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(02/04/2008 17:31:42)
Léo Apotheker devient co-PDG de SAP
Ainsi que l'on s'y attendait depuis un certain temps déjà, Léo Apotheker, actuel PDG délégué de SAP, vient d'être nommé co-PDG de l'éditeur allemand, aux côtés de l'actuel PDG Henning Kagermann. Selon Hasso Plattner, président du conseil de surveillance de SAP, Henning Kagermann a souhaité la nomination de Léo Apotheker comme co-PDG, afin de préparer sa propre succession. Henning Kagermann doit quitter la direction de l'entreprise au printemps 2009 pour prendre sa retraite. Les deux hommes dirigeront conjointement SAP, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés, qui vient d'achever l'absorption de l'éditeur français Business Objects, spécialiste du décisionnel. Léo Apotheker, fondateur de la filiale française, a rejoint SAP en 1988. Membre du comité exécutif depuis 2002, il est PDG délégué de SAP depuis mars 2007. Il a été nommé à ce poste alors que Shai Agassi, responsable des développements technologiques et promis à un bel avenir au sein de la société, avait préféré partir lorsque le mandat de Henning Kagermann à la tête de SAP avait été prolongé jusqu'en 2009. Le patron américain prend la main sur les ventes mondiales Parallèlement à la promotion de Léo Apotheker, le conseil de surveillance de SAP a nommé au comité exécutif de l'entreprise trois nouveaux membres, ce qui porte à dix le nombre total de ses membres. Il s'agit d'Erwin Gunst, de Bill McDermott et de Jim Hagemann Snabe qui prendront leurs fonctions le 1er juillet prochain. Erwin Gunst devient directeur opérationnel (COO, chief operating officer). Collaborateur de SAP depuis vingt ans, il était jusqu'alors président pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Jim Hegemann Snabe, chez SAP depuis quinze ans, est désormais responsable du développement de l'offre intégrée SAP Business Suite et de la plateforme d'intégration SAP NetWeaver. Enfin, entré chez SAP en 2002 pour diriger le continent américain, Bill McDermott sera désormais responsable des ventes mondiales de SAP, une lourde responsabilité qui incombait jusque-là à Léo Apotheker. (...)
(01/04/2008 18:32:07)Première offensive commune de SAP et BO France
C'est à l'unisson que Pascal Rialland et Marc Béhar, les directeurs généraux de SAP France et Business Objects France, ont détaillé, ce matin à Paris, le contenu de leur portefeuille unifié de solutions décisionnelles. Quelque 550 clients avaient été réunis dans un restaurant du Bois de Boulogne pour la première étape d'un Tour de France consacré à la version 3.0 de la plateforme BusinessObjects XI, annoncée mi février. Plus forts ensemble que séparément, affirment les deux dirigeants. « Nous sommes à la tête d'un capital produit et humain sans précédent sur le marché qui doit constituer un vecteur de croissance extrêmement fort pour SAP », s'enorgueillit Pascal Rialland. Le patron de la filiale française présente la plateforme de Business Objects comme le point fort de l'offre commune, une plateforme « agnostique », indépendante des applications, tient-il à rappeler, qui s'insère dans une offre SAP ayant « fait sa révolution d'ouverture avec Netweaver, en franchissant le pas de l'intégration avec les solutions non SAP. Et cela, nous n'entendons absolument pas le changer ». « Faire fructifier l'actif » Comme LeMondeInformatique.fr l'avait déjà indiqué dans son édition du 27 mars, les deux éditeurs ont dû procéder à des arbitrages entre certaines de leurs offres, principalement parmi les produits de gestion de la performance, en raison des recouvrements fonctionnels apparus après la fusion (cf « SAP réajuste son catalogue décisionnel après l'absorption de BO ». [[page]] Mais, pour ne pas brusquer la migration des clients, les offres sur lesquelles les développements vont être arrêtés seront, selon les contrats, maintenues pendant trois à sept ans, voire davantage. L'éditeur allemand s'apprête à investir des marchés où il est encore peu présent mais où BO, au contraire, est fortement implanté, afin de « fertiliser le terrain », de « faire fructifier l'actif ». Parmi les points forts de BO, outre sa plateforme décisionnelle, figure notamment la base installée de Cartesis (solution de consolidation financière). D'ailleurs, les dirigeants ne s'en cachent pas. Les objectifs de la nouvelle entité « SAP Business Objects » ont été revus à la hausse. Ils dépassent de 5 à 10% les objectifs respectifs que chaque éditeur s'était respectivement fixé avant le rapprochement. Une ambition alimentée par l'évolution de certains projets dont le périmètre s'est étendu face à l'offre combinée de SAP et BO, et confortée par la marge de manoeuvre sur le terrain. « Les recoupements de projets chez nos clients respectifs sont très limités en France », confirme Marc Béhar, DG de Business Objects France. Une dimension d'ouverture essentielle Le catalogue fusionné de l'entité « SAP Business Objects » comprend deux grandes catégories de produits. On y distingue, d'une part, les applications de gestion des risques (de SAP) et les outils de pilotage opérationnel et de gestion de la performance financière (où cohabitent solutions SAP et BO). D'autre part, on trouve la plateforme décisionnelle apportée dans la corbeille par BO : un éventail de logiciels très bien implanté en France où BO compte 4 000 clients. Rappelons que la plateforme décisionnelle réunit des outils de gestion des données (intégration, qualité, métadonnées, MDM apporté par SAP, datamarts) et de restitution de l'information (reporting, analyse multidimensionnelle, tableaux de bord, recherche, diffusion, analyse prédictive). « Cette offre apporte une dimension d'ouverture essentielle à SAP », reconnaît Vincent de Poret, responsable chez SAP des solutions pour les directions financières. (...)
(28/03/2008 17:40:38)J-1 avant l'adoption ou le rejet d'OOXML par l'ISO
C'est demain soir que les représentants de 87 pays, réunis au sein de l'ISO (International Organization for Standardisation), décideront si le format bureautique OOXML de Microsoft est conforme à ce que l'on attend d'un standard OSI international. Les dernières informations obtenues par les Echos laissent entendre que la France s'opposera à ce que OOXML rejoigne ODF, format qui a déjà reçu l'imprimatur. Notre pays se trouverait aux côtés du Brésil et de l'Inde, notamment. Tandis que les Etats-Unis et l'Allemagne auraient choisi de soutenir la candidature d'OOXML. Dès son origine, le format ODF a été conçu comme un format ouvert, à même de garantir l'accès aux données enregistrées. A l'inverse, Microsoft, fort de son quasi-monopole de fait sur les logiciels bureautiques, n'a décidé que tardivement d'entrouvrir le format d'Office 2007. Il l'a fait sous la pression des utilisateurs qui lancent désormais des appels d'offre réclamant des produits supportant un format normalisé. (...)
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