des nouvelles technologies qu'offre le Web de 2.0 », a expliqué Paul Wood, un analyste de la sécurité de MessageLabs. Cette étude vient confirmer les inquiétudes du Trades Union Congress, publiées en septembre dernier. L'analyse du TUC encourageait les entreprises à mettre en place une politique de bonne conduite « clairement définie, mais ouverte », plutôt que d'opter pour la répression pure et dure de l'utilisation des sites communautaires. Pour le TUC, quelques minutes passées à surfer sur ces réseaux peuvent s'avérer positives pour l'entreprise elle-même. N'oublions pas que d'ici peu les entreprises seront confrontées à l'arrivée massive des fameux « Digitale natives » comme les qualifie Capgemini, ces jeunes qui sont quasiment nés avec une Playstation entre les mains, et qui ont grandi entourés d'iPhone, de réseaux sociaux et autres blogs. Tout sera à revoir d'après le cabinet : culture d'entreprise, mode de fonctionnement et de communication, conditions de travail... Aux entreprises de ne pas louper le coche, car cette génération est en train d'arriver sur le marché de l'emploi. (...)
(12/03/2008 11:22:18)L'Institut Télécom recrute près de 400 chercheurs
Pour renforcer ses équipes scientifiques et développer ses activités de recherche, l'Institut Télécom, établissement d'enseignement supérieur et de recherche, annonce le recrutement de plusieurs centaines de chercheurs : 200 doctorants et post-doctorants, 150 ingénieurs R&D, et 20 enseignants chercheurs seront ainsi recrutés tout au long de l'année 2008. Des postes de professeurs et de maîtres de conférences sont à pourvoir dans les écoles d'ingénieurs et de management de l'Institut, et plus spécifiquement à Brest (pour Telecom Bretagne), à Evry (pour Telecom & Management SudParis), à Paris (pour Telecom ParisTech) et à Lille (pour Telecom Lille1). Dans ces spécialités, les domaines des postes proposés sont assez variés : ils concernent les communications physiques, l'informatique et les réseaux, le traitement de l'information et des connaissances, les sciences économiques et sociales, et le management. La campagne de recrutement est d'ores et déjà lancée et devrait se terminer le 18 avril prochain, pour des embauches effectives dès le mois de septembre 2008. Des nouvelles recrues pour développer les plateformes de recherche Les embauches de quelque 350 ingénieurs R&D, doctorants et post-doctorants, contribueront parallèlement au développement de plateformes de recherche et à la réalisation de contrats de recherche passés avec les entreprises, ou dans le cadre de projets financés par les agences, les fonds gouvernementaux et européens, ou les collectivités locales. Ces contrats et projets pouvant démarrer à n'importe quel moment, les emplois attenants sont à pourvoir toute l'année au sein des laboratoires de recherche de l'Institut. En 2007, plus de 150 recrutements ont ainsi été effectués. Ces recrutements interviennent dans un contexte où les conditions d'emploi des docteurs dans les métiers du conseil, de l'informatique et de l'ingénierie restent assez mal identifiées. L'Opiiec, observatoire paritaire du secteur SSII, a décidé de prendre le taureau par les cornes en lançant un appel à projet d'étude en septembre 2007, pour tenter d'identifier les opportunités d'emploi de cette filière au sein de la branche IT. (...)
(11/03/2008 17:01:12)Il existe un lien direct entre la taille de l'écran et la productivité
En matière d'écran, la taille et le nombre importent. Selon le Wall Street Journal, une étude de chercheurs de l'université de l'Utah a identifié un gain de productivité de l'ordre de 50% entre un groupe d'utilisateurs au travail devant des écrans de 24 pouces de diagonale et un autre réalisant le même travail sur des écrans de 18 pouces. Toujours selon cet article, un seul 24 pouces est préférable à deux écrans de 20 pouces qui n'apporteraient qu'un gain de productivité de 42%. Toutefois, la seule étude de l'université de l'Utah disponible sur Internet décerne la palme de la productivité aux configurations double écran et non à un seul grand écran (voir lien). Quoi qu'il en soit, les conditions des études citées sont similaires. Elles visent à reproduire des paramètres de travail similaires à ceux que l'on trouve dans le quotidien des cols blancs. Il s'avère alors évident que les configurations a écrans multiples prennent tout leur sens lorsqu'il s'agit d'utiliser plusieurs sources d'information. Bien que datant de 2003-2004, les résultats de cette étude sont d'autant plus d'actualité que les cartes graphiques à deux connecteurs se sont généralisées et que les écrans, désormais tous plats, se sont agrandis à prix constant. En raison du prix de plus en plus modique des écrans, la mise en place de périphériques d'affichage de qualité relève du simple bon sens si l'on réfléchit un instant aux économies réalisées en terme de coût de main-d'oeuvre. De plus, une boutade permet de rassurer ceux en charge du budget d'équipement : le choix d'un écran de 26 pouces n'apporte aucun gain de productivité supplémentaire par rapport à un modèle 24 pouces. De même, le passage à trois écrans n'apporte rien. Ouf... (...)
(11/03/2008 13:08:37)Index Freelance.com : les spécialistes d'Unix, SAP et Oracle restent en tête
En cette onzième semaine de l'année, Freelance.com relève, une fois encore, un maintien de la demande pour des spécialistes d'Unix, SAP et Oracle, sur des missions ponctuelles. Ce qui permet aux trois spécialités de culminer dans le trio de tête du top 10, talonnées de près par les professionnels de Java. Les besoins des recruteurs en administrateurs Unix augmentent parallèlement. Et les consultants SAP (sur les modules BW/ BC, FI/CO, PM, MM, SD, HR), de même que les profils fonctionnels ABAP, font également partie des spécialistes les plus courus.
Du côté des bases de données, Oracle reste une valeur sûre, avec une demande centrée sur les administrateurs, et les analystes développeurs.
Freelance.com enregistre également beaucoup de propositions de missions pour des ingénieurs J2EE et sur le framework Open Source Struts.
Quant à l'index -indice d'évolution de la rémunération des experts basé sur le prix moyen des offres que Freelance.com propose, il continue sa progression et s'approche de la barre des 500 €. Une stabilité qui se maintient depuis maintenant plus d'un mois.
NB Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 636 offres de projets informatiques disponibles au 09/03/2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande).
(...)
Neurones recrute 800 collaborateurs
A l'instar de nombreuses SSII, Neurones intensifie sa politique de recrutement en 2008. Le groupe spécialisé dans le conseil, l'intégration et l'infogérance, prévoit d'embaucher 800 personnes (elle compte actuellement 2100 salariés), essentiellement en Ile-de-France. Les profils recherchés sont à la fois des jeunes diplômés (30%), des jeunes expérimentés (20%) et des seniors confirmés (50%). Neurones a également mis en place un programme de formation et de spécialisation pour faciliter l'intégration et la progression de ses futurs collaborateurs. Les postes à pourvoir sont très variés : ingénieurs (experts dans le développement applicatif .Net / Java / J2EE, systèmes et réseaux), chefs et directeurs de projet (infrastructures et applicatifs), consultants (spécialisés dans le décisionnel et les PGI), architectes (réseaux, sécurité), administrateurs de bases de données et de systèmes et réseaux, techniciens, responsables opérationnels de comptes infogérance, ingénieurs d'affaires, ingénieurs avant-vente, directeurs commerciaux et généraux. Neurones a réalisé un chiffre d'affaires de 156 M€ en 2007 (+20%), pour une marge opérationnelle avoisinant les 9%. La SSII a également réalisé deux acquisitions au courant de l'année (ID Factory en avril dernier, puis Pragma Team au mois de novembre). (...)
(07/03/2008 16:59:37)Les femmes sont mieux payées dans la R&D
Dans un contexte où les inégalités salariales restent manifestes entre les hommes et les femmes, avec 17% d'écart au global, l'Apec a interrogé 3800 femmes cadres afin d'établir un classement des salaires selon la fonction qu'elles occupaient. Au palmarès des fonctions les mieux payées, la filière projet en recherche et développement, s'octroie la troisième place du classement. Dans ce secteur, les femmes perçoivent un salaire médian de 41 000 € bruts annuels. Un niveau de rémunération qui reste pourtant inférieur de 15% par rapport à celui des hommes. En R&D, ils perçoivent en effet 47 000 € annuels pour des responsabilités équivalentes. Les écarts de salaires sont, en général, d'autant plus faibles si la fonction est féminisée. Ce qui n'est pas le cas des filières scientifiques, où les hommes sont plus nombreux : la gent masculine occupe en effet davantage des fonctions dites techniques, telles que la production (88 % d'hommes), l'informatique (81%) , la recherche et développement (78 %) et les services techniques (76 %). Si les niveaux de formation sont proches, qu'il s'agisse des femmes ou des hommes cadres, les filières d'orientation varient également selon les sexes. Les femmes cadres sortent principalement de la filière universitaire (près d'une femme sur deux), les écoles de commerce et d'ingénieurs attirant chacune 13 % de femmes. Les hommes s'orientent majoritairement vers des filières scientifiques et techniques : 23 % d'hommes se dirigent vers les sciences et technologies, 19 % vers l'informatique et 9 % vers l'électronique. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |