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(03/10/2005 18:00:44)
SAP veut renforcer la gestion de la chaîne logistique dans son ERP
SAP prévoit de renforcer sensiblement les capacités de gestion de la chaîne logistique de son progiciel de gestion intégrée SAP 2005 à l'occasion de sa mouture, la version 5.0. En effet, l'éditeur allemand devrait livrer SAP 2005 v5.0 avec trois nouvelles fonctions de gestion de la chaîne logistique développées en partenariat avec Bristlecone. Un nouveau module pour l'Extended Warehouse Management Capability devrait accélérer le transit des produits à travers un entrepot ou un centre de distribution. Un nouveau module pour les outils analytiques dédiés à l'industrie des pièces détachées devrait permettre d'optimiser les plannings et la gestion des mouvements d'inventaire. Enfin, un nouveau module analytique devrait permettre aux utilisateurs de systèmes de planification de disposer des données d'inventaire nécessaires à l'ajustement en temps réel des variables de fourniture/commande ainsi que des données nécessaires à la prise de décision sur la gestion des stocks.
Parallèlement, SAP Ventures, le bras d'investissement de SAP, vient d'investir 850 000 $ dans Socialtext, un éditeur spécialisé dans les outils de publication de wikis et autres blogs. SAP Ventures n'a pas commenté cette opération. Pour Socialtext, c'est en tout cas une bonne nouvelle qui renforce la légitimité des Wiki en entreprise (...)
Les failles font crier Ellison
« Pouvez-vous nous garantir que les failles d'Oracle -sgbd et Application Server- seront à l'avenir corrigées dans le trimestre suivant leur découverte »
- Non »
La réponse a le mérite d'être clair, aussi franche que la question. Et ceci est rapporté par notre confrère Security Pipeline, qui était présent lors des journées Oracle OpenWorld. « Ce que vous me demandez de faire est impossible. Nous ne pouvons pas vous promettre de corriger un problème indéfini dans une période de temps définie » explique le patron d'Oracle. L'argument est irréfutable, et les clients Oracle ne peuvent que compter sur la bonne foi de l'éditeur pour que les problèmes soient corrigés au plus vite.
Une bonne foi tout à fait discutable si l'on en juge par les propos qu'Ellison a tenu par la suite. « La dernière fois qu'une base Oracle a été crackée, ça remonte à 15 ans. Et lorsque Microsoft a installé un SGBD pour assurer le suivi de numéros de cartes de crédits, ça a pris 45 minutes pour le casser ». En d'autres termes, les problèmes de hacking genre SQL injection ou contournement de mot de passe, élévation de privilèges etc que l'on pourrait rencontrer sur Oracle, relèvent de la responsabilité de leurs seuls administrateurs, qui, soit appliquent mal les rustines, soit configurent mal les serveurs. C'est vrai, ça. Sans les utilisateurs, Ellison aurait nettement moins de problèmes de hack. (...)
IBM et SAP vont proposer des solutions de BI packagées
SAP et IBM ont annoncé leur intention de commercialiser une offre de business intelligence packagée s'appuyant sur les serveurs BladeCenter et les solutions de stockage TotalStorage DS4300 d'IBM ainsi que sur les logiciels SAP Business Information Warehouse et SAP NetWeaver Business Intelligence de l'éditeur allemand.
Dans le cadre de cette offre Big Blue devrait proposer plusieurs package "prêts à l'emploi" s'appuyant sur ses solutions matérielles et sur les logiciels de SAP. L'objectif selon les deux sociétés est d'abaisser le coût et d'accroitre les performances des solutions de BI. Il est à noter qu'IBM et SAP collabore déjà sur le domaine de la business Intelligence au travers d'Ascential. L'éditeur, racheté au printemps par Big Blue, est en effet un grand partenaire de SAP. (...)
SAP fait la promotion d'ESA
Profitant de son événement TechEd à Vienne, SAP a encouragé ses partenaires et utilisateurs à se convertir à son architecture ESA (Enterprise Services Architecture). Tout est question d'exécution a ainsi affirmé Shai Agassi, le président du groupe produit de l'éditeur en affirmant que la technologie est désormais sortie des laboratoires.
ESA est le nom donné par SAP à sa stratégie d'applications orientés services. L'architecture s'appuie sur le serveur d'applications maison, NetWeaver, pour permettre aux clients d'intégrer leurs multiples applications aux travers des technologies de services web.
Selon SAP, environ 32% de ses clients devraient s'appuyer sur NetWeaver avant la fin de l'année. (...)
Oracle veut rassurer les utilisateurs de ses outils récemment acquis
Openworld a été l'occasion pour les dirigeants d'Oracle de réaffirmer leur intention de supporter l'intégralité de ses clients, Charles Phillips, le président de la société allant jusqu'à affirmer qu'aucun client ne serait laissé sur le bord de la route.
Cette assurance a été renouvelée hier par John Wookey, le vice-président d'Oracle en charge du développement des applications, l'un des architectes de la future offre Fusion. "Nos clients me demandent si nous continuerons à les supporter s'ils ne font pas évoluer leurs logiciels. La réponse est oui". En tout cas au moins jusqu'au lancement des applications Fusion
Oracle semble bien décidé à rassurer les utilisateurs des logiciels qu'il a récemment rachetés, notamment PeopleSoft, JD Edwards (JDE) et Siebel.
Relativement tendue l'an passée, l'ambiance chez les clients semblait être moins crispée cette année, avec ce que l'on pourrait appeler un optimisme prudent. Il est vrai que le discours d'Oracle s'est fait nettement plus conciliant. Philips a ainsi expliqué aux clients de Peoplesoft et Siebel qu'Oracle "ne pourra retirer des fonctionnalités s'il espère que les clients mettent à jour leurs logiciels. Il faudra proposer un sur ensemble fonctionnel avec Fusion". (...)
Openworld : Ellisson prêche pour l'informatique à la demande
Profitant de son keynote lors d'Openworld, la conférence annuelle des utilisateurs Oracle, Larry Ellison s'est fait l'avocat de l'informatique à la demande et à mis en avant l'importance qu'il accorde au modèle d'abonnement et d'hébergement incarné par CRM OnDemand de Siebel. "Vous allez nous voir redoubler d'effort dans le domaine de l'informatique à la demande" a affirmé Ellisson lors de son discours. La déclaration d'Ellisson intervient après que plusieurs concurrents dont Salesforce.com, ont affirmé que l'acquisition de Siebel par Oracle marquerait la fin du modèle de CCRM hébergé chez Siebel. L'offre CRM On-Demand a en effet été construite en partenariat avec IBM, l'un des concurrents lesplus virulents d'Oracle. Elle s'appuie sur les middleware de Big Blue (DB2 et Websphere) et est hébergée au sein de datacenters opérés par IBM.
Oracle dispose toutefois de sa propre division On Demand, dirigée par Jurgen Rottler. Cette division est l'un e de celles qui a connu la plus forte croissane au sein d'Oracle au cours des quatres dernières années. Mais l'approche d'Oracle est différente de celle adoptée par Siebel et Saleforce.com. Au lieu de facturer un loyer mensuel par nombre d'utilisateurs, Oracle facture l'intégralité de la licence en frontal et facture les services d'exploitation en sus. Selon Rottler les contrats de sa division varie dans une fourchette allant de 50 000$ à 10 M$.
Mais pour Ellison, Oracle est ouvert à d'autre forme de tarification. "Progressivement nous commençons à cerner la demande des utilisateurs et nous pensons [ que l'hébergement d'applicaitons] sera une part importante de notre avenir(...). De toute façon nous avons intérêt à ne pas nous rater ou nous aurons un vrai problème sur les bras"
Ellisson est aussi revenu sur la stratégie d'acquisition de la firme qui a racheté près d'une douzaine de sociétés en douze mois. Selon Ellisson , Oracle n'a plus de grande acquisition en vue. Interrogé sur l'intérêt éventuel d'un rachat de BEA, le patron d'oracle a indiqué "qu'à une époque, BEA figurait très haut sur notre liste". Désormais, Ellisson estime que c'est moins vrai. Nous avons grossi plus vite qu'eux et ils ont régressé". De là à conclure qu'Oracle en a fini avec sa boulimie d'acquisitions... (...)
SAP appelle clients et éditeurs partenaires à former un écosystème
SAP est en train de formaliser ESCP (Enterprise services community process), un ensemble de groupes d´experts, a dévoilé Kaj van de Loo, vice-président Market Development Engineering, au TechEd SAP 2005, qui se déroule actuellement à Vienne (Autriche). Le but d´ESCP sera de définir les processus, les standards et les fonctionnalités qui devront être intégrés à sa Business Process Platform (BPP). BPP est le terme qui désigne l´évolution de la plate-forme middleware Netweaver, socle de MySAP ERP, vers une plate-forme de composition et de chorégraphie des processus métier.
SAP, qui a achevé récemment une conférence développeurs pour éditeurs partenaires, profite ainsi de ce TechEd pour réaffirmer avec force sa volonté de changer et de s´ouvrir davantage aux partenaires. Plus de 500 éditeurs indépendants auraient déjà construit plus de 850 solutions certifiées pour Netweaver ou "powered by Netweaver", c´est-à-dire tournant directement sur la plate-forme. Comme le dit Kaj van de Loo, "vous n´achetez pas Windows pour la beauté du produit, mais parce qu´il a l´écosystème le plus riche".
La dernière solution partenaire est une offre de gestion d´identités, HiPath Slcurity DirX Identity, par Siemens (par ailleurs un des plus gros clients de SAP). L´annonce officielle de ESCP aura probablement lieu au TechEd de Boston, à la fin du mois. (...)
Openworld : Oracle rachète G-Log
Oracle a entamé la deuxième journée de sa conférence OpenWorld de San Francisco en annonçant l'acquisition de Global Logistics Technologies (G-Log) pour un montant qui n'a pas été révélé. Oracle prévoit d'utiliser le logiciel de gestion logistique de G-Log, GC3, pour doper son offre de gestion de la chaîne logistique. GC3 devrait ainsi devenir la base des fonctions de hub logistique de la prochaine suite applicative Fusion.
G-Log, basé King of Prussia, en Pennsylvanie, compte parmi ses clients des géants comme DuPont, Halliburton et les magasins Family Dollar Stores. Plus de la moitié de ses clients utilisent déjà Oracle Applications ce qui devrait largement simplifier l'intégration pour les clients. (...)
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