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(02/06/2005 18:03:11)

Oracle revoit sa tarification pour serveurs sous Solaris 10

Oracle vient d'amender sa politique tarifaire pour les utilisateurs du système d'exploitation Solaris 10, en la calquant sur celle appliquée aux utilisateurs d'Unix signés HP ou IBM. Ainsi, les utilisateurs qui font fonctionner une application Oracle sur une partition d'un serveur Solaris 10 ne seront plus facturés qu'en fonction du nombre de processeurs alloués à cette partition. Jusqu'ici, la facturation était établie sur la base du nombre de processeurs installés. Cette politique créait un important déséquilibre en faveur des Unix d'IBM et de HP. Cependant, Oracle prévoit de poursuivre cette logique de facturation calculée à partir de l'ensemble des processeurs embarqués pour les utilisateurs de ses applications qui utilisent des outils de partitionnement de serveurs comme ceux de VMWare. (...)

(30/05/2005 17:44:44)

SAP étudie une refonte de son modèle de licence

Le géant allemand des progiciels, SAP, étudierait une refonte de son modèle de licence, mixant facturation par nombre d'utilisateurs, volume de transaction et typologie d'activité. Des informations sur les travaux en cours chez l'éditeur allemand ont filtré lors de la récente conférence annuelle Sapphire, qui s'est tenue à la mi-mai à Boston.

Lors de son keynote, Henning Kagermann, le CEO de SAP, a fait allusion aux réflexions menées par l'éditeur en expliquant que SAP cherchait à adapter sa tarification au nouveau modèle d'applications orientées service, défini par son architecture ESA (Enterprise Services Architecture). L'un des secteurs sur lequel est testé le nouveau modèle est celui des industries mécaniques et des fabricants de composants. L'idée est, par exemple, de facturer sur la base de la valeur dégagée par l'exécution d'un processus de bout en bout chez les clients.

Plusieurs représentants de SAP ont depuis assuré que le nouveau schéma de facturation à l'étude chez SAP ne sera testé que là où il fait sens et ne sera pas aligné sur le chiffre d'affaires des clients, un des critères retenus par PeopleSoft pour son modèle de licence et très contesté par certains clients.

Il est à noter qu'un des autres scénarios à l'étude est la facturation des accès aux applications SAP depuis un client externe comme le futur Mendocino, en cours de développement par Microsoft et SAP. Le produit lie la suite Office aux applications SAP. (...)

(25/05/2005 17:59:55)

Sage unifie ses outils CRM sous une même marque et lance une offre ASP

Après avoir racheté les droits à la marque Sage aux Etats-Unis, l'éditeur britannique de logiciels de gestion Sage a profité de sa conférence Insight 2005 pour annoncer le «rebranding» des logiciels de CRM de Best sous le nom Sage CRM.

Sage a racheté Best au début 2004 et, avec lui, le logiciel CRM AccPac, à l'origine développé par Computer Associates. L'éditeur s'est alors retrouvé avec deux logiciels CRM à son catalogue, AccPac et le plus haut de gamme SalesLogix, actuellement commercialisé en France.
Avec le renommage d'AccPac en Sage CRM, Sage entend clarifier le positionnement des deux produits et faire de Sage CRM son offre d'entrée de gamme, principalement destinée aux clients dans le monde de la comptabilité et aux petites PME. SaleLogix sera, quant à lui, repositionné comme l'offre haut de gamme de l'éditeur.

Le renommage s'accompagne du lancement d'une offre hébergée de Sage CRM destinée à concurrencer l'offre de Salesforce.com, mais aussi à faciliter la commercialisation du logiciel par le réseau de vente de l'éditeur. Les clients disposent ainsi du choix entre l'offre hébergée et l'achat plus traditionnel du logiciel en version packagée.

Aux Etats-Unis, SageCRM est vendu 595$ par utilisateur. La version hébergée, SageCRM.com, est proposée à 69$ par mois et par utilisateur. (...)

(19/05/2005 17:24:15)

SAP lance une initiative en direction des PME et rallie à lui l'industrie

SAP vient de profiter de l'ouverture de sa conférence utilisateurs Sapphire, qui se déroule actuellement à Boston, pour lancer son programme PartnerEdge Channel Partner Program. Celui-ci prévoit d'attribuer des points aux revendeurs, éditeurs et autres partenaires SAP en fonction de leurs performances. L'éditeur allemand prévoit de prendre en compte la capacité de ses partenaires à satisfaire leurs clients dans l'évaluation de ces performances, et pas uniquement des volumes de vente. Les points attribués vont permettre aux partenaires SAP d'évoluer du rang Associate à Silver puis Gold avec, à chaque étape, un renforcement du soutien de SAP, tant en termes de financement que de formation ou encore de promotions et de participation à des bêta tests avancés.
Ce nouveau programme est immédiatement opérationnel outre-Atlantique. Il sera lancé en Asie et en Amérique latine au mois d'août, puis en Europe au mois d'octobre. Parallèlement, SAP rénove son portail dédié aux PME pour le rendre plus interactif et plus facile à utiliser.
SAP compte actuellement mille quatre cents partenaires dans le monde et entend porter ce chiffre à cinq mille. Le marché des PME compte beaucoup pour SAP, qui a déjà noué un partenariat avec IBM, en France, pour séduire ces entreprises. Au début du mois, SAP indiquait compter environ douze mille six cents clients PME représentant environ 30% de son activité.

SAP a également profité de l'ouverture de sa grand-messe américaine pour annoncer le ralliement d'Adobe, de Cisco, d'Intel, de Computer Associates, d'EMC, de Mercury Interactive, de Symantec et de Veritas à sa plate-forme d'architecture orientée service, Enterprise Services Architecture (ESA). S'appuyant sur les services Web et la plate-forme NetWeaver, ESA a déjà reçu le soutien d'IBM, Macromedia et Microsoft le mois dernier.

MySAP CRM 2005 au quatrième trimestre

SAP prévoit de lancer la nouvelle mouture de son outil de gestion de la relation client, MySAP CRM 2005, au cours du quatrième trimestre. Cette nouvelle mouture, qui s'appuie sur NetWeaver, intégrera des fonctions de décisionnel exploitant les capacités de l'outil MySAP Analytics, lancé le mois dernier à l'occasion de l'édition de Copenhague de Sapphire. En outre, MySAP CRM 2005 doit intégrer de nombreuses fonctions d'accès nomade à l'information, une nouvelle interface utilisateur plus intuitive et outils de gestion électronique de formulaires permettant de limiter les travaux sur papier, comme dans le cadre d'une ouverture de compte, par exemple. (...)

(10/05/2005 17:51:14)

Les parts de marché d'Oracle n'augmenteront pas proportionnement à ses acquisitions

Le cabinet d'études américain estime que les rachats de Peoplesoft et de Retel ne permettront pas à Oracle de dominer le marché en 2005. Sa part de marché devrait avoisiner les 19% des revenus du marché ERP, contre 43% pour SAP. La barre des 20% ne devrait pas être franchie, car tous les clients Peoplesoft ne resteront pas chez Oracle. Dans le cadre d'un rachat comme celui de PeopleSoft par Oracle, AMR Reseach affirme que «un plus un donne généralement un chiffre inférieur à deux». De son côté, SAP continue sa progression, en particulier pour le nombre de licences qui ne cesse d'augmenter, +17% au dernier trimestre. Le marché américain lui ouvre d'ailleurs ses portes. AMR estime que SAP sera leader en Amérique du Nord cette année. Mais si Oracle veut rattraper son concurrent européen, son unique choix est de continuer à acquérir des entreprises. Cette solution lui permet d'augmenter rapidement ses revenus, au risque, bien sûr, d'avoir des difficultés à gérer ces intégrations.

En parallèle à cette bataille des titans, un challenger pourrait bien, d'ici quelques années, provoquer quelques remous. Microsoft, encore absent du top 5 en 1999, est désormais à la quatrième place, derrière SAP, Oracle et Sage. L'ambition de l'Américain est de laisser ses deux principaux concurrents se battre pour les mille premières entreprises, mais de séduire les cinquante mille suivantes avec des produits destinés aux PME. (...)

(10/05/2005 18:02:27)

Adonix poursuit sa croissance européenne en rachetant Gruppo Formula

Coutumier des opérations de croissance externe, Adonix vient d'effectuer la plus grosse acquisition de son parcours en rachetant l'éditeur italien Gruppo Formula. En 2004, ce dernier a réalisé un chiffre d'affaires de 55 millions d'euros avec six cents salariés. Ensemble, les deux acteurs vont peser 150 millions d'euros de chiffres d'affaires et mille cinq cents collaborateurs. Le montant de la transaction n'est pas révélé, mais l'acquéreur le dit «adapté à la valeur» de Gruppo Formula.
Cette fois-ci, il ne s'agit pas pour Adonix, éditeur du progiciel de gestion intégré X3 pour grandes PME, d'étendre le champ fonctionnel de son offre, puisque l'Italien édite lui aussi un PGI (Diapason) pour les PME. Chacun continuera à vendre son produit sur son marché. L'opération vise surtout à renforcer le poids du groupe français en Europe. «Nous achetons une offre de bonne notoriété en Italie, des compétences et une présence forte des équipes sur le terrain», énumère Charles Tarbé, directeur général d'Adonix.
En 2004, le Français réalisait déjà 40% de son chiffre d'affaires à l'international, principalement grâce au rachat, fin 2003, de l'Espagnol Meta 4, mais également avec ses filiales au Portugal, en Italie et aux Etats-Unis. Avec Gruppo Formula, cette part internationale passera à 60%.
Ces dernières années, Adonix a enrichi son catalogue en s'offrant Clé 128 (logiciels de gestion d'entrepôt Geode), Abel (progiciels de gestion financière et fiscale des biens) et, surtout, l'expertise de Meta 4 dans les solutions de gestion du capital humain.
Précédemment, il avait acquis Loan Solutions (gestion financière pour les collectivités locales) et Logan Informatique (solutions de promotion immobilière). (...)

(09/05/2005 18:04:19)

Siebel tient à son indépendance et prévoit des acquisitions

L'éditeur américain de CRM Siebel a fait taire les rumeurs de rachat qui planaient depuis la publication de ses mauvais résultats trimestriels.

Après un trimestre marqué par une diminution des ventes de licences de 40 % par rapport à la même période de l'année précédente et une perte nette de 4 M$, Siebel a reconnu avoir reçu des propositions de rachat. Des «opportunités potentielles» issues, selon les observateurs, de grands noms comme Oracle, IBM ou Microsoft, mais que le groupe de Tom Siebel a entendu ignorer.

George Shaheen, successeur de Mike Lawrie à la direction générale depuis le mois d'avril, a préféré communiquer sur la stratégie d'indépendance de Siebel. Cette indépendance devra s'appuyer sur une politique de réduction des coûts – notamment par des suppressions de postes – estimée à 25 M$ par trimestre et censée conduire à une marge de 15 % en fin d'exercice.

Si l'éditeur n'envisage pas d'être racheté, il indique en revanche pouvoir compter sur ses 2,2 Md$ de trésorerie pour procéder à des "acquisitions stratégiques". (...)

(03/05/2005 18:08:28)

Insatiable : Oracle et Siebel auraient été en négociation

A la suite d'un article paru dans le journal en ligne TheDeal.com, la rumeur selon laquelle Oracle chercherait à racheter Siebel a fait le tour des Bourses américaines et européennes. Siebel est en effet une cible potentielle d'OPA, surtout depuis la publication de son mauvais bilan trimestriel et annuel. SAP ayant déclaré ne pas se rabattre sur cette entreprise après son échec sur l'achat de Retel, les spéculateurs regardaient du côté d'Oracle. En fait, il s'avère que ce rachat a bien été évoqué, mais que les discussions n'ont pas abouti et sont closes. Siebel et Oracle n'ont pas voulu faire de commentaires sur ces négociations. (...)

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