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(01/10/2010 11:16:25)
ESDI étend le SaaS à la ToIP
Depuis six ans, ESDI propose des ERP et du CRM (gestion des notes de frais par exemple) en mode Saas. Ce mode de distribution représente d'ailleurs le tiers de son chiffre d'affaires annuel (12 millions d'euros en 2009). « Nous réalisons du Saas de bout en bout, c'est ce qui fait notre force sur le marché » souligne Thierry Vonfelt, directeur cette activité chez ESDI. La société propose en effet non seulement l'accès à une plate-forme mais aussi un centre d'exploitation et un centre d'appels pour le client final.
Dans ce cadre, ESDI lance une nouvelle possibilité de travailler en Saas : la téléphonie. Il le fait avec Completel pour l'accès réseaux. Le but étant de supprimer tout investissement matériel dans l'entreprise et de louer les fonctions liées à la téléphonie. Les entreprises gagneront en souplesse pour le pilotage de leurs télécoms. La ToIP apportant en plus la gratuité des communications inter-sites (quand l'entreprise dispose d'agences par exemple), des gains sur la gestion de la téléphonie et sa maintenance. L'intégration prend de 2 à 6 semaines, suivant l'accès au réseau téléphonique.
ESDI est co-fondateur du Forum Saas au sein du club alliances d'IBM.
Un PGI pour les PMI chez Wavesoft
Outre le fait qu'elle apporte une trentaine de fonctions supplémentaires aux différents modules(*) qui exploitent sa BDD centrale, Wavesoft V14 se décline pour la première fois dans une version pour les Petites et Moyennes Industrie de 10 à 100 personnes.« L'arrivée d'un module production dans notre gamme nous permet d'entrer dans l'atelier », résume Eric Orenes, le directeur commercial de Wavesoft.
Tel qu'il a été conçu, ce module permet aux utilisateurs de procéder à quatre types d'opérations métiers : la gestion des données techniques (nomenclatures, gammes de fabrications...) ; le calcul des besoins selon les règles MRPII (Management Ressource Planning) ; le calcul et la simulation des prix de revient ; le suivi des temps et des productions réels dans l'atelier.
Un outil métier adapté à la prospection commerciale
Jusqu'ici, Wavesoft évoluait sur les marchés du négoce et des services. Mais le potentiel du segment de l'industrie l'a incité à faire évoluer son offre. « Ce marché est ciblé par une population très atomisée de petits éditeurs. Ils proposent en général des outils développés il y a 15 a 20 ans avec une vision surtout technique des choses », indique Eric Orenes. Or, selon ce dernier, les petites industries ont également besoin d'un outil métier qui leur permet aussi d'organiser la prospection de nouveaux clients comme le font communément les entreprises du négoce.
Pour l'éditeur, le lancement d'un produit adapté n'est que le premier pas vers sa prise de position en tant qu'éditeur pour les PMI. Misant exclusivement sur une approche indirecte, la société doit encore recruter de nouveaux partenaires connaissant les métiers de l'industrie. « Nous ambitionnons de travailler avec 30 partenaires répondant à ce profil sur la période 2010-2011 », indique Eric Orenes.
L
(*)CRM, gestion commerciale, gestion comptable, module point de vente, décisionnel, télétransmission bancaires, automate de transfert entre le back office et les sites marchands. (...)
Sortie de crise en vue chez l'éditeur Infor
Infor réunit ses partenaires distributeurs EMEA à Annecy ce 29 septembre. 370 d'entre eux seront au rendez-vous, contre 250 l'an passé (la conférence se tenait à Milan). Tous les pays de la zone (qui va de la Scandinavie à l'Afrique du sud, de l'Irlande à la Russie) sont représentés. Thème principal : la croissance. « Nous avons traversé ces dix huit derniers mois sans trop de dommages, nous explique Jean-Philippe Pommel, vice président channel et alliances EMEA de Infor, nous voulons maintenant, atteindre 15% de croissance, une croissance agressive ».
Ces 15% seront possibles avec deux boosters : l'accord signé avec Microsoft et l'extension géographique de l'éditeur et de son channel. L'accord avec Microsoft, signé début juillet, entre pleinement en application pour les partenaires. Ils vont pouvoir distribuer les produits Microsoft intégrés dans les solutions d'Infor : SharePoint 2010, Silverlight, SQL Server, Single-On service, Windows Server.
Trois pays émergents ciblés
Quant à l'extension géographique, elle porte sur les pays émergents, avant tout l'Afrique du sud, le moyen Orient avec Bahrein, la Russie. Eux permettront d'arriver aux 15%de croissance prévus, les pays comme la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne étant plus en retrait.
Côté produits, Infor va insister auprès de ses partenaires sur le Saas et l'ERP pour PME. Le Saas s'ouvre aux partenaires avec deux premiers produits ; la gestion d'actifs (enterprise asset management) et la gestion des frais (expensive management). Le cloud d'Infor s'appuyant sur la plate forme Azur de Microsoft.
L'offre ERP, elle, est centrée sur les entreprises réalisant entre 5 et 20 millions d'euros de chiffre d'affaires annuel, avec Visual ERP. Infor donne ainsi à ses partenaires la possibilité de s'adresser à des PME de plus petite taille. Cet ERP offre aussi un axe de recrutement à Infor.
Illustration : Infor EAM Business Edition, crédit D.R. (...)
OpenWorld 2010 : Oracle se convertit à la religion du Cloud
Davantage de contrôle utilisateur dans le cloud
L'intervention de Thomas Kurian concernait également la méthode utilisée par l'éditeur en matière de sécurité au sein du cloud, ce qui lui a permis, au passage, de faire la promotion de l'offre d'Oracle en matière de contrôle des identités et des niveaux de sécurité au sein de la base de données. Celui-ci a montré notamment comment les utilisateurs pourraient facilement configurer et modifier les processus de gestion dans les futures applications Fusion d'Oracle qui seront proposées sur site et à la demande. "Dans le passé, il était nécessaire de faire appel à un développeur pour apporter cette souplesse. Nous avons revu l'architecture de notre middleware pour modifier fondamentalement l'ancienne modalité", a-t-il expliqué. "Si Thomas Kurian a insisté sur les capacités d'Oracle en matière de sécurité et de gestion d'identité, c'est parce que ces fonctionnalités sont, pour le moment, généralement rarement offertes par la plupart des vendeurs de services SaaS (Software-as-a-Service) pure-play", a relevé China Martens l'analyste du Group 451. La stratégie d'Oracle en matière de cloud computing ne semble pas inclure une offre d'IaaS (infrastructure-as-a-Service) public comme c'est le cas d'Amazon Elastic Compute Cloud (EC2). Thomas Kurian n'a pas non plus abordé des concepts tels que l'architecture SaaS multi-tenant qui permet à de nombreux clients de partager une application ou une fonction précise, sans mélanger leurs données.
Pas encore de SaaS multi-tenant
On ne comprend pas encore clairement si les Applications Fusion seront disponibles sous forme multi-tenant, une approche préférée par les fournisseurs de SaaS, car elle permet de réduire les frais généraux du système et facilite le déploiement des mises à jour pour de nombreux utilisateurs à la fois. Les applications SaaS sont généralement vendues par abonnement sur la base d'une par utilisateur. Mais Oracle semble croire qu'il sera plus rentable de s'en tenir à un modèle single-tenant pour Fusion et de maintenir le système traditionnel des licences séparément des bases de données et des autres technologies supportées. Selon Paul Hamerman, analyste chez Forrester Research, la stratégie Cloud d'Oracle apparaît comme une évolution de son service d'hébergement actuel Oracle On Demand, qui a fonctionné pendant des années. "Quand Oracle dit "Cloud", cela signifie hébergement", a t-il commenté. "Je pense qu'il y a une technologie nouvelle en jeu ici, mais la dernière du genre pour faire de l'hébergement."
Observatoire des projets : Le taux d'échec reste élevé faute de méthode
Les premiers résultats de sont guère encourageants et les nombreux échecs semblent bien liés à une méthodologie défaillante dans les organisations. 16% des organisations ayant répondu au questionnaire admettent que la majorité des projets sont des échecs et seulement 30% que la majorité arrivent à l'heure. Les dépassements de délais sont importants mais, par contre, les dépassements de coûts sont déclarés comme rares.
Une première étude française
Cette étude est une première en France. Elle porte sur des entreprises de plus de 250 personnes issues d'un échantillon de 5000 firmes réparties de façon représentative en terme de taille et de secteur. Pour la réaliser, Daylight s'est associé à deux établissements d'enseignement supérieur et de recherche : l'ENSIIE (Ecole Nationale Supérieure d'Informatique pour l'Industrie et l'Entreprise) et l'IAE Lille (Institut d'Administration des Entreprises, université Lille I). Le Monde Informatique et CIO étaient également partenaires. Auparavant, il n'existait que des études d'origine américaine et dont le principal enseignement était qu'un tiers des projets étaient des échecs complets et la moitié dérivaient fortement en terme de délais, de budget ou des deux.
La première édition du baromètre annuel de l'« observatoire des projets en France à dominante SI » est bien sûr perfectible et, faute d'un recul suffisant, ses conclusions sont à prendre avec prudence, plus comme des tendances qualitatives. Les éditions successives, dans les années à venir, permettront d'affiner le propos.
Mais où sont les bonnes pratiques ?
La première tendance qui se dégage est catastrophique : si les référentiels de bonnes pratiques se multiplient, force est de constater que les entreprises n'appliquent que rarement leurs principes, même ceux de bon sens. Il en résulte un taux d'échec élevé. Pire, les entreprises sont incapables de tirer partie des échecs passés : non seulement il y a un très faible partage des connaissances en cours de projet mais, en plus, en fin de projet, il n'y a quasiment jamais de capitalisation de l'expérience acquise. De plus, le rôle du chef de projet n'est pas vu comme celui d'un véritable métier. Le chef de projet est tantôt vu comme un simple manager généraliste, tantôt comme un poste temporaire au sein d'une carrière. Il est vrai que l'autonomie de ceux-ci est souvent des plus limitées. Ils dirigent certes au quotidien des équipes mais ne maîtrise pas la composition de celles-ci, pas plus qu'il n'a de choix quant aux autres ressources dont il pourrait avoir besoin, notamment financières.
Moins de 10% des organisations disposent d'un SI collaboratif pour gérer un projet. Les projets sont déclenchés sur une vague étude d'opportunité. L'alignement stratégique -quand il existe- est mené quasiment exclusivement en mode top-down, sans aucune possibilité de retour formel de la base vers le sommet. Les référentiels de bonnes pratiques sont rarement utilisés. Il n'existe d'ailleurs pas de méthodologie de référence réelle (autrement qu'un document bureautique stocké dans un coin de l'intranet) dans plus des deux tiers des cas.
Des méthodologies à renforcer
Les développements sont souvent réalisés au fil de l'eau, avec des référentiels (cahier des charges...) peu ou pas formalisés. La contractualisation MOA/MOE est peu fréquente. « Sans vraie contractualisation, on ne peut pas réussir un projet » martèle pourtant Fadi Gémayel.
De même, la gestion de porte-feuilles de projets est très perfectible : les dépendances entre projets sont peu ou pas traités : les conflits de ressources vont être affrontés devant la hiérarchie qui va arbitrer en mode binaire, sans anticipation.
Quand une équipe de support aux projets existe, la structure est rarement permanente et son rôle consiste souvent à installer des outils de gestion de projets. Gestion des risques et gestion de la qualité sont soit absents soit très ponctuels. Leur intégration au processus du projet est exceptionnelle (moins de 10% des cas). Plaquées comme un projet parasite à côté du projet principal, leur utilité est des plus douteuses. La remontée des incidents est généralement déficiente et elle se limite à signaler que le client se plaint du produit livré.
Des projets vraiment stratégiques ?
Alors que la « gouvernance » est dans toutes les bouches depuis une dizaine d'années, que ce concept repose sur l'alignement stratégique du SI sur le business, on aurait pu croire que la qualification de « projet stratégique », donc prioritaire et intimement lié à l'avenir de l'organisation, serait un peu sérieuse.
Or, pour les répondants à l'enquête, un projet est stratégique soit parce que son budget dépasse un certain seuil (une évolution isofonctionnelle d'un parc machine peut donc être « stratégique ») soit parce que la direction générale l'a décidé sans aucunement justifier le qualificatif. Le prochain baromètre sera réalisé au printemps 2011. On peut rêver à une amélioration de la gestion des projets d'ici là.
OpenWorld 2010 : Les Fusion Apps d'Oracle attendues au 1er trimestre 2011
La première version tant attendue de la prochaine génération des applications Fusion d'Oracle sera disponible au premier trimestre de 2011. C'est ce qu'a déclaré hier son PDG, Larry Ellison, lors d'une allocution faite à la conférence OpenWorld 2010 à San Francisco. "Nous savions que nous devions réaliser une nouvelle génération de produits qui réunisse les meilleures fonctionnalités de PeopleSoft, de la suite E-Business et de Siebel," a-t-il dit. "Il nous a fallu cinq années et un énorme travail pour y parvenir. Cela continue à représenter un immense challenge en matière d'ingénierie." Oracle a du en effet ré-implémenter toutes les fonctionnalités "au sommet d'une infrastructure middleware moderne, et précisément au sein de notre propre middleware Fusion," a déclaré le PDG d'Oracle. "La Suite contient 10 000 processus intégrés uniques et la version finale comprendra 100 produits différents, tous disponibles simultanément," a-t-il ajouté. "Nous n'avions jamais fait cela auparavant, et j'espère que nous n'aurons pas à le refaire."
Selon Larry Ellison, Oracle "ne s'est pas réfugiée dans une grotte" pour développer son logiciel. L'entreprise a ainsi réalisé des tests à grande échelle avec certains clients tout au long du processus de développement de manière à offrir une interface utilisateur satisfaisante," a-t-il précisé. Le logiciel "ne ressemble pas beaucoup à la suite E-Business, il ressemble peu à SAP. Il apporte une interface moderne."
"Les applications sont disponibles auprès d'Oracle sur site ou à la demande," a-t-il indiqué. "Ce sera aux clients de décider. Ils peuvent aussi commencer à utiliser le logiciel à la demande et le déplacer ensuite facilement en interne s'ils le désirent." Le PDG d'Oracle a précisé que l'entreprise n'avait pas l'intention de pousser les clients qui utilisent des produits logiciels plus anciens à passer à Fusion. "Nous pensons que, pour la plupart des clients, la bonne chose à faire est de voir comment se passent les premiers déploiements... Ils pourront s'orienter vers Fusion quand ils le souhaitent. Ils sont les mieux placés pour savoir comment effectuer le déploiement de leurs ressources informatiques."
D'autres sessions de présentation des Fusion Apps sont prévues jusqu'à jeudi, date de la clôture de l'OpenWorld 2010.
Illustration : Larry Ellison, fondateur et PDG d'Oracle, crédit photo IDG NS
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