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(27/04/2006 11:14:59)

SIS rachète IFI Informatique et se renforce dans le secteur de la justice

L'éditeur français de solutions de gestion SIS (Société d'Informatique et de Systèmes) vient d'annoncer l'acquisition d'IFI Informatique et renforce ainsi son offre aux professionnels de la justice. C'est plus précisément aux huissiers de justice que s'adressent les produits d'IFI, une cible qui devrait permettre à SIS d'accroître son portefeuille de clients de 25 %. "En rachetant IFI Informatique, nous avons saisi une occasion unique de redéfinir le marché, très morcelé et très compétitif, de l'offre logicielle dédiée aux huissiers", indique Thierry Delhommais, le directeur de la division Huissiers de SIS. (...)

(25/04/2006 17:42:46)

Oracle supportera les applications JD Edward sur iSeries après 2013

Les quelques 5000 utilisateurs des applications de JD Edwards sur les iSeries d'IBM seront rassurés : Oracle assurera un suivi de ces applications après 2013. Oracle a décidé, malgré la concurrence avec IBM sur les bases de données de faire suite aux produits JD Edwards. Les applications seront conservées et même mises à jour. Pour preuve, Oracle vient de lancer JD Edwards EnterpriseOne 8.12 - également certifié Oracle Fusion Middleware - et qui s'adresse particulièrement aux industries spécialisées dans l'agro-alimentaire. En prenant cette décision, Oracle rassure les clients des nombreuses entreprises rachetées l'année dernière. Les investissements engagés ne devraient donc pas être anéantis d'un coup de crayon engendré par le jeu complexe des acquisitions. (...)

(21/04/2006 15:52:17)

Cegid note une légère baisse de son activité au T1

Cegid rompt avec ses habitudes et publie un chiffre d'affaires pour son premier trimestre 2006 en léger recul. Rien d'affolant toutefois car, si le CA recule de 2,2 % à 53,2 ME, c'est en partie en raison de la digestion de CMMX. Le rapprochement des deux entités s'est trouvé largement retardé par une procédure judiciaire ; résultat : les mois de janvier et février se sont trouvés "impactés par l'absence d'harmonisation de la politique de ventes des gammes de produits à destination de la clientèle CCMX", précise le groupe dans un communiqué. Autres facteurs expliquant cette baisse du chiffre d'affaires, la baisse générale et sensible des ventes de matériel informatique et la comparaison défavorable avec le T1 2005, dernier trimestre de l'exercice 2005 de CCMX. En dépit d'un revenu moindre, Cegid note une hausse de 5 % des prises de commande depuis le mois de mars par rapport à la même période de l'année précédente. Le groupe indique également une amélioration de la marge brute qui passe de 81,8 % en moyenne en 2005 à 84 %. (...)

(20/04/2006 17:39:05)

Trimestriels SAP : croissance à deux chiffres des revenus et bénéfices

A la faveur d'une solide performance aux Etats-Unis, SAP a bouclé son premier trimestre sur des revenus et un bénéfice en croissance à deux chiffres. Les analystes attendaient mieux. Le chiffre d'affaires atteint 2,04 Md€, soit 18 % de mieux que pour la même période de l'année précédente. Le bénéfice net suit la même tendance et gagne 11 % sur un an, à 282 M€. Des taux de croissance dont se contenteraient nombre de sociétés, mais qui ont malgré tout déçu les analystes qui espéraient notamment un bénéfice plus important. Le groupe présidé par Henning Kagerman, lequel parle de "bon début" pour 2006, a pu compter sur de fortes ventes de licences : elles ont progressé de 22 % et ont généré un revenu de 528 M€, dépassant ainsi les prévisions des analystes. La zone Amériques a largement contribué aux bons résultats de l'éditeur, avec une croissance de 47 % des ventes sur la période, à 228 M€, dont 165 M€ pour les Etats-Unis. Dans la région Emea, le chiffre d'affaires progresse de 7 %, à 229 M€. Enfin, en Asie-Pacifique, les ventes de licences sont en hausse de 12 % et atteignent 73 M€. Pour la suite de l'exercice 2006, SAP table sur une croissance du chiffre d'affaires comprise entre 13 et 15 %, avec une progression du revenu tiré des ventes de licences entre 15 et 17 %. (...)

(19/04/2006 17:20:29)

Sage renonce à racheter Visma

Sage ne réalisera finalement pas l'acquisition de Visma, éditeur norvégien d'outils d'aide à la productivité. Renonçant au passage à mettre un pied sur le marché des PME scandinaves, principales cibles de Visma. L'offre initiale de Sage fixée à 350m £ (585M$) dont l'échéance est demain 20 avril ne sera pas relevée. Visma pourrait alors tomber dans l'escarcelle du fond d'investissement Engel Holdings, offre concurrente. (...)

(13/04/2006 17:36:38)

Le rachat de JBoss par Red Hat, une menace pour JOnAS

Coup dur pour Objectweb. La survie du serveur d'application du consortium européen, JOnAS, pourrait bien être menacée par le rachat de JBoss par Red Hat. En rejoignant Objectweb il y a trois ans, l'éditeur open source est devenu contributeur du serveur d'application, travaillant d'arrache pied à sa certification J2EE 1.4, notamment avec l'INRIA. Red Hat distribue également Jonas dans Red Hat Application Server. Mais en se payant JBoss, Red Hat a dans la foulée récupéré le n°1 des serveurs d'application open source. Si Matthew Szulik, PDG de Red Hat confirme bel et bien, à l'occasion d'une conférence, son intention de poursuivre le support de JoNas, les analystes de leur côté restent moins optimistes. Pourquoi Red Hat maintiendrait-il ses investissements dans JOnAS, alors qu'il possède désormais le serveur d'application Java le plus utilisé, questionne Laurent Lachal, analyste pour le cabinet Ovum. Et d'ajouter : "Red Hat continuera bien de supporter les utilisateurs de JoNas, mais les poussera à migrer vers JBoss , dès que possible". Un point sur lequel semble également s'accorder Forrester pour qui le support de deux technologies n'aurait pas de sens, du moins à long terme. Chez Objectweb, on garde le moral. Le consortium héberge plus de 50 projets open source. soit autant de composants dans lesquels Red Hat et JBoss pourront venir piocher pour leurs propres applications. François Letellier, directeur exécutif du consortium, qui siège au côté de Red Hat au comité directeur d'Objectweb, mise notamment sur leurs bonnes relations, pour établir des rapports privilégiés avec JBoss. En d'autres termes vers une éventuelle convergence. Tout en admettant que le statut de Red Hat au sein du consortium ne l'oblige en rien à reverser une partie de code de JBoss. Enfin, il ajoute: "Red Hat n'est pas l'unique canal de distribution de JOnAS. L'application a existé avant son arrivée et en parallèle. Rien alors ne l'empêchera de continuer". (...)

(13/04/2006 12:56:29)

Verticalisation : Oracle se paye Portal Software pour 220 M$

Tout à sa stratégie de verticaliser son offre par des opérations de croissances externes, c'est au tour de Portal Software, éditeur d'applications de facturation pour l'industrie des medias, de tomber dans l'escarcelle d'Oracle. Le montant de la transaction, qui devrait être finalisée en juin, est estimé à 220 M$. Rappelons que la firme de Larry Ellison a déjà ciblé les secteurs du négoce avec l'acquisition de Retek, les services financiers avec i-Flex et enfin les télécoms avec HotSip. Les solutions de Portal Software permettent de facturer et de gérer des services liés aux médias et à la communication, tels que la téléphonie sur IP, le haut-débit, la vidéo et l'audio. L'ensemble devrait être intégré aux PGI et GRC d'Oracle, acquis avec les rachats successifs de PeopleSoft et de Siebel. Et l'éditeur compte bien porter l'offre de Portal Software à d'autres industries. (...)

(11/04/2006 18:01:50)

Salesforce passe au service à la demande sur mobile

En rachetant Sendia pour 15 M$ en numéraire, Salesforce vient d'acquérir un savoir faire dans des applications à la demande sur appareils nomades. Salesforce va désormais mixer sa plate-forme AppExchange avec la technologie mobile de Sendia afin de proposer des services à la carte sur n'importe quel mobile, PDA ou appareil connectés à Internet. AppExchange Mobile devrait permettre de déployer des solutions métiers tierces sur des supports mobiles. Les utilisateurs de AppExchange pourront accéder rapidement à leurs applications sur n'importe quel appareil nomade, sans développement supplémentaire. AppExchange Mobile est déjà disponible pour 50 $ par utilisateur et par mois. (...)

(11/04/2006 17:58:41)

Patrick Starck parie sur une consolidation dans la gestion d'infrastructure

Patrick Starck a récemment quitté la tête d'HP France pour prendre la tête de la région Europe du Sud pour CA. Dans un entretien avec lemondeinformatique.fr, il explique pourquoi il a choisi CA et fait le point sur les grandes orientations de la société dirigée par John Swainson . En arrivant chez CA, vous passez d'un groupe plutôt spécialisé dans le matériel et l'infrastructure à une société qui tire ses revenus du logiciel ? Pourquoi un tel choix ? C'est à la fois la conjonction d'une analyse du marché de l'informatique et d'un désir personnel. Après 11 ans passés chez Compaq et HP je me suis posé la question du challenge pour les 10 prochaines années. J'ai réfléchi aux évolutions du marché de l'IT. Le premier constat que j'ai fait est que sur le marché du logiciel il y a une accélération de la consolidation. Jusqu'alors, elle s'est faite dans 2 ou 3 grands domaines, dont celui de l'applicatif et de l'infrastructure. Dans l'applicatif, il ne reste plus que deux gros acteurs de poids, SAP et Oracle, et des acteurs de niche. La consolidation est aussi faite, sur le marché des SGBD et du middleware. En revanche sur les autres secteurs, rien n'est fait. Dans le domaine de la gestion d'infrastructure, aucun acteur n'a pour l'instant pris une position de consolidation globale. Il y a quelque chose qui va se passer dans ce domaine, qui ne pourra durablement échapper pas à une forme de consolidation et de standardisation. Les entreprises veulent qu'on les aide à mieux comprendre leurs clients, à être plus réactives, à mieux accompagner leurs clients. Bien sûr pour faire cela, les acteurs du domaine applicatif ont une réponse, mais les acteurs du domaine de l'infrastructure ont eux aussi une réponse à apporter. CA a une réponse à apporter sur l'intégralité. Il a l'ambition d'être présent sur tous les points de la gestion d'infrastructure. De la gestion de la sécurité à celle des systèmes, du stockage, en passant par tout ce qui concerne la gouvernance et la gestion des services rendus (business system optimisation) Sur ce segment de la gestion d'infrastructure, CA affiche des faiblesses notamment sur la gestion du stockage ou même sur celles des processus, où il est venu tardivement.... Je ne doute pas que la fédération et la consolidation technologique sont en train de se faire. Nous avons une stratégie d'acquisition. Nous avons vocation à être consolidateur technologique sur ce marché. Aujourd'hui les entreprises achètent encore de larges pièces du puzzle à de multiples sociétés. Notre objectif est de simplifier ce travail. Bien sûr la technologie restera complexe. Mais avec l'intégration, le service rendu et la perception du client se trouvent simplifiés. Une de mes priorités sera de porter ce message à nos clients et de leur expliquer cette vocation de CA. Le mouvement a été initialisé avec l'arrivée de John Swainson. Il y a une opportunité à faire de CA le leader du logiciel d'infrastructure. D'ici cinq ans, il ne devrait plus y avoir que deux ou trois grands acteurs sur ce secteur CA a aujourd'hui un modèle largement direct alors que vous venez d'une société qui s'est largement construite sur un modèle indirect... Vous posez la question de notre accès au marché : il y aune impulsion claire et sans ambiguïté d'orienter la stratégie de vente de CA vers un modèle hybride. Les demandes des clients sont hybrides. Ils veulent acheter en direct chez le constructeur ou l'éditeur mais aussi profiter des compétences d'un tiers intégrateur. Notre offre est modulaire et si un client veut acquérir un de nos modules auprès d'un intégrateur pour l'intégrer avec d'autres modules d'un éditeur tiers, il peut le faire. Pour nous, la stratégie indirecte est stratégique. On ne pourra pas devenir leader du marché sans nos partenaires Un autre constat est que CA vend pour l'instant essentiellement aux grands comptes et peu aux PME. Nos principaux clients sont effectivement les grandes entreprises mais nous avons une ouverture aux sociétés de taille plus petite, et l'on vend même aux particuliers, nos offres de sécurité notamment. Oui mais cet effort est aujourd'hui limité à une poignée de produits ... Aujourd'hui, pour se positionner efficacement sur le marché des PME, il faut le faire avec des produits conçus spécifiquement pour les PME et avec le réseau de distribution adéquat. Les besoins d'une PME sont différents de ceux d'un grand compte : Une PME a un SI assez homogène avec des micros des serveurs et du réseau sous toutes ses formes. La problématique d'un grand groupe est que son SI est multiplates-formes, multi-OS et qu'il doit gérer son historique. Dans les PME, le SI peut être totalement cohérent à un instant donné. Les produits ne peuvent donc pas être les mêmes et les besoins d'intégration sont différents. Votre nouvelle fonction a une dimension internationale alors que jusqu'alors vous avez surtout eu des responsabilités nationales. Etait-ce une des raisons du choix de CA? C'était un choix personnel. Il y a avait un élément qui était l'expérience internationale. Manager des structures internationales était quelque chose qui m'attirait. J'ai aujourd'hui en charge la région Europe du Sud. Ce qui vous donne un rôle de consolidation ... L'organisation par pays de CA ne bouge pas. Nous cherchons à développer des synergies par région en partageant des compétences clés entre cinq ou six pays. Mon rôle n'est pas de créer un étage de consolidation, mais bien d'exploiter au mieux ce que nous pouvons partager. Il nous faut trouver l'équilibre entre ce qui se fait le mieux au niveau des pays et ce qui se doit se faire au niveau de la région. (...)

(11/04/2006 12:51:16)

Oracle publie accidentellement les détails d'une faille dans son SGBD

Oracle a semble-t-il involontairement publié des détails sur une vulnérabilité dans sa base de données, ainsi que des exemples de code qui pourraient être utilisés pour exploiter la faille. Les détails ont été publiés jeudi dernier par la firme sur son site de support client, Metalink. L'erreur a été mise en lumière lundi 10 avril par un chercheur en sécurité de la société allemande Red-Database-Secrity, Alexander Kornbrust, sur la liste de diffusion Full Disclosure. Oracle avait retiré l'information litigieuse vendredi après avoir été prévenu en avance des risques de sécurité associés aux informations publiées la veille sur Metalink. Oracle prévoit de résoudre la faille de sécurité dans le cadre d'un prochain jeu de correctif trimestriels, a déclaré un porte-parole de la société lundi 10 avril. Le prochain correctif est attendu le 18 avril. Mais pour Kornbrust, il ne devrait pas traiter le problème mis en lumière la semaine passée. Il est à noter, que pour tirer parti de la faille, il faut déjà posséder un compte sur la base Oracle, ce qui limite les risques d'attaque au travers du web. En revanche un utilisateur authentifié, ou un pirate détournant un compte existant, pourrait escalader son statut, pour prendre le contrôle de la base. Une série de palliatifs est publiée par Kornburst sur son site web à l'adresse : http://www.red-database-security.com/advisory/oracle_modify_data_via_views.html. (...)

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